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Malal DIALLO Pithi

Malal DIALLO Pithi

L'intersyndicale de la pêche s'est réunie hier en conférence de presse pour dénoncer les difficultés liées au secteur. Au terme de cette rencontre, c'est un préavis de grève qui prendra fin le 08 décembre 2021 qui a été décidé par les acteurs du secteur de la pêche. 

Cherif Sambou, le porte-parole de l'intersyndicale de la pêche a listé, face à la presse, les problèmes que surmontent les acteurs de la pêche. Au même niveau que les autres secteurs de ce pays qui servent l'Etat, M. Sambou a soutenu que les professionnels de la pêche méritent les mêmes avantages que l'Etat octroie aux acteurs des secteurs de l'agriculture ou de l'élevage par exemple.

Actuellement, le secteur souffre d'un grand manque de personnel et l'Etat doit recruter les jeunes diplômés des universités. C'est, du moins, le souhait de l'intersyndicale qui veut que l'Etat prenne au sérieux ce secteur qui sert tant les citoyens. 

Et il pointe du doigt le ministre de la Pêche qui tarde à les recevoir autour d'une table des négociations pour parler des difficultés de la pêche et des moyens pour solutionner ces problèmes que vivent les acteurs de ce secteur.

Ainsi, autant de problèmes ont été évoqués par M. Sambou, notamment le manque d'avancement des professionnels de la pêche qui méritent, au même titre que les agents des autres secteurs, de bénéficier des concours nationaux pour élever leurs grades et leurs salaires. Tous ces maux constituent les raisons pour lesquelles l'intersyndicale de la pêche a décidé de déposer un préavis de grève qui va prendre fin le 08 décembre. Une menace de paralysie totale qui risque de priver les sénégalais de leurs ressources halieutiques qui leurs sont si chères.

 

 

Le leader de la coalition Tann sa maire et directeur par intérim de la radio Guédiawaye FM vient d'être déchargé de ses fonctions. En d’autres termes moins diplomatiques, il vient d’être renvoyé purement et simplement pour délit d’ambition. Et pour cause ! Candidat à la mairie de Wakhinane Nimzatt, poste que convoite son patron et maire sortant, le Directeur de la RTS,  Racine Talla, Mame Cheikh Seck, puisque c’est de lui qu’il s’agit, vient de subir les assauts d’un chef autoritaire et jaloux de son fauteuil municipal. On lui a demandé de rendre le tablier.

 

Joint au téléphone pour s’expliquer sur les raisons de son licenciement, Mame Cheikh Seck, le cœur brisé pour avoir perdu son poste de directeur de la radio Guédiawaye FM par intérim, suite à l’absence prolongée de son chef parti aux Etats Unis. Au bout du fil, il semblait chercher ses mots, tellement la décision de ne plus fouler les pieds dans les environs de la radio lui faisait perdre la tête. «Cette mesure a été prise sur instruction de mon patron et adversaire politique, Racine Talla, candidat de Bby à Wakhinane Nimzatt. On nous a demandé de choisir entre le poste et notre coalition, entité qui représente plusieurs formations politiques et qui veulent apporter de profonds changements pour les populations qui ne se voient plus dans les plans du maire sortant et PCA de la radio Guédiawaye FM. Mais ma réponse est catégorique et sèche : je préfère me mettre au service des administrés qui me portent dans leur cœur et nourrissent beaucoup d’espoir pour que je rende à la commune son lustre d’antan. Je ne vais tout de même pas en faire  problème, car, je suis ragaillardi par l’espoir que je suscite auprès des populations», a laissé entendre Mame Cheikh Seck, Président de la coalition Tann Sa maire.

 

Les propos du directeur licencié sont pourtant confirmés par Mme Ndèye Rabiya Diop, membre de la coalition et chargée de communication de la coalition des Assises: «Je confirme la décision que je considère comme un chantage politique. Et naturellement, la coalition Tann Sa maire est préférée à la radio». Mais jusque tard, Mame Cheikh Seck était en réunion avec le conseil d'administration et les agents pour voir comment sortir la radio de la crise dans laquelle elle est plongée. Lui-même l’a déclaré en ces termes: «on m'a convié, avant-hier, par l'entourage du maire, qui m'a demandé de soutenir Racine Talla, car la situation risque d’être compliquée pour la coalition BBY. Mais, j’ai répondu que je poursuivrai mon chemin. Ainsi, le coordonnateur de la radio m'a signifié, avec beaucoup de peine, mon remerciement», raconte Mame Cheikh Seck.

 

Pour le bonheur des parieurs, la Loterie Nationale Sénégalaise (Lonase) innove et vient encore de marquer un BUT supplémentaire sur sa gamme variée de produits mis sur le marché. La cérémonie de présentation de ce produit a eu pour cadre l’agence de Guédiawaye, et a suscité des échos favorables auprès des parieurs. Ce qui constitue pour Cheikh Tidiane Senghor, le coordonnateur de l’institution, une innovation majeure et une rupture dans le lancement des activités qui seront désormais décentralisées.

 

Avec le lancement de son nouveau ‘’bébé’’, la Lonase prend de l’envol, comme en atteste la tenue de la cérémonie de présentation de son joli BUT sur la terrasse de l’agence de Guédiawaye, but qu'il vient d’atteindre pour le compte des parieurs qui, dans le souci de fructifier leur gain, voient la gamme de produits s’élargir davantage. Comme quoi, la décentralisation est aujourd’hui au cœur du processus de développement des nouveaux produits de la Lonase. A cet effet, Étienne Faye, le chef d'agence de Guédiawaye de se féliciter d’une telle initiative : «nous sommes la première agence à accueillir le lancement décentralisé d'un produit de la Lonase», se réjouit-il.

 

En présidant la cérémonie de lancement, M. le coordonnateur Cheikh Tidiane Senghor déclare : «la politique de délocalisation et de décentralisation que nous voulons donner à tous les nouveaux produits sera désormais au rendez-vous. Au nom du Directeur général, nous procédons de ce fait au lancement de ce nouveau bébé. Mais, cette activité s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre de la politique d'inclusion prônée par M. Lat Diop, la Lonase veut susciter une bonne implication de ses différents acteurs. Nous innovons donc en mettant sur le marché de nouveaux produits faciles à être exécutés. Nous devons, de ce fait, obtenir des résultats escomptés et nous gardons le cap pour que le produit arrive jusqu’aux zones les plus reculées du pays».

 

 Dans sa présentation, BUT, comme beaucoup d’autres produits, est un ticket à gratter à 200 FCFA, mais à double chance, avec effet du bonus où le parieur peut gagner jusqu'à 200.000 FCFA. De quoi susciter l'envie du gain ! Cependant, il faut souligner que ce produit est né dans un contexte où le Sénégal est en route vers de grandes échéances sportives telles que la Coupe d’Afrique de football au Cameroun. La Lonase, partenaire officielle de la Fédération sénégalaise, vient d’inscrire le BUT au tableau d’affichage et enrichit les produits et gammes des services offerts aux parieurs. Mais vivement que le but marqué porte chance aux Lions du foot en route aussi pour d’autres phases dont celle de qualification de la coupe du monde au Qatar où nous devrions tous vibrer à chaque But.

 

Il a longtemps été le chouchou des téléspectateurs et des parieurs, non pas parce qu’il était jockey, mais commentateur et analyste des programmes du PMU. Ses présentations de haute facture des courses de plat, de haies et d’attelé qui se déroulaient à Vincens, à Longchamp ou même dans une autre aire à Paris ou en Amérique lors des grands Prix, restent encore gravées dans la mémoire collective pour avoir été suivies avec la plus grande avidité. Alioune Diaw assurait simplement, mais avec la manière et l’amour du cheval. Les 10 à 15 minutes qu’il passait sur le petit écran à l‘époque lui suffisaient pour parler des chevaux qu’il connaissait par cœur, des favoris aux outsiders, sans oublier ceux qu’on assimilait à des écartés qui pouvaient créer d’éventuelles surprises à l’arrivée d’une course de 1600m, 3200m ou 4800 haies.

Ce journaliste a donc été aperçu vendredi dernier aux Almadies, restaurant qui abritait la grande cérémonie de remise de chèques aux heureux gagnants du PMU, et de lancement de la campagne de communication de la Lonase pour ce produit. Mais, Alioune Diaw n’a rien perdu de sa superbe, à part des cheveux un peu blanchis, certainement avec l’âge, mais le chouchou des chevaux garde sa forme de jeunesse, son verbe d’antan et ses grandes connaissances des écuries et des hippodromes d’ici et d’ailleurs. La communication Alioune Diaw, s’y connaît. Journaliste émérite qui avait fortement impressionné à travers ses articles, ce qui lui valut une reconnaissance de ses supérieurs de l’APS où il était pensionnaire. Le mot est lâché : Pensionnaire. Il avait l’habitude de l’utiliser pour expliquer la familiarité des chevaux, avec leurs jockeys et leurs écuries. On se rappelle encore, grâce à lui, des Ourasi, cheval percutant bien côté sur les fiches de renseignement distribuées à l’époque gratuitement.

On se rappelle également des Vourasi, de Longchamp, des courses haies, et de bien d’autres appellations qui nous plongent directement dans les années 90, époque à laquelle Alioune Diaw excellait. Mais depuis des années, on ne l’a plus revu, ni entendu. «J’ai quitté», a-t-il laissé entendre quand il faisait son speech vendredi dernier. Mais les fans du cheval avaient bien sa nostalgie, lui, maitre des commentaires des courses de chevaux, lui, Alioune Diaw, un as du verbe et un chantre de la conjugaison. Cher confrère et doyen dans la presse, nous avons bien appris de vous, nos prières vous accompagnent. Vivez encore longtemps cher commentateur, le ‘’Laye Diaw des parieurs’’ ou ‘’le Monsieur cheval’’ que certains n’hésitaient pas à vous surnommer. On ne t’oubliera jamais. Bonne continuation dans d’autres sphères dans lesquelles tu pourrais t’exercer. Les parieurs te seront toujours reconnaissants.  

Youssouf NDIONGUE

Le directeur de l’UFR de Sciences juridiques et politiques de l’Université Gaston Berger de Saint Louis, Monsieur Papa Samba Ndiaye, professeur agrégé en Science Politique a procédé à la présentation/dédicace de son livre intitulé ‘’Méthodes de recherches en science politique appliquées au contexte de l’Afrique’’. Une cérémonie qui a permis de retracer le contexte de naissance de cet ouvrage qui, à bien des égards, pourrait servir de livre de chevet aux nombreux étudiants en situation de recherche, mais aussi aux acteurs politiques qui peuvent trouver, à travers les informations livrées l’enseignant sur la science politique, la réponse à bien des questions, notamment l’art de gouverner.

Tout est parti, selon Babacar Socrate Diallo, directeur du CEDS, d’un S à mettre ou pas à Science Politique (SP). Une interpellation faite à Mme Mariam Aidara, la directrice de Dakar Science politique (DKSP), et à laquelle une réponse devait être apportée. Et pour toute tentative de réponse, le Professeur Papa Samba Ndiaye tient à dispenser plus qu'un cours, mais rédiger un livre pour non seulement orienter sur la démarche à suivre par rapport à la recherche, mais expliciter ce qu’est réellement la science politique. Ce samedi 20 novembre, en cérémonie de dédicaces, la politique au sens étymologique a été débattue.

 

Pour Babacar Socrate Diallo, «la politique est devenue un outil pour scier la branche sur laquelle les politiciens sont assis. Et si on n'y prend garde, on risque d'assister à des situations extrêmement conflictuelles. C'est pour cela que nous félicitons l'auteur par rapport à son œuvre, qui témoigne du sens donné à science politique, c'est-à-dire la vocation qu'elle ne cessera jamais d'avoir». Ainsi, «la SP, c'est toute la convivialité, c'est l'ouverture et la concorde», définit-il.

Retraçant le contexte de naissance de l'ouvrage,  Papa Samba Ndiaye, l’agrégé en Science Politique, Doyen du département éponyme de l'Université Gaston Berger de Saint-Louis, raconte que «le livre est né suite à un voyage au Canada, après ses enquêtes de thèse, soit 8 mois de terrain, et qui l'ont conduit un peu partout». C’est ainsi qu’il a décelé un décalage entre les propos théoriques enseignés dans les facultés et la pratique de terrain.

Sous une forme d’écriture simple, ce livre résume aussi les requêtes des étudiants par rapport à des sujets qui n'étaient pas faisables, comme la crise des missiles, sujet intéressant, certes, mais sans possibilité d’accéder à des archives. Entre autres éléments relatés dans l’ouvrage, Papa Samba Ndiaye met le curseur sur le fait que «la SP est une matière qui enseigne l'art de gouverner, et il ne peut y a voir de Sénégal émergent sans élites formées véritablement». Comme aussi quand l’auteur soutient que «l'Europe n'est pas blanche, l'Afrique n'est pas noire, avec des exemples convaincants, etc., ou quand il enseigne que la science politique pourrait aider à apaiser les tensions sociales».

Youssouf Ndiongue

 

Après la région de Thiès, le collectif des jeunes de la grande majorité présidentielle (CJGMP) était ce week-end dans la région de Louga dans le cadre des préparations des élections où ils comptent faire gagner, avec brio, les listes de la coalition Benno Bokk Yakaar. Les camarades de Moustapha Ndiaye ont, cette fois-ci, mis le doigt sur les importantes réalisations du Président Macky Sall dans tout le Ndiambour, et ont profité de l’occasion offerte par la petite caravane organisée à Guéoul pour foudroyer et avertir le groupe Y’en a marre. «C’est des types dangereux qui ne représentent absolument rien dans ce pays, ils veulent occuper l’espace médiatique pour se refaire une virginité qu’ils ont perdue depuis que leur deal sur les visas et passeports diplomatiques a été découvert», décoche le président dudit collectif et coordonnateur des jeunes de Manko Wattu Sénégal (MWS)

Un week-end riche en activités, c’est ce que les jeunes de la grande majorité présidentielle ont passé dans la région de Louga. Entre sensibilisation sur les grandes réalisations du chef de l’Etat et déroulement de stratégies politiques pour réduire à néant les initiatives de l’opposition, Moustapha Ndiaye et ses camarades se disent prêts à tout pour faire gagner toutes les communes à la coalition Bby et octroyer zéro commune à l’opposition. «Nous avons fait un tour d’horizon sur les acquis immenses réussis par le président Macky Sall. Nous pouvons dire que c’est dans la région de Louga que commence l’émergence, avec le développement d’un vaste réseau de forages, des addictions d’eau jusque dans le ranch de Dolly où pratiquement tous les éleveurs font chapeau bas au Président Macky Sall. Des grandes routes goudronnées accompagnant les réseaux d’éclairage public, sont réalisées par la mairie, le PUDC, le Puma et l’Agence sénégalaise pour l’électrification rurale (Aser).

Ces infrastructures font de la capitale du Ndiambour une région où il fait bon vivre. Sans oublier, sur le plan social, les bourses de sécurité familiale, la CMU et les importantes offres d’emploi dans le cadre du programme ‘’kheuyou ndaw gni’’. Bref, les populations de Louga, heureuses de voir toutes ces initiatives sortir de leurs terres, peuvent dire stop à l’opposition dans sa quête de briguer des mairies. «Ils risquent de se retrouver avec zéro commune», raille Moustapha Ndiaye. Qui invite toutes les sensibilités politiques de la mouvance présidentielle à taire les querelles intestines, et faire bloc derrière le Ministre Moustapha Diop, investi comme tête de liste de Bby. Cet appel à l’unité va surtout chez les jeunes qui se réclament de Macky Sall. Ils sont tous invités à suivre le Ministre Moustapha Diop, la voix officielle qui est reconnue par le Président ».

Par ailleurs, le collectif compte barrer la route aux jeunes de Y’en marre. «Nous allons faire face à ces truands d’une autre époque. Les sénégalais ont enfin découvert leur sale besogne qu’ils exerçaient sur les honnêtes citoyens en procédant à des trafics de toutes sortes. Nous allons leur faire face la prochaine fois qu’ils s'aventurent à organiser des marches ou autres. Des moins que rien ne peuvent rien réussir dans ce pays, tout comme Barthélémy Dias qui continue de rêver. Il faut que ce bandit descende sur terre et sache qu’il ne peut plus remporter une élection dans ce pays, encore moins la mairie de Mermoz ou la Ville de Dakar», se disent les jeunes de Macky. La déclaration de Louga a pris fin par l’appel du khalife général de Médina Baye que le collectif a magnifié. En interdisant aux politiques d’utiliser les jeunes à des fins purement politiciennes, le Khalife a encore prouvé tout le bien qu’on pense des chefs religieux qui, chaque jour, invitent les citoyens à la culture de la paix. «Les jeunes membres du collectif apprécient et comptent appliquer à la lettre toutes ces recommandations du khalife de Kaolack», rassure Moustapha Ndiaye.

Après les tournées nationales dans les régions du Sénégal, la plateforme ‘’Xipil Xol lifi Macky Def’’ entame une tournée européenne de sensibilisation sur les réalisations et les projets et programmes du chef de l’Etat. Ce samedi, à Paris, l’équipe conduite par Malal Diallo Pith a tenu une réunion d’une grande importance, c’était en présence des responsables de zones, notamment des coordonnateurs M. Sidy Kane et M. Samba Guiro, entre autres, mais aussi la présidente des femmes et beaucoup d’autres responsables qui on tenu à rehausser de leur présence à ces importantes activités de sensibilisation.

Entre autres projets et programmes de l’Etat expliqués à nos compatriotes, figuraient en bonne place les logements sociaux. Pour Malal Diallo, « l’idée de mettre en place une coopérative d’habitat a été ébauchée, avec cette fois-ci, la particularité qu’elle sera mixte, avec des hommes et des femmes comme des membres à part entière. Les conditions de participation ont été bien explicitées avec une participation de départ de 30 euros requise, soit 10 euros pour les parts sociales et les 20 euros restants pour l’adhésion. Un bureau a été mis en place pour une plus grande implication de tous les sénégalais de la France à cet important projet social de 20.000 logements dédiés à la diaspora sur les 100.000 possibles ».

En effet, ajoute Malal Diallo Pith, «le Président de la République inaugurera, le mois prochain, les 200 premiers logements construits à Bambilor, dans le département de Rufisque. Mais dans l’ensemble, ce qu’il faut retenir, les discussions ont porté sur cet aspect très important qui consiste à aider les sénégalais de la diaspora à disposer d’un toit dont la valeur estimée est de 12 millions FCFA, et initié sur la base d’un fonds social comme il en existe au Maroc et ailleurs », explique Malal Diallo. Qui a enfin décerné ses vifs remerciements à M. Seye, l’Ambassadeur du Sénégal en France, et le Consul M. Diallo grâce à qui l’activité a pu se tenir dans de  bonnes conditions

https://www.youtube.com/watch?v=2KzvBu8B8gY

La Loterie nationale sénégalaise (Lonase) a délocalisé sa traditionnelle cérémonie de remise de chèques aux heureux gagnants du Pmu dans un grand restaurant huppé des Almadies. Ce vendredi 19 novembre, en plus du lancement de la campagne de communication du Pmu, le Secrétaire général de la Lonase a remis une bagatelle totale de 110 millions à trois parieurs, élargissant du coup le cercle des millionnaires du Pmu.

Le PMU continue à faire des riches, avec la distribution d'une centaine de millions à ses gagnants. Ainsi, Mamadou Lamine Gaye, 59 ans est le premier gagnant. Électricien bâtiment de son état, il remporte 72.542.000 FCFA, suivi de Mamadou Lamine Badji, 19.710.000 et El hadji Sarr 18.800.500.

Pour Mamadou Gueye, le SG de l’institution, «à ce jour, c’est pas moins de 986 millionnaires qui se sont partagé le montant colossal de 4 milliards CFA. Mais cela s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre de la politique du Dg Lat Diop qui promeut ainsi l'orientation-client construite avec tous les acteurs de la chaîne de valeur». Par ailleurs, le lancement de la campagne de communication de ce 19 novembre s’apparente avec le recrutement de 1500 vendeurs. «A travers ce programme, Lat Diop répond à la politique du chef de l'Etat. La Lonase a toujours travaillé pour le bénéfice de la nation, et cette mission est portée par le Dg. Remerciements aux vendeurs d’abord et ensuite aux parieurs qui, depuis de nombreuses années, prouvent leur fidélité à l'institution mais aussi aux vendeurs», se réjouit Mamadou Gueye.

 

 

Désormais investie par le parti Union citoyenne ‘’Bunt-bi’’, suite à la validation in extremis de leur liste, Soham El Wardini a confirmé sa candidature à sa propre succession à la mairie de la capitale, pour les élections locales du 23 janvier 2022.

 

Après un an d’intérim et trois ans d’exercice en tant que maire élu suite à un vote, celle qui ne fait plus partie de la coalition Yewwi Askan Wi (YAW) de Khalifa Sall et Cie, entend défendre son bilan tout en proposant son programme aux Dakarois. «Ma candidature est portée par des femmes et des hommes engagés», a-t-elle acclamé.

 

L’édile de Dakar n’a pas manqué de revenir sur les circonstances qui ont conduit à sa sortie de YAW, de la forclusion, de son éviction injuste de la course aux locales.

M Touré

 

La COJER de Dakar a fait face à la presse ce mardi pour se prononcer sur la situation politique  actuelle dans le département. Il salue l'arbitrage du Président de la grande coalition Macky SALL, dans l'exercice lié à l'investiture dans le département, avant de tirer sur le ministre Abdoulaye Diouf Sarr. Ils protestent contre le traitement inéquitable à l’encontre des jeunesses républicaines. Selon eux, la démarche du ministre de la santé est au risque de voir la jeunesse de Dakar appeler à un vote alternatif.

 

La jeunesse de la Cojer de Dakar a fustigé la gestion de Diouf Sarr sur les listes électorales. Pour cela, il interpelle le président de la république par ailleurs président de la coalition à réagir pour éviter un sentiment de frustration et de mépris dans les différents. 

 

Ousmane Ndiaye, coordonateur de la Cojer de Dakar de soutenir : « Certes, nos trop longues luttes et les animosités ont pu naître suite à certains effets pervers déployés les uns contre les autres. Aussi, lorsque Dakar brûlait de tout bord et que le Parti et le Président étaient esseulés à cause d'une opposition roublardise, à cette époque, seule la Cojer de Dakar, fidèle à ses principes loyaux était montée au front pour en découdre avec les ignares de la scène politique nationale ». Il poursuit : « Aujourd'hui, beaucoup de vaillants camarades, des jeunes pétris de talents dans les communes comme dans les départements ont été victimes de complot et sont royalement lésés lors de la confection des listes.

 

Donc il conviendrait aisément, avec nous, que rien et absolument rien ne peut se décider et se faire dans Dakar, théâtre des plus grandes opérations politiques, sans cette frange représentative de la jeunesse. La situation des investitures et de la confection des listes électorales dans les communes et dans le département, divise plus qu'elle ne réunit ». Selon lui, les sentiments et ressentis des différents camarades aussi méritants que valeureux, montrent à suffisance le manque de rigueur et de logique politiques dans les choix d'investiture du Ministre Abdoulaye Diouf Sarr qui conforte avec flagrance les considérations claniques, partisanes et sectaires qui lui sont reprochées.

 

« Nous protestons et récusons avec la dernière énergie et au nom de tous les camarades ce

traitement inéquitable à l'encontre des jeunesses républicaines de Dakar. En procédant de la sorte à fortiori, on peut dire que le Ministre Abdoulaye Diouf Sarr travaillerait, une fois élu, qu'avec une certaine jeunesse qui lui est évidemment favorable », a-t-il insisté. Ainsi, ils alertent le Président Macky Sall afin qu’il prenne toutes ses responsabilités face à cette démarche cavalière et non inclusive au risque de voir la jeunesse Républicaine de Dakar appeler à un vote alternatif.

 

« Sa gestion trop controversée laisse un sentiment de frustrations et de mépris dans les différents étalages du Parti et de la coalition à Dakar. La Cojer, compte sur les qualités de leader du Président Macky Sall pour recevoir sa jeunesse lésée et abandonnée à elle-même, mais qui malgré tout, reste toujours engagée à ses convictions politiques. Cette vaillante jeunesse républicaine a besoin de se confier en ces cruciaux moments à son leader parce qu'elle n'a et n'aura guère comme intention de prendre le contre-pied de ses orientations politiques. La Cojer ne se voit pas dans l'obligation de passer à la vitesse supérieure, parce qu'elle sait que le Président, conscient des enjeux et sachant reconnaître les talents de tout un chacun, prendra les décisions idoines », dira Monsieur Ndiaye.

  1. Touré

 

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