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Malal DIALLO Pithi

Malal DIALLO Pithi

Et en ces temps de prolifération de mouvements citoyens politiques engagés et bien organisés, tout adepte pro-opposition est indexé et placé sous surveillance vigilante. Et certains leaders politiques, dans cette perspective, font l'objet d'acharnement judiciaire eu égard à la nature de l'idéologie politique qu'ils défendent. La coalition ‘’Tann Sa Maire’’ dénonce cette injustice. 

 

Pour le leader de la coalition, Mame Cheikh Seck, «la surveillance et la convocation en justice sont des choses normales, mais en pleine compétition électorale, c'est une violation. En effet, les règles d'impartialité, de transparence et de libertés du jeu démocratique deviennent ainsi piétinées».  Mais, ajoute-t-il, «quelque soit la rigueur appliquée sur les adversaires, les élections locales se tiendront en janvier prochain pour apprécier le bilan des maires sortants. C'est la seule issue pour échapper à une situation insurrectionnelle. Entre l'opposition et le pouvoir, il ne peut plus y avoir que de respect et de confiance». 

 

A cause du contexte et des enjeux, «les parties se refusent follement toute forme de concession pour la stabilité politique et électorale. En pareille circonstance, l'État est tenu responsable des conséquences qui découleront des affrontements sanglants et meurtriers en gestation. C'est en tout cas la position de la coalition», fait savoir Mame Cheikh Seck. 

Dans le but de soutenir les plus populations vulnérables des villages du Sénégal, généralement en matière de soins de santé, la fondation DCARE est mise sur les fonts baptismaux. Créée par M. Daouda DEME, son modus operandi est de recueillir des dons et de procéder à la redistribution. L’objectif de son promoteur est justement de soutenir le développement de soins médicaux en achetant les ordonnances prescrites aux nécessiteux et d’améliorer la santé des plus vulnérables.

 

 La fondation DCARE offre également un cadre d’épanouissement sanitaire en prenant en charge les cotisations au niveau des mutuelles de santé des personnes dans le besoin. «Outre ces projets majeurs axés sur la prestation de services spécialisés, nous accompagnons aussi les zones reculées dans l’équipement en boite pharmacie dans les maisons. Tous les jours nous assistons à nos décès qui sont liés au manque de médicaments dû à la pauvreté», enseigne M. Daouda DEME.

 

Selon lui, «dans nos quartiers, les malades sont confrontés à un réel problème pour acheter les soins prescrits pars le personnel de santé. Nous avons mis en place D.CARE pour soutenir les plus vulnérables. L’appel que nous lançons, afin de démocratiser cette offre est que toute bonne volonté (ou organisation) peut apporter son soutien aux milliers de malades pour l'achat de leurs médicaments». Pour terminer, Daouda DEME indique qu’en termes de réalisations, nous avons pu parvenir à ficeler des cotisations CMS de plus de 500 familles dans la banlieue. Mais, dans un avenir proche, nous comptons équiper et assurer le suivi pour 100 familles en boites de pharmacie dans les villages. Toutes informations sont disponibles sur le site au www.dcareafrica.org».

 

 

 

 

 

Après les choix forts du Président pour diriger la coalition BBY au niveau national, le coordonnateur national du MEER Abdoulaye Diagne appelle à un élan citoyen, à conjuguer les efforts  afin que la vision et le pragmatisme du Président Sall se matérialisent en une victoire notoire et incontestable de 58% au soir du 23 janvier 2022. 

Abdoulaye Diagne invite à mettre des stratégies les plus factuelles avec implication de tout un chacun.  ‘’Nous attendons des leaders de la coalition à faire des descentes sur le terrain, des  porte-à-porte efficaces parce que puisant nos forces dans l'efficience et la  persuasion infaillible et  agissante sur l'échiquier électoral, nous assurerons une victoire sans commune mesure de la grande coalition Bby et de la majorité élargie’’, a-t-il soutenu.

Ce qui nécessitera, selon lui, une conjugaison des efforts pour mener à bien cette mission. ‘’La mise en évidence des compétences et expériences allant dans le sens d'une communication efficace, propice à une sensibilisation des masses, aux évidences sociopolitiques de l'heure et des choix du Président’’, a conclu le coordonnateur du MEER national.

Mamadou Touré

A Golf Sud, l'ancien parlementaire Cheikhou Oumar Sy, coordonnateur de la coalition nationale ‘’AVEC Liggey Kat Yi’’, est le premier candidat à avoir déposé sa liste dans le département de Guédiawaye, dans la commune de Golf Sud. Il se dit plus que jamais prêt à s’engager pour offrir aux populations une réelle alternative pour une gestion innovante et transparente.

 

«Ma priorité est de mettre une équipe municipale efficace et déterminée qui dépasse les intérêts personnels. Nous devons tous être des soldats au service de notre commune. Les pourparlers avancent bien sur le terrain et nous comptons nous retrouver autour de l’essentiel», a-t-il déclaré.

 

Devant faire face à Lat Diop candidat de la coalition de Bby, il dit être prêt d’ores et déjà à l’affronter et le battre au soir du 22 Janvier 2022. Très sûr de lui, Cheikhou Oumar Sys invite le Directeur général de la Lonase à un face à face.

 

 «S’il  est  aussi sûr de lui, je l’invite, au même titre que tous les autres candidats, à un débat public où chacun de nous proposera son projet pour la commune de Golf Sud. Je ne pense pas sincèrement qu’ils osent répondre à cette invitation et je les comprends. La victoire appartient à Dieu, j'invite plutôt Lat Diop à un débat programmatique public pour exposer notre projet pour la commune de Golf Sud, je suis prêt partout où il m'invitera», lâche-t-il.

 

Il est professeur titulaire des Universités de Classe Exceptionnelle et tête de liste de la coalition Yewwi Askan Wi à Keur Madiabel. Il dirige le Parti CREDI et porte cette coalition de l’opposition dans la ville stratégique de la deuxième personnalité de l’Etat. En somme, Hamidou Dathe va tenter de détrôner et régner en maître chez Moustapha Niasse qui ne sera pas candidat pour ses élections. Le Président de l’Assemblée Nationale avait déjà décliné tout poste après sa dernière mandature qui prend fin officiellement au mois de juin 2022.

Le professeur Hamidou Dathe va donc porter les couleurs de Yewwi Askan Wi pour la mairie de Keur Madiabel. Le patron du parti CREDI ira ainsi à l’assaut du candidat de Moustapha Niasse et de Benno Bokk Yakaar dans la ville stratégique de la deuxième personnalité de l’Etat. En effet, sa position comme tête de liste de YAW ne pouvait revenir qu’au professeur Dathe, puisque son parti est le plus représentatif de la coalition dans la commune de Moustapha Niasse, du moins selon les estimations confirmées par la majorité des partis en présence.

Dailleurs, le CREDI est allé seul sous ses propres couleurs lors des législatives de 2017, et avait fait un bon score dans le département, alors quil venait juste davoir 6 mois d’existence. Le choix porté sur lui est à l’origine du départ du candidat de PASTEF dans la commune, en l’occurrence Mamadou lamine Mbow qui voulait, à tout prix, être le représentant de YAW à Keur Madiabel. Jusqu’ici, le parti du professeur Dathe était plus discret dans le département de Nioro. Cependant, depuis les investitures, force est de reconnaitre que le parti CREDI est en train d’étaler ses tentacules avec beaucoup de soutiens enregistrés ces derniers jours.

«J’ai un ambitieux projet de développement de Keur Madiabel pour résorber les décennies de stagnation du développement de la commune», fait savoir le professeur Dathe aux Madiabellois. L’avenir du CREDI se joue finalement dans les résultats qui seront issus du scrutin du 23 janvier prochain, de même que pour les législatives qui se tiendront 6 mois plus tard.

Il est membre de Bess Dou Niakk, mais Cheikh Oumar Sy ira aux élections locales sous les couleurs de l’Alliance pour des Valeurs d’Ethique et Citoyennes (AVEC). Dans la commune de Golf Sud qu’il compte briguer, l’ancien député invite les principaux candidats en lice à une confrontation des programmes. Il l’a fait savoir dans une rencontre tenue ce dimanche à la Cité des Enseignants.

Cheikh Oumar Sy, en compagnie de Adja Awa Hann, Babacar Ngom, Serigne Lamine Gueye, tous membres de la coalition AVEC ont réitéré leur ferme volonté de voir la commune de Golf Sud sous un visage nouveau. Le budget de ladite municipalité devrait être orienté, selon eux, vers des projets et programmes sociaux, destinés exclusivement aux populations. Pour cela, avant toute élection, les candidats en lice devront, à travers des séances de confrontations, décliner leurs programmes. Du moins, c’est l’invite faite par le candidat de AVEC à ses principaux challengers avec qui il va découdre le 23 janvier prochain.

«Que ce soit Lat Diop, le candidat de Benno Bokk Yakaar ou d’autres qui ambitionnent de briguer la mairie de Golf Sud, je les invite, tous, à décliner le contenu de ce qu’ils comptent apporter comme solutions aux souffrances des populations. C’est un exercice citoyen auquel j’invite les différents candidats», a indiqué Cheikh Oumar Sy dont la coalition AVEC se dit prête pour aller à la pêche des voix. «Nous avons déjà déposé notre caution et il ne nous reste que le jour J pour montrer que le changement reste notre seul souci pour la commune de Golf Sud», a-t-il souligné. En conférence de presse, Cheikh Oumar Sy, ancien député et membre de Bess Dou  Niakk compte apporter des changements en profondeur dans la gestion de la commune, une fois porté en triomphe. Mais l'ancien député à l'Assemblée nationale a martelé un point qui lui tient particulièrement à cœur : son intention d’écouter les principaux candidats pour voir l'importance des projets ficelés pour les populations. «Et après cela, que le meilleur gagne, dans les conditions démocratiques acceptables et  suffisantes», a-t-il formulé.

''L'itinéraire tumultueux et enrichissant d'un agronome africain’', c’est le titre de l’ouvrage de l’ancien fonctionnaire international à la FAO, Amadou Ndaw Bourkanda.  Dans cet essai, l’auteur qui procédait, ce samedi, à la présentation et à la dédicace de son livre, explique à la jeunesse et aux commanditaires de sa production, son cursus teinté d’expériences, certes, mais avec des hauts et des bas comme toute vie normale. Non sans faire une ébauche et une alerte sur le pétrole, ressource tant prisée dans le monde : ''Là où le pétrole passe, l'agriculture trépasse''. Mais là où Bourkanda attire l’attention des lecteurs, c’est quand il parle de sa relation avec sa compagne de plus de 62 ans, sa Collé à lui qui l’a, hélas, quitté pour rejoindre le paradis. 

Parents, amis, sympathisants, belles familles et amis de la lecture, tous ont occupé, dès les premières heures de cet après midi de ce samedi, les espaces, coins et recoins du domicile de l’auteur à la Sicap Liberté 4 de Dakar. Ils étaient très nombreux à ne pas se faire raconter la cérémonie de dédicace du livre combien important de Amadou Ndaw. Bourkanda a donc choisi l’écriture pour ceux et celles qui s’intéressent à l’histoire, son histoire. Écrit dans un style simple, agréable à lire et, à coup sûr, vise à répondre à l'attente des grands lecteurs, cet ouvrage est simplement enrichissant et peut être recommandé à la jeune génération.

Des tranches de sa vie particulièrement riches  ont été rappelées à travers ces belles lignes pour comprendre, entre autres thématiques, le rôle de l'agriculture dans le développement d’une nation. Dans cette partie, Amadou Ndaw a voulu partager ses réflexions sur le développement agricole, en commençant d'abord par rendre hommage aux acteurs du développement rural et rappeler les ambitions trahies, les espoirs brisés pour la maitrise de l'eau, les structures d'encadrement détruites, la politique arachidière mal gérée. La mécanisation de l'agriculture doit se faire de manière adaptée à nos réalités.

PUBLICATION DE SON OUVRAGE PAR DEVOIR DE MEMOIRE : Amadou Ndaw Bourkanda offre son itinéraire à la jeunesse et... à sa défunte Collé«Dans ces réflexions, j'y invite à encourager l'exode urbain, doter la recherche de moyens suffisants, privilégier le financement endogène et l'investissement humain. Ma vie professionnelle à l'international avec la Fao fut l'occasion pour moi de découvrir la zone forestière en République centrafricaine, la cohabitation entre l'agriculture et le pétrole au Gabon, qui rappelle l'adage ''là où le pétrole passe, l'agriculture trépasse''.

Dans ce livre, l'auteur a tenu à rendre un hommage mérité à sa compagne de 62 ans. «J’ai donc cédé à la curiosité de mes petits enfants en racontant ma rencontre et mon cheminement avec mon épouse Collé qui m’a accompagné pendant 62 ans. C’était ma Khadija à moi tant elle a été précieuse», relate, mélancolique, ‘’Bour’’ Ndaw.

Youssouf NDIONGUE

 

 

Ils ont montré leurs limites dans leur désir d’expansion politique. Ils sont en fait des nains politiques qui ne maîtrisent pas trop le processus électoral et ne savent rien du code électoral. Avec ces manquements, forcément, ils seront dans des irrégularités et cela ne surprend personne. Mais, malgré tout cela, les membres de Yewwi Askan Wi imputent leur forclusion et les rejets de leurs listes pour irrégularités et manquements aux autorités territoriales et administratives. « Ceci relève d'un manque de sérieux et d'une indiscipline inqualifiables. Pire encore, ils profèrent des injures aux autorités judiciaires de ce pays, sans se soucier du minimum requis pour un comportement républicain. Mais là où l’indiscipline atteint son paroxysme, c’est quand on assiste, de la part du leader devenu fou de Pastef, à un appel une insurrection comme celle à laquelle on assisté le mois de mars dernier », fustige Ousmane Faye.

 

 ‘’Voilà un jeune qui est devenu paranoïaque et aveuglé par l’envie de détenir le pouvoir qui lui tourne la tête. Le jeune Sonko pense que ses menaces peuvent lui venir en appoint, il se trompe lourdement et il est temps que les autorités lui apprennent qu'on ne se comporte pas comme un responsable mal éduqué et ignorant sans que le bâton ne te grille les fesses. Sonko énerve le monde de par ses imbécilités qu'il débine sans se soucier qu'il y a, dans ce pays, des chefs religieux qui ne se fatiguent jamais dans la quête de paix, des chefs de familles épris de justice et de paix. Si lui, Ousmane Sonko considère que ses parents ne méritent pas de vivre dans un pays stable, il faut qu'on lui apprenne que les sénégalais sont civilisés et que dans leur majorité, ils ne vivent pas dans la jungle’’, dézingue Ousmane Faye.

 

Le leader de MWS de ‘’brûler’’ vif Sonko et l’avertit : ‘’ il est comme une bête qui vit encore dans la forêt, mais les autorités ont la  charge de lui inculquer des valeurs pour qu'il soit civilisé, et qu’on n’aspire pas à diriger un pays dans la fougue, dans l'indiscipline et l’ignorance, mais surtout dans le non respect des institutions et des règles d'éthique. L'état est prié, mais vraiment prié de prendre ses responsabilités devant ce fou ambiant, violeur devant l'éternel et dont le procès est imminent. Au lieu de chercher à défendre Barth Dias, il n’a qu’à régler d’abord son différend judiciaire qui lui empêche déjà de sortir du territoire. On ne lui permettra plus un tel comportement et il le saura bientôt’’.

 

Revenant sur le cas du maire de Mermoz Sacré Cœur, Ousmane Faye rappelle à Barth les règles élémentaires du fonctionnement de la justice. « Il est accusé de meurtre, donc ce sont ses conseils qui doivent lui rappeler que le temps de la justice n’est pas forcément le temps de la politique. S’il considère qu’il est innocent dans cette affaire et qu’il est sûr de sa majorité pour être le maire de Dakar, il n’a qu’à déférer à la convocation sans perturber qui que ce soit. Mais il se comporte en mauvais perdant d’une élection qu’il sait perdue d’avance’’.

 

« Je voudrai apporter une clarification sur l'article paru dans le journal L'Exclusif de ce vendredi. Je donnais mon avis sur le choix de Cheikh Ba, investi par le Président Macky Sall pour diriger la liste de la coalition Benno Bokk Yakaar. Quand le journaliste m'a posé la question, la première chose que j’avais dite était ceci : Si le Président décide d'une chose, il n'y a rien à y ajouter. S'il investit Cheikh Ba, les autres candidats à la candidature devront tous se ranger. Je n’ai jamais dit de voter pour Cheikh Ba, parce que moi-même, je vais participer à ces élections avec la coalition ’’Sénégal 2035’’. Si je devais lancer un appel à voter pour un candidat quelconque, je le ferai pour notre compte. A cela, j'avais dit que Cheikh Ba devrait, dès lors, changer de démarche et descendre sur le terrain. Il ne peut plus se vautrer dans son bureau et adopter la politique de salon. Je connais bien l'homme qui est très actif dans le social, tout çà c’est bien, mais je lui suggère de privilégier les contacts, parce qu'en définitive, les populations sont les électeurs et c'est eux qui élisent leur maire. Voilà l'avis que je voulais partager sur le choix de Cheikh Ba comme tête de liste de Bby Médina », rectifie Doudou Diagne Diecko. 

 

Par ailleurs, « je dois souligner, je l’ai dit en haut, que je vais participer à ces prochaines élections territoriales sous les couleurs de la coalition ‘’Sénégal 2035’’. En effet, je suis 3ème  sur notre liste pour la Ville Dakar. A la Médina, c’est l’ancien maire Pape Momar Diop qui est notre candidat, c’est lui qui conduit la liste avec Djibril Ndiaye, tous membres de la coalition ‘’Sénégal 2025’’ conduite par Mame Mbaye Niang dans le département de Dakar. Par conséquent, j'appelle mes sympathisants, mes amis, alliés et parents à voter pour notre coalition pour un renouveau de Dakar. Nous comptons faire de la capitale, l'une des plus belles villes du Continent. Nous en avons les compétences, l'expérience et la volonté. Il suffit que les populations nous accordent leurs suffrages pour voir ce que vous n'avez jamais vu dans ce pays en termes de réalisations modernes, de réhabilitations et d'innovations à Dakar. ‘’Sénégal 2035’’, c'est la coalition des visionnaires et des meilleurs candidats pour le changement en profondeur et en qualité », explique Doudou Diagne Diecko.

 

C’est à travers un communiqué de la Génération républicaine que  Docteur Diomaye DIENG, le Coordonnateur de ladite entité, a fait part de son retrait de la course aux élections municipales après qu’il avait déclaré ses intentions de briguer le poste de président du Conseil départemental de Fatick. Voici le communiqué publié in-extenso pour réaffirmer ses intentions à accompagner son leader, le Président Macky Sall, et donc à respecter son choix par rapport aux responsables investis sur les listes.

«Notre candidature à la candidature à la Présidence du Conseil départemental de Fatick était connue de tous. Certes, le choix est porté sur notre camarade, Docteur Cheikh KANTÉ, mais cela n’altère point notre engagement à servir les populations de Fatick. En conséquence, nous respectons ce choix qui, sans nul doute, sera bénéfique au département. Notre relation avec le Président Macky SALL, notre leader, transcende les fonctions ; c’est pourquoi nous nous engageons à travailler avec le Docteur Cheikh KANTÉ pour servir les populations de Fatick et du Sénégal. Nous réaffirmons que notre engagement pour le développement de Fatick reste indéfectible, irréversible et intemporel. À tous ceux qui m’apportent leur soutien et placent leur confiance en ma modeste personne, qu’ils soient des amis, des camarades, des parents, etc. je leur réitère toute ma gratitude».

 

 

CMU
cmu