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Malal DIALLO Pithi

Malal DIALLO Pithi

Son nom est Bruno Louis Diatta. Il fut un ancien Ministre, Chef du Service Protocole Présidentiel et il est décédé en 2018 après avoir rendu beaucoup de service à la nation sénégalaise. Raison pour laquelle sa famille lui rend hommage à travers un livre qui retrace sa vie, ses œuvres et sa pensée.  

" Bruno Louis Diatta, au service de la République", c'est le nom du livre qui a été écrit sur l'homme. La cérémonie de présentation du livre a été tenue à l’hôtel Terrou Bi, à la Salle Atlantique en présence du fondateur Khalil Rahal. Parents, proches, amis et plusieurs autorités étaient présents.  Une manifestation qui est placée sous le haut patronage de Monsieur Macky Sall, Président de la République et sous la présidence effective de Monsieur Abdoulaye Diop, ministre de la Culture et de la Communication. Les témoignages ne manquent pas. "Bruno incarnait beaucoup de valeurs liées à la préservation de secrets de l'état.

C'est ce qui lui a valu ce titre", témoigne un ministre. Le livre retraçant le parcours exceptionnel de l'ancien chef de protocole au palais, à présenté à l'assistance. " Un homme loyal et qui a servi à la République pendant des années, de Senghor jusqu'à Macky Sall", témoin un intervenant. Bruno Diatta qui est décédé en 2018, reste un homme de référence et un monument pour la République. Son histoire restera toujours gravé dans les mémoires des sénégalais. Sa famille se dit satisfaite de l'hommage qui a été rendu à l'ancien "garde du palais". Les autorités qui ont tous pris la parole exhortent à la jeune génération qui embrasse le même métier de se copier à lui". À travers l'ouvrage qui a été écrit et qui mis à la disposition des sénégalais ses qualités ont été retracées. 

Mamadou Touré

 

En conclave au siège de la RADDHO, les réfugiés mauritaniens et maliens vivant au Sénégal se disent indignés de la nomination du Général Aly Zayed M. Al-Khair à la tête de la minusma.  Dans les années 1990, le général était déjà lieutenant et servait dans l'armée mauritanienne, et à cette période même, beaucoup d'exactions sur les noirs ont été commises sous ses ordres. C'est la raison de la sortie des réfugiés qui dénoncent sa nomination. 

 

Une déclaration conjointe a été tenue par les réfugiés. Pour le porte parole du jour, " la rencontre avec la presse vise à dénoncer publiquement  la nomination du Général de Division Ali Zayed Moubarak Al-Khair de l’armée mauritanienne au poste de Commandant de l’Etat-major conjoint au sein de la MINUSCA en RCA". Selon eux, " des centaines d’éléments de l’armée mauritanienne durant cette période ont arrêté des Afro-Mauritaniens originaires de la vallée du Fleuve Sénégal pour tentative de renversement des institutions de l’Etat. Une répression particulièrement meurtrière créa une consternation générale, avec des tortures, des traitements inhumains et dégradants et des exécutions extrajudiciaires s’en suivirent".

Les réfugiés expliquent que, "les survivants de ces violations graves des droits humains  et des ONG internationales des droits de l’homme ont établi une liste des auteurs de ce que celles-ci avaient, à l’époque,  qualifié de crimes contre l’humanité et d’épuration ethnique. C'est ce qui fait que le Général Zayed qui figure sur cette liste, ne doit pas être nommé au sein d'une organisation aussi importante. Que justice soit faite pour rétablir tous les réfugiés qui ont tous perdu leurs biens dans leur droit". Il faut signaler que durant ces années là, beaucoup de personnes avaient perdu la vie, laissant derrière elles des orphelins. Et les violences enregistrées à l'époque avaient fait plusieurs victimes, entraînant des déportés dont la majeure partie avait des nationalités mauritaniennes. 

Mamadou Touré

 

En conclave au siège de la RADDHO, les réfugiés mauritaniens et maliens vivant au Sénégal se disent indignés de la nomination du Général Aly Zayed M. Al-Khair à la tête de la minusma.  Dans les années 1990, le général était déjà lieutenant et servait dans l'armée mauritanienne, et à cette période même, beaucoup d'exactions sur les noirs ont été commises sous ses ordres. C'est la raison de la sortie des réfugiés qui dénoncent sa nomination. 

 

Une déclaration conjointe a été tenue par les réfugiés. Pour le porte parole du jour, " la rencontre avec la presse vise à dénoncer publiquement  la nomination du Général de Division Ali Zayed Moubarak Al-Khair de l’armée mauritanienne au poste de Commandant de l’Etat-major conjoint au sein de la MINUSCA en RCA". Selon eux, " des centaines d’éléments de l’armée mauritanienne durant cette période ont arrêté des Afro-Mauritaniens originaires de la vallée du Fleuve Sénégal pour tentative de renversement des institutions de l’Etat. Une répression particulièrement meurtrière créa une consternation générale, avec des tortures, des traitements inhumains et dégradants et des exécutions extrajudiciaires s’en suivirent".

Les réfugiés expliquent que, "les survivants de ces violations graves des droits humains  et des ONG internationales des droits de l’homme ont établi une liste des auteurs de ce que celles-ci avaient, à l’époque,  qualifié de crimes contre l’humanité et d’épuration ethnique. C'est ce qui fait que le Général Zayed qui figure sur cette liste, ne doit pas être nommé au sein d'une organisation aussi importante. Que justice soit faite pour rétablir tous les réfugiés qui ont tous perdu leurs biens dans leur droit". Il faut signaler que durant ces années là, beaucoup de personnes avaient perdu la vie, laissant derrière elles des orphelins. Et les violences enregistrées à l'époque avaient fait plusieurs victimes, entraînant des déportés dont la majeure partie avait des nationalités mauritaniennes. 

Mamadou Touré

 

Kounoune Ngalap a refusé du monde ce samedi 18 septembre 2021. Dans cette localité, les populations, sous la direction du responsable politique de l'Alliance pour la République, Ousseynou Diallo, ont déroulé le tapis rouge au ministre des Collectivités territoriales et maire de Sangalkam. Une forte mobilisation qui matérialise leur soutien sans faille au coordonnateur départemental de la Coalition Benno Bokk Yakaar de Rufisque.

 

Le responsable politique de  l'Apr à Kounoune Ngalap a décidé de rejoindre le ministre en charge des Collectivités territoriales et maire de Sangalkam, pour une éclatante victoire de la Coalition Benno Bokk Yakaar au soir du 23 Janvier 2022. Pour ce faire, Ousseynou Diallo n'a pas lésiné sur les moyens pour mobiliser les populations de Kounoune Ngalap. Pour accueillir Oumar Guèye, jeunes, adultes, femmes et personnes du troisième âge, se sont donné rendez-vous devant le domicile du Chef de village. «À travers cette forte mobilisation, nous voulons démontrer que, désormais, nous sommes unis derrière le maire de Sangalkam. L'union fait la force. Et c'est ce qu'a toujours prôné le Président de la République», a déclaré Ousseynou Diallo. Pour le responsable de l'APR, cette union est importante, car les enjeux des prochaines élections territoriales dépassent même le niveau local. «Nous devons nous unir pour faire face à l'opposition. Et maintenant c'est fait ici à Sangalkam. Désormais, je vais accompagner le ministre Oumar Guèye pour la victoire de Bby dans la commune de Sangalkam. Et les autres communes du Sénégal doivent s'inspirer de Sangalkam pour une éclatante victoire du Président de la République dans toutes les communes du Sénégal» a-t-il dit. 

Ousseynou Diallo, responsable politique de l’APR  est un cadre de haut niveau. Sa décision de rejoindre le maire de Sangalkam, Oumar Guèye, est une étape importante pour la reconquête de la mairie de Sangalkam. L'acte est bien salué par le ministre en charge des Collectivités territoriales. «Je me réjouis  d'être ici à Kounoune Galam aux côtés de mon frère Ousseynou Diallo et de tous les responsables politiques de  Kounoune Ngalap. A partir d'aujourd'hui, nous sommes unis pour une large victoire de Bby au soir du 23 janvier 2022», a affirmé le coordonnateur départemental de Bby à Rufisque. Selon, Oumar Guèye, par ailleurs maire de Sangalkam, la victoire est assurée. «Nous n'avons aucun doute quant à notre victoire. Mais nous voulons réaliser un taux très important qui dépasse les 90% dans toute l'étendue de la commune de Sangalkam», a-t-il ajouté. Il poursuit, «Ousseynou Diallo, je te félicite pour cette décision importante qui va consolider le parti Apr et la coalition Bby à Kounoune Ngalap, tel que nous le demande le Président de la République Macky Sall». La rencontre a été l'occasion pour les intervenants de soulever quelques difficultés auxquelles la localité est confrontée comme le problème de l'accessibilité, de l'éclairage public, du manque d'eau, entre autres. Le maire de Sangalkam s'est engagé à trouver très rapidement des solutions à ces difficultés à travers des projets de l'État et des ressources de la municipalité.

Youssouf NDIONGUE

Ce week-end, à Dakar, les jeunes de la commune de Ndendory se sont rencontrés pour se prononcer sur la situation de leur localité. Une occasion également pour eux de choisir le Dr Bocar Mamadou Daff de la coalition Benno Bokk Yakkar comme leur candidat pour les prochaines élections locales de janvier 2022. Ce choix se justifie, selon le porte-parole  du jour Monsieur Mamadou Dia, par le fait que l’ancienne équipe municipale qui est là depuis sa création n’a jamais apporté, ne serait-ce qu’une lueur d’espoir aux populations de cette commune dont le sous-sol regorge d’énormes richesses notamment les phosphates. 

 

«Aujourd’hui plus qu’hier, nous, populations de la commune de Ndendory, sommes rongées par l’inquiétude, submergées par la déception et exaspérées par l’actuel maire qui est incapable de fournir des réponses aux problèmes présents et aux incertitudes d’avenir. Il existe aucun jeune, ni adulte dans la commune, capable de vous dire ce qu’il adviendra au lendemain. C’est pourquoi toute la population de l’intérieur comme de l’extérieur a décidé de faire confiance à l’expertise du DG Bocar Mamadou Daff pour le porter à la tête de mairie. Nous sommes résolument engagés à l’investir comme candidat à la mairie de Ndendory», a-t-il soutenu.

 

Selon lui, le Sieur Daff est la seule personne capable de bâtir la commune. Ainsi, ces jeunes appellent l’ensemble des responsables politiques de la région de Matam à accorder leur violon pour jouer la belle symphonie afin d’élire Dr Daff comme prochain maire de la commune de Ndendory.

  1. Touré

 

Il faut savoir raison garder. Un leader politique digne de ce nom doit être localisé, pour reprendre l'heureuse formule de feu maitre Mbaye Jacques Diop. Sous ce registre, les élections locales sont un baromètre où l'on apprécie l'ancrage des élites politiques dans leur zone, ce qui par ricochet est un critère d'évaluation et d'appréciation pour valider toute candidature dans la coalition Benno Bokk Yakaar.

Les états de service élogieux du ministre Abdoulaye Diouf Sarr lui permettent largement de composter son ticket pour les locales à Dakar. Abstraction faite de sa très bonne gestion de la CCR, monsieur Abdoulaye Diouf Sarr, proche des populations a toujours travaillé d'arrache pied pour la massification de l'APR à Dakar et au-delà. En plein contexte de pandémie, il n'a jamais baissé pavillon pour endiguer le covid-19 au Sénégal. Sa gestion de la covid force l'estime et le respect. Pour preuve, le Sénégal est logé dans le peloton de tête des pays qui ont tenu la draguée haute au covid-19.

Sa gestion orthodoxe du portefeuille de la santé ne laisse personne indifférent. Le recul au quotidien de la pandémie au Sénégal en est l'illustration la plus parfaite. L'argument de l'ancrage milite bel et bien en faveur du ministre Abdoulaye Diouf Sarr. Pour avoir gagné sa mairie, le ministre Abdoulaye Diouf Sarr est de facto le candidat de la coalition Benno Bokk Yakaar à Dakar. Sous ce registre, tous les candidats aériens ne feront que saper l'unité de Benno et créer des lignes de fractures à l'APR.

Fort du soutien des jeunes et des segments les plus importants de la population dakaroise, Abdoulaye Diouf Sarr sort naturellement du lot. Il serait illogique de vouloir torpiller la candidature d'un maire sortant. En définitive, pour le salut et le triomphe de la coalition Benno Bokk Yakaar à Dakar, il faut impérativement miser sur le choix du ministre de la santé et édile de Yoff, Abdoulaye Diouf Sarr.

L'actualité de ces derniers jours fait état d'une inculpation de deux acteurs, et pas des moindres de la scène publique, et membres du mouvement  "Y en a marre". Hier, les membres de ce mouvement ont tenté, à travers leur laborieuse conférence de presse, de nous faire croire à la théorie du complot. Peut-être qu’ils ne savent même pas encore la signification du mot complot !!! Pour comprendre ce qui se passe, il est important de se poser une question simple. Qui sont, en vérité, ces bonshommes? Quel serait leur métier où ils tireraient l'essentiel de leur revenu pour maintenir le niveau de vie qu'ils se sont imposé ?

Les étudiants de ma génération peuvent bien vous dire, qui sont-ils réellement. Cette bande de cartouchards, pour la plupart de la faculté des lettres, est la plus nulle de  notre génération. Jadis, le mouvement hip hop avait fini de prendre son envol au Sénégal, avec les  groupes comme Pee Froiss, avec les Xuman, Kool Kock 6 et autres Gee Bayss à Fass Delorme, le Daara-J avec Ndongo, Faada, Alaman, le Positive Black Soul (PBS) avec Didier Awadi et Doug E Tee qui, de leur talent et de leur savoir-faire, sans oublier leur savoir être, ont porté très haut la voix du peuple. Ainsi, ces derniers ont surtout permis au mouvement Hip Hop de gagner en ampleur mais aussi et surtout à exorciser les peines de millions de jeunes sénégalais qui se retrouvaient dans la bonne moralité et dans la conduite citoyen des Awadi et Cie. Autant dire que les instigateurs du mouvement hip hop sont devenus, in fine, le symbole séculaire d’une jeunesse de plus en consciente, consciencieuse et citoyenne…. 

*

Mais hélais à la face de ces symboliques révolutionnaires, apparut une race de vulgaires réactionnaires à la quête du gain et de l’appât facile dans Keur Gui la maison, l’insulte et l’insolence à la bouche. La suite est connue : tous les jeunes qui n’avaient pas tout à fait assimilé l’esprit et la philosophie du Hip Hop se sont autoproclamés Méga Star du rap sans même avoir le minimum requis dans la pratique musicale du Djing... Rien que ça d’ailleurs, car du Hard-Cord qu’ils se réclament, ils versent plutôt dans un flow médiocre qui ne rime en rien sinon qu’à des shows qui frisent l’aberration et l’inculture scénique. 

 

Rien d’étonnant car ils sont sortis de l’ambiance des trainards du campus universitaire adeptes de la marijuana, dans les chambres du pavillon A.  On se connait, hein !!!  Au lieu de remplir leur  devoir d'étudiants en fréquentant les amphis et les bibliothèques, cette bande de branleurs et de cagnards  dormait le jour et traînait la nuit. Les règles des franchises étant strictes, ils ont été exclus.  Ce rappel est utile pour comprendre la psychologie de ce groupuscule de réactionnaires aux idées nauséabondes contre toute innovation et progrès. Ils ont profilé leur attitude et comportement sur une vie de faite de raccourcis et de chantage. Depuis quand le Consulat est devenu ambulant ? Sinon en quoi, un trafiquant est-il défendable? Si oui que votre vrai visage soit mis à découvert. Alors les Sénégalais refusent et disent non à votre chantage permanent pour la préservation de votre popularité mal acquise et votre intégrité tricheuse.

 

 Alors comprenez que la justice restera l'institution phare de la République.  Il est évident qu'un malfaiteur ne voudra jamais de la loi et des juges. Les Sénégalais commencent à avoir marre de ces énergumènes  qui s'érigent  en censeurs de la vie publique  en prônant le «Nouveau Type de Sénégalais » alors qu’en vérité, vous êtes de «Nouveaux Type de Saï Saï». Crier au complot, les faits resteront aussi têtus que les VAR déjà intégrées dans les BIG DATA pour l’éternité. La République restera debout et fera face aux faux, aux fossoyeurs fuyant devant la force féroce de la loi et de la foi au Sénégal.

 

Niokhor Ndiour

 

 

Quand on cherche à plaire à quelqu'un, en essayant d'analyser une situation économique alors qu'on n'en dispose pas les bagages intellecguels, on se ridiculise au vu et au su de tout le monde. C'est ce qui est arrivé à Mame Gor Diazaka qui a  maladroitement tenté d'expliquer les résultats issus de l'enquête de l'Ansd. Pour Mamadou Moustapha Ndiaye,le leader de  M3M, ''ce piètre artiste reconverti politicien rase les murs tout simplement à la recherche de subsistance. Mais il ne surprend personne, car habitué à un célèbre restaurant du Plateau et les bureaux des honnêtes citoyens, et donc il ne peut que débiter des sottises. C'est perdre son temps même à vouloir le rectifier de ses mensonges fomentés pour plaire à des personnes tapies dans l'ombre. Et cela ne passera pas''.

 

Le néo politicien Mame Gor Diazaka s'est décrédibilisé de manière éhontée. Il avait toujours soutenu que Abdoulaye Daouda Diallo était le meilleur ministre que le Sénégal ait jamais connu. Et aujourd'hui, il cherche à lui faire porter les conséquences de la cherté de la vie. Une contradiction que personne ne peut comprendre et que Mamadou Moustapha Ndiaye qualifie d'un homme qui n'hésite pas à retourner sa veste quand on a pas ce qu'on veut. Pour le leader  de M3 M, '' cet homme est un maître chanteur né, il ne vit que de pressions et de lobbying sur les autorités. Mais cela ne passe pas avec Abdoulaye Daouda Diallo  dont le caractère intègre est partagé de tous.

 

 Il n'a jamais accepté et n'acceptera jamais de pressions venant de qui que ça soit. Donc ce n'est  pas ces considérations de ce petit type qui vont avoir de la signification à ses yeux''. Poursuivant ses diatribes' contre le musicien politicien, Mamadou Moustapha Ndiaye rappelle que tout ce qui compte pour Abdoulaye Daouda Diallo, c'est les appréciations positives du Président Macky Sall. Et de mettre en garde Mame Gor Diazaka:'' il faut arrêter de jouer au mercenariat politique en exercant des pressions sur les gens. Mais tu es mal barré puisque Abdoulaye Diallo garde dans son actif les meilleures performances économiques et ne fait l'objet d'aucun doute sur la qualité du travail qu'il fournit quotidiennement au chef de l'État''.

Cette ignorance dont Mame Gor fait montre est pire qu'une malhonnêteté pour quelqu'un qui est à la solde de leaders dépassés chez qui il a toujours rasé les couloirs de son bureau. Cette époque est révolue et l'ère Abdoulaye Daouda Diallo s'inscrit dans la rigueur et le sens du travail bien fait

 

Ce jeudi, plus d'une dizaine d'élus municipaux de la commune, qui se définissent comme des élus de principes et des valeurs de la Medina, ont annoncé leur soutien à la candidature de Cheikh Ahmed Tidiane Bâ pour les élections locales prochaines. Face à la presse, ils ont réaffirmé leur détermination à faire de celui que l’on surnomme Messi, le prochain édile de la ville centenaire en remplacement de l'actuel pensionnaire du mouvement Yewwi Askan Wi.

 

Ils se sont autoproclamés les élus de valeurs et des principes. Ils ont fini de constater une gestion catastrophique de la mairie et n'ont pas hésité à le faire savoir. Pire encore, ils ont dénoncé des pratiques nébuleuses dans la gestion de l'actuelle équipe municipale et les manquements y récurrents. En définitive, dans l'espoir de trouver une nouvelle équipe capable de diriger de façon réaliste, transparente et équitable l'institution municipale au profit de la communauté, ils ont vite trouvé la réponse chez celui qui présente un profil requis, avec des capacités intellectuelles et morales suffisantes, à savoir Cheikh Ahmet Tidiane Bâ qui n’a pour seul souci de faire de la Medina, une commune modèle.

 

‘’Candidat crédible et dynamique'' voient-ils chez le directeur de la CDC, celui sur qui ils comptent pour apporter les changements indispensables dans des domaines aussi cruciaux que l'éducation, l'environnement et les ressources, la santé et l'action sociale, la jeunesse, les sports et loisirs, la culture, la planification, l'aménagement du territoire. Pour toutes ces raisons, les élus de valeurs et de principes réclament Cheikh Bâ pour la conquête de la mairie. Pour ce faire, ils s'ouvrent à tous les partis politiques, les mouvements, la société civile et toutes les sensibilités locales.      

 

 

 

 

Le nouveau Directeur général de la société de transport public n’avait pas tort en parlant de Dakar Dem Dikk ‘’New look’’ depuis sa prise de fonction, il y a de cela un an jour pour jour (15 septembre 2020 – 15 septembre 2021). En effet, sous la présidence du Ministre de tutelle Mansour Faye, en présence de Oumar Boun Khatab Sylla, la société de transport a lancé les travaux de son nouveau siège dans l’enceinte du dépôt de Mermoz/Ouakam. Sans compter l’annonce faite de l’arrivée de mille quatre cent (1400) nouveaux bus dans les trois prochains mois. De quoi donner de l’espoir à un personnel qui, depuis deux ans que dure le Covid, fait face à un avenir incertain avec les nombreuses difficultés qui ont fini de mettre cette société sous perfusion

En effet, à travers une cérémonie de pose de la première pierre présidée par le ministre des infrastructures, des transports terrestres et du désenclavement, Mansour Faye, Dakar Dem Dikk a lancé les travaux d’un projet de siège moderne et monumental sur un terrain de 1000 m2. Ce nouvel édifice de cinq (5) niveaux va redonner un nouvel élan à la société dans les 12 mois à venir. De nombreux services sont prévus dans cet espace de gouvernance.

Ce projet d'une valeur de plus de 1.200.000.000 de FCFA, va améliorer le cadre de vie dans l’entreprise puisqu’il est programmé au niveau supérieur des espaces de convivialité comme des salles de sport, des restaurants, une mosquée etc.... Cet édifice va servir de lieu de gouvernance et de management pour la direction générale de Dakar Dem Dikk. Pour relever et soulager les maux de la société de transport, une étude de diagnostic est déjà menée dont les recommandations suggérées vont permettre non seulement la restructuration de Dakar Dem Dikk, mais également d’apporter des solutions surtout aux  problèmes logistiques et financiers.

Nonobstant les efforts déjà consentis pour maintenir le parc automobile de la société sous perfusion, Mansour Faye est pour une restructuration complète de la société. Considéré comme l’établissement du transport urbain, Dakar Dem Dikk a plus que jamais besoin d’une réorganisation structurelle, tel-est le soutien du ministre tutelle. Qui, malgré tout, annonce, à travers un programme, l’acquisition de 1.400 bus dans les 3 ou 4 mois à venir.

 

CMU
cmu