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Malal DIALLO Pithi

Malal DIALLO Pithi

Le directeur général de l’Agence de construction des bâtiments et édifices publics ACBEP, Hamady Dieng, a annoncé, ce jeudi à Dakar, que sur les 100 logements hérités par l’ACBEP, 75% ont été réalisés terminés et livrés. Il s’est dit ’’très satisfait’’ du travail abattu par l’ACBEP depuis sa création. C’était en marge de la célébration des dix ans de l’ACBEP au tour des thématiques, ACBEP dix ans, la place du bâtiment dans la relance économique Post-Covid19, le bioclimatisme et l’efficacité énergétique dans les édifices publics et les normes de construction des bâtiments.

« C’est dix ans de travail et de labeur, l’ACBEP a hérité d’un passif de l’actif de l’ancienne direction de construction du ministère de l’urbanisme. Aujourd’hui sur les 100 logements qu’on avait hérité, 75% ont été réalisés terminés et livrés. Parmi les 26 qui restent, il ya 13 qui ont été revus pour raison lié aux opportunités et aux priorités. Aujourd’hui nous sommes avec 13 autres nouveaux projets que nous devons terminer avant la fin de l’année 2023. C’est pour dire que c’est un bilan glorieux où je remercie tous les techniciens et les acteurs qui ont participé à la réalisation de ce fabuleux projet de l’État du Sénégal » a déclaré Hamady Dieng, directeur général de l’agence de construction des bâtiments et édifices publics

Pour lui, la construction est une dimension phénomènale dans le monde actuel. Cela abrite les usagers particulièrement les bâtiments publics. Ça doit être des bâtiments de qualité, qui tiennent compte du bioclimatisé, de la sécurité et intelligent. C’est un challenge pour tout ceux sont dans le bâtiment. Je pense pour pouvoir respecter ce challenge il faudrait que le cœur de métier de chacun soit respecté.

 Nous estimons que l’agence a été construite et créée pour régler un déficit dans le cadre de la construction. De ce point de vue aucune autre structure qui n’est pas habilité à construire n’a pas le droit surtout si il le fait sans l’accompagnement de l’agence, sans un accord avec l’Acbep qui est censé les aider à faire des bâtiments qui puissent être au service de nos concitoyens » conclu-t-il.

 

Prévu par le nouveau code de la presse, le Fonds d’appui et de développement de la presse (Fadp) offre une large fourchette de développement et d'innovation aux entreprises de presse. En effet, étant plus vaste avec son mode de financement, le Fonds d'appui et de développement de la presse prévoit le financement de projets de développement ou de modernisation des entreprises de presse. Il aura également pour mission d’appuyer la formation continue des journalistes et techniciens des médias et d’aider les entreprises de presse à consolider les emplois.

Ce mardi, au ministère de la culture et de la communication, le comité de gestion du FADP a été officiellement installé pour ainsi travailler à la mise en œuvre d'un certain nombre de dispositions pratiques. Il sera d'abord question pour les acteurs, d'un commun accord, de voir les modalités depuis la phase transitoire jusqu'à 2022, date de son exécution.

Il faut également rappeler que dans ce nouveau paradigme dans l'appui au secteur des médias, il sera question de créer des emplois avec des critères plus exigeants. Comme le soutient d'ailleurs le secrétaire général national du syndicat des professionnels de l'information et de la communication au Sénégal (Synpics), « Au-delà de l'aspect de modernisation et de développement des entreprises de presse, l'un des objectifs majeurs de ce fonds, c'est de soutenir la formation des jeunes, notamment, journalistes et techniciens des médias ».


Notons que cette année, en attendant l'effectivité de ce Fonds d'appui et de développement de la presse, c'est la traditionnelle aide à la presse qui sera maintenue avec une enveloppe de 700 millions de Francs CFA.

 

 

Il a été proposé dans le nouveau code électoral un dispositif pour que les maires soient désormais élus au suffrage direct. Mais pour cette nouveauté dans le corpus électoral, le leader de Manko Wattu Sénégal (MWS) est foncièrement contre et ne s’en cache pas. Il l’a fait savoir à l’occasion d’une activité politique tenue en banlieue ce mercredi. «Non seulement cette loi n’est pas adaptée à notre tradition de vote, mais elle risque de créer une mauvaise surprise dans la mouvance présidentielle dont je demande aux députés de faire des amendements pour son retrait pur et simple du circuit législatif», préconise Ousmane Faye

Pour le leader de MWS, «on ne peut pas réinventer la roue en matière de vote dans ce pays. Ce qui a toujours fait bonne école, c'est qu'on élisait démocratiquement le conseil municipal qui, à son tour, s’organisait pour choisir son maire. Cette tradition a toujours été le lit d’une entente cordiale entre pouvoir et opposition. Pourquoi alors se réveiller un beau jour pour vouloir changer, juste pour changer, ce qui a toujours été le fondement d’élection de nos maires ? », se demande Ousmane Faye. Selon lui, «les députés sont invités à mesurer le risque de se voir dans un suicide politique en adoptant cette loi qui ne repose sur aucune base juridique convaincante.

Surtout qu’il n’y a jamais eu de problème avec l’ancienne loi qui permettait au conseil municipal de choisir librement celui qui devra présider aux destinées de la commune. Donc, nous ne saurons cautionner une telle hérésie juridique dans le nouveau code électoral et j’en appelle solennellement la mouvance présidentielle pour prendre les devants face à cette dérive politique qui ne saurait les épargner».

 

 

 Le 28 juin et le 2 juillet 2021, le Directeur général des Impôts et Domaines, M. Bassirou Samba NIASSE et ses équipes, notamment les Directeurs et leurs adjoints, les Conseillers techniques et les chefs de Bureaux rattachés, étaient en atelier de sensibilisation sur les techniques de lutte contre le blanchiment des capitaux et le financement du terrorisme. Cette activité s’est déroulée en collaboration avec la Cellule Nationale de Traitement des informations Financières (Centif), avec l’appui du projet Réponse Ouest Africaine au Blanchiment d’argent et au financement du terrorisme. Il faut dire que c’est dans le cadre de ses missions de supervision et de contrôle que la Dgid a bénéficié de ces séances de formation sur la lutte contre le blanchiment des capitaux et le financement du terrorisme (LBC/FT)

Désignée par décret (n°2019-1500 du 18/09/2019) comme Autorité de supervision des experts comptables en matière de lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme (LBC-FT), la DGID a ainsi bénéficié d’un accompagnement technique qui vise, à terme, la mise en place d’un dispositif organisationnel. Ainsi, un ensemble de stratégies et d’approches permettront d’identifier et de contrôler les flux de capitaux, et le cas échéant, d’apporter le traitement légal idoine. Et en matière de LBC-FT, des obligations pèsent sur les superviseurs (la DGID) mais également sur les assujettis, à l’instar des experts comptables. Ainsi, le projet OCWAR-M propose également des formations pour ces acteurs.

En effet, les comptables et experts comptables peuvent être exposés, directement ou indirectement, au blanchiment des capitaux : qu’ils soient actifs dans le processus de blanchiment ou, plus vraisemblablement, qu’ils détiennent dans leurs portefeuilles des clients se livrant à des actes de blanchiment. Ainsi, une supervision rigoureuse de la profession en matière de LBC/FT est donc essentielle,  et passe nécessairement par l’interactivité  avec les différentes institutions financières et la mise en place d’un cadre juridique approprié pour un processus abouti. Au terme, cet atelier de sensibilisation, la DGID devra  mettre en place un schéma de contrôle de conformité et un dispositif de surveillance avec les différents intervenants pour faciliter la détection d’infractions et de déclencher la procédure qui sied.

 

Le président Macky Sall va contribuer pour 100 millions Cfa aux travaux de reconstruction de la mosquée Layenne de Yeumbeul. L'annonce a été faite ce samedi 3 juillet par le ministre Amadou Hott, lors de la cérémonie de lancement de la collecte de fonds, abritée par le hall de la mosquée.

Le ministre de l'Économie, du Plan et de la Coopération représenterait le Chef de l'État à l'événement, qui a vu la participation du porte-parole des Layennes Serigne Mouhamadou Lamine Laye, d'autres dignitaires religieux et des autorités locales, tels que les maires de Yeumbeul Sud et Yeumbeul Nord. Le ministre Hott a révélé l'importance que le Chef accorde au projet et à toutes les autres préoccupations de la communauté Layenne. Non sans préciser que sa contribution n'est que pour le début, afin que les travaux démarrent. Le geste a été hautement apprécié par le porte-parole qui, a demandé au ministre de dire toute la gratitude du Khalife Général au président Macky Sall.

Natif de la localité et fortement engagé pour tous les aspects relatifs à son développement, le ministre Amadou Hott a réitéré son engagement à accompagner le projet, afin que cette mosquée devienne le fleuron du département de Keur Massar. Outre sa contribution de 10 millions Cfa, le ministre Hott va associer des amis et relations à travers le monde. Il a d'ailleurs pris rendez-vous très prochainement pour une annonce dans ce sens. De nombreux autres donateurs se sont manifestés lors de cette cérémonie pour au finish permettre une bonne moisson. Les hommes d'affaires Demba Ka, Modou Mbene Diop, les maires Daouda Ndiaye, Bara Gaye se sont fait remarquer.

 

C’est un mouvement qui s’active depuis 2017 dans la lutte contre l’insalubrité, les déchets au niveau des plages, l’absence d’infrastructures sportives, bref contre la pauvreté à travers des programmes sociaux et économiques. Ce vendredi, le Président Cheikh Faye et ses camarades ont ficelé un programme social de nettoyage du cimetière Mbelelane de Yoff pour ce week-end, une activité qui s’inscrit en droite ligne avec les objectifs qu’ils se sont assignés. En promouvant leur cadre environnemental, le mouvement ‘’Reveil’ est appuyé par d’autres structures locales telles que ‘’Yoff Debout’’ et le collectif pour la défense des intérêts de Yoff ou le Tank qui réunit les jeunes des trois villages que sont Ngor Yoff et Ouakam.

Le mouvement Reveil travaille véritablement dans le développement, que ça soit dans le social ou dans d’autres volets comme le cadre écologique ou économique. « Et parfois, nous sommes carrément dans la sensibilisation par rapport au foncier qui nous préoccupe plus que tout. Mais aujourd’hui, nous avons estimé que notre milieu environnemental devait être assaini et rendu propre. Nous avons cette responsabilité nous jeunes parce que nous avons compris que notre engament citoyen doit être actif », se décident les membres de Reveil. Selon leur président Cheikh Faye, « à l’approche de l’hivernage, nous avons jugé que le cimetière Mbelelane doit être embelli, désherbé et mis aux conditions normales de salubrité. Ce qui entre dans le cadre de notre ligne qui est de venir en appui aux populations de manière générale dans les différents segments de la société ».

Selon Cheikh Faye, « cette opération a réuni les jeunes du mouvement et d’autres personnalités religieuses et coutumières qui ont donné leur aval et prié pour une réussite de cette journée ». A la fin, estiment-ils, les espaces seront aménagés. Mais, il s’est agi entre autres de ramasser les détritus en tous genres, et désherber en défrichant non seulement les allées, mais aussi les alentours des tombes, notamment les broussailles qui favorisent les tas de monticules. La majorité de nos cimetières se trouvent dans un piteux état, des tombes saccagées et défigurées, les allées envahies par les détritus. Le cimetière est un lieu de recueillement et de spiritualité ; nous devons respecter ces espaces et respecter nos morts que nous allons tôt ou tard rejoindre », soutient le Président de Reveil Cheikh Faye qui a adressé ses vifs remerciements aux structures locales telles que ‘’Yoff Debout’’ et le collectif pour la défense des intérêts de Yoff pour leur implication à la réussite de cette journée durant laquelle les membres du mouvement ont annoncé très prochainement l'ouverture d'ne caisse de solidarité communautaire afin de booster l'économie locale.  

 

 

Après le communiqué des services du Ministère des Finances pour apporter un démenti cinglant à la sortie de Abdoul Mbaye qui refuse d’admettre une augmentation du budget national de l’ordre de 1000 milliards, le leader de Manko Wattu Sénégal (MWS) considère lui que le Président de l’Alliance pour la Citoyenneté et le Travail (ACT) est un banquier qui a opéré dans le privé, et qui ignore tout d’un budget national. «Cet homme est un pur cancre qui ne connait rien du fonctionnement d’une administration et du montage d’un budget national. C’est le Président de la république qui l’a tiré vers le sommet, mais malheureusement, il nourrit aujourd’hui une haine lourde envers son ancien chef, ce qui lui vaut ses errements et ses sorties maladroites qui sont indignes d’un ancien Premier Ministre », dézingue Ousmane Faye qui n’a pas hésité à lui rappeler son passé sombre.

Les services de Abdoulaye Daouda Diallo ont élégamment apporté des réponses techniques qui ont convaincu d’une réelle augmentation du budget. « Après les lourds investissements et le travail acharné des autorités après le passage du Covid, force est de constater qu’on se dirige vers une embellie financière et budgétaire que les méchants ne peuvent digérer. Tout le monde a vu ces flux de financements des bailleurs vers le Sénégal qui témoignent de la confiance des partenaires et de la stabilité de notre économie. Mais quand on s’appelle Abdoul Mbaye et qu’on a de la pierre au cœur, on ne peut pas admettre les résultats brillants réussis par Macky Sal et son régime », dixit Ousmane Faye.

Pour le patron de MWS, «Abdoul Mbaye oublie que la gestion d’une banque privée est totalement différente d’une administration publique, car ces deux entités n’ont pas les mêmes objectifs, ni les mêmes prérogatives. C’est pour cela qu’il a été facile pour lui Abdoul Mbaye de dribbler l’opérateur économique Bocar Samba Dieye et flouer l’ex sénatrice Aida Ndiongue, pour après, déverser de gros mensonges sur la place publique pour se dédouaner. Un tel homme, quand il parle de budget national, passe à côté de son sujet et n’émeut personne, pace que tout le monde sait qu’il cherche à noircir le bilan reluisant du régime de Macky Sall qui laisse entrevoir des lendemains heureux, avec une augmentation du budget et d’autres signaux positifs ». Ousmane Faye rappelle qu’Abdoul Mbaye s’est toujours comporté ainsi, c'est-à-dire comme un traitre. « En fait, c’est comme il avait hérité de ce qualificatif, surtout quand on se rappelle des propos de l’ancien Président Abdou Diouf qui parlait du papa à Abdoul Mbaye en ces termes : ‘’Kéba Mbaye m’a poignardé dans le dos’’. Donc ne soyons pas surpris de ses agissements et faisons de sorte que ce rancunier de Abdou Mbaye ne soit jamais donné en référence à la jeunesse de ce pays », conseille le leader de MWS.

 

 

 

Une grande cérémonie-hommage au doyen Abdoulaye Diaw, reporter sportif de renommée internationale, se tient les 9 et 10 juillet prochains. En prélude à ces festivités, les préparatifs vont bon train, et certaines stars qui se réjouissent déjà de cette initiative, étalent toute leur satisfaction et leur désir de voir ces journées connaitre une grande réussite à la dimension du plus grand reporter sportif sénégalais. C’est le cas de l’ancien capitaine de Djaraf de Dakar et des Lions du Sénégal, Amadou Diop Boy Bandit qui soutient que «Laye Diaw, au regard des nombreux services qu’il a toujours rendus au football Sénégalais, est tout simplement un ojeador, c'est-à-dire un consultant et détecteur de talent pur».

C’est avec le cœur gros que Amadou Diop parle de Laye Diaw, tellement le doyen des reporters sportifs reste admirable à tout point de vue. «On lui doit tout, sincèrement, surtout nous de la génération des anciens de l'équipe nationale. J’ai toujours dit que, si aujourd’hui, on nous prend encore pour des références, Laye y a grandement contribué. Et jusqu'à présent, dans ses sorties, il fait allusion, en guise rappel et de reconnaissance, à des joueurs de talent tels que Mamadou Teuw, Thierno Youm, Mbaye Fall, Louis Camara, etc. Par conséquent, je valide l’idée selon laquelle on ne doit jamais attendre la disparition d’une icône comme lui pour parler de lui et de ses œuvres», consent l’ancien milieu de terrain du Djaraf de Dakar. Surnommé Boy Bandit, il se rappelle encore de l'hommage que le peuple sénégalais avait rendu à feu Jules François Bocandé, après son décès. «Ce jour là, Laye Diaw a fait verser beaucoup de larmes au public durant cette cérémonie présidée par le Président Macky Sall, tellement son reportage avait fini d’émouvoir tout le stade», se souvient l’ancien coéquipier de Moussa Diop Quénum dont on se rappelle encore le joli service par balle arrêtée à Bocandé qui inscrivait d’un joli coup de tête, le 3ème but du Sénégal suite à une faute commise par la défense Zimbabwéenne.

 Par conséquent, estime-t-il, «nous devons tous saluer le travail de ce grand reporter sportif qui a aussi promu le football féminin et le basket national. La force  de Laye Diaw réside dans le fait qu'il était footballeur pratiquant d’abord, et de ce fait, il pouvait transmette certaines solutions de par son vécu. Lors des excursions de l'équipe nationale, il arrivait que souvent en discussion à l'hôtel, Laye Diaw nous serve de ses clés qui pouvaient déterminer l'issue heureuse d'un match important. Par une simple action passée, il te rappelle le geste qu'il fallait faire. C'est une sorte de don qu'il possédait en dehors du reportage qu'il servait mielleusement aux auditeurs. Il a ce verbe facile qu'on lui connaît. Sa passion de reporter l'aura emporté sur ses qualités intrinsèques de footballeur au talent pur», se réjouit l’ancien métronome du Djaraf lors des derbies nocturnes JA- Djaraf des années 80. A l’endroit du comité d'initiative, Amadou Diop di qu'ils ont  eu le flair. «Parce que nous, en tant qu'anciens, qui devons tout à Laye Diaw pour son riche apport dans le sport Sénégalais, nous étions sur le point de lui dédier une journée, c'est-à-dire là-même chose que celles prévues les 9 et 10 juillet prochains. Une telle initiative devait d’abord venir de nous, mais on a accusé du retard pour passer à l'acte.

Quand même, on s'organisait en conséquence et l'Amicale des anciens internationaux toutes générations confondues dont Cheikh Seck, Roger Mendy, El hadji Malick Sy Souris, en discutait souvent pour voir comment rendre un hommage aux illustres disparus tels que Pape Bouba Diop, Mamadou Teuw, Yérim Diagne, etc. Et à la mi-temps, on avait pensé la réserver au doyen Laye Diaw par une décoration à travers une cérémonie digne de son rang et de son apport, parce qu’encore une fois, on doit fêter, de leur vivant, nos vaillants cracks». Pour terminer, Amadou Diop décerne un grand respect à Laye Diaw. «Je le salue au passage, en le remerciant de tout cœur. Mais je dois souligner que ces remerciements sont aussi ma grande famille, et de ma deuxième aussi qui vit à la Sicap Liberté, et que Laye lui-même connait. Donc avec les Thié Abou Ly qui le connaissent et qui prient pour lui, nos hommages sont féconds. Pour vous dire que Laye mérite plus que tout ce que les uns et les autres envisagent de faire pour lui. C'est un homme avec qui on a de longues histoires. Il incarne le respect et en tant qu'homme de paix, il est plus qu'un modèle de citoyen d'honneur.

 

La caserne du Général Mame Bounama Fall de l’École des officiers de la Gendarmerie Nationale a abrité, ce Jeudi 24 Juin, la cérémonie de remise d’épaulettes de sous sous-lieutenant à la 13ème promotion du cours de l’EOGN baptisée Promotion « lieutenant Patrick Bayandouka Sagna ». Une cérémonie présidée par le Ministre des Forces Armées, Me Sidiki Kaba et le Haut Commandant de la Gendarmerie et Directeur de la Justice Militaire, le Général Moussa Fall. Au total, 39 aspirants de 4 nationalités se sont vu remettre leurs épaulettes ce jour.

 Une fierté, selon le colonel Abdoulaye Diagne, Commandant d’Ecole qui n’a pas manqué de rappeler aux récipiendaires les principes de base du commandement. 

Le sous-lieutenant Madjimbi Diagne, major de ladite promotion, est également revenu en détail sur la structuration de la formation. « Le militaire incapable d’obéir n’est pas digne de commander » Les valeurs et l’identité du gendarme sont fortement rappelées aux aspirants qui représentent désormais le modèle de droit et de protection des citoyens.

 La Gendarmerie Nationale compte, à ce jour, dans ses rangs, la promotion du lieutenant Patrick Bayandouka Sagna.

 

 

Il est devenu incontournable dans le cercle des Vip et du monde du people, par ses séances de snapchatt. Quand le Président de la République lui-même l’apostrophe par son surnom, après l’avoir maintes fois invité à participer à ses tournées à l’international, Niang Kharagne, de son vrai nom Alioune Niang a fini de convaincre plus d’un sur le caractère transversal des métiers du digital. Comme quoi, on n’a plus besoin de faire de longues études en informatique pour se frayer un chemin dans ce domaine, et cela Niang Kharagne l’a démontré.

Snapchatteur de renommée, Niang Kharagne ou Alioune Niang de son vrai nom, connu à travers ses sorties et ses rapprochements avec des stars telles que Wally Seck, Youssou Ndour, le lutteur Modou Lo (de qui il a emprunté son surnom de Kharagne), révolutionne la communication digitale. Que ça soit des entreprises publiques ou privées ou même des virées avec des Vip, il a monté son entreprise et travaille avec les sommités du pays et de la diaspora. Pourtant, selon les informations tirées de personnes qui lui sont proches, c’est Wally Seck qui l’a révélé au public en 2016 lors d’un de ses concerts à Bercy. Depuis lors, Niang Kharagne s’est fait un nom, et mieux il s’est imposé dans des cercles influents du pouvoir et de la ‘’Jet set’, même sans un niveau d’études qui caractérise un intellectuel de haut niveau’.

On se rappelle récemment du député Moustapha Cissé Lo qui, en mission à Abuja, dans le cadre de ses activités comme parlementaire de la Cedeao, a embarqué Niang Kharagne pour faire partie du voyage dans la liste des journalistes accrédités pour couvrir une manifestation sous régionale. Quand les confrères ont eu échos de la participation du Snatchatteur, ils sont montés au créneau pour dézinguer le député apériste comme quoi, se demandaient-ils comment Cissé Lo pouvait-il se passer des grands noms de la presse et partir avec Niang Kharagne comme acteur dans la communication digitale, en mission à l’étranger ? La réponse du député et Président de la Commission de la Cedeao venait de rassurer les uns et les autres sur l’importance du travail de son protégé. «Il fait mieux que les journalistes auxquels vous faîtes allusion. Son travail est satisfaisant, et avec lui, ma communication est plus visible et moderne», le déchargeait-il.

Et pourtant rien ne prédisposait à cet ouvrier de formation au métier de communication digitale. De Menuisier ébéniste, Alioune Niang qui vit Parcelles Assainies a commencé à s’approcher du célèbre sportif Modou Lo, allant jusqu’à s’identifier à son nom de Kharagne, tellement il aimait s’identifier au lutteur qui, lors de ses grands combats, régalait avec ses techniques et acrobaties qu’il inventait devant des adversaires coriaces. Et depuis, le nom de Kharagne lui est collé et ne le quittera plus jamais. A partir de Bercy, Niang Kharagne commençait à se faire un nom, en s’installant dans des cercles influents et même présidentiels. Des outils d’. Des outils d’ébéniste qu’il état, Niang Kharagne est devenu un as de la communication digitale, un parcours qui inspire plus que les adeptes des réseaux sociaux.

Youssouf NDIONGUE

 

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