Malal DIALLO Pithi
10.000 emplois à Matam : Les partisans de Harouna Dia brûlent Abdou Karim Sall
La Cojer communale de Kanel est très remontée contre Abdou Karim Sall. Pour cause ! Sur la question des 65000 emplois à créer dont 10.000 alloués au MEDD, les protégés de Harouna Dia sont d’avis que «Karim Sall a passé outre les directives du président. La Cojer communale fustige ses agissements et appelle Macky à le rappeler à l'ordre». Comme réponse au Ministre qui est monté au créneau pour faire porter à Harouna Dia cette accusation, «il ne doit y avoir aucune excuse, allant jusqu’à accuser l’homme d’affaires qui a toujours soutenu le chef de l’Etat. Il ne peut être impliqué à une quelconque bassesse. Mais, c'est encore un autre scandale après celui des oryx», dénoncent Houdou Dia et ses camarades.
«Le Ministre de l’Environnement n’a pas suivi les directives données par le chef de l’Etat relative à la transparence, à l’équité», regrettent Houdou Boubou Dia et ses camarades de la Cojer communale de Kanel. Ils appellent, alors, le chef de l’Etat à le rappeler à l’ordre. Car, rappellent-ils, «lors du Conseil présidentiel sur l’emploi, le président de la République avait annoncé la création de 65.000 emplois dans l’immédiat dont 10.000 alloués au ministère de l’Environnement et du développement durable. La Cojer départementale, à sa grande surprise, a appris que le Ministre de tutelle en l’occurrence Monsieur Abdou Karim Sall a outrepassé les directives données par le chef de l’Etat relative à la transparence, à l’équité et à l’implication effective de tous le acteurs de tout bord en octroyant des quotas discriminatoires au niveau du département de Kanel par le biais de ses émissaires », fait constater la Cojer communale via son coordonnateur Houdou Boubou Dia. Selon lui, le ministre a tout faux en accusant Monsieur Harouna Dia d’être à l’origine de l’interpellation du conseil communal de la jeunesse d’Orkadiéré. Une accusation que ces jeunes déplorent jusqu’à la dernière énergie. «Harouna Dia a toujours été un collaborateur fidèle et a toujours soutenu le président de la république. Il continue à s’inscrire dans ses directives et n’est ni de prés ni de loin impliqué dans cette affaire de recrutement d’emplois», proteste la Cojer de la commune de Kanel.
HAROUNA DIA / ABDOU KARIM SALL SUR L’AFFAIRE DES 10.000 EMPLOIS: La Cojer départementale de Kanel s’insurge et déclare ‘’persona non grata’’ au milliardaire
Il était attendu sur le front social en ébullition depuis l’avènement de la Covid 19, mais, le milliardaire Harouna Dia se distingue sur un autre plan, celui-là que personne ne lui connaissait auparavant. Du moins, selon la Cojer départementale de Kanel, «nous attendons toujours de voir son apport personnel dans les réalisations de la région de Matam dont le frère revendique la paternité de tous les projets de l’État dans le département de Kanel», réagissent ainsi Matham Ba, Samba Boubou Diop, Sidiki Daff. Ces derniers étaient ce dimanche en conférence de presse de réplique au camp de Houdou Boubou Dia, qui a été le premier à tirer sur Abdou Karim Sall pour avoir, selon lui et ses camarades, mal procédé dans la répartition des 10.000 emplois verts promis par les autorités aux jeunes. Pour cela, Harouna Dia est simplement déclaré persona non grata par les protégés de Abdou Karim Sall.
La réplique de la Cojer départementale de Kanel devant les propos des jeunes de Harouna Dia n’aura pas tardé, et de quelle manière ! Pour Diagana et ses camarades, «il est temps de dévoiler les manœuvres de Harouna Dia dont on prête des ambitions de candidat au poste de président de la République. Pour cela, il n’hésite pas à tirer sur les véritables leaders comme Abdou Karim Sall, mais c’est peine perdue. Il rencontrera sur son chemin des jeunes aussi motivés pour la cause du Ministre de l’Environnement qui travaille exclusivement pour la réalisation des objectifs du Président Macky Sall», se défend Matham Ba qui continue d’accuser le milliardaire : «Êtes-vous toujours du côté du président Macky Sall ou êtes-vous dans vos projets irréalistes de devenir président de la République du Sénégal ? Nous sommes au courant de vos manœuvres mesquines en direction de 2024».
Intégration des marchands ambulants à la chambre de commerce: Le Président Abdoulaye Sow adoubé par les acteurs du secteur informel
La situation des marchands ambulants et des travailleurs du secteur informel, de manière générale, est en train d’être véritablement prise en charge. Longtemps laissés à eux-mêmes, il aura fallu l’avènement de Abdoulaye Sow comme Président de la Chambre de Commerce pour assister à leur intégration à la Chambre consulaire. Mieux, explique Alioune Samb, le président du Collectif des marchands ambulants et des travailleurs du secteur informel, «il y a un travail de formalisation qui est en train d’être fait pour les acteurs du secteur informel que nous sommes. Désormais, plus rien ne sera comme avant, et c’est le fruit du travail du Président Abdoulaye Sow que nous félicitons».
Dès son accession à la Chambre consulaire, le Président de la Chambre de Commerce avait entrepris de profondes réformes pour mener à bien sa mission. Il avait, de ce fait, tracé dans sa feuille de route, l’implication de tous les acteurs du secteur privé et du secteur informel pour un travail inclusif. Aujourd’hui, c’est chose faite, et les marchands ambulants se félicitent d’être associés et considérés comme partenaires privilégiés avec les réformes courageuses entreprises au niveau de la Chambre. «Ce qui est important pour nous, c’est de fédérer tous les acteurs du secteur privé, il y a des anciens qui peuvent nous aider en ce sens. Actuellement nous avons de l’espoir, nous avions parlé de réformes. Des projets sont entamés depuis longtemps, mais le plus important, c’est de discuter de nos difficultés pour trouver des solutions, en vue de pouvoir les présenter aux autres. Ce qui pourrait permettre d’avoir un document consensuel à présenter à l’administration. Lequel serait apte à lister les préoccupations et propositions du secteur privé national et du secteur informel», avait indiqué Abdoulaye Sow.
Selon lui, «avec les marchands ambulants, nous avons discuté comment faire pour les organiser et faire de sorte d’éviter ces flux de migrations irrégulières vers l’Europe. Il y a donc beaucoup de choses dont on devait discuter avec eux, c'est donc normal d’essayer de voir comment faire pour enfin parler d’une seule voix». Pour Alioune Samb, Makhoudia Ngom, et leurs autres camarades, «nous remercions le Président Abdoulaye Sow qui est en train de matérialiser ainsi la vision du chef de l’Etat basée sur la promotion de l’emploi des jeunes. Pour cela, en décidant de formaliser les acteurs du secteur informel, un grand pas est franchi pour permettre aux jeunes de se familiariser avec les outils mis en place par l’Etat du Sénégal dans le cadre de l’accès aux financements».
Locales 2022 à Mbane : Le candidat de AG Jotna ‘’efface’’ le maire Dembel Dembaro Sow et se positionne
Les prochaines échéances électorales seront âprement disputées dans la commune de Mbane (département de Dagana, région de Saint-Louis, au nord du Sénégal), avec, l’avènement de candidats sérieux, aux grandes ambitions. Parmi eux, le coordonnateur de AG Jotna, Boubacar Fall se distingue d’une forte manière, avec des sorties qui ne laissent aucune chance à l’actuelle équipe municipale. «Nous nous attendons, pour les élections locales de 2022, à une alternance générationnelle d’hommes et de femmes pouvant prendre en charge les destinées de cette belle commune qui est en train de mourir de sa belle mort. Nous sommes au regret de dire que le maire Dembel Sow a fini de démontrer, aux Mbanois et au monde entier, son absence de vision, son manque d'initiative et son incapacité à innover. En d'autres termes, il est là sans être là! L’heure a sonné pour qu’il cède le fauteuil à un candidat plus jeune et plus compétent», s’installe Boubacar Fall.
Dans son lourd réquisitoire dressé contre l’actuelle équipe municipale, le candidat de AG Jotna ne laisse aucun secteur d’activités. «L’absence de réalisations fonctionnelles au sein de la commune et d’infrastructures ne plaident pas en faveur d’un quelconque développement. Tant qu’ils seront là, pas grand-chose ne pourra booster notre économie locale», fait-il constater. Dans le domaine des infrastructures routières, « le constat est tout aussi accablant : l’axe Richard-Toll-Mbane-Diaglé etc.... peine à être désenclavé, car, porté jusque-là par une vision réduite et enclavée », tire Boubacar Fall, pour qui, «ce qu'il faut à notre commune, c'est une vision pragmatique et un projet réaliste.
Il nous faut des fils et des filles de Mbane à la mairie et au Conseil départemental qui se battent tous les jours avec compétences et volontarisme pour que les jeunes retrouvent le plein emploi» Poursuivant, le coordonnateur de AG Jotna explique : «Nous avons besoin, aujourd’hui, de créer un cadre propice pour éviter que les récoltes de nos parents cultivateurs ne pourrissent ou ne deviennent des invendus. Il en est de même de la transformation et de la commercialisation de nos produits agricoles. Que dire alors de la santé, de l'accès à un habitat décent, et bien d’autres dont les populations de Mbane sont en droit d’attendre ? Mais, comme le Ps, le Pds, et l’Apr ont montré leur échec pour avoir conduit Mbane dans une voie de garage, sans perspectives prometteuses, par manque d’idées pertinentes, les populations se voient désormais contraintes de s’attendre à une alternance de leaders plus crédibles, qui disposent d’une vision pragmatique et de projets réalistes et réalisables ». Sous couvert de son mouvement ‘’Le Grand Mbane’’, Boubacar Fall veut les choses en grand. «J’envisage de bâtir une commune nouvelle, dynamique et inclusive », se projette-il.
Communalisation des 5 villages de Bambilor : Oumar Gueye lâché par son ancien chef de cabinet qui se range du côté des populations
Keur Ndiaye Lo, Kounoune, Galam, Keur Daouda Sarr, Cité des Enseignants, sont les cinq villages de la commune de Bambilor qui devront compter, pour ce qui est de leur communalisation, sur le soutien indéfectible de Abdoul Aziz Seck, ancien chef de Cabinet du Ministre des Collectivités Territoriales, Oumar Gueye. Très remonté contre le rejet de ce projet de communalisation, et l’initiative prise pour les rattacher à une autre collectivité, le responsable politique membre de la CCR remue ciel et terre pour que ce découpage n’aboutisse, quid à se séparer de son mentor le maire de Sangalkam, pour être du côté des populations.
Invité à une émission de la TFM, Abdoul Aziz Seck a démontré le bien fondé de sa démarche, et aujourd’hui, il subit les assauts de la part de quelques membres de l’entourage proche du Ministre pour sa position affirmée. Et pourtant, depuis le début, Abdoul Aziz Seck a été cohérent : « je suis pour le découpage, mais pas pour qu’on rattache ces villages à Sangalkam », clarifie-t-il.
« Je veux qu’on quitte Bambilor pour avoir notre propre commune, c’est ça l’enjeu et il faut que les gens le sachent. En effet, depuis 2013, je milite dans le collectif qui a été mis en place pour ériger ces 5 villages en commune de plein exercice. C’est cela qui guide le bien fondé de notre démarche. Comme quoi, ce projet de communalisation nous a toujours préoccupé et nous importera plus que tout autre projet qu’on nous assimile ».
Fermeture du robinet de l’ecole 21 de la commune de Djiddah Thiaroye Kao : Hamidou NDAO paie la facture et rétablit l’eau
Privée d’eau pour non-paiement de leurs factures, l’école primaire Médina Gounass 1 plus connue sous le nom de "Ecole 21," retrouve le liquide précieux grâce à un digne fils de la commune, *Hamidou NDAO*, responsable APR et membre de la CCR pour ne pas le nommer.
En effet, ce dernier sensible à la situation de cet établissement d 'excellence, de par ses résultats, s'est substitué à la mairie qui a failli à son engagement de gérer cette charge après plusieurs relances. Le Directeur de l'établissement au nom de ses collègues a remercié le bienfaiteur,.
Amadou Sall, responsable politique à Rufisque, sur le découpage administratif : « Ndiagne Diop doit se taire, il n’a rien fait pour les 5 villages de Bambilor »
« Quand le Ministre Oumar Gueye vivait le découpage, pendant 10 ans, sans piper mot, personne ne trouvait à dire. Maintenant que le Président Sall tient à respecter ses engagements en rétablissant la commune de Sangalcam en la rattachant des 5 villages que sont kounoune, keur Ndiaye Lo, keur Daouda Sarr, Galam, et la Cité des enseignants de kounoune, des personnes se sont levées pour ameuter le monde. Mais c’est le maire de Bambilor qui me surprend le plus, car, j’estime qu’il n’a rien à dire. Allez demander aux populations ce que Ndiagne Diop a fait dans ces villages, absolument rien du tout ». Ces propos sont de Amadou Sall, Président du Mouvement ‘’Taxawu Sama Gox ‘’, qui a tenu à se prononcer sur l’actualité qui fait beaucoup de bruit, en ce moment, dans le département de Rufisque.
En tant qu’agent de l’ADIE, à la DLM dans le secteur de l’énergie, Amadou Sall fait savoir qu’il encourage la mise en œuvre de ce projet de redécoupage qui, en fait, ne vise qu’à restaurer Sangalcam. Ce qui fait ce grand tintamarre, c’est que la commune dirigée par Ndiagne Diop est délestée de cinq villages, mais, pour Amadou Sall, «il faut s’en féliciter. Le nouveau découpage ne fait que corriger des déséquilibres et des incohérences territoriales nées il y a dix ans ».
Le leader du mouvement ‘’Taxawu Sama Gox ‘’, renchérit : « La modification de la carte administrative de la région de Dakar va faire de Keur Massar le cinquième département de ladite entité territoriale, désengorger l’arrondissement de Bambilor qui couvre la plus large superficie de la région et résoudre la lancinante équation des limites entre les communes de Yenne et de Diamniadio ». Et donc, même si ce projet présidentiel fait grincer des dents jusque dans le parti politique de Macky Sall, l’APR, « ce projet de découpage, tout le monde l’attendait. Mais, malheureusement, il vient de tomber et contre la volonté de certains qui n’ont eu, durant leur mandature, à se tourner les pouces, alors qu’il est mené, juste dans une logique de rapprocher davantage l’administration des administrés, et de garantir le principe de la proximité. En effet, il a été décidé de corriger certaines incohérences spatiales », termine Amadou Sall
DALIFORT REVERSEE DANS DAKAR : «Un retour à une tradition abandonnée», selon l’ancien adjoint au maire Alioune Sy
Le nouveau découpage administratif charrie encore des vagues d’indignations dans les rangs de l’opposition. Le conseiller municipal, Alioune Sy, connu aux côtés d’Abdoul Mbaye, accuse et s’interroge sur les desseins de ce nouveau dessin territorial. Selon lui, le reversement de la commune que dirigeait le défunt Idrissa Diallo laisse place à des interrogations qui ont toutes des soubassements politiciens, alors qu’il devait se faire simplement dans le cadre d’un retour à une tradition abandonnée.
«L’information du reversement de la commune de Dalifort dans la commune de Dakar, après avoir été rattachée, depuis sa création, dans le département de Pikine, fait encore tilt. Pour l’histoire, pendant plus de 10 ans, nous avions lutté, avec l’ensemble des couches de la population, jeunes et vieux, imams et délègues de quartier, tous mus par le seul intérêt citoyen et faisant fi de leurs couleurs politiques. Malheureusement, pour des raisons politico-politiciennes, une fin de non-recevoir nous a toujours été servie. Car, simplement, l’équipe municipale était dans l’opposition. Pourtant outre l’adhésion de la population, des techniciens de la décentralisation et des urbanistes avaient été associés à notre démarche pour donner le maximum d’objectivité à nos vœux», retrace le conseiller municipal. Selon Alioune Sy, «il ne s’agissait pourtant que d’un retour à une tradition abandonnée, car Dali fort a appartenu au département de Dakar avec sa sœur jumelle Hann Yarakh».
«Mais alors, quels faits nouveaux peuvent motiver cette décision de remettre Dalifort foirail dans le Département de Dakar? Est ce parce que la mairie a changé de mains, passant de l’opposition à la majorite? Est-il prévu une récompense à un politicien? Que se cache-t-il derrière ce cadeau?» Autant d’interogations qui font dire à Alioune Sy que «les habitants de Dalifort ne demandent pourtant rien d’autre, si ce n’est d’être consultés et entendus dans l’objectif de la meilleure prise en charge possible de leurs préoccupations». A cet effet, solutionne-t-il, deux options se dégagent, à savoir, reconstituer le vrai Dali fort, avec non seulement son foirail (d’où le nom de la commune Dalifort – foirail), mais avec l’adjonction logique de ses environs immédiats : foirail – Seras, Sogas – Parc lambaye – Marché central au poisson qui se trouvent en plein cœur de de la commune». L’autre piste, selon Alioune Sy, «c’est de rejoindre Dakar et retrouver les moyens dont on l’avait privée, parce que sa population avait choisi un maire de l’opposition. Quoi qu’il arrive, Dalifort n’acceptera pas d’être manipulée. La population souveraine fera face, car la commune s’est faite toute seule, parvenant contre la volonté répressive de la majorité au pouvoir de réaliser toutes ses infrastructures».
Panel de restitution de la Cojer à Tamba et sortie de Sonko : Mareme Tabane brûle le leader de Pastef et décerne des satisfécits à ses responsables
A la suite du conseil présidentiel sur l'insertion et l'emploi des jeunes du 22 avril 2021 au CICAD, la COJER a initié des panels de restitution des pertinentes conclusions issues dudit conseil au niveau des différentes régions du Sénégal. A l'étape de Tambacounda, un petits détail a fait sortir Ousmane Sonko pour faire des railleries à la Cojer. Mais pour Mareme Tabane, ''ce monsieur n'a aucun conseil à donner à qui que ce soit. Il a un dossier très chaud qui devait le préoccuper plus que ce que font les vertueux membres de la Cojer qui n'ont pour souci que d'offrir des emplois à la jeunesse et les sortir des difficultés
La région de Tamba a donc accueilli ce premier panel décentralisé dans la concorde et la convivialité. Pour la responsable politique membre de la Cojer, Mareme Tabane, ''il y a lieu de féliciter les délégations des quatre départements, notamment Koumpentoum, Goudiry, Bakek et Tamba pour leur mobilisation d'abord et pour leur brillante participation à ce panel. Mais je me réjouis du travail mené par l'infatigable coordonnateur Moussa Sow qui a parfaitement bien coaché. Il faut aussi noter la prestance de Me Sidiki kaba à qui nous donnons une mention spéciale pour l'hospitalité, le Ndogou offert aux différentes délégations. Mes remerciements vont aussi à l'endroit de tous les responsables de la région de Tamba''
Réagissant aux propos de Sonko, Mareme Tabane opte pour le descendre tout simplement. '' Avec ce qui vient de se passer au Sénégal au mois de mars, ce monsieur sweet beauty ne doit pas être amnésique à ce point. N'a-t-il pas un cas à éplucher plutôt que de se permettre de nous faire des railleries ? Vraiment, Sonko amoul jom'', finit la responsable de Dieuppeul Derklé
Date des prochaines élections territoriales connue: Malal Diallo Pith donne RV le 5 juin pour une importante déclaration
Il attendait ce décret avec impatience, et voilà que la date des élections territoriales est donnée par le Ministère de l'intérieur que le conseiller municipal à la commune de Djeddah Thiaroye Kao annonce les hostilités. Ce sera à travers une importante déclaration dans sa localité le 5 juin qui coïncide avec la célébration de la journée mondiale de l'environnement. A cette occasion, Malal Diallo Pith offrira des matériels tels que des brouettes, des pelles, râteaux afin de pouvoir apporter une salubrité publique dans la commune