Malal DIALLO Pithi
Octroi de treize motopompes à des groupements féminins : M. Moise Sarr au chevet des femmes du Sine
Le secrétaire d'état en charge des sénégalais de l'extérieur célèbre utilement la femme en cette quinzaine qui leur est dédiée rurale. Considéré par les siens comme l'espoir du Sine, Moise Sarr a, en effet, octroyé ce samedi 13 mars 2021 treize motopompes à des groupements féminins travaillant dans le jardinage et le maraîchage et un moulin à mil aux femmes de Kobosikil.
Cet acte de haute portée rentre dans le cadre de l'autonomisation de la femme et l'allègement des travaux domestiques des femmes du monde rural. Selon lui, il compte rester toujours dans la dynamique tracée par le chef de l'Etat Macky Sall qui travaille à doter à toutes les femmes du matériel moderne pour mener à bien leurs activités économiques et s’insérer en même temps dans un monde meilleur.
Ces actions ont été très bien appréciées par les femmes et toute la population de la commune de Diarrère qui ont encore renouvelé leur soutien sans faille à leur digne fils monsieur le secrétaire d'état Moise Diégane Sarr, un jeune patriote toujours engagé aux côtés Président de la République pour un Sénégal émergent. Suite aux derniers évènements malheureux subis par notre pays récemment, M. le ministre lance un appel à toute la population sénégalaise au calme et à la retenue.
Enseignements tirés des chaudes manifestations : «Il convient de faire bloc autour de Macky», selon Abdoul Aziz Seck et Matar Ndoye, responsables APR Département Rufisque
C’est une alerte adressée au chef de l’Etat et signée par deux grands responsables de l’APR Rufisque : il s’agit de Abdoul Aziz Seck, membre de la CCR dudit département et Matar Ndoye, membre de la coordination départementale. «Il y a lieu, au lendemain des manifestations qui ont eu cours dans le pays, de tirer les principaux enseignements face à la vague de réactions émaillées d’incidents, de saccages, de pillages etc. En conférence de presse dans le département de Rufisque, ces responsables de la mouvance présidentielle se félicitent d’abord du fait que le chef de l’Etat ait décrypté le message des jeunes, avant d’imputer la responsabilité aux membres de l’APR et de la coalition Bby face à ce qu’on appelle la grogne populaire. Voici leur déclaration en entier.
«Tout d’abord, nous nous inclinons devant la mémoire de toutes les personnes qui ont péri suite aux évènements douloureux que nous avons vécus. Le contexte est lourd et trop chargé. Notre cher Sénégal vient d'être secoué par une vague d'émeutes et de manifestations d'une rare violence qui ont presque projeté le pays au bord du chaos. La ligne rouge a failli être franchie et le Sénégal a longtemps retenu son souffle. Sous ce registre, le président de la République Son Excellence Monsieur Macky Sall avec toute la sérénité qui le caractérise a su décrypter le message en étant réceptif à la foi à la plainte des manifestants et celles de nos régulateurs sociaux, c’est-à-dire nos marabouts et le clergé».
«Nous saluons les appels au calme de notre président de la République qui compte garder le cap de la pacification. Notre coalition sérieusement atteinte par les événements douloureux du moment a marqué le pas et n'est pas allée au charbon au moment où les manifestants dictaient leur loi, tandis que les leaders de l'opposition et une partie de la société civile étaient en roue libre et tenaient le haut du pavé dans les débats radio télévisés comme dans les réseaux sociaux. Pendant ce temps, ils étaient nombreux ces ministres, députés, maires et autres cadres qui ont déserté et flanché en faisant le profil bas».
«Ce vide qu'ils ont crée a été très préjudiciable à notre coalition. Pourquoi une telle reculade ? Nous dénonçons et condamnons cette posture. Nous sommes redevables au président de la République, nous avons le devoir de conforter notre majorité en temps de crise. Ne mettons pas de gants. La crise s'est installée. Au lieu de travailler à y remédier, les pontes du régime se sont débinés en effritant nos rangs. Il urge de rappeler que ces responsables investis et dotés de nomination honorable sont aujourd'hui dans une tour d'ivoire. A défaut de mouiller le maillot, ils font ombrage à la jeunesse engagée et debout derrière le président Macky Sall. La logique voudrait qu'ils assistent cette jeunesse et travaillent à la caser. Ils sont tous redevables au chef de l’Etat».
«C'est un impératif pour cette flopée de privilégiés d'adopter une démarche de synergie. Autrement dit, les jeunes du parti devraient être impliqués à fond dans une démarche de synergie. Encore une fois le président Macky Sall ne mérite pas une telle posture. Conscient de l'absence de résilience de nos leaders politiques face à une telle situation, nous avons choisi d'initier un vaste rassemblement autour du président de la République pour reprendre en main le destin de notre coalition sur la base d'un engagement sincère et désintéressé. Ceci justifie amplement notre rencontre ici à Keury Kao pour peaufiner une stratégie pouvant nous permettre de palier la faiblesse de nos leaders et de resserrer les rangs pour tenir et faire face, histoire d'éviter que le rapport de force ne change de camp dans ce contexte si tendu qui semble donner à l’opposition un état de grâce».
FORTE REACTION DE GROUPEMENTS DE JEUNES DE LA BANLIEUE ; La démission de Néné Fatoumata Tall exigée sans délai
La Génération des Forces Citoyennes (GFC), entité dynamique évoluant dans la banlieue dakaroise a vu nécessaire de s’allier avec ‘’Guédiawaye and Gesem’’ et ‘’Actions 2024’’, des structures de jeunes nées d’une révolte populaire à la suite des fortes manifestations ces derniers jours. Mais, dans le cadre de leur plan d’action concocté lors d’une réunion, ces jeunes révolutionnaires ont pour seul et unique mot d’ordre : la démission sans délai du Ministre de la Jeunesse qui a lamentablement échoué.
Le Président de la république avait annoncé, la mort dans l’âme, qu'il avait compris le message des jeunes qui se sont vigoureusement fait entendre lors des récents événements. Pour montrer leur disponibilité et leur ouverture par rapport à la proposition du chef de l’Etat de les accompagner avec la mise en place d’un programme de 300 milliards, Pape Cheikh Seck, le leader de GFC et ses camarades posent une sorte de préalable : « Nous lui demandons d’abord, de destituer sans délai le Ministre de la Jeunesse Nene Fatoumata Tall pour que nous puissions croire à son offre ». En effet, selon ces banlieusards, « le problème des jeunes s‘est accentué depuis sa nomination à la tête du Ministère de la Jeunesse, promotion acquise suite à la bénédiction de son protégé Aliou Sall, présumé complice dans l'affaire Petrotim. Et donc, en plus de Néné F. Tall, un autre Ministre doit céder la place pour avoir lamentablement échoué : c’est celui de l'Emploi. « C’est également une exigence des jeunes et non une demande », précise Pape Cheikh. Qui insiste pour la mise en pratique de cette condition : « le Président est averti de toute conséquence résultant de l'omission de cette exigence des jeunes, et particulièrement ceux de Guédiawaye qui se sentent trahis et déçus par leur propre sœur et Ministre Néné F. Tall et leur maire Aliou Sall ». Pour le moment, le combat continue et désormais, « ce sera œil pour œil avec Aliou Sall, Nene Tall et Racine Talla qui ont trahi la confiance des populations profondément mises sur le tapis ». Donc, la révolte ne va pas s’estomper malgré le calme revenu depuis hier, et elle risque ne pas se terminer sans le règlement de comptes au niveau local.
Le Ministre Thierno Lo sur le discours de Macky : « Nous saluons la hauteur et le dépassement dont a fait montre le chef de l’Etat »
Le Chef de l'État, Son Excellence Macky Sall, s’est adressé à la nation ce lundi 8 Mars. Analysant le discours du Président de la République, tant dans la forme, dans le ton que dans le fond, l'APD et la Coalition ADIANA saluent la hauteur prise par le premier des sénégalais en tant que fils de la nation qui a fait preuve d’une grande compréhension et d’ouverture d’esprit, tout en apportant les solutions attendues par tout un peuple.
« Je vous ai compris ! Donc je vous ai entendu Gronder votre colère et je vous ai compris. À moi de vous répondre, non en PÉRE DE LA NATION, mais EN FILS DE LA NATION. Je comprends votre colère et, en toute humilité, je ne me dédouane pas en fustigeant votre comportement. Je sais votre colère légitime et je réponds par des ACTES CONCRETS. Pour soulager autant que possible votre mal vivre, immédiatement, j'allège LE COUVRE FEU. Allant plus loin, je vais procéder à une réorientation budgétaire pour être plus près de vos préoccupations quotidiennes. Je vais me mettre auprès des familles en deuil et être au chevet des blessés. Tous, ensemble, nous allons reconstruire les infrastructures démolies par "notre colère destructrice". Cela a un coût que nous allons supporter malgré le marasme économique mondial. Je vous remercie de m'accompagner à MIEUX VOUS SERVIR dans la Paix et le respect de nos institutions. Faisant allusion aux attentes pour une justice équitable, le Président de la République, sans faire dans la démagogie, dira que celle-ci FERA SON DEVOIR. Hommage aux Forces de Défense et de Sécurité qui nous ont évité le chao. Vive le Sénégal qui a su puiser dans ses valeurs pour éviter le pire ».
Voilà en substance la compréhension de l'APD, partie prenante de BBY. Nous sommes fiers de nous engager et de l'assumer. Par ailleurs, durant tout le déroulement de ces événements, L’APD et la coalition ADIANA, par son Président, Monsieur Le Ministre Thierno LO, a pris son bâton de pèlerin pour faire œuvre de bons offices auprès des chefs religieux de toutes religions et obédiences. Toutes leurs prières sont exaucées, toute notre gratitude et la reconnaissance de toute la Nation.
Situation nationale tendue : Les femmes ‘’Taxawu jiggën ci Deug’’ en appellent à plus de sérénité
Les événements douloureux qui ont secoué le pays, suite à des manifestations préoccupent les femmes de ‘’Taxawu jiggën ci Deug’’. Sous la houlette de l’honorable député Marie Thérèse Aïda Seck PAYE, ces braves dames montent au créneau et demandent, à travers un communiqué rendu public, l’arrêt des hostilités pour un retour durable de la stabilité sociale et la cohésion nationale pour une paix définitive, gage d’une relance possible de l’économie nationale, fortement ralentie par la Covid.
La journée internationale du 8 Mars qui leur est dédiée a été saisie par les femmes de ‘’Taxawu jiggën ci Deug’’ pour user de leur rôle prépondérant dans tous les domaines de la vie sociale, économique, culturelle et politique. En effet, les camarades de l’honorable député Marie Thérèse Aida Seck PAYE exhortent les femmes à consolider les acquis déjà capitalisés sur les questions de genre dans les processus légaux et politiques.
Sous la thématique de ‘’Leadership féminin pour un futur égalitaire dans le monde face à la COVID-19’’, et au regard du contexte socio-économique et politique caractérisé par des violences perpétrées sur des personnes physiques et des scènes de saccages de biens publics et privés, les femmes de ‘’Taxawu jiggën ci Deug’’ demandent à leurs homologues sœurs de s’auto saisir de la question en tant que mère, sœur, épouse, nièce et grand-mère. En condamnant avec la dernière énergie les exactions commises de part et d’autre, elles exhortent les acteurs de quel que bord qu’ils soient d’œuvrer pour un dénouement de la situation. Par ailleurs, ces dames du mouvement dirigé par la responsable de Patte d’Oie manifestent leur soutien et leur solidarité à l’Etat afin de restaurer l’ordre public et de veiller à la sécurité des personnes et des biens. A l’endroit du peuple sénégalais, elles présentent les condoléances les plus attristées aux familles des victimes, tout en encourageant les services du Ministère de la Justice de rétablir la vérité dans le strict respect des lois et règlements
Thierno Lo, Président de l’APD et de la coalition ADIANA sur la situation nationale : « Le Sénégal ne mérite pas cette balafre »
Le secrétariat Exécutif National (S.E.N) de l'APD et de la coalition ADIANA se sont réunis ce Dimanche 7 mars 2021, par visioconférence, autour du Président Thierno LO pour apprécier et se prononcer sur l'actualité nationale. Le S.E.N de l'APD de la coalition ADIANA présentent tout d’abord ses condoléances les plus attristées à toutes les familles éplorées. Nous regrettons fortement qu'une affaire de mœurs puisse en être à l'origine dans un pays de notoriété comme le Sénégal. Aussi, le Secrétariat Exécutif National de l'APD et de la coalition ADIANA fustigent les actes de vandalisme qui ont détruit des structures de l'administration, des infrastructures, tout un patrimoine qui nous est commun, des maisons de nos compatriotes, des propriétés privées, en plombant l'économie du pays et en empêchant nos compatriotes d'exercer leur liberté d'aller et de venir. Le S.E.N de l'APD et de la coalition ADIANA estiment qu'aucun sénégalais dépositaire d'une petite dose de patriotisme ne devrait anéantir les excellents efforts faits par le Président Macky Sall pour maintenir le Sénégal dans le peloton des pays qui ont le plus résisté à la pandémie.
Nous avions raison d'appeler notre formation politique, l'Alliance pour la Paix et le Développement (APD) sur des concepts intimement liés et qui sont notre raison d'etre. Nous sommes profondément meurtris, car notre patrimoine commun a été touché. Notre pays le Sénégal, avec l'élégance, la solidarité et l'intelligence de ses fils, ne mérite pas cette balafre. L'APD et la coalition ADIANA marquent de ce fait leur solidarité à son Excellence Monsieur le Président de la République dont nous saluons sa maitrise face à l'ampleur des dégâts, car comprenant que les situations sérieuses se gèrent avec sérénité. C'est malheureux que certains de nos compatriotes et membres de notre opposition puissent s'inscrire dans une dynamique de conquête du pouvoir par la rue, prêts à marcher sur des cadavres. Le prétexte est malsain et ne nous honore pas, dire à la face du monde que le Sénégal brûle à cause d'une affaire de mœurs est une balafre qui restera longtemps sur notre joue. Dans nos contributions, nous avions demandé d'écrire une histoire positive pour que les générations futures la lisent sans dégout et honte. Notre présence sur terre n'est pas inscrite dans une séquence indéterminée, donc réarmons nous, mettons l'intérêt général au milieu de nos préoccupations et arrêtons de pousser nos jeunes au sacrifice et à la destruction de leur patrimoine, qu’on ne les pousse pas à hypothéquer leur avenir ! Arrêtons la violence pour renouer avec une élégante compétition, car ce peuple qui a connu deux alternances pacifiques et qui a droit de validation va nous départager. Nous avons besoin de calmer les esprits, d'écarter les va t-en guerre pour trouver les meilleures solutions politiques intelligemment élaborées. Il faut que la justice fasse son travail pour situer les responsabilités des uns et des autres. Vive le Sénégal !
DECLARATION DE LA PLATEFORME DE LA SOCIETE CIVILE « JAMMI REWMI »
Les tensions sociopolitiques qui secouent le pays, depuis quelques temps, prennent de plus en plus des allures inquiétantes et nous préoccupent. Une affaire privée qui est censée concerner deux citoyens soulève un rapport de force dangereux entre le pouvoir et l’opposition d’une part et les Sénégalais d’autre part. Constatant l’utilisation démesurée de la force publique contre toute voix discordante et manifestation, suivie d’une série d’arrestations et d’emprisonnements de citoyens qui n’ont rien fait d’autre que d’exprimer leur désaccord. Constatant, pour le regretter, les appels à la résistance face aux forces de l’ordre et à l’institution judiciaire qui risquent d’installer une instabilité politique, sociale et économique durable; Constatant que la justice fait l’objet de suspicions graves de partialité á propos du traitement de plusieurs affaires politico-judiciaires. La Plateforme de la société civile JAMMI REWMI interpelle les acteurs et appelle á la retenue et au sens de la responsabilité et à l’apaisement pour préserver la démocratie, la paix et la cohésion sociale.
La Plateforme de la société civile JAMMI REWMI exige de l’Etat qu’il soit garant de l’équilibre et de l’impartialité dans le dossier judiciaire qui oppose deux citoyens (Ousmane Sonko et Adji Sarr). Les Sénégalais ont choisi l’Etat de droit et la démocratie pour vivre ensemble, cela requiert un Etat juste avec son institution judiciaire qui garantit l’impartialité, seule condition pour rétablir la confiance entre la justice et les justiciables rudement atteinte aujourd'hui. La Plateforme de la société civile JAMMI REWMI exige la cessation immédiate des arrestations et détentions arbitraires contre les militants de PASTEF et condamne fermement la mise sous mandat de dépôt de Guy Marius Sagna et compagnie. Ils doivent être libérés sans condition pour calmer la tension sociale et permettre une sortie paisible. La Plateforme de la société civile JAMMI REWMI exige également des responsables et membres de PASTEF d’arrêter le discours belliqueux et d’insubordination face aux institutions républicaines.
Estimant que la paix est un chantier, la Plateforme JAMMI REWMI a pour but de contribuer à trouver des solutions à la situation actuelle tendue, mais aussi, d’anticiper sur les crises multiformes qui pointent à l’horizon et qui peuvent, si on n’y prend garde, engendrer des conséquences irréversibles sur la démocratie, l’Etat de droit et les conditions de vie du peuple sénégalais pour lequel nous nous engageons en tant qu’acteurs de la société civile à être les remparts pour la préservation de la cohésion sociale. La Plateforme JAMMI REWMI renouvelle sa confiance au groupe de contact de la société civile pour rétablir le lien avec les acteurs et les forces vives politiques et religieuses pour prévenir les crises multiformes qui guettent le Sénégal… La Plateforme JAMMI REWMI s’engage, plus qu’hier, à lutter pour la préservation des acquis démocratiques, à arrêter les tentatives de restriction de l’espace civique et des libertés, et à œuvrer pour une démocratie transparente et des institutions respectées et acceptées par tous les acteurs.
Déclaration du Club Sénégal Emergent (Cse) : Défendre l’Etat de droit, se vacciner massivement, poursuivre les efforts de relance de l’économie !
Le Club Sénégal Emergent (CSE) en Assemblée Générale Extraordinaire restreinte et dans le respect stricte des mesures barrières, ce lundi 1er mars 2021, a apprécié la situation nationale caractérisée d’une part par l’achat de 200 000 doses du vaccin contre le Covid 19, le lancement officiel par le Président de la République de l’opération de vaccination contre la pandémie et d’autre part les péripéties de l’affaire Ousmane Sonko/Adji Sarr .
A propos de l’affaire Ousmane Sonko/ Adji Sarr, le Club Sénégal Emergent (CSE) constate que d’une affaire privée, opposant deux citoyens sénégalais justiciables de faits de mœurs ,celle-ci est devenue une affaire d’Etat , à considérer comme telle , au regard des graves perturbations de l’ordre public, d’indices concordants et graves d’attentat à la sûreté de l’Etat, de destruction sauvages et systématiques de biens publics et privés, de menaces et agressions contre de personnes . Une situation qui découle d’une politisation outrancière du dossier sous la forme d’une accusation fallacieuse d’un prétendu complot politique et d’une victimisation comme ligne de défense. Toutefois, à l’instar de beaucoup de Sénégalais, la plupart anonymes mais en fins observateurs, le CSE relève la posture de défiance outrancière et furieuse de Ousmane Sonko vis-à-vis de la loi et des institutions de la République en dépit de son statut de chef de parti et de député. Pour rester dans les faits concrets et irréfutables, que constate-t-on avec Monsieur Ousmane Sonko?
Un refus systématique de déférer à la convocation de la gendarmerie, un refus de la levée de son immunité parlementaire, une déclaration de refus de répondre aux convocations du juge. A cela s’ajoutent : sa demande illégale de récusation de juges, ses attaques systématiques et mal fondées contre le Président Macky et ses poignons subjectives et outrageantes contre les juges et le procureur de la République. Qui plus est, une utilisation maladroite de voies de non-droit, constituée par son appel à la résistance populaire active, l’usage du terrorisme verbal, politico-médiatique et physique géométriquement centré sur certains journalistes et personnalités supposées comploteurs. Ces voies de non-droit indiscutables se sont aussi illustrées par des incendies, des saccages d’entreprises identifiées comme françaises, de destructions de biens personnels et d’incendies de domiciles de paisibles citoyens, à Dakar, à Louga et Rufisque.
Le CSE, comme de nombreux Sénégalais, relève, pour s’en désoler, un amalgame dangereux foulant au pied la sacro-sainte cohésion nationale, qui affleure de la tentative d’instrumentalisation machiavélique de la crise casamançaise, pourtant en voie d’extinction.
Le CSE attire l’attention de l’opinion nationale et internationale sur le chantage évident que Monsieur Sonko brandit vis-à-vis des Institutions judiciaires par des velléités de résistance suicidaire visant à créer les conditions de tueries sur sa personne, sa famille, ses gardes du corps et/ou les forces de l’ordre. Le Club Sénégal Emergent regrette aussi qu’une partie de la presse, certains acteurs des réseaux sociaux et soi-disant experts se soient livrés, par des sorties verbales, audiovisuelles et des vidéos à des révélations illégales et attentatoires aux bonnes mœurs et à la vie privée des parties en conflit sur de supposés procès- verbaux d’audition de la gendarmerie et de l’instruction en cours.
Par ailleurs, le CSE remarque une offensive en matière de communication sur l’affaire Sonko /Adji Sarr du côté de la majorité au pouvoir depuis la levée de l’immunité parlementaire de Ousmane Sonko. Cette attitude, de l’avis du CSE, risque de créer une cacophonie politico-judiciaire qui n’est pas favorable à l’exercice d’une bonne justice. Qui exige de la sérénité !
En effet, les juristes ont coutume de dire que « lorsque la politique entre au prétoire par la porte, le droit en sort par la fenêtre ». Le CSE constate en plus que les nombreuses arrestations de responsables du PASTEF et de présumés manifestants sans aucune communication de la justice sur ces arrestations. Fort de tous ces éléments et dans le souci de dire vrai et d’expliquer, le Club Sénégal Emergent (CSE) lance un appel au leader du PASTEF, Ousmane Sonko, aux responsables et militants de tous bords politiques, aux acteurs de la presse et des réseaux sociaux ,aux avocats des deux parties, aux populations, en particulier à la jeunesse, de faire prévaloir la paix , la sérénité et la responsabilité en faisant cesser et faire cesser , les attentats à la vie privée et aux bonnes mœurs ,au respect de la loi et des institutions républicaines tout en laissant la justice faire son travail sans pression aucune. Le CSE invite enfin les chefs religieux et coutumiers, dépositaires d’une sagesse séculaire à appeler au calme et à la sérénité pour préserver la paix et la stabilité dans notre pays qui évolue déjà dans un environnement troublé par des menaces sécuritaires multiformes.
Il demande à l’Etat, en particulier à la justice et aux forces de l’ordre, au regard du caractère sérieux de cette affaire, de respecter et faire respecter la loi dans un esprit et une démarche de responsabilité, de sérénité, de rigueur et de professionnalisme dans la gestion de la situation. Le Club Sénégal Emergent (CSE) recommande la sauvegarde de la vie privée des protagonistes de cette affaire. Au nom d’une nécessaire conformité avec nos mœurs et nos traditions de Kersa et de Soutoura, il suggère au juge de faire sur cette affaire, des auditions à huis clos ; aux avocats des différentes parties et à la presse de faire preuve de professionnalisme et de responsabilité. Au demeurant, pour le CSE, l’exigence de l’heure pour tous les citoyens, républicains et démocrates, est la Défense sans concession de l’Etat de droit qui garantit l’égalité et la liberté de tous les citoyens et qui soumet l’ensemble des Institutions, y compris l’Etat, à la Loi.
La démocratie, c’est aussi la séparation et l’équilibre des pouvoirs. Faut-il rappeler les principes qui régissent l’Etat de droit « marbrés » dans le préambule de notre Constitution. On peut, entre autres principes, relever dans ce préambule, « l’inaltérabilité de la souveraineté nationale qui s’exprime à travers des procédures et consultations transparentes et démocratiques », « la séparation et l’équilibre des pouvoirs conçus et exercés à travers des procédures démocratiques », « le respect des libertés fondamentales et des droits du citoyen comme base de la société sénégalaise (…) « le respect et la consolidation de l’Etat de droit dans lequel l’Etat et les citoyens sont soumis aux mêmes normes juridiques sous le contrôle d’une justice indépendante et impartiale ».
L’Assemblée générale extraordinaire du Club Sénégal Emergent attire l’attention de toutes les Sénégalaises et de tous les Sénégalais sur les priorités de l’heure qui méritent la mobilisation et la synergie de tous les efforts pour endiguer la crise consécutive à la pandémie de la COVID-19. Indubitablement, le Président Macky Sall a fait faire d’énormes progrès au Sénégal grâce à de nombreuses réalisations du Plan Sénégal Emergent avant la survenue imprévisible du virus qui constitue une chape de plomb sur les programmes et projets. Toutefois, en dépit de la COVID-19, le CSE souligne la nécessité individuelle et collective de poursuivre les réalisations du PAP2A, à s’approprier le Plan de relance économique défini par le Chef de l’Etat pour le retour d’une croissance solide et inclusive, à s’engager dans une participation massive à la vaccination contre la COVID-19, la voie royale pour un retour à une situation normale qui ouvre tous les possibles d’épanouissement et de bonheur pour les citoyens, notamment les jeunes et les femmes.
Pour le Club Sénégal Émergent
Le Président Youssou Diallo
An 1 Coronavirus au Sénégal : Abdoul Aziz Seck, cadre de l’APR diagnostique
Loin de moi l'idée de fêter le 1er Anniversaire de l'intrusion du coronavirus dans l'espace temporel sénégalais, jour pour jour, depuis le 02 Mars 2020, mais c'est plutôt l'occasion de saluer le leadership du Président de la République, suivi en cela par la pro action et les qualités de management des membres du Gouvernement, en général, des Ministres de la Sante et de l'Action Sociale, du ministre des Collectivités Territoriales du Développement et de l'Aménagement des Territoires, du Ministre des Finances et du Budget ainsi que du Ministre de l'Intérieur et de la Sécurité Publique, en particulier...
Un an déjà que le Président Macky Sall, tel un Chef d'Etat Major qui commande toutes les troupes, avait déclaré la Guerre à l'ennemi commun pernicieux et invisible, capable de trop de nuisances et de dégâts, aussi bien chez la personne humaine qu'au niveau de notre économie... Un fort appel, tellement bien compris que tous les chefs religieux, tous les leaders politiques (de la majorité présidentielle de Benno Bokk Yaakaar comme de l'opposition), de même que tous les patriotes, s'étaient rangés derrière lui. Partant du principe que seules les grandes causes peuvent solidifier une nation, Son Excellence Monsieur Macky Sall n'a, depuis la 2e alternance, en 2012, jamais quitté la trajectoire de placer le Sénégal sur l'orbite de l'émergence à l'orée 2035.
Dans cette dynamique, Mr Abdoulaye Diouf Sarr se trouve à l'endroit et au bon moment. Nous voici donc chers compatriotes à un tournant historique de notre vaillante lutte contre la propagation de la pandémie. Au virus Covid 19, la recherche internationale n'a pas mis du temps à lui trouver un vaccin. Mr le ministre Diouf Sarr a été le premier à se faire vacciner, donnant l'exemple aux 16 Millions de sénégalais que le vaccin est sûr. Ainsi d'ailleurs, s'apprête-t-il à recevoir un 2e lot de vaccins ce mercredi 3 Mars.
Nous devons tous faire confiance à nos autorités et aux éminents spécialistes, tels que le Professeur Seydi qui a réaffirmé la fiabilité du vaccin contre le coronavirus. Le leadership du Président Macky et son charisme diplomatique permet à notre pays et à ses voisins de la sous région ouest africaine d'être parmi les premiers à se prémunir en renforçant l'immunité contre la pandémie. Pour que vivent les communautés dans une santé sereine ! Afin que redémarrent les machines économiques ! Inscrivons-nous dans les différentes plateformes mises en place par le Comité National de Surveillance et de Lutte contre ce fléau.
ABDOUL AZIZ SECK CADRE RÉPUBLICAIN
Projet 100.000 logements sociaux (liguéyal Euleuk): Le Président Macky SALL déroule!
Le Sénégal s’est engagé à construire 100 000 logements sociaux sur cinq ans, entre 2020 et 2025, dans le cadre d’un programme au profit des personnes à faible revenu. Ce programme, qui vise à «rendre le logement décent accessible», prend en compte les femmes et les Sénégalais de la diaspora. Il s’inscrit dans le cadre d’une «politique d’inclusion sociale et d’équité territoriale» comme le souhaitait le Président Macky SALL.
Avec la mise à disposition directe et gratuite du foncier, la prise en charge de la voirie et des réseaux divers, un plafond de 20millions qui passe à 12millions, Plus de 255.541 inscrits à ce jour, trois conventions signées, des négociations en cours avec dix-huit (18) promoteurs, la Cde et l'Ipres, le FONGIP etc.… qui accompagnent le projet, des jalons importants ont été posés pour la réalisation des 100 000 logements.
Le Président avec sa profonde fibre sociale, marque ainsi toute sa détermination pour loger les sénégalais. En effet, cet ambitieux projet qui pourrait paraitre chimérique commence à prendre forme avec un premier jet de 1000 logements à Bambilor, Fatick et Kaolack bientôt livrés. Le Président Macky SALL assure et continue de rassurer.
Cette vision holistique est donc à saluer, car allant au-delà même de loger les sénégalais. En effet, rien qu’au Sénégal 100 000 logements, c’est 7 millions de m2 de carreaux à fabriquer, 7 millions de mètres carrés de tuiles à fabriquer, 600 milles portes et 400 milles fenêtres à fabriquer. C’est aussi 200.000 kit sanitaires à fabriquer, mais encore et surtout, c’est 1 million d’emplois pour les jeunes sénégalais dans les 5 prochaines années à venir.
La coalition ADIANA du Ministre Thierno LO, est donc lié au Président Macky SALL par son ambitieux programme et se bat pour que le Président puisse réaliser ce pour quoi il a été élu et réélu. Nous restons dans la constance, nous avons battu campagne pour ce programme et nous avons convaincu des milliers de sénégalais pour la validation. D’où notre responsabilité pour que le Président puisse réussir sa mission afin de faire un merveilleux legs aux générations futures comme il aime le dire. Par conséquent, nous invitons les sénégalais à se focaliser sur ces débats sociaux, économiques etc. … qui revêtent plus d’intérêts.
Le programme «Zéro bidonville», inscrit dans le programme ‘liguéyal Euleuk » du Président Macky SALL, se justifie par le fait que le Sénégal connaît, depuis plusieurs années, une forte croissance de sa population au niveau des agglomérations urbaines. Ce phénomène a entraîné un développement des bidonvilles dans presque toutes les régions du pays. Le coût du logement étant très élevé, les personnes à faibles revenus ainsi que toutes celles qui n’ont pas les moyens d’opter pour des logements décents en quartier privilégié sont obligées de se tourner vers ces bidonvilles. Cet ambitieux programme du Président Macky SALL contribuera non seulement à éliminer ces bidonvilles mais aussi à lutter contre leur formation, d’ici 2035, la cité «Baraka» de Liberté 6 Extension en est une parfaite illustration. Le président Macky SALL séduit encore une fois de plus !
En avant pour le progrès et la matérialisation du programme ‘’liguéyal Euleuk’’ cher à notre coalition ADIANA ! Vive le Sénégal !
Papa Malick Guisse
President des jeunes de la coalition ADIANA