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Meeting d’ouverture de la coalition Jamm Ak Njarin à Guédiawaye : Amadou Bâ tance le régime et fait des promesses

Meeting d’ouverture de la coalition Jamm Ak Njarin à Guédiawaye : Amadou Bâ tance le régime et fait des promesses Spécial

La campagne électorale pour les élections législatives anticipées du 17 novembre a démarré. Et pour sa première sortie, son premier meeting, la tête de liste de la coalition « Jamm Ak Njarin » a choisi la banlieue Dakaroise, Guédiawaye, plus précisément. Et en compagnie de l’ancien maire de la ville, Aliou Sall, Amadou Bâ a invité la population à faire confiance à leur liste, et pour cause. L’ancien Premier ministre a promis, qu’une fois la majorité dans la poche, les députés de la coalition vont s’investir pour la baisse du coût de la vie. Sur ce, il tenu à préciser : «nous ne voulons pas une majorité pour bloquer le pays».

 

Nous voulons l’Assemblée nationale, informe t-il, «pour accélérer les choses. Si nous avons la majorité, je promets la réduction de l’eau et de l’électricité en trois mois et je vais vous dire comment dans une semaine. En cas de majorité, nous allons imposer la reprise de tous les chantiers en 4 mois maximum. Nous n’avons pas besoin de nous battre, de nous chamailler, nous avons besoin de développer notre pays. Plus rien ne marche à Guédiawaye depuis le départ de Aliou Sall. Certes, c’est la démocratie mais la population doit savoir qu’il y a des personnes qui sont dans l’action et d’autres qui privilégie la parole. Maintenant, il faut faire le bon choix».

Amadou Bâ est, aussi, revenu sur les raisons pour lesquelles il a choisi Guédiawaye pour démarrer sa campagne électorale. Selon lui, il a choisi cette localité à cause d’une absence de politique dans «le Projet» par les autorités actuelles. «Je ne vois pas de projets dans le Projet, pour Guédiawaye. J’ai l’impression que le régime actuel a oublié cette partie de la banlieue. Or il y a une forte population dans cette localité, sans compter que les questions d’urbanisme, d’assainissement sont des priorités ici». Donc, souligne t-il, «il faut trouver des solutions. Il faut aussi des solutions par rapport à la question du financement et de l’autonomisation des femmes. On en a les moyens. Concernant les jeunes, j’ai toujours dit que la jeunesse n’est pas l’avenir, dans notre situation, la jeunesse s’est surtout le présent».

 

 

Aussi, poursuit-il, «on a pensé qu’après 6 mois, les autorités allaient trouver des solutions face au phénomène de l’immigration irrégulière surtout qu’on avait mis en place beaucoup de stratégies pour cela. Donc s’ils n’ont pas les compétences nécessaires, ils peuvent reprendre nos idées, ils peuvent recopier nos idées et les appliquer. Ils sont dans la continuité même s’ils ont toujours refusé cela. Seulement, il faut reconnaître qu’ils sont trop lents, ils traînent. En 6 mois, on avait discuté avec toutes les parties prenantes, rédigé le Pse et trouvé le financement mais ils n’ont produit qu’un projet en 7 mois. À ce rythme, c’est en 2028, qu’ils vont concrétiser leur première réalisation.La campagne électorale pour les élections législatives anticipées du 17 novembre a démarré. Et pour sa première sortie, son premier meeting, la tête de liste de la coalition « Jamm Ak Njarin » a choisi la banlieue Dakaroise, Guédiawaye, plus précisément. Et en compagnie de l’ancien maire de la ville, Aliou Sall, Amadou Bâ a invité la population à faire confiance à leur liste, et pour cause. L’ancien Premier ministre a promis, qu’une fois la majorité dans la poche, les députés de la coalition vont s’investir pour la baisse du coût de la vie. Sur ce, il tenu à préciser : «nous ne voulons pas une majorité pour bloquer le pays».

 

Nous voulons l’Assemblée nationale, informe t-il, «pour accélérer les choses. Si nous avons la majorité, je promets la réduction de l’eau et de l’électricité en trois mois et je vais vous dire comment dans une semaine. En cas de majorité, nous allons imposer la reprise de tous les chantiers en 4 mois maximum. Nous n’avons pas besoin de nous battre, de nous chamailler, nous avons besoin de développer notre pays. Plus rien ne marche à Guédiawaye depuis le départ de Aliou Sall. Certes, c’est la démocratie mais la population doit savoir qu’il y a des personnes qui sont dans l’action et d’autres qui privilégie la parole. Maintenant, il faut faire le bon choix».

Amadou Bâ est, aussi, revenu sur les raisons pour lesquelles il a choisi Guédiawaye pour démarrer sa campagne électorale. Selon lui, il a choisi cette localité à cause d’une absence de politique dans «le Projet» par les autorités actuelles. «Je ne vois pas de projets dans le Projet, pour Guédiawaye. J’ai l’impression que le régime actuel a oublié cette partie de la banlieue. Or il y a une forte population dans cette localité, sans compter que les questions d’urbanisme, d’assainissement sont des priorités ici». Donc, souligne t-il, «il faut trouver des solutions. Il faut aussi des solutions par rapport à la question du financement et de l’autonomisation des femmes. On en a les moyens. Concernant les jeunes, j’ai toujours dit que la jeunesse n’est pas l’avenir, dans notre situation, la jeunesse s’est surtout le présent».

 

 

Aussi, poursuit-il, «on a pensé qu’après 6 mois, les autorités allaient trouver des solutions face au phénomène de l’immigration irrégulière surtout qu’on avait mis en place beaucoup de stratégies pour cela. Donc s’ils n’ont pas les compétences nécessaires, ils peuvent reprendre nos idées, ils peuvent recopier nos idées et les appliquer. Ils sont dans la continuité même s’ils ont toujours refusé cela. Seulement, il faut reconnaître qu’ils sont trop lents, ils traînent. En 6 mois, on avait discuté avec toutes les parties prenantes, rédigé le Pse et trouvé le financement mais ils n’ont produit qu’un projet en 7 mois. À ce rythme, c’est en 2028, qu’ils vont concrétiser leur première réalisation.

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