Le Malheur que l'on choisit sur la tête de quelqu'un préfère elle-même choisir sa propre Victime. La bave du crapaud n'atteint jamais la colombe blanche.
Pourquoi dire des mensonges sur tes adversaires politiques ?
Pourquoi autant de menaces envers tes potentiels adversaires politiques et autant de débilités pour répondre aux exigences de l'heure ?
Le fruit du mensonge est à l'image du piment, c'est beau à voir mais difficile et amère à consommer.
La politique Sénégalaise est dans l'hypoxie à cause des mensonges grandissimes mais aussi gravissimes ! Des redondances perfides avec une fourberie sans demi-mesure plongent le menteur dans des délires .Qui peut croire à ces énormités ? Qui peut de chiffres soient falsifiés et cela échappe à tous les corps de contrôle nationaux et internationaux ?
Le type n'est-il pas dans un état paranoïaque en souffrant d'un moi anémique!
Ah oui ! Anémique parce qu'il oublie que trois de ces ministres étaient au cœur du système des finances publiques.
À moins que l'on soit dénudé de tous les semences de la vertu pour croire à cette fanfaronnade politique et à cet exercice dénommé "Yakk Déer"
Un discours discursif, le culte de l' affabulation et des fantasmes. La montée de la délétion et la promotion du mensonge a atteint son paroxysme. Avec un caractère inculte marqué par une incapacité et une incompétence notoire , ce Régime de Parjure et de reniement n'a aucune orientation stratégique pour faire face aux problèmes des Sénégalais.
Honte à ces adeptes de l'anathème et des diatribes ,les Sénégalais n'ont pas besoin de cette campagne de diabolisation et dénigrement.Nous sommes en face des personnes qui ne connaissent pas les questions urgentes et ne parvient pas à lire les questions du quotidien des sénégalais !
Thiey un bonimenteur ! Jactance et boniment sur toile de fond !
Le mensonge est une affirmation délibérément fausse, à la différence de la contre-vérité ou de l’erreur qui ne sont pas intentionnelles. Il peut se situer dans le dire ou dans le laisser croire. Dans ce dernier cas, il s’agit du mensonge par omission. Dans les deux cas, il procède d’une intention d’agir sur autrui à partir d’éléments faux, d’une tromperie et voilà ce que le peuple sénégalais a subi jadis avec un opposant inculte qui a tout fait détruire le tissu social et aujourd'hui au lieu de prendre les préoccupations de son peuple, malheureusement il est toujours dans se trajectoire déformatrice et manipulatrice.
Dans l'histoire de la philosophie, la polémique la plus célèbre sans doute sur le mensonge - cette dimension fondamentale de l'expérience humaine - est celle reprise par Emmanuel Kant, le grand philosophe également de l'impératif catégorique dans la morale humaine ; cette polémique où Kant s'opposa à tous les défenseurs du droit de mentir, même pour une exception qu'on pourrait croire morale. Kant s'opposant dans un texte à ce qu'il appelle "un prétendu droit de mentir par humanité . Ainsi, pour Kant, on ne peut jamais mentir, même pour sauver la vie d'un innocent poursuivi par des forces barbares.
L'aventure du détecteur de mensonge ou notre fantasme de la vérité. Quelles que soient les ambitions, les vœux et les désirs les plus foles, nous devons toujours dire la vérité et rien que la vérité !
Pourquoi ne devrais-je pas mentir ?
La raison en est très simple, selon Emmanuel Kant : le principe de la morale est de ne jamais faire quelque chose dont l'universalisation menacerait l'ensemble de la vie humaine, dont la généralisation menacerait les piliers mêmes du respect des humains. Or le respect de la vérité fait partie de ces conditions de la vie humaine. Ainsi, le mensonge est-il interdit au même titre que le vol ou le meurtre, au nom d'un impératif catégorique : faire en sorte que la maxime de mon action puisse être universalisable . Si je ne peux pas universaliser le mensonge, alors il ne peut même pas y avoir d'exception.
Pourtant, dans les exemples opposés à Kant à l'époque, on peut voir non seulement un droit de mentir, mais même un devoir : un devoir d'exception, celui de sauver l'innocent menacé par une injustice. Le mensonge ne se caractérise jamais seulement par le fait de ne pas dire la vérité ou de dire quelque chose de faux sciemment, mais aussi de le faire dans l'intention de nuire. Au Sénégal, le pays des adeptes de la vérité et du culte de la Responsabilité est gravement menacé par des mensonges éhontés et qui n'ont qu'un but : la diabolisation pour ternir l'image afin de provoquer ou stimuler les instincts de la haine. Or si l'intention ici est de préserver, pas comme un médecin qui ne dira pas toujours la vérité mais de sauver la personne contre une injustice majeure, alors peut-être que ce mensonge comme dans tout conflit de devoir, non seulement peut mais doit être pratiqué.
Dans la pratique de l'État, les hommes d'État doivent avoir et savoir le culte de la retenue et du réserve.
Socialement, le mensonge est dans une situation double : condamné moralement par la plupart des cultures, mais perçu comme indispensable. En effet, sans ces petits aménagements avec la vérité, la vie en société ne serait qu’affrontements.
On distingue deux catégories de mensonge
Les mensonges pro-sociaux visent à protéger ou à rassurer les autres .Voilà le type du propagandiste menteur sénégalais. Il ment effroyablement.
Les mensonges égoïstes sont, eux, motivés par la recherche d’un profit personnel : on cherche à éviter (une punition, une sanction) ou à gagner (une bonne image de soi), éventuellement au détriment des autres ; ils sont alors qualifiés d’antisociaux. Dans le Landerneau politique Sénégal, présentement le propagandiste menteur a un unique objectif : accusé pour ternir l'image des autres afin de les emprisonner .
Le mensonge, cette pratique politique malheureuse serait plutôt une tactique sociale très efficace. En règle générale, notre entourage ne s’attend pas à ce qu’on leur mente, et même si le mensonge peut être bénéfique dans certains cas, ce mécanisme permet aussi aux menteurs de s’en tirer souvent à bon compte. Et voilà pour Hitler qui disait que le peuple croit au mensonge ! Celui qui a obtenu le pouvoir par des mensonges périra de ses mensonges.
Le mythomane, lui, ment un peu tout le temps, sans objectifs précis. Il enjolive le monde, s’invente une existence, sans doute parce qu’il estime sa vie ou sa personnalité insuffisante. Il est conscient du caractère mensonger de ses propos, mais cet imaginaire lui permet de se sentir exister. C'est ce genre de personne que nous avons au Sénégal.
Sans être tout à fait mythomanes, dans la mesure où ils ne sont pas dupes de ce qu’ils racontent, les menteurs compulsifs sont déjà dans la sphère de la difficulté psychologique.
Besoin d’enjoliver un quotidien trop terne ? Manque d’estime de soi qui les pousse à ne pas se montrer tels qu’ils sont ? Forme d’immaturité qui leur permet de continuer à se croire omnipotents ? En tout cas, ces menteurs impénitents prennent le risque constant de se mettre en porte-à-faux avec leur entourage et la société. Ils auraient intérêt à mieux se connaître eux-mêmes et à ne pas se mentir.
Le psychopathe sénégalais est un pervers machiavélique qui utilise le mensonge comme une arme de manipulation dans le but de nuire à l’autre".
Mentir peut avoir un effet boule de neige dangereux.
Mentir peut également avoir un effet boule de neige. Autrement dit, un mensonge en entraîne un autre : un premier mensonge est lancé, et il faut tenir la route en continuant sur le même chemin. On commence par une simple déformation de la réalité (qui nous arrange), on finit par inventer une autre vérité et la spirale des mensonges est lancée. Au début, le sentiment de culpabilité vous gêne, puis il devient de moins en moins fort.
Pour maintenir un mensonge, nous nous enfonçons parfois très profondément dans une sorte de vie parallèle. Sur le long terme, ce type de situation peut être compliqué à supporter, et l’honnêteté devient limite un soulagement.
Comment réagir quand un menteur est découvert ou quand on a menti ?
C’est une situation très désagréable, qui réveille des peurs archaïques puisque la survie de notre espèce tient à notre capacité à transmettre les bons messages, explique le spécialiste. En cas de faute, mieux vaut ne pas nier l’évidence, présenter ses excuses, mais surtout réfléchir à ses motivations.
Mentir à l’autre, c’est souvent se mentir à soi-même, ne pas vouloir reconnaître la réalité, parce qu’elle semble trop désagréable ou difficile à assumer.
Le Sénégal est très mal parti, nos consciences sont piétiner et nos fondamentaux s'écroulent sous le choc des personnes sans vision voulant dire le destin des Sénégalais.
Face à leur incapacité de pouvoir répondre à la question de l'heure, le type crée un faux débat pour amuser la galerie.
Le Sénégal a connu dans son histoire budgétaire quatre lois organiques relatives aux lois de finances et deux approches de gestion budgétaires différents :
La loi organique n°62-36 du 14 mai 1962, avant la création de l'Union Economique et Monétaire Ouest Africain ( UEMOA) : elle est axée sur les moyens et le contrôle de conformité et régularité de la dépense publique. Elle a été modifiée en 1963 et en 1974;
La loi organique n°2001-09 du 15 octobre 2001 à la suite de la création de l'UEMOA : elle transpose la directive communautaire 05/1997 relative aux lois de finances. En application des dispositions du traité de l'UEMOA relatif à l'harmonisation des législations et procédures budgétaires, l'UEMOA venait de se doter de son premier cadre harmonisé des finances publiques ( 1997/1998). L'approche budgétaire basée sur les moyens est maintenue ;
La loi organique n°2011-15 du 08 juillet 2011 transposant la directive 06/2009/CM/UEMOA relative aux lois de finances. Les Directives de 1997/98 modifiées en 2000 sont abrogées et remplacées par celles de 2009 pour marquer le passage du budget de moyens au budget programme axé sur la performance de l'action publique.
La Directive su cadre juridique, pour marquer une rupture totale avec les pratiques d'un budget de moyens, s'adosse sur la démarche de performance, la responsabilité, la liberté d'action du gestionnaire et la reddition des comptes.La LOLF 2011-15 a été modifiée en urgence en décembre 2016 pour permettre à l'exécution de différer de trois ans , soit en janvier 2020, son entrée en vigueur au 1ère janvier 2017, donnant ainsi cours légal à la LOLF 2001-09;
La loi organique 2011-15 du 8 juillet a été abrogée et remplacée par la loi organique n°2020-07 du 26 février 2020, nouveau cadre budgétaire de l'État, pour corriger les insuffisances et lacunes relevées dans la loi 2011-15.
Les cadres stratégiques de développement ont marqué leur passage au Sénégal. Des plans quadriennaux de développement économique et social, qualifiés de catalogues de projets et programmes, le pays s'est retrouvé avec un plan cadre stratégique de développement, le PSE, horizon 2035 en passant par les différents plans d'ajustement, le plan d'orientation stratégique pour le développement économique et social ( PODES), le programme National de lutte contre la pauvreté ( PNLP), le document de politique économique et social ( DPES) et la stratégie Nationale de développement économique et social ( SNDES)
Ce bref rappel historique, nous montre simplement qu'un processus de développement qui se construit petit à petit dans le renforcement et la consolidation des acquis à besoin d'une stabilité des institutions, d'une vision de l'État, d'un cadre de gestion budgétaire rendant opérationnel es stratégies.
Pour démontrer qu'il est presque impossible que des chiffres soient falsifiés ici au Sénégal.
Nous , les intellectuels avertis , nous ne pouvons pas croire à ces déclarations !
Vu les ajustements et améliorations qui ont été apportés essentiellement dans les domaines suivants :
Le cadre dédié à l'harmonisation des législations sur les finances publiques, s'articule autour de six directives communautaires :
La loi organique relative aux lois de finances (LOLF);
Le code de transparence dans la gestion des finances publiques ;
La nomenclature Budgétaire de l'État ( NBE)
Le règlement Général sur la Comptabilité publique ( RGCP);
Le plan comptable de l'État ( PCE)
Le tableau des opérations financières de l'État ( TOFE)
La préparation du budget de l'État ;
L'exécution et le contrôle budgétaire ;
La gestion de la trésorerie ;
La gestion de la dette publique ;
La tenue de la comptabilité publique et le système d'enregistrement d'information comptable et de reporting ;
Les contrôles exercés sur les finances publiques ;
Les instruments de gestion.
Avec toutes ces rigueurs institutionnelles et administratives on en déduis que ce que je propagandiste menteur dit ne tient pas la route.
L'UEMOA, la BCEAO, le FMI , la banque Mondiale, les cadres de l'administration financière sont tellement compétents pour vérifier, contrôler les chiffres des finances publiques.
Oui sont passés nos experts financiers pour avoir les informations sur la non fiabilité des chiffres.
*Samba Ndong Responsable politique Apr Biscuiterie.*