dimanche 10 novembre 2024 | Login
Malal DIALLO Pithi

Malal DIALLO Pithi

Aujourd'hui, l'Amicale des Personnes Handicapées de Dakar Dem Dikk a commémoré la Journée Internationale des Handicapés à la Maison de la Culture Douta Seck, en présence du Directeur Général, M. Ousmane Sylla. La cérémonie a été marquée par des discours poignants et des engagements forts en faveur de l'inclusion et de l'employabilité des personnes à mobilité réduite au Sénégal.

 

Le Directeur Général, M. Ousmane Sylla, a exprimé son engagement personnel envers la cause des personnes handicapées, partageant une expérience personnelle touchante concernant sa propre mère atteinte de diabète. Il a souligné l'importance de la journée et son désir de contribuer activement à l'amélioration des conditions des personnes à mobilité réduite.

 

"Cette année, je suis venu parce que je veux. Parce que j'ai vu l'importance que vous avez dans cette société. J'ai vu votre engagement pour cette société. Votre détermination pour le développement de cette société. Je vous dis merci beaucoup pour le travail qu'on fait là," a déclaré M. Ousmane Sylla.

 

Le président de l'Amicale des Personnes Handicapées de Dakar Dem Dikk a également pris la parole, exprimant sa gratitude envers les autorités et soulignant les défis auxquels sont confrontées les personnes handicapées en matière d'emploi. Il a appelé le gouvernement à renforcer les politiques d'égalité sociale et à faciliter l'insertion professionnelle des personnes à mobilité réduite.

 

"Nous appelons le gouvernement du Sénégal à promouvoir davantage les politiques d'égalité et d'équité sociale, en mettant en œuvre des stratégies devant faciliter l'insertion professionnelle des personnes à mobilité réduite," a déclaré le président de l'Amicale.

 

  1. Ousmane Sylla a été salué en tant que parrain de l'événement pour son soutien continu envers les personnes handicapées, illustré par des actions concrètes telles que l'extension de la validité des cartes de transport et l'augmentation des fonds destinés à d'autres besoins sociaux

 

La journée a également été l'occasion de discuter de l'importance de préserver les bus de Dakar Dem Dikk, souvent victimes d'actes de vandalisme lors de manifestations politiques, soulignant ainsi l'importance de ces véhicules pour la société et l'emploi.

 

En conclusion, l'appel a été lancé à la population sénégalaise, en particulier aux jeunes, pour protéger ces bus, considérés comme un patrimoine national, et ainsi garantir la pérennité de Dakar Dem Dikk. Une journée riche en émotions et en engagements pour un avenir plus inclusif et équitable.

 

 

 

 

L'info court dans les rues de Paris. L'œuvre gigantesque du Vice Consul Aissata Dia d'amener dans les rangs de l'APR une grande responsable libérale de la trempe de la Mme Fama Sow continue d'animer les discussions politiques. Celle qui était jusqu'ici considérée comme la '' lionne de Karim Wade'' enfile désormais la tunique marron beige et nourrit la ferme intention de travailler à la victoire du candidat de Benno bokk yakaar Amadou Ba pour qui elle compte s'investir.

 

A deux jours de la venue d’Amadou Ba à Paris, ça bouge du côté de la diaspora, avec le ralliement de Mme Fama Sow qui a dit Oui à Mme le Vice Consul Aissata Dia de venir travailler à ses côtés. Une bonne nouvelle accueillie avec enthousiasme dans les rangs des républicains qui devront compter avec une dame de fer, la lionne de Karim Wade. Il faut dire que ce ralliement revêt un caractère impératif vu l'importance de l'enjeu de l'élection présidentielle qui se tiendra dans 80 jours exactement. 

 

Ce ralliement s'ajoute à l'immense espoir déjà entretenu par les militants de l'Apr de l'hexagone qui se félicitent de l'important travail abattu par le président Macky Sall et dont ils espèrent une continuité au soir du 24 février avec Amadou Ba digne successeur et nouveau patron de l'Apr et de Benno bokk yakaar. Ainsi, Mme Fama Sow va se mettre à l'œuvre pour massifier et mobiliser davantage d'autres militants à rejoindre le camp de la victoire pour mettre à l'aise le chef de l'état et les responsables de la grande coalition présidentielle.

 

Sous l’égide de l’Organisation des Nations Unies, cette année le thème général retenu est : ''vers un changement effectif dans la mise en œuvre des obligations, des responsabilités et des recours''. A l’occasion de la réunion de Haut niveau du Groupe de travail des Nations Unies, une des thématiques a porté sur Entreprises et droits humains. A ce titre, Madame Innocence Ntap Ndiaye qui, y a pris part, a axé sa communication sur les mesures fortes pouvant aider à prévenir les instabilités politiques dans les pays où existent des ressources extractives comme le Pétrole et le Gaz qui sont convoitées de nos jours par les multinationales. En organisant ladite session, l’objectif du Groupe de Travail Entreprises et droits humains des Nations Unies est d’attirer l’attention des États membres en vue de promouvoir un dialogue inclusif afin d’éviter certains conflits aux conséquences désastreuses. Ceci au moment où les effets mondiaux du changement climatique s’intensifient, les États et les entreprises trouvent de plus en plus la nécessité de prendre des mesures urgentes pour atténuer le changement climatique d’origine humaine. Dans ce contexte, le Groupe de Travail sur les entreprises et les droits humains a présenté en octobre dernier un rapport qui vise à fournir des orientations pratiques aux États membres des Nations Unies. A cet effet, il a été préconisé de mettre en place une approche fondée sur les droits humains pour concevoir et mettre en œuvre la transition énergétique. Pour ce faire, tous les acteurs doivent collaborer de manière proactive et prendre des mesures pour prévenir et atténuer les incidences sociales environnementales négatives tout en exploitant les possibilités de parvenir à une société inclusive dans les limites de la planète qui ne laisse personne de côté.

 

Du haut de cette tribune des Nations Unies à Genève,  la Présidente du Haut conseil du dialogue social a cité la démarche d’anticipation des autorités sénégalaises pour prévenir les conflits à travers des concertations inclusives avec toutes les parties prenantes au processus. Des exemples concrets ont été évoqués pour montrer l’engagement à un plus haut niveau de l’Etat du Sénégal pour instaurer un dialogue sincère avec les parties prenantes dans le règlement des conflits dans les institutions et entreprises sénégalaises.

 

Pour rappel, le Haut conseil du dialogue social est une institution tripartite qui, dans sa démarche privilégie le dialogue entre toutes les parties prenantes. Il s’agit d’un exercice démocratique à l’échelle des entreprises et des partenaires sociaux a expliqué Madame Innocence Ntap Ndiaye qui a rappelé que l’objectif principal de l’institution qu’elle dirige est d’instaurer des échanges sincères entre travailleurs et employeurs en aval et en amont, ce qui est déjà le cas au Sénégal notamment avec l’exploitation prochaine du Pétrole et du Gaz a-t-elle aussi indiqué avant de souligner que ce rôle important a permis d’accompagner une autre institution à savoir l’initiative pour la transparence dans les industries extractives (ITIE) créée par Monsieur le Président de la République du Sénégal en l’occurrence Macky Sall.

 

A noter que Madame Innocence Ntap NDIAYE siège dans les instances internationales. En 2016, elle est portée à la tête de  l’internationale francophone (IFDS) par les experts en dialogue social ressortissants d’une vingtaine de pays africains francophones. La Présidente du HCDS est membre représentant de l’Afrique Francophone au conseil consultatif international de l’emploi sur proposition de l’ancien directeur général du BIT, Monsieur Guy Rider de l’initiative Action pour le climat au service de l’emploi. Une initiative conjointe de l’Organisation des Nations Unies et du Bureau International du Travail.

 

Malgré l’ouverture au dialogue et la bonne intention apportées par les autorités à leurs principales revendications pour une signature des textes par le Ministre des Finances avant la fin de l’année, les travailleurs de l’intersyndicale de l’Isra ont observé, ce mardi, un débrayage. Cela entre dans le cadre du respect de leur plan d’action dont le premier acte vient d’être posé, et qui pourrait bien se poursuivre s’il n’y a pas satisfaction globale de leurs doléances.

 

C’est donc un point de presse qui a été tenu dans les locaux de l’institution de recherche agricole ce mardi pour entamer leur plan d’action. Les travailleurs de l’intersyndicale de l’Isra, on se le rappelle, avaient exigé la signature des deux décrets portant (1) Règlement d'établissement et (2) la Grille salariale de l'ISRA dans les plus brefs délais et la rétroaction des textes une fois signés. Mais, un retard a été observé dans l’application de ces points issus pourtant des conclusions issues des rencontres avec la Direction Générale de I'ISRA le jeudi 30 novembre 2023 et le MAERSA.

 

 C’est pourquoi le coordonateur et ses camarades tiennent quand même à remercier toutes les autorités qui ont porté le dossier, en premier lieu le Président Macky SALL qui a fait la commande depuis le 30 mars 2022, les honorables députés, et le Ministre des finances et du budget qui a promis la signature des textes avant la fin de l'année, tout comme le Ministère de l'Agriculture, de l'Équipement Rural et de la Souveraineté Alimentaire. «Nous rappelons aussi les promesses de portage du dossier et de la faisabilité de la rétroaction des textes une fois signés. Mieux, nous demandons à rencontrer dans les meilleurs délais la Direction Générale de l'ISRA pour la poursuite des discussions pour régler les problèmes internes plus enfin une audience avec le Président de la République», déclinent les travailleurs de l’Isra. A défaut de tout cela, le plan d’action dont le premier acte a été posé ce mardi avec le débrayage sera suivi de l’observation de deux autres semaines, le temps d'évaluer et de permettre à l'autorité de diligenter la question. Si on n'a pas gain de cause, le plan d'actions de la plateforme revendicative se poursuivra», laissent-ils entendre.

 

Le ministre du Commerce, de la Consommation et des PME participe à la 39ème session du Comité permanent pour la Coopération économique et commerciale de l'OCI (COMCEC), ouvert ce lundi 4 décembre 2023, à Istanbul. Abdou Karim Fofana a prononcé un discours au nom des pays africains membres de cette organisation. Le Sénégal a ainsi tenu son rang de porte-voix de l’Afrique à ce grand évènement présidé par le chef de l’Etat turc RecepTayyipErdogan en sa qualité dePrésident du COMCEC.

Après avoir transmis à son hôte, les salutations du Président MackySall, M. Fofana a tenu à remercier particulièrement le groupe africain « pour la confiance placée en notre pays pour parler au nom de notre continent ». Poursuivant son propos, il dira : « le monde est confronté présentement à de multiples défis, comme les changements climatiques, l’inflation induite par la hausse des prix de l’énergie, des matières premières, et la perturbation des chaînes d’approvisionnement due au contexte géopolitique international. Ces crises multiformes récentes n’ont malheureusement pas manqué d’accentuer la vulnérabilité économique de notre continent et de constituer un frein à la dynamique de croissance et de développement économique enclenchée depuis quelques années. Toutefois, les économies africaines avancent, malgré tout, dans la bonne direction. »

Plus loin, Abdou Karim Fofana s’est fait porteur d’un plaidoyer en faveur de l’Afrique. « Notre organisation, a-t-il déclaré, devrait accorder plus d’attention, certes au développement de nos échanges mais également et surtout à la disponibilité des produits agricoles et alimentaires, notamment pour les pays les plus faibles, en soutenant davantage l’élimination des restrictions à l’exportation dans le cadre notamment du système commercial multilatéral. » Le ministre du Commerce a aussi défendu l’idée d’un développement des entreprises africaines « pour créer des richesses et des emplois en assurant un meilleur accès réciproque aux pays membres de l’OCI et au développement de normes communes ».

En conclusion de son allocution, le porte-parole du gouvernement du Sénégal qui s’est mué pour l’occasion en porte-parole des gouvernements africains a, en vue de la session prévue l’année prochaine, invité les pays membres en terre africaine dans les termes suivants : « Le Sénégal, via son Agence nationale d'Encadrement et de Développement des PME (ADEPME), manifeste toute sa disponibilité à accueillir, en 2024, la poursuite des travaux sur le réseau des agences PME de l’OCI ».

 

 

 

 Le Premier Ministre Amadou BA a inauguré, ce dimanche 3 décembre 2023 à Guédiawaye, la Maison de la Femme Mantoulaye GUENE (144.000.000 FCA) et la Maison des Associations (524.739.097 FCFA). La Maison de la Femme pourra, entre autres, accueillir les activités de formation et celles génératrices de revenus. La Maison des Associations entre dans le cadre du soutien de l'action associative.

Ces deux importantes infrastructures d'utilité sociale viennent renforcer les réalisations communautaires à l'endroit des jeunes et des femmes du département. *CARACTÉRISTIQUES MAISON DE LA FEMME MANTOULAYE GUENE*  Bâtiment R+1 sur 400 m2 comprenant :  Pour le niveau RDC : (3 bureaux, 1 salle d’attente, 01 guichet, 02 ateliers, 01 auditorium, 01 magasin, des blocs de toilettes) Pour le 1er étage : (04 bureaux, 03 salles de formation, 02 salles de consultation, 01 salle d’attente, es blocs de toilettes) 

 

Ce grand meeting du 2 décembre 2023, en raison de sa forte mobilisation, dans l'unité et la ferveur, aux Muraux, dans les Yvelines, à proximité de Paris, Maître Malick SALL, a bien lancé la campagne des présidentielles du 25 février 2024. Le candidat de la majorité présidentielle Amadou BA, fera, en toute sérénité et sous de bons auspices, son grand meeting du 9 décembre 2023 à Paris.

 

En raison du ralliement des récalcitrants, on peut dire que Maître Malick SALL, patron incontesté du Fouta-Toro de ses diasporas notamment en France, a de l'écoute et de la considération. En effet, comme une aiguille qui raccommode, Maître Malick SALL, aux Muraux lors de ce méga meeting de la majorité présidentielle de soutien au candidat Amadou BA, a pacifié et rassemblé le camp présidentiel, un temps désorienté après le retrait de la candidature du président Macky SALL. Par conséquent, Maître Malick SALL a maintenant ressoudé l'APR, le parti présidentiel, plus que jamais, en ordre de marche, pour une victoire dès le 1er tour, au 25 février 2024.

 

Cette affluence et mobilisation du camp présidentiel, mais aussi de toute la coalition BENNO, aux Muraux, est de très bonne augure. En effet les Muraux sont une ville emblématique. C'est ici le 17 mars 2012 que j'avais accompagné Maître Aïssata TALL SALL, devenue, après Ministre des affaires étrangères, Garde des Sceaux, Ministre de la Justice. La salle était si bien remplie par Abass DIALLO, président de l'association des ressortissants de Danthiady en France, ARDF, que la rencontre a été écourtée. Maître Aïssata TALL SALL, comme elle sait bien le faire, a harangué la foule et on avait bien senti depuis la France, une dynamique de l'alternance et que donc maître Abdoulaye WADE allait partir.  Dans une sorte de boutade, Maître Aïssata TALL avait dit à tous "Si Maître Abdoulaye WADE vous propose de l'argent, prenez-le et allez voter pour Macky SALL".

 

En définitive, ce meeting du 2 décembre 2023 aux Muraux, avec Maître Malick SALL, fera date dans l'histoire politique du Sénégal. J'y ai senti une étincelle, comme celle de 2012, mais aussi et surtout une nouvelle dynamique où tout le camp remobilisé et soudé, croit en lui-même et regarde dans la même direction.

 

Invité de l’émission « Toute la Vérité sur la Sen TV », le ministre, responsable du parti présidentiel à Dakar est revenu sur ce qui s’est passé au siège de l’APR, il y a quelques jours.

« Il n’y a pas de guerre de leadership à Dakar » a d’abord tenu à préciser Abdou Karim Fofana. Il y a eu des échauffourées malheureuses au siège de l’APR. Des responsables de Dakar se sont mis ensemble pour collecter des parrainages. Dakar est une locomotive pour la présidentielle. Si vous améliorez votre résultat de 10 ou 15 points à Dakar, vous impactez positivement le résultat national. C’est un devoir de s’investir. Ils l’ont fait et sont allés au siège pour remettre leurs parrainages. Là entre responsables, il y a eu des problèmes pour des sièges ou ce genre de choses. En réalité c’est ça mais il n’y a pas une guerre de leadership ».

Plus loin, le ministre du Commerce dira qu’à Dakar, « il y a un travail à faire. La priorité c’est de mobiliser les électeurs de Benno Bokk Yakaar. On a un bon candidat, un bon programme, un bon bilan du Président de la République, ce qu’il nous faut, c’est faire en sorte que nous soyons ensemble et que chacun travaille selon ses capacités. L’enjeu c’est que notre candidat gagne au premier tour et que Dakar participe massivement à cette victoire ».

Et d’ajouter : « quatre millions de parrains c’est sérieux, c’est de l’ardeur militante. Le parrainage est un moment de mobilisation. Les états-majors politiques qui en ont les moyens ont le droit de mobiliser leurs militants. Cela nous permet d’aller vers les populations et d’évaluer nos forces ».

Etat de la démocratie sénégalaise

Le porte-parole du gouvernement a aussi rappelé pourquoi le Sénégal demeure une démocratie. « Nous sommes, a-t-il dit au micro de Fabrice Nguéma, dans un pays où aux dernières locales, l’opposition a remporté de grandes villes. Un pays où aux législatives, notre coalition et celles des oppositions réunies étaient au coude à coude en nombre de sièges. Un pays où il y a 40 radios, une vingtaine de télés, une centaine de sites d’informations. Dans un tel pays, on veut parler de confiscation des libertés ».

En conclusion, AKF affirme : « Le Sénégal est une démocratie, les voies et moyens pour arriver au pouvoir sont connus de tous. Me Abdoulaye Wade et le Président Macky Sall les ont empruntés. On a des lois et règlements qui s’appliquent à tous. Souvent il y a des décisions de justice défavorables à l’Etat du Sénégal. Quand nous ne sommes pas satisfaits, nous épuisons les voies de recours sans appeler à casser ni attenter à quoi que ce soit. C’est ça la démocratie, c’est ça être républicain. Malheureusement cette attitude manque à certains hommes politiques. »

 

 

L'élan de solidarité et de soutien des différentes couches et catégories socioprofessionnelles du pays continue de se porter vers la nouvelle vedette du landerneau politique sénégalais. A la suite des membres, des entités de développement des mouvements de jeunesses, des femmes, du milieu du clergé, musulmans et catholiques, de l'univers des acteurs culturels, voilà que le monde de la lutte et des arènes sénégalaises porte son dévolu sur la candidate à la présidentielle de février 2024, Anta Babacar Ngom.

 

La structure Thie Production vient de faire d'elle la marraine d'un gala de lutte organisé le 30  décembre prochain à l'hippodrome Ndiaw Macodou de Thiès. La grande affiche oppose Mor Sarr à Fils de Samba Diaw. Le promoteur de Thie Production, en remettant le drapeau, ce week-end, à la permanence de ARC, à Pikine, a livré les raisons du choix porté sur la marraine.

 

Pour lui, «elle symbolise l'espoir pour la relève et les changements attendus pour un meilleur Sénégal». Le coordonnateur national de ARC, Magatte Wade, qui avait, à ses côtes, les responsables locaux dont Daba Ngom, a d'abord transmis la reconnaissance de la présidente de ARC, à l'égard de Thie Production. Il a saisi l'opportunité pour louer les qualités intellectuelles et professionnelles de la fille émérite de Babacar Ngom, l'un des grands tenants du patriotisme économique sénégalais et africain. 

 

Pour Magatte Wade, «Anta Babacar Ngom dont le regain de popularité se précise de jour en .jour, et ceci en un temps record, a tous les atouts pour diriger le Sénégal et le mener à bon port».

 

Mohamed  Al Amine  Thioune

 

«Lorsque je l’ai vu, je lui ai posé la question s’il est le même Sonko que j’ai connu avant. Il a pris du poids et il se porte très bien. Nous avons échangé sur les questions d’actualité qui touchent le pays, sur la bonne gouvernance. Mais aussi comment faire partir le régime actuel». C’est en ces mots que le député candidat à l’élection présidentielle a informé de l’état de santé de Sonko détenu pour des affaires judiciaires.

Face à la presse ce vendredi, l’ancien membre du parti de Parti Diop promet, une fois élu, d’élargir de prison le leader de l’ex-parti Pastef. Sa déclaration fait suite à sa visite rendue à l’opposant à la prison du Cap Manuel. «Et je m’engage à le faire sortir le jour où je vais prendre le pouvoir. Même si je pense que celui que je vais soutenir  fera un pacte pour faire sortir Sonko de prison», a promis l’honorable député.

 Lors de ses échanges avec les journalistes, Abdou Bara Dolly Mbacké a fait savoir que beaucoup de personnes, qui sont dans l’opposition comme dans le pouvoir, de même que dans son propre parti, ne souhaitent pas voir Ousmane Sonko recouvrer la liberté. «Certains charlatans comme certains avocats n’ont plus rien à grignoter comme pécule. Leurs affaires ne marchent plus. Et ce qui est le plus désolant, c’est que depuis 2021, le chef de l’Etat n’a cessé de l’écraser en l’humiliant sous toutes les formes. Et tout cela c’est juste pour l’empêcher de participer à l’élection présidentielle de 2024», a soutenu le marabout-député.

 Evoquant le rejet de la caution du leader de l’ex-parti Pastef, Abdou Bara Dolly Mbacké dira : «La CDC a violé le Code électoral. Et ça, c’est Macky Sall qui est derrière». Faisant allusion au parti au pouvoir, il dira : «On ne fait pas partie de ces gens qui donnent des chiffres de montage et qui disent avoir 1 million de parrains. Cela nous fait rire. Et je vais vous annoncer que j’ai été consulté,  et on m’a fait savoir que je serai le 5ème Président…»

Youssouf NDIONGUE

CMU
cmu