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Malal DIALLO Pithi

Malal DIALLO Pithi

Dans le but de promouvoir des emplois et de s’imprégner des enjeux économiques de la région de Thiès, la jeunesse dynamique du mouvement Renaissance Sociale pour l'Émergence (RSE) sillonne la capitale du rail. Mais cela démarre par un panel intitulé "Emplois et Enjeux Économiques à Thiès’’, une thématique qui a mobilisé un grand public dont, entre autres, des personnalités influentes, des jeunes engagés et des représentants des médias, tous réunis pour discuter des développements économiques majeurs qui transforment la région.

 

La construction du futur Port, dans la région de Thiès n’a pas échappé à la vigilance des organisateurs. Avec des possibilités de futurs milliers d’emploi, cette nouvelle infrastructure économique a figuré au cœur des discussions qui avaient fini par être une véritable passion  chez les participants, car, le partenaire Dp World promet de redéfinir le paysage économique de Thiès. Ainsi, sous la présidence de Dr Papa Amadou Ndiaye, ministre délégué auprès du ministère des Infrastructures, des Transports Terrestres et du désenclavement chargé des Chemins de Fer, et en présence du coordonnateur du mouvement RSE, Ibrahima Salem Badara Cissé, le panel a fait ressortir des retombées de ce grand projet du futur, avec la création d'un hub aéroportuaire, d'une ligne de train express régional, et d'une nouvelle industrie pharmaceutique. Ce projet symbolise l'engagement profond de la RSE envers l'émergence économique de la région de Thiès.

 

Cet évènement a également fait ressortir la nécessité d’une plateforme essentielle à la RSE pour mettre en avant son dévouement envers l'essor économique local. De sorte que d’autres thématiques ont été abordé telles que les enjeux économiques par rapport aux perspectives liées à l'exploitation imminente des ressources gazières et pétrolières du pays. Pour Salem Cissé, le Coordinateur du mouvement, «je me réjouis de la tenue de ce dialogue constructif pour l'avenir économique de Thiès. Ce panel démontre la vitalité et l'implication de la jeunesse locale dans la construction d'un avenir prospère».

 

Après quoi, la tournée se poursuivra avec des étapes stratégiques dans différentes localités de Dakar ville et sa banlieue pour rencontrer d’autres mouvements de même vocation. Avant de rallier, durant ce mois de décembre, les villes comme Bambèye, Diourbel et Saint-Louis, un autre panel économique sur l'Entrepreneuriat  et un forum sur la formation et l'insertion professionnelle vont se tenir aux Parcelles Assainies le 9 décembre. Mais il faut signaler aussi que ces étapes marqueront des moments clés dans la mobilisation de la jeunesse en faveur du Premier Ministre du Sénégal, Amadou Bâ, et de son programme ambitieux. «La RSE continue de se positionner comme une force motrice dans la promotion du développement économique et de l'émergence du Sénégal, et cette tournée s'avère être une étape cruciale dans cette démarche», se veut Salem Cissé.

 

Youssouf NDIONGUE

 

Le leader du mouvement "Njerin Askan Wi" a organisé un grand rassemblement devant ses militants venus nombreux et des ténors politiques de la mouvance présidentielle. Une belle occasion saisie par Oumar Yaya Sow pour lancer un appel à l'unité de la famille de l'Apr et de ses alliés de la coalition Benno Bokk Yakaar.

 

Oumar Yaya Sow affiche comme priorité Unir la famille de la coalition de Bby et élire Amadou Ba à la tête du Sénégal pour les élections présidentielles à venir, telle est l’ambition du leader de Njerin Askan Wi, à travers un rassemblement organisé dans le département de Keur Massar, notamment à Yeumbeul Sud commune. Selon lui, «le candidat de la coalition de Bby et qui a été choisi par le président de la république a le meilleur profil pour piloter le Sénégal. L'état doit soutenir les jeunes qui ont besoin de la formation. J'ai resté longtemps à observer avant de murir le plan de soutien à Amadou Ba. Il faut être acquis de l'expérience pour comprendre les conséquences, les risques et les avantages de l'exploitation du pétrole. Et notre pays traverse un tournant très important. Raison pour laquelle nous devons choisir l'homme qu'il faut à la place qu'il faut. Et seul le premier ministre peut aujourd'hui succéder Macky Sall à la tête du Sénégal».

 

Omar Yaya Sow a aussi appelé tous les militants à l’unité et à la mobilisation afin de réussir cette noble ambition de la réélection du candidat Amadou Ba dès le premier tour au soir du 25 février prochain. En marge de l’activité, une projection de film qui retrace ses actes sur le volet social a l'endroit des populations a été faite. Avec son mouvement " Njerign Askan Wi", Omar Yaya Sow a aussi excellé dans le social en assistant des personnes en situation modestes. Il s'active dans la formation des jeunes qu'il aide à trouver de l'emploi. Les groupements féminins ne soucient de rien sans parler des efforts qui ont été faits dans les lieux de culte. C'est ce qui lui a valu une popularité.

 

Omar Yaya Sow a lancé cet appel depuis Yeumbeul sa base dans le cadre des festivités marquant l’anniversaire de son mouvement. «Je reste convaincu que notre vœu sera exaucé et si je dois me prononcer avec l’opinion nationale et internationale, je dois porter les ambitions de la banlieue qui a besoin de l'appui de l'état» dira t-il.  Pour cette grande activité, des artistes ont défilé pour apporter une originalité et de la gaieté dans l’animation politique. Avant de terminer son discours, Omar Sow a lancé un appel solennel à ses pairs de venir s’aligner derrière le Président et d’appuyer cette candidature logique et légitime. Pour cela, il a surtout convié les militants à rester debout et solidaires.

 

Youssouf NDIONGUE

 

Le président du mouvement « Nieup », Khadim DIA a procédé, ce lundi 27 novembre 2023, à la remise d’un lot de 28.353 parrains à Abdoulaye Diouf Sarr, délégué régional au parrainage. Ce, dans le cadre de soutenir la candidature de la mouvance présidentielle d’Amadou Ba.

Revenant sur l’incident qui a récemment eu lieu au siège de l’APR, le leader du mouvement « Nieup » a fait savoir devant le délégué national au parrainage que la «bataille doit se faire sur le terrain et non à la permanence». Sur cette même lancée, il invite ses collaborateurs à continuer le travail de terrain déjà entamé.

Poursuivant son allocution, le président du mouvement « NIeup » s’est réjoui de l’effort incontestable de ses militants et les exhorte à s’engager davantage pour offrir une victoire au candidat Amadou Bâ au soir du 25 février 2024.

Khadim Dia a, par ailleurs, remercié l’ensemble des membres de son mouvement ainsi que ceux venus des quatre coins du Senegal.

(Avec Moussa Diallo, ledakarois221.com)

Le ministre du commerce Abdou Karim Fofana et des responsables de Benno Bokk Yakaar de Dakar, ont  remis vendredi des fiches de parrainages collectées au profit du Candidat de la majorité présidentielle, Amadou Ba. Ainsi, se réjouit-il,  la région de Dakar, durant la journée du 24 novembre, a pu collecter plus de 122 mille fiches de parrainages. Le parrainage, avance le ministre du commerce, c’est la préparation physique voire l’échauffement,  et durant le mois de décembre, il y aura une descente à la base, vers les forces vives pour leur proposer le programme de notre candidat, Amadou Ba.

Le responsable départemental de l’APR Dakar a regretté quelques bousculades, entre responsables, dues à des questions de places assises. «Mais, il n’y a aucun différend entre des responsables de Bby», s’est-il empressé de préciser. M. Fofana a remercié tous les responsables de la région de Dakar pour le travail accompli. Et de donner rendez-vous pour le mois de décembre prochain pour l’occupation sans partage du terrain

 

Ils auraient pu être exemptés du fastidieux travail de collecte de parrainages citoyens en perspective à la prochaine élection présidentielle, mais les handicapés républicains refusent d’opter pour la facilité. Ils ont en effet récolté 1270 signatures malgré leur mobilité fortement réduite pour certains parmi eux, et une déficience visuelle pour d’autres. Le président de leur mouvement, Toumany Camara a procédé, ce samedi, à la remise des fiches de parrainage à Abdoulaye Diagne, le coordonnateur du Pôle Parrainage de la coalition Benno Bokk Yakaar.

Cela aurait pu constituer une belle leçon d’engagement et de détermination pour ceux et celles qui seraient tentés de faire le fainéant pour les initiatives communes. Le mouvement des handicapés républicains, comme à  chaque évènement politique, se mobilise et répond aux attentes des responsables de leur parti/coalition. Cela leur a valu de la part du coordonnateur du Pôle Parrainage de Bby des félicitations et des encouragements, c’était en marge de la remise des 1270 signatures qu’ils ont récoltées pour le compte de leur candidat Amadou Ba.

Pour Abdoulaye Diagne : «Nous sommes bien au courant des importants et fructueux efforts que les protégés de Toumany Camara mènent à chaque grand évènement. Ils ne se lassent jamais et répondent toujours présents, malgré la rigueur que cela peur exiger parfois. Pour cela, nous en sommes reconnaissants et fiers. Surtout qu’ils ont vite adhéré au choix de Amadou Ba comme candidat de la coalition présidentielle».

En réponse à ces mots prononcés à leur endroit, Toumany Camara déclare : «les 1270 signatures ne constituent qu’un premier jet en notre disposition. Nos membres sont encore et toujours sur le terrain pour terminer le second jet qui sera aussitôt remis à M. Diagne. Mieux, ils en profitent pour sensibiliser davantage sur les  performances du Président Macky Sall, tout en ayant pour objectif de mobiliser au maximum les adeptes de la continuité et de la stabilité afin de voter le candidat Amadou Ba. Notre objectif, comme tous les autres sympathisants et militants, c’est une victoire nette et sans bavure de la coalition BBy», dixit Toumany Camara.

 

La RTS, c’est des souvenirs d’un passé glorieux à préserver et à consolider. C’est une maison qui a vu éclore de grands talents et des stars dans une ambiance empreinte de respect et de cordialité. La RTS, une grande école de vie, qui a imprimé sa marque indélébile dans l’espace audiovisuel au Sénégal en Afrique et dans le monde.

 

De Alioune Fall, Pathé Fall Dièye, Pape Racine Sy, Marcel Ndione, GuilaThiam, Mactar Sylla, Abdou Khoudoss Niang, Babacar Diagne, Ibrahima Sané, Cheikhou Omar Seck, Ndèye Gnagna Sidibé, Momar Lo, Ngewane Niane, Ibrahima Souleymane Ndiaye, Mamadou Malaye Diop, Martin Boucar Faye, Pape laye Dème, Iba Gueye, Ahmed Bachir Kounta, El Hadji Mansour Mbaye, Samba Laobé Dieng, Mansour Sow, Diaité au standard, Laye Diagne, Clédor Diagne, Mamadou Baal, Doume Sow, Pape Khalil Touré, Abou Alassane Niang, Charles Ndione, Mame Less Camara, Jean Pierre Sène, Magib Gaye, Mansour Seck, Ibou Ndoye, Thiama Dieng, Amadou Alex Niang, Oumar Arame Fall, Pape Sène, Aly Ba l’américain, Magib Sène, Moustapha Ndiaye, Samba Mangane, Betty Bao, Maïmouna Maho Dieng, Mohamed Gassama, Demba Dieng, Seynabou Kor, Abdourakhmane Koita, Amadou Mbaye Loum, Lamine Touré, Pèdre Ndiaye à l’actuel directeur général Racine Talla et la nouvelle équipe: beaucoup d’eau a coulé sous les ponts. Parmi ces visages qui nous étaient familiers certains ont quitté ce bas monde. Des femmes et hommes de valeur qui ont rayonné dans le cœur des sénégalais.Des hommes et des femmes qui forcent le respect car adulés et très respectés.Ils ont tous donné le maximum d’eux-mêmes pour porter très haut le flambeau du travail bien fait et de la réussite totale.

 

La RTS était un grenier de talents avérés cités en exemple dans le monde de l’audiovisuel et même au-delà de nos frontières. Parmi ces vedettes on retient: Abdoulaye Fofana, Djadji Touré, Sada Kane, Elisabeth Ndiaye, Sokhna Dieng, Matar Camara, Yves Jacques Sow, Pape Malick Gueye, Arame Diop, Daouda Ndiaye, Babacar Diagne, Madior Sylla, Mactar Sylla, Moise Ambroise Gomis, Khalil Gueye, Abdoulaye Diaw, Golbert DIAGNE, Jérôme Diouf, Satiombi Diop, Nema SANE, Oumar Dia, Ahmadou Ba, Binetou Dieng, Marguerite Thiam Maguette Wade Télé Variétés, Djibril Gaby Gaye, Aïssatou Laba Touré,  , Marie Madeleine Diallo, Vieux Dorro Ndiaye, Daouda Guissé, Feu Boubacar Dabo,  Balla Basse Diallo, Mamadou Lamine Doumbia, Silèye Ndiaye, Abou Alassane Niang, Demba Ndiaye, Lamine Moctar Coly, Abdoulaye Dabo, Fanta Fifi Kante. Des voix radiophoniques qui parlaient un excellent français.Nous n’avons pas regretté d’avoir appartenu à cette maison où nous formions une famille et c’est également ce qui est le cas aujourd’hui. Hélas, la grande maison de la RTS a perdu beaucoup de ses agents qui ont trépassé. Au demeurant, il convient de noter que nous regrettons l’ambiance qui prévaut aujourd’hui au sein de la maison mère avec des conflits à déplorer entre certains syndicats de la maison et la Direction générale. La défense des intérêts matériels et moraux doit être en bandoulière pour sauvegarder le calme et la sérénité entre les parties.

 

Au même moment, grâce au soutien indéfectible de Monsieur le Président de la République, .la Rts vient d’acquérir des équipements techniques de dernière génération. A cela s’ajoute la construction de la tour RTS et la réhabilitation des stations régionales. Le Chef de l’Etat qui n’a ménagé aucun effort pour mettre les agents de la Rts dans d’excellentes conditions de travail. Un constat fait par toutes les parties prenantes au sein de la boîte.Ce qui augure d’un climat social apaisé pour entamer ensemble les grands changements et challenges qui s’offrent à la Radiodiffusion télévision Sénégalaise.L’heure n’est plus aux dissensions inutiles mais à une synergie des efforts pour mériter la confiance des sénégalais. Nous en appelons ainsi à l’esprit d’ouverture et de management de l’actuel directeur général mon ami Racine Talla pour qui j’ai beaucoup d’estime et de considération pour sa vision qui consiste entre autres à territorialiser la télévision publique nationale aux contenus et couleurs des terroirs (RTS 4, 5) et le maillage national de la radio qui parle toutes nos langues et est dans toutes nos contrées. Cette maison appelée la RTS n’a jamais connu de telles dissensions et celles-ci risquent de plomber le bon fonctionnement de la boîte qui a de nos jours tout à prouver encore sur le plan du pluralisme démocratique dans le respect des règles d’éthique et de déontologie. L’opinion attend de la Rts le respect strict de son rôle de service public. Il est temps de solliciter les bons offices des anciens de la RTS pour un apaisement gage de réussite dans le monde de l’audiovisuel au Sénégal en Afrique et dans le monde. La RTS, comme je le disais souvent à l’antenne, c’est l’expérience qui fait la différence. Vivement le retour au calme et à la sérénité au sein de l’entreprise.

 

Mbaye DIOUF

Ancien de la RTS

 

A moins deux mois de l’élection Présidentielle, et en fanfares, Mme la ministre de l’Economie Solidaire se souvient brutalement que Matam était une partie du pays. Des panneaux-chèques  affichant 200.0000.000 francs CFA sont distribués aux sociétés d’intensification de la production agricole (SIPA).

 

Je pense que les Matamois  ne sont pas si naïfs pour croire à vos coups médiatiques pour calmer vos consciences. La région a  été de tous les combats pour le Président Macky Sall, malheureusement, elle est la grande oubliée. D’ailleurs, la plupart des SIPA ne le sont que de nom, et sont exploitées par quelques magnats assoiffés d’argent. Quelle serait alors la finalité? Enrichir encore des riches et tromper le petit peuple. 

 

J’appelle mes parents de Matam a plus de clairvoyance. Les petits pécules que vous recevez en ces moments difficiles sont certes utiles, mais notre région et ses enfants méritent plus de respects. Il est temps de tourner la page, surtout pour un développement agricole digne de la vocation de cette belle région. Donc chers matamois et matamoises,  REVEILLEZ  VOUS !

 

Dr Bassirou NIANG Président Rassemblement National des Sénégalais,

Coalition Aly Ngouille 2024.

 

Le contesté candidat de "Benno" a reçu un soutien de taille pour la course à la Présidentielle. Etabli dans la capitale du pays de Marianne, l'homme d'affaires, Lahat Ndiaye,  appelle à voter pour l'actuel Premier Ministre du Sénégal (Amadou Ba) pour l'élection présidentielle à l'issue incertaine  prévue, sauf revirement, dans 2 mois et 29 jours. Selon dakarposte, Lahat a saisi l'opportunité d'une cérémonie de lancement d'un mouvement acquis à la cause du candidat de BBY, à Sarcelles,  pour annoncer son engagement à  "soutenir son ami Amadou Ba".

Joint ce dimanche matin, il confirme: " effectivement,  je ne ménagerais aucun effort ici en France pour cette campagne. Je compte  accompagner Amadou Ba pour la victoire au soir du scrutin de Février prochain et inchAllah il sera élu Président de la République dès le premier tour. Et, l'influent Lahat Ndiaye de conclure:  " Il ne faut pas chercher midi à quatorze heures, le dauphin désigné par Macky Sall , mon ami et grand frère Amadou Ba,  a, force est de le reconnaitre, le profil de l'emploi, c'est à dire la personnalité et l'expérience pour présider aux destinées du pays "

 

 

En marge du 105ème congrès des maires et Présidents d’intercommunalité de France tenu à Paris, l’honorable député maire de Bambilor Monsieur Ndiagne Diop a saisi l’occasion pour initier une rencontre de présentation et d’échanges avec la convergence des jeunes et cadres de la diaspora casamançaise et du Sénégal oriental. Ce mouvement regroupant des ressortissants sénégalais établis en France, en Espagne, en Italie mais aussi en Allemagne a exprimé son entière satisfaction après cette rencontre.

 

 En effet, après les avoir écoutés, l’honorable député a d’abord magnifié la participation significative de la diaspora sénégalaise dans le développement socio-économique du pays. Le maire de Bambilor a ensuite axé son intervention sur la politique de développement mise en œuvre par le Président Macky Sall depuis son accession à la magistrature, particulièrement dans la région naturelle de la casamançaise et du Sénégal oriental. Le député reviendra ainsi sur les efforts déployés par l’état du Sénégal pour restaurer la paix dans cette région, la construction des infrastructures de désenclavement pour permettre une véritable relance économique de la région du sud.

 

Le responsable de la coalition BBY insistera par la même occasion sur la nécessité de comprendre et de mesurer les enjeux de la prochaine élection présidentielle qui, selon lui, doit permettre le parachèvement de la politique de développement du pays avec l’élection de monsieur Amadou Ba. Aussi, monsieur Ndiagne Diop ne manquera pas de  manifester son entière disponibilité à accompagner nos ressortissants dans la mise en œuvre de leurs projets dans la diaspora mais également au Sénégal. 

 

La convergence des jeunes et cadres de la diaspora casamançaise et du Sénégal par la voix de son président monsieur Ibrahima Fara Ndiaye, entend poursuivre son travail de massification et de remobilisation de nos compatriotes de la diaspora pour une victoire du Premier ministre Amadou Ba à la présidentielle de février 2024.

 

 

Le 17 octobre 2023, des médias et autres soutiens de Ousmane Sonko avaient largement relayé sa déclaration relative à la reprise de sa grève de la faim. A la surprise générale, il y a deux jours, M. Habib Sy, ancien Ministre d’État du Président Abdoulaye Wade, actuel membre de la coalition Yewwi Askan Wi et nouveau courtisan de Sonko, nous apprend que celui-ci est « en excellente forme, qu’il a repris le sport et se nourrit bien ». Curieusement, Monsieur Sonko contrairement à ses habitudes, n’a pas annoncé la suspension de sa grève de la faim.

Sonko, la constance dans le mensonge

 

En réalité, il mentait, comme souvent. Ousmane Sonko n’a jamais observé une quelconque grève de la faim. Il n’a jamais piqué une crise cardiaque. Il n’a jamais été dans un état comateux.

En bon populiste, Ousmane Sonko ment et manipule des Sénégalais en surfant sur le registre de l’émotion, avec la complicité d’une certaine presse, paresseuse et corrompue, qui sert de relais à sa propagande mensongère.

Pour rappel, au lendemain de l’annonce d’une plainte pour viol en février 2021, M. Sonko a publié sur sa page Facebook qu’il ne connaissait pas le salon de massage incriminé encore moins son accusatrice. Il abandonne ensuite cette thèse et se dédit en déclarant connaître et Sweet beauté et Mme Adji Sarr. Il ose même justifier ses fréquentes visites nocturnes en plein couvre-feu dans le salon par des raisons médicales, en l’occurrence pour soigner de persistantes douleurs lombaires qui le font souffrir depuis l’enfance.

Devant cette ligne de défense très fragile en raison du niveau scolaire de la masseuse et sa patronne, Sonko sort de son chapeau un complot imaginaire ourdi par le Président Macky Sall, son ministre de l’Intérieur ainsi que le procureur de la République, pour l’empêcher d’être candidat à l’élection présidentielle de février 2024.

Les drames mars 2021 et juin 2023

 

Pour sa défense, il opte pour une stratégie extrémiste d’appels au « Mortal combat », au « thioky fin », à la violence, à l’insurrection et au terrorisme aux fins d’empêcher l’éclatement de la vérité. Par une sidérante lâcheté, il refuse d’assumer ses propres turpitudes, ses escapades dans un lieu de débauche et ne recule devant aucune limite raisonnable.

 

C’est ainsi qu’il se cache derrière des dénégations qui ne convainquent aucun esprit sensé et engage ses partisans à livrer un « Mortal combat ».

La suite est connue :

 

  1.   des pertes en vies humaines de plusieurs dizaines de compatriotes, notamment des jeunes ;

 

  1.   des destructions de biens publics et privés nationaux et étrangers qui ont couté des dizaines de milliards de francs CFA.

 

Pour masquer les faits, tromper les Sénégalais et se soustraire à la Justice, Sonko a bénéficié des plaidoiries et investigations, faussement juridiques et journalistiques, de pseudos avocats et de laquais médiatiques. Une puissante industrie du mensonge a été mise en exergue par des journalistes, hommes d’affaires, universitaires, religieux, chroniqueurs, charlatans et autres mercenaires pour faire triompher le mensonge sur la vérité. Ils n’ont pas reculé devant la convocation de faux témoignages, la subordination de témoins, le recours aux inventions les plus farfelues et les menaces et injures sur toute personne qui émettrait le moindre doute sur leurs théories fallacieuses.

Malgré tout, les appels à l’insurrection, les chantages à la violence, à la grève de la faim, au coma sur fond de stratégie victimaire et complotiste ont échoué face au courage, à la détermination et au haut sens républicain de magistrats, forces de sécurité et autorités publiques.

 

Les avocats, les nervis médiatiques et les mercenaires de la pseudo société civile acquis à la cause de Sonko n’ont pas réussi à freiner les poursuites judiciaires enclenchées contre ce dernier. Et ce en dépit des actions terroristes et insurrectionnelles entreprises pour empêcher la tenue de son procès.

Malheureusement pour Sonko, et heureusement pour le pays, la République est restée debout et la justice l’a condamné.

Qu’à cela ne tienne !

Le Président Macky Sall ne sera pas l’Allemand Paul von Hindenburg ! Le Sénégal ne sera pas non plus le terrain d’expérimentation de l’extrémisme violent, du populisme et du djihadisme, qui ont, tous les trois, débouché partout où ils ont triomphé, à l’élimination de la liberté et de la démocratie libérale.

Ousmane Sonko a perdu sa guerre pour la candidature.

 

La dissolution de son parti pour terrorisme, appels à l’insurrection ayant entraîné des morts et destructions doit conduire à l’extinction des droits politiques de tous les responsables et militants de ce parti.

Pour protéger le Sénégal des affres du populisme et de l’islamisme politique, qui génèrent la violence et l’obscurantisme, et mettre un terme à l’aventure meurtrière et destructrice de Sonko, le Président Macky Sall ne peut pas faire moins que l’Algérien Mohamed Boudiaf et l’égyptien Abdel Fattah al-Sissi

Pour rappel, quand le Front islamique du salut a remporté le premier tour des élections législatives de 1991 en Algérie, et voyant la menace de l’hydre islamistes sur le pays, le Front de libération nationale en lien avec l’armée, a refusé de laisser les islamistes gouverner.

En Égypte, le Président Mohamed Morsi, issu des islamistes Frères musulmans, a été déposé et emprisonné.

 

Quel que soit le moyen et quoi qu’il en coûte, il faut empêche aux membres d’un parti dissout pour terrorisme et appels à l’insurrection de participer à une élection présidentielle censée légitimer celle ou celui qui aura à charge de défendre et de préserver la République.

Ainsi après la capitulation de Sonko, aucun autre membre ou soutien de son parti ne doit être candidat. Toute candidature qui bénéficie d’un quelconque soutien de Sonko devra être disqualifiée.

Le Sénégal ne peut prendre aucun risque avec le terrorisme et l’islamisme politique, car les institutions doivent être préservées des dangereux pyromanes, ennemis de la République.

 

Le Sénégal, par son histoire et sa trajectoire, ne saurait être un sanctuaire ou un lieu d’incubation en Afrique du populisme violent, de l’Islamisme politique et du totalitarisme.

Après le naufrage judiciaire de Sonko et l’échec du gatsa gatsa, l’heure est à l’éradication de l’ex-Pastef. Pour cela, le Président doit dissoudre toutes les collectivités territoriales dirigées par des responsables de l’ex-Pastef.Avec tous les dégâts humains, moraux et matériels que ce parti et ses militants ont causés à notre pays, ses responsables sont indignes de siéger à l’Assemblée nationale.

 

Comme Sonko, la prison est la place de tous les responsables et de tous les élus issus des rangs de l’ex-parti, y compris les députés. Des arrestations massives doivent être lancées dans les 557 communes du Sénégal ainsi qu’une purge dans la fonction publique de tous ceux qui refusent d’entériner la nature républicaine, démocratique, sociale et laïque du Sénégal et qui sont compromis avec l’islamisme.

Il s’agit d’une opération de salut national pour préserver ce que nous avons en commun en dépit de nos divergences et de nos différences : la République.

CMU
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