Malal DIALLO Pithi
ENTRETIEN – POLITIQUE / OUSMANE SAMS NDIAYE, PASTEF GUEDIAWAYE : «Nous avons un seul et unique interlocuteur, c’est le peuple sénégalais»
Sociologue et membre des Cadres de Pastef, Ousmane Sams NDIAYE s’érige en parfait défenseur de son leader Ousmane Sonko dont la sortie récente continue de d’alimenter les commentaires. Comme pour donner carte blanche au Premier Ministre sur les actes qu’il pose, Sams Ndiaye revient, dans cet entretien, sur ce qui caractérise le discours de son homonyme et ce qu’il convient de retenir en définitive.
Vous avez suivi le discours du premier ministre Ousmane Sonko à la Conférence de la JPS. Quelle lecture en faites-vous?
Oui le président du PASTEF a répondu à l’appel de ses jeunes, en l’occurrence la JPS. Mais en réalité, c’était un prétexte pour parler à l’ensemble des jeunes du pays, qui représentent l’essentiel de la population, où 78% de la population a moins de 35 ans. Ces jeunes ont participé activement à l’élection de la coalition Diomaye Président. C’est eux en réalité qui ont protégé le projet contre les assauts du régime précédent. Il est donc tout à fait normal de répondre à leur appel. Il en a profité pour les appeler à avoir une posture citoyenne, à participer à la reconstruction du pays à travers des actions d’intérêts communautaires, telles que cultiver la terre, reboiser des arbres, construire des salles de classe etc. Cet appel montre son engagement à faire de la jeunesse un acteur central du changement et du développement du Sénégal. Ces actions concrètes visent à catalyser l’énergie positive qui déborde chez ces jeunes et qui tourne autour de l’essentiel, qui est le PROJET. Il en a aussi profité pour se prononcer sur certains débats politiques soulevés dans la place publique. C'est ce dernier qui a semblé susciter certaines réactions et c’est normal. Les sorties politiques de PROS ont toujours fait débat.
Oui mais, à un certain moment, ce n’était plus le président de parti qui parlait, mais le premier ministre qui a même, par moment, mis sur la place publique des dossiers d’Etat. Est-ce que Ousmane SONKO se met dans la peau d’un PM finalement ?
Est-ce que vous avez vu Ousmane SONKO premier ministre s’exprimer durant ces différentes sorties? Si vous l’aviez observé depuis deux mois, vous vous rendriez compte de la conscience que ce monsieur a des charges qui pèsent sur ses épaules, de l’espoir que lui et son gouvernement suscitent. Il parle avec beaucoup de mesure et se comporte avec humilité, ça, c’est le PM. Mais au Grand Théâtre, on a retrouvé l’homme politique que l’on connaissait, j’allais même dire le PROS qu’on aime. Il est direct, il est cash et parle sans gang. C’est son style, sa marque de fabrique. C’est cette communication, que certains ‘’sachants’’ fustigent depuis ses débuts, qui l’a fait sortir de l’anonymat pour faire de lui le leader de l’opposition avant d’emmener son parti et sa coalition au pouvoir. C’est peut-être difficile, mais il fait bel et bien la différence de rôle dans la posture mais aussi dans le discours.
S’il n’était pas PM, est ce qu’il aurait eu connaissance des dossiers qu’il a évoqués, notamment le rapport sur le PRODAC ? On l’a vu également parler du ministre de la justice qui lui aurait demandé son avis sur un dossier. Quelle est votre réaction dans ces deux cas ?
Vous savez, la reddition des comptes est une demande sociale et fait partie des promesses de campagne de la coalition Diomaye Président. Les jeunes s’impatientent et il fallait leur faire comprendre que les dossiers sont en cours. Le PRODAC qui est l’un des meilleurs projets du régime sortant en termes d’emploi des jeunes avec un financement de 29 milliards a été un échec. Un rapport a épinglé un ministre sur la gestion de ces fonds. Ousmane SONKO opposant alors, avait été accusé de diffamation par ce ministre disant que le rapport n’existait pas. Sonko est condamné à 6 mois de prison avec sursis et une amende 200.000. S’il s’avère que ce rapport existait, ce serait une des plus grosses trahisons de l’histoire politique du Sénégal qui impliquerait de hauts responsables de l’ancien régime. Si ces fonds peuvent être recouvrés, aucun effort ne serait trop parce que c’est un projet qui était destiné à ces jeunes qui sont là et qui ne demandent qu’à trouver du travail. Donc l’audience est bien choisie pour parler de ce dossier. C’est également le lieu de faire comprendre à ces jeunes-là que personne ne serait protégé. Être membre de PASTEF ne donne aucune forme d’immunité. En guise d’exemple, il a demandé à son ministre de la justice, qui a l’obligation de lui rendre compte, de poursuivre quiconque commet un délit, crime de quelque bord qu’il se situe. C’était cela le message. Toute autre considération est superfétatoire.
Il a aussi menacé ouvertement des magistrats, la presse, anciens ministres etc. Il a tiré sur tout le monde. Est-ce que c’est son rôle ?
Il a juste rappelé des principes. Il n’y a pas de citoyens à part ou groupes intouchables. Chaque métier a des règles que chacun doit respecter. Que l’on soit magistrat, journaliste ou même ministre. Le non-respect de ces règles peut conduire à des poursuites. Et pour cela, il faut une justice forte avec des magistrats indépendants et justes. Certains magistrats qui avaient été utilisés par l’ancien régime pour perpétrer certains forfaits ne doivent pas rester sur place. La liberté de la presse n’est pas un passe-droit pour dire n’importe quoi. Les journalistes doivent répondre de leur publication. Ce ne sont pas des attaques, mais des rappels visant à améliorer le système judiciaire. En appelant à la transparence et à la responsabilité, il cherche plutôt à réformer une justice qui, selon lui, a effectivement besoin de refaire sa mue. C'est une démarche pour parfaire un système essentiel à la démocratie et à la bonne gouvernance.
On a vu une levée de boucliers de certains leaders politiques, patrons de presse et chroniqueurs contre la sortie de PROS, Quelle est votre appréciation de tout cela ?
Nous sommes en démocratie et les gens sont libres de donner leur opinion et commentaires sur un discours politique. Dans l’absolu, et comme l’a toujours dit le PROS, nous avons un seul et unique interlocuteur, c’est le peuple sénégalais. Ces opposants à ce nouveau régime sont ce qu’on appelait l’opposition à l’opposition. Cette presse qui s’agite est la même qui avait traité le PASTEF, son leader et ses militants de tous les noms. Ils sont libres de commenter et nous restons focus sur notre mission avec rigueur, discernement et surtout beaucoup de courage. Le gouvernement continuera à se battre pour la transparence fiscale, à mobiliser la jeunesse et à réformer la justice.
Youssouf NDIONGUE
Le petit modèle est à la fois, un flambeur frustré, un orgueilleux blessé et un mutant perdu dans le projet !
Quand l'essentiel est en danger, s'opposer est un devoir ! La parole se mange pas et le verbe ne jugule pas la souffrance des Sénégalais. Mettez-vous au travail, les Sénégalais souffrent !
Comment les Sénégalais, modernes et en avance sur beaucoup de domaines ont-ils pu donner le pouvoir et confier son destin à ces politiciens , sans grandes qualités, sinon de démagogues et de propagandistes .
Ils risquent de conduire le Sénégal à la chute en suivant la pente d'une idéologie obsidinale, demeurée, n'appelant aucune modération, aucun en arrière possible.
Cette quête invétérée de l'estime de soi a conduit ce petit modèle à un narcissisme dangereux, cette volonté de grandeur et de puissance démesurée risque de conduire le pays vers la décadence et de la destruction totale.
Au moment où les Sénégalais vous accorde un temps de grâce pour que vous puissiez orienter vos politiques publiques afin de subvenir aux besoins des Sénégalais mais non vous êtes toujours dans vos patriques : menaces et verbiage creux.
C'est insensé d'en faire un débat, aller travailler pour le peuple, les Sénégalais souffrent.
Votre élection à la tête de ce pays n'aurait aucune signification si la liberté du citoyen n'y est pas assurée .
Un peuple commence à sa destruction quand la survie de ses membres devient utopique et la course vers la dépense quotidienne devient une obsession des gorgolou. Pour la plupart d'entre des Sénégalais, survivre relève désormais de l'exploit, et pour le plus grand nombre, chaque jour qui passe nous conforte dans le sentiment que le péril frappe à nos portes à cause de la cécité des tenants du pouvoir et de leur incapacité de pouvoir juguler la souffrance du peuple.
Tout le monde le sait. Et le monde attend, docilement avec passivité, le dénouement d'un avenir médiocre, périlleux, vain, fade et dérisoire.
Les Sénégalais sont houspillés et leurs vies sont devenues insensées , leurs aspirations émoussées, leur confiance et ardeur se désintègrent , et chaque jour qui passe se précipite, comme un coup de poignard fatal, sur le dos de notre peuple. Sous l'effet conjugué de la banalisation du parjure, du manque de respect du bas peuple, de l'absence du projet tant vendu au bas peuple, et d'une violence imposée des tenants du pouvoir sur la presse et le bas peuple, nos vies privées et publiques ne cessent de se défaire. Et en face d' un tel péril, le peuple comme les élites , attendent malencontreusement qu'un miracle les délivre de leur médiocre condition.
Née comme un acte de confiance, notre République tend insidieusement à basculer dans la violence, la répression, dans la méfiance, puis la défiance. Une suspicion s'est érigée, au fil du temps, autour de l'action publique, de l'État et des institutions de la République ; et des manifestations spontanées dans les rues, et les violences sporadiques qui les accompagnent, risquent de s'abattre sur notre pays, à cause du discours insultant de ce politicard de pastef, témoigneront d'un malaise profond dans notre société totalement désemparés, déboussolés à cause du manque de vision économique de ces stagiaires au sommet de l'État.
Cette jeunesse, malmenée au quotidien par l'ignorance et foudroyée par la désespérance dont leur oreille est bourdonner par des inepties et des incongruités inopportun par un sieur qui est sans retenue, l'État, le service public, l'intérêt général sont mise à rude épreuve par inculte et le manque de compétences notoire, nos institutions risquent de s'affaisser sous le poids des menaces , d'un manque de respect devenue insoutenable en même temps que le désordre et l'indiscipline s'installent au coeur des relations sociales, faute de rancune, de revanchard et de respect mutuel.
La République, ne serait-il pas pris en otage par la coalition des intérêts particuliers, des sectes et des réseaux occultes, se montre plus que jamais incapable de faire face aux forces sociales et politiques à la a dégradation de l'état de droit.
Les institutions risquent de se défaire pendant que la démocratie et la liberté d'expression subissent l'épreuve d'une véritable
humiliation, sans qu'aucune résistance ne se mobilise, sans qu'aucune riposte ne s'organise.
Bilakhi walakhi, le réveil risque d'être brutal, ces tenants du pouvoir s'ils pensent que les gens de l'apr sont frileux, ils trompent lourdement.
On réveille à un lion qui rumine sa colère dans le silence. Le Combat aura inévitablement lieu ne vous pressez pas.
Nous allons monter au pastef ce que peut faire l'homme républicain quand il s’oppose.
Devant leur incapacité de réduire les coûts de la vie en réduisant les prix des denrées alimentaires.
Devant leur incapacité de ravitailler le peuple sénégalais en mouton pour la Tabaski.
Devant leur incompétence et de leur manque vision en matière politique publique.
Devant l'absence du projet tant vendu au Sénégalais .
Pour contourner le débat, ce type de politicien crispé se jete dans l'incontinence verbale avec des menaces.
On s'en balance de vos menaces, faites ce dont le pourquoi les Sénégalais vous ont élu.
Samba Ndong Responsable politique Apr et Coordonnateur du Mouvement PATRIES-les éternels Mackystes
CONTRIBUTION: Mr Sonko, si le PROPHÈTE (psl) est votre RÉFÉRENCE vous êtes arrivé à bon port: BAMBA est là !!!
Lors de sa conférence publique au Grand Théâtre avec les jeunes de son parti le PM Ousmane Sonko a déclaré que sa « référence idéologique en politique est le Prophète Mohamed (psl) ». Une Première !!!
Cette déclarations mérite admiration et considération émanant d'un homme politique de son envergure. Néanmoins engage une posture et un code de conduite centré sur la vertu, la bonté, l'honnêteté, l'empathie, le respect mutuel, etc... Quoi de plus normal pour celui qui déclare suivre les traces de Mouhamad, le Meilleur des Créatures, dont Dieu dit dans le Coran : « Et tu (Mouhamed) es certes, d'une moralité Éminente » [S 68 V 4].
Des Hommes politiques qui s'atellent à suivre le chemin de la droiture, marquerait un début de solutions définitives aux maux du Sénégal.
À Mr Sonko nous rappelons que le Serviteur Privilégié et Héritier incontestable du Prophète est Cheikh Ahmadou Bamba Mbacké, un Sénégalais.
L'Homme qui a sacrifié toute sa vie à revivifier les enseignements authentiques du Saut des Prophètes pour les générations futures.
Serigne Touba a produit des centaines de panégyriques pour gratifier à toute l'humanité cet Océan de Générosité qui est une Miséricorde pour l'Humanité.
Son projet de société matérialisé à travers la communauté Mouride et la ville de TOUBA est un modèle de développement endogène magnifié à travers le monde entier.
Toutefois sachez Mr Sonko que le modèle du Prophète n'est pas en vigueur chez la plupart des pays Arabes devenus des États Bourgeois ou les valeurs sociales de l'islam perdent du terrain au profit des mondanités de la civilisation occidentale.
Si le Prophète est votre référence vous trouverez votre feuille de route dans les écrits de Cheikhoul Khadim mieux que nulle part ailleurs.
Si vous avez besoin d'interprète approchez-vous de son fidèle Général, Cheikh Ahmadou Kara Mbacké qui tire sur la sonnette d'alarme depuis 3 décennies sur l'urgence de s'approprier de ce modèle sociale volontairement ignoré par les politiciens.
BAMBA est le moyen le plus sûr de se rapprocher du Prophète et sa cause est celui du Dieu.
ô les croyants ! Craignez Allah, cherchez le MOYEN de vous rapprocher de Lui et luttez pour Sa cause. Peut-être serez-vous de ceux qui réussissent ! [S5 V35]
Mounirou Sarr
Militant de la Révolution Pacifique
Conseiller municipal à la commune de Grand-Yoff
JOURNEE INTERNATIONALE DE L'ENVIRONNEMENT: Le RAPEN a débattu sur le Changement Climatique lors de l'assemblée communautaire des femmes
L'école mixte de Bargny a abrité le samedi 8 Juin 2024 l'Assemblée Communautaire des Femmes sur le Changement Climatique. Après la prière d'usage, il revenait à Cheikh Fadel Wade, Coordinateur du Réseau des Associations pour la Protection de l'Environnement et de la Nature a d'emblée rappelé les défis que doivent relever les communautés, les femmes en particulier, face au changement climatique. Tout comme Daouda Larri Gueye, Président du RAPEN qui a fait une brève présentation de la situation climatique globale au niveau planétaire, surtout les risques d'extinction de toutes les espèces, si jamais la limite de 1 degré 5 celsius venait à être dépassée. Sous ce rapport, Mme Sidibe a brossé un tableau de résilience climatique. En effet, non seulement elle a mis en exergue les stratégies allant dans le sens d'une meilleure autonomisation des femmes, mais elle a évoqué plusieurs mesures palliatives allant dans le sens du développement des activités des femmes, surtout celles qui sont dans le domaine agricole.
Elle a suggéré de se former aux techniques de compostage et de diversifier les types d'activités. Face à plus d'impacts négatifs, les femmes gagneraient à revoir les modèles de consommation. Dans leurs interventions, elles ont vivement remercié Mme Sidibe qui leur a parlé de tant d'opportunités de développement, comme par exemple, '' Une école publique, Un Jardin Écologique'', qui doit être parmi les modèles de résilience et d'adaptation.
Fatou Samba, Conseillère Municipale et Présidente des Femmes transformatrices du site de Khelcom, s'est appesantie sur l'ensemble des menaces qui pèsent sur le devenir des femmes qui, à cause de l'implantation d'infrastructures industrielles polluantes, telles que la Centrale à Charbon du Port Minéralier vraquier et l'imminente implantation d'usines de sidérurgie. A noter que le RAPEN a été a
accompagné par le CRADESC et Global Green Grants Fund
Arrêtez ce cirque ! Votre campagne de diabolisation ne marchera pas!
Nous n'allons pas accepter à ce que vous ternissez l'image de notre mentor politique, Son Excellence Macky Sall !
Si vraiment l'amnesti a effacé tous ces faits, ce cirque doit impérativement arrêter ?
En réalité c'est quoi ce jeu ? Qui est derrière ces politiciens?
Collectif des Victimes où conglomérat des vilenies ? Le Sénégal a failli s'écrouler s'il n'était pas nos forces de l'ordre et la clairvoyance de Son Excellence Macky Sall.
Qui sont ceux qui ont vandalisé nos universités ?
Qui sont ceux qui ont jeté des cocktails Molotov dans un bus avec leurs conséquences désastreuses?
Qui sont ceux qui ont caillassé nos bus DDD?
Qui sont ceux qui ont brûlé les maisons d'autruis ? Etc..? N'egratinez pas nos plaies !
Je pense bien que ce débat doit être définitivement arrêté . Son Excellence Macky Sall a ses militants, ses sympathisants qui lui sont dévoués et fidèles . Nous ne voulons pas nous opposer d'une façon indigne avec un irespects notoire, c'est pourquoi nous sommes très responsable et nous mettons le Sénégal au dessus de tous . Mais franchement on attaque pas à un lion qui rumine sa colère dans le silence.
Demander à ces tenants du pouvoir de réduire le prix des denrées alimentaires, de régler le problème de l'émigration clandestine et de lutter contre le chômage !
C'est mieux de rester à se pavaner dans les réseaux sociaux pour raconter des incongruités.
Aller au travail et arrêter cette farce
Ils sont dans les pires manipulations et avec un irespects éhonté.Son Excellence Macky Sall mérite tous les honneurs au Monde. Arrêtez votre fanfaronnade médiatique.
Si vous avez quelque chose à demander ou à dire ,il faut bien le demander à celui qui faisait appel au mortal Kombat et Gatsa Gasta.
Si vraiment vous voulez la paix dans ce pays,il faut arrêter vos galimatias et votre cirque de mauvais goût. Nous sommes des Républicains et nous respectons le bien être des Sénégalais et nous n'allons jamais brûler ce pays où bien vouloir brûler ce pays parce que nous avons participé activement à sa construction.
Laisser tout tranquille Son Excellence Macky Sall si vraiment vous voulez la continuité de cette apaisement politique.
Samba Ndong Responsable politique Apr et Coordonnateur du Mouvement PATRIES.
Opinion : Natali Yamb et Kémi Séba, deux fous qui vivent du pseudo panafricanisme
Depuis quelques temps, j’avais pris une résolution de ne plus intervenir dans des débats publics, surtout des propos qui relèvent d’une nullité et une inculture de ses auteurs. Il faut le dire, le monde est devenu pesant, les idiots ont le droit à la parole. Je n’ai pu terminer ma prière de ce matin à ma guise.
En effet, les propos d’une rare méchanceté et d’une idiotie manifeste de Kémi et Natali m’ont fait bondir, et comme le disait Senghor, l’écriture peut sauver notre âme dans des moments pareils. Assimiler le terrorisme à une ethnie, c’est d’abord de la méchanceté contre des milliers de familles et pour des générations. Oui les peulhs portent les valeurs de l’islam depuis des siècles, mais c’est une inculture de vouloir identifier tous les peulhs à des terroristes et tous les terroristes à des peulhs.
La conséquence est de jeter en pâture une partie de la population Africaine. Non, nous ne sommes pas des terroristes, mais de vrais Africains et des musulmans sincères. Qui en Afrique peut revendiquer le parcours élogieux de Elhadji Oumar Foutiyou Tall, de Ousmane Dan Fodio Deme, et tant d’autres figures qui ont tissé avec intelligence, une communauté solidaire dans toute l’Afrique ?
J’invite l’état du Sénégal à se prononcer sur ces propos et à assumer ses responsabilités face à la population peulh qui forme une grande partie de la population Sénégalaise. J’invite ces deux fous, oisifs et errants à retirer ces propos sans fondement aucun. A la communauté peulh, j’en appelle à l’unité et à la mobilisation de tous, contre ces formes de stigmatisation.
Dr Bassirou NIANG, Président du RASSEMBLEMENT NATIONAL SENEGALAIS/ JAALAL LEYDI
Situation alarmante des personnes vivant avec un handicap au Sénégal : ''Nous invitons le PR Faye à agir de manière urgente'', dixit Khady Ba
On ne les entend pas toujours, et on entend rarement qu'elles sont associées à des projets, programmes ou bénéficient d'une nomination et autres promotions. En réalité, les personnes vivant avec un handicap sont dans une situation alarmante et décident de se faire entendre. Elles interpellent directement le président Diomaye Faye par la voix de la responsable de la Fédération sénégalaise des associations des personnes en situation d'handicap (Fsaph): '' Il ne nous reste qu'à inviter le PR Diomaye Faye à agir de manière urgente'', lance la présidente de la structure Khady Ba.
Se basant sur les statistiques qui établissent l'existence de 3 millions de personnes vivant avec un handicap au Sénégal, sur une population totale estimée à 18 millions d'habitants, ces personnes en situation vulnérable saisissent l'occasion d'une rencontre avec les médias pour faire distinguer dans leurs rangs les albinos, les malvoyants, les aveugles, handicapés moteurs, les malentendants, déficients mentaux, les sourds, les muets. Elles représentent 15% de la population du pays et sont généralement issues des couches sociales difficiles, souvent victimes de discrimination, de marginalisation, de stigmatisation et d'injustice sociale. La plupart d'entre elles se refusent de tendre la main et affrontent la vie avec courage et dignité, en dépit de leurs limites physiques.
Elles participent ainsi, de manière remarquable, à la vie sociale, économique, politique, culturelle du pays. Pour la présidente Khady Ba, connue pour ses positions tranchées en faveur de ses compatriotes défavorisés, ''notre plaidoyer devrait produire un écho favorable pour être des autorités étatiques et gouvernementales pour que dans la vision, les stratégies, le Projet, nos préoccupations puissent être prises en charge pour l'amélioration de nos conditions de vie et d'existence. Nous attendons une finalisation, sur le plan institutionnel, du cadre juridique déjà existant pour rendre les décrets d'application effectifs dans l'optique d'un mieux-être des personnes vivant avec un handicap''.
Dans cette optique, une multiplication, au plan régional, des centres d'accueil et de formation adaptés à toutes les formes d'handicap, un encadrement professionnel de ces victimes qui doit déboucher sur leur insertion dans le circuit de la production sociale et économique, figurent au coeur des objectifs. Les personnes en situation d'handicap plaident aussi pour leur prise en charge effective, au plan sanitaire, dans le dénuement le plus total, parce qu'entre autres raisons, la carte d'égalité des chances n'a pas totalement répondu aux attentes. ''' Il n'y a pas d'avancées significatives en ce qui concerne la carte d'égalité des chances, puisqu'à ce jour, il n'est dénombré que seulement 70.000 bénéficiaires dans tout le pays. Nous interpellons directement le président de la République Bassirou pour l'installation et la promotion des cadres les représentant au niveau des hautes instances étatiques de décisions pour une meilleure approche et défense de nos intérêts, surtout dans le contexte des nouvelles nominations dans la mise en place des équipes pour accompagner le nouveau régime'', signale la Présidente Khady Ba.
Trafic de cocaïne : les surprenantes déclarations du fils d’Idrissa Seck
Placé sous mandat de dépôt en même temps que cinq autres personnes arrêtées dans le cadre de l’enquête qui a abouti à la saisie de plus de 22 kilos de cocaïne à Keur Ayib et Ngor-Virage, le fils de l’ancien Premier ministre Idrissa Seck a fait de surprenantes déclarations face aux éléments de l’OCRTIS. D’après Libération, qui donne l’information, Abdoulaye Seck a juré qu’il n’est pas mêlé aux activités du réseau dirigé, selon les policiers, par Sylvain Bathiapara Mendy. Affirmant même avoir «essayé de faire tomber [ce dernier] à plusieurs reprises, en collaboration avec des policiers et des gendarmes, mais [que] cela n’a pas abouti».
Surnommé «Scarface», Sylvain Bathiapara Mendy serait le parrain d’un réseau de trafic de cocaïne opérant entre la Guinée-Bissau et la France, en passant par la Gambie, le Sénégal et le Maroc, notamment. Il est poursuivi pour association de malfaiteurs aux fins d’importation de cocaïne pour trafic en groupe criminel organisé, blanchiment de capitaux et détention d’arme à feu sans autorisation.
«Scarface» est tombé en même temps que Pathé Guèye, Ousmane Camara, Alain Diatta, Amadou Diam Ndoye et donc Abdoulaye Seck. Placé sous mandat de dépôt, tout ce beau monde croupit en prison.
Libération rapporte que le fils du patron du Rewmi s’est dit surpris d’être associé à cette histoire. «En vérité, je ne sais pas pour quelle raison je suis mêlé à cette affaire, a-t-il lancé aux enquêteurs, selon le journal. Je ne suis dans aucune activité illégale. Ma place n’est pas ici. […] Je ne consomme ni ne vend de la drogue. Je ne bois même pas d’alcool.»
Abdoulaye Seck de renforcer sa plaidoirie : «Je n’ai jamais participé à son trafic [Sylvain Bathiapara Mendy), ni de près ni de loin. D’ailleurs, je lui disais qu’il finirait par tomber tôt ou tard. Mais sa réponse était que s’il lui arrivait d’être interpellé, il aurait le choix entre la corruption et le suicide, mais qu’il n’irait jamais en prison.»
Le prévenu de poursuivre : «Il y a moins de deux mois, il me disait que grâce à mon passeport diplomatique, il pouvait louer un jet-privé chargé de cocaïne pour Paris. Et je n’avais qu’à accompagner le jet. Mais, naturellement, j’ai refusé. Mieux, il ignore que ce type de passeport n’exclut pas le contrôle. […] Je sais qu’il est dans le trafic depuis cinq ans.»
Groupe Scolaire Keur Mame NDAWA : Le Gouvernement Scolaire a réussi l’organisation des journées sportives et culturelles
Les Jeudi 23 Vendredi 24 et Samedi 25 Mai 2024 ont enregistré la tenue des journées sportives et culturelles qu’organise, tous les ans, le Gouvernement Scolaire du Groupe Scolaire Keur Mame NDAWA sis Unité 3 des Parcelles Assainies de Keur Massar Plusieurs menus étaient au Programme des activités.
L’habillement, la danse et le chant traditionnel de plusieurs ethnies dont les Joola, les Seereer, les Wolof ont été mis en exergue par les élèves sélectionnés, à cet effet. Après la pause déjeuner, Cap sur Urban Foot, une structure sportive privée installée à près de 2 km de l’école. Là-bas, différentes rencontres en football et en handball ont opposé les classes finalistes. À l’issue de confrontations âprement disputées, dans un pur esprit fair-play, les résultats ci-après ont été enregistrés : CM1 bat C2 sur le score de 2 buts à 1 en football ; en handball CM2 a battu Ce 2 sur la marque de 6 à 2. Un match de gala entre la sélection des filles, les maîtresses et les femmes de charge, a vu ces dernières l’emporter. C’est ainsi que la sélection professeurs instituteurs et autres membres du personnel a triomphé devant l’équipe des élèves. L’espace Urban Foot de Jaxaay 1 a vu près d’un millier de personnes venir assister aux différents matchs programmés ce jour. Vendredi 24 Mai, place était faite à l’activité rétro lors de laquelle les élèves ont présenté des facettes vestimentaires des années 90 sur différentes formes, avant que dans l’après midi place fut faite à une Kermesse durant laquelle les élèves firent preuve d’agilité et d’adresse. Le Gouvernement Scolaire a profité de la journée officielle du samedi 25 mai pour décerner des diplômes de reconnaissance à certains membres du personnel pour services rendus.
C’est ainsi qu’au premier jour, le Jeudi 23 Mai, dans la matinée, a eu lieu la Finale du jeu Génies en Herbe qui a vu les élèves de Terminale l’emporter devant les élèves de Seconde S, sur le score de 225,5 points contre 120 points. Le jeu de génie en herbe a porté sur les charades, les actualités, le vis-à-vis, l’identification, la culture générale, le relais et l’association ; et durant, lequel des élèves du GSK ont pu prester. Ca allait mettre fin à cette journée intensément vécue avec un grand concert avec ISS 814, artiste de la banlieue de Guédiawaye. Dernier jour des activités, le samedi 25 Mai a été l’apothéose. En effet, entre différentes prestations, les élèves ont fait preuve de talents et d’ingéniosité. Ainsi du slam, des sketchs, du ballet de la prestation du club d’anglais, les parents venus en masse ont vu leurs enfants, très appliqués, exécuter consciencieusement tout ce que leurs responsables dont Mme Diaw, Mr Faye, Mr Diouf Anglais, Ibaa, leur avaient appris en un si laps de temps. Un Hommage Appuyé a été rendu à la Directrice Fifi Naar Niass, Marraine des Journées.
Les Forces armées de l’Alliance des Etats du Sahel en exercice d’envergure dans l’ouest du Niger (armée)
Les pays membres de l’Alliance des Etats du Sahel (AES)(Burkina Faso, Mali et Niger) et certains pays amis, tels que le Togo et le Tchad, sont en exercice d’envergure baptisée “Tarhanakale”, qui signifie amour de la partie (en tamajek) depuis le 20 mai dernier au Niger, a-t-on appris samedi de source militaire.
NIAMEY, 26 mai (Xinhua) — Les pays membres de l’Alliance des Etats du Sahel (AES)(Burkina Faso, Mali et Niger) et certains pays amis, tels que le Togo et le Tchad, sont en exercice d’envergure baptisée “Tarhanakale”, qui signifie amour de la partie (en tamajek) depuis le 20 mai dernier au Niger, a-t-on appris samedi de source militaire.
L’exercice, qui se tient au centre de formation des Forces spéciales de Tilia, région de Tahoua (ouest), au Niger, est dans le souci de renforcer les capacités opérationnelles et la résilience des Forces armées de l’AES face à toute menace potentielle.
Cet exercice supervisé par les plus hautes autorités, vise à renforcer l’interopérabilité et la coopération des forces militaires des pays participants. “Il prendra fin le 3 juin prochain et comprend non seulement des manœuvres tactiques, mais aussi des initiatives visant à renforcer les liens avec les populations locales”, a précisé le bulletin de l’armée.
Pour rappel, les pays de l’AES avaient déjà annoncé leur retrait de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), après avoir créé l’AES, un pacte de défense mutuelle conclu entre les trois pays, en septembre dernier.
En septembre dernier, le Burkina Faso, le Niger et le Mali ont annoncé la création d’une Alliance des Etats du Sahel (AES) avec pour principal objectif de mutualiser leurs efforts afin de faire face aux menaces sécuritaires, mais aussi de favoriser ensemble le développement socioéconomique au bénéfice de leurs populations.