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Répression préélectorale au Sénégal : Human Rights Watch et ses laquais sénégalais mentent

Répression préélectorale au Sénégal : Human Rights Watch et ses laquais sénégalais mentent Spécial

Contrairement aux perfides accusations de HRW, au Sénégal, il n’y a pas de répression préélectorale mais un combat contre une insurrection politique qui tentait de bloquer le fonctionnement régulier de la justice sénégalaise. Ousmane Sonko, qu’il qualifie honteusement d’ « éminente personnalité » montrant ainsi leur absence de retenue, de distance et leur parti-pris flagrant, voulait empêcher, par la violence, la tenue de ses procès pour viol et diffamation.

 

Les activistes américains de HRW et leurs laquais sénégalais ont certainement oublié qu’il n’y a guère longtemps, aux États-Unis, le FBI a abattu un individu pour avoir proféré des menaces de mort contre le Président Joe Biden.

 

Curieusement, HRW n’évoque pas une répression préélectorale lorsque l'ancien président républicain des États-Unis, Donald Trump, a été déclaré inapte à la fonction présidentielle par les États du Maine et du Colorado, à la suite de l'assaut du Capitole par ses partisans. Ils ne convoquent pas la rhétorique de l’acharnement quand Donald Trump, favori pour la prochaine élection présidentielle américaine, fait face à plusieurs accusations pour divers délits.

 

Au Sénégal, Ousmane Sonko n’a pas été abattu en dépit de ses menaces mort publiques contre le Président de Macky Sall lors d’un meeting organisé par son parti à Keur Massar en janvier 2022.

 

Contrairement aux mensonges de HRW, c’est pour garantir davantage et surtout protéger les libertés fondamentales que des hordes de voyous ont été arrêtées et mises en prison par les autorités judiciaires et les forces de défense et de sécurité intérieures.

 

A la différence des Usa, le Sénégal n’interne pas ses "terroristes" dans des camps de concentration comme Guantánamo.

 

Sur le troisième mandat, HRW a tout faux.

Au Sénégal il n’y a pas eu une seule manifestation contre la candidature du président Macky Sall pour un troisième mandat car tout simplement l'intéressé n’avait jamais annoncé sa volonté de briguer les suffrages des Sénégalais en 2024.

 

La soi-disante répression de la presse qu’évoque Human Rights Watch est un délire médiatique et le fruit de l’imagination fertile d’activistes qui vivent grâce à la rente de l’indignation.

 

Aucun journaliste sénégalais n’a été arrêté en raison de son travail. Ce sont des nervis médiatiques, dont le caractère partisan est connu de tous, qui ont été poursuivis pour diffusion de fausses nouvelles et atteinte à la sécurité de l’État.

 

Pour rappel, est américain et non sénégalais, Julian Assange, sans doute le prisonnier le plus célèbre au monde et qui risque de se perdre dans l’abîme du système judiciaire des Usa. Quid d’Edward Snowden, qui a révélé le système d’espionnage à l’échelle internationale mis en place par le gouvernement américain ? Il a été obligé de fuir et de vivre en exil en Russie pour échapper à la prison à vie chez lui.

Les autorités sénégalaises n’ont pas réprimé l’opposition encore moins les médias et la société civile. Elles combattaient une insurrection menée par un parti politique fasciste, qui s’est transformé en une entreprise terroriste.

 

Au Sénégal, les prisons ne sont pas remplies d’opposants politiques mais de voyous qui ont voulu tuer la démocratie.

 

Ici comme ailleurs, toute tentative visant à empêcher la tenue d’un procès est combattue avec la plus grande fermeté. Aucune ONG sérieuse ne peut accepter qu’une citoyenne soit privée de son droit de poursuivre, devant les juridictions de son pays, celui qu’il accuse de l’avoir violée. Les Sénégalais ont aussi le droit de savoir ce qui s’était réellement passé à Sweet beauté Spa, entre Adji Raby Sarr et Ousmane Sonko.

 

Tout gouvernement sérieux ne peut rester passif devant les saccages, pillages des entreprises étrangères par des politiciens terroristes.

 

Force est de constater que les appels à l’insurrection de Sonko ont occasionné des séries de manifestations violentes et des pillages et destructions des biens publics et privés. Les investigations menées par les autorités judiciaires ont identifié Ousmane Sonko, comme étant l’instigateur des troubles et violences. Il bénéficiera d’un procès équitable et le droit sera dit en dépit des agitations, pressions et mensonges de HRW et de ses laquais sénégalais.

 

Au service du Sénégal. Tout le Sénégal.

 

Vive la République !

 

Vive le Sénégal !

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