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Malal DIALLO Pithi

Malal DIALLO Pithi

À l'instar des autres localités du pays, Kaffrine a procédé au lancement de la semaine régionale de l'école de base, ce mercredi. L'école élémentaire Elhadji Ndene Djodjo Ndiaye de la commune de kaffrine a abrité la manifestation en présence de l'inspecteur d'académie de kaffrine, Mamadou Niang, de l'IEF de kaffrine, ainsi que le commandant du commissariat de kaffrine. Parmi les autres invités figuraient également des parents d'élèves, des chefs d'établissements et des enseignants.

 

Placée sous le thème « Consolidation des valeurs civiques : l'école, les forces de défense et de sécurité au service de la nation », cette 24ᵉ édition de la semaine nationale de l'école de base vise à renforcer les liens entre l'éducation et les valeurs citoyennes.

 

Dans son allocution, l'inspecteur d'académie de kaffrine, Mamadou Niang, se félicite de l'organisation. Il a rappelé aussi que cette semaine se tient également dans les différentes inspection de formation et de l'éducation de la région. Selon lui, cet événement a une importance particulière dans l'éducation et dans la construction d'une citoyenneté responsable et engagé.

 

L'inspecteur a profité de cette occasion pour souligner le rôle essentiel de l'école dans la société.

"Notre école est le creusé des valeurs fondamentales qui forgent la nation, elle est le lieu où construise l'amour de la patrie, le respect des lois et le sens du devoir" dit-il.

 

À en croire à Mamadou Niang, face aux défis sécuritaires et aux mutations sociales, il est important de consolider le partenariat entre les auteurs éducatifs et les forces de défense et sécurité, pour bâtir une jeunesse forte et résolue afin d'œuvrer pour le bien commun.

 

Selon l'inspecteur d'académie, il est urgent d'orienter l'école vers la consolidation et l'appropriation des valeurs civiques et morales, d'où le choix du thème de cette année, particulièrement révélateur des enjeux actuels.

 

Mamadou Ndiaye

La route continue de faire des victimes. Hier, tard dans la nuit, un accident d'une rare violence a fait un mort sur l'autoroute "Ila Touba", à hauteur de Bambey. Un véhicule se rendant aux obsèques du Khalife Général des Baye Fall a eu une crevaison d'un de ses pneus. Ce qui a provoqué un choc fatal. Baye Mor Talla Guèye, un célèbre Diawrine

(chambellan) de Serigne Cheikh Ngounda Fall qui a quitté Dakar pour se rendre dans la Ville Sainte de Touba est décédé sur le coup. Plusieurs blessés graves ont été également dénombrés.

Il ya de l'orage dans l'air au niveau de l'avenue Cheikh Anta Diop de Dakar, siège du Pôle Judiciaire Financier (PJF). Au moment où nous couchons ces lignes, un dispositif impressionnant de Forces de Défense et de Sécurité y est déployé. L'accès est interdit à tout le monde. Les partisans de Farba Ngom présents sur les lieux pour le soutenir sont ainsi chassés comme des mal propres:"Nous sommes là pour soutenir notre leader mais pas pour autre chose. Nous ne provoquons aucun attroupement, encore moins, ne procédons à des jets de cocktails molotov. Mais, tout est barricadé. Personne ne passe. Cela est vraiment aux antipodes d'un État de Droit où les libertés individuelles doivent être garanties.Trop, c'est vraiment trop. Il ya trop d'acharnement. Farba Ngom, en tant que républicain, a tout simplement daigné répondre à la convocation du juge et ce, de son propre gré", lâche Sally Birom Seck, un des partisans du Maire des Agnams présent sur le lieux.

Un crime n´est jamais parfait, les traces sont toujours visibles.

Au Sénégal, pays en carence de probité moral et d´honnêteté intellectuelle !

 

La valeur juridique d'un rapport produit par la Cour des comptes dépend des règles de procédure et d'authentification applicables dans l'ordre juridique concerné. 

Voici une analyse applicable au Sénégal et, plus généralement, dans d'autres pays.

 

Au Sénégal, la Cour des comptes est une juridiction financière indépendante chargée du contrôle des finances publiques. Ses rapports sont régis par :

 

 La Constitution sénégalaise,qui garantit son indépendance (article 74).

 La loi organique n° 2012-23 du 27 décembre 2012* portant organisation et fonctionnement de la Cour des comptes.

 

 Le Code de transparence dans la gestion des finances publiques* (loi n° 2012-22 du 27 décembre 2012).

 

Validité juridique d’un rapport sans numéro, cachet ni signature

Pour plaire sa meute et se chatouiller les orteils, il est prêts à tout C´est un complot insidieusement orchestré et crapuleusement ourdie pour manipuler l´opinion ! Ce rapport sans date , sans signature, c´est du toc! 

Comment une telle institution peut-elle fabriquer de telle chose ? Le 

Rapport doit :

 

Porter le cachet officiel de l’institution.

 

  Être signé par l´un des personnes compétentes :le président de la Cour des comptes ou un magistrat compétent.

 

Dans un document administratif s´il ne présente pas ces éléments, sa valeur juridique est fortement contestable. Il ne peut être considéré comme un rapport officiel et pourrait être qualifié de document informel, provisoire.

 

 Un tel document ne peut avoir aucune conséquence juridique !

 Non-opposabilité Un rapport sans ces éléments ne peut pas servir de base légale pour engager la responsabilité d’un gestionnaire public ou prendre des décisions administratives.

 

 Absence de force probante .Devant les juridictions ou les autorités administratives, un tel document aurait peu de poids en l’absence d’une certification officielle.

 

Que signifie le mot falsification :

Altérer, dénaturer une substance, un produit pour tromper. Qui a intérêt en réalité pour falsifier des chiffres. Un homme doit avoir Honnêteté politique, l´honnêteté moral , honnêteté social et l´honnêteté administrative. Vouloir nuire son adversaire ne doit pas être motif pour maquiller des chiffres pour justifier une cabale politique. Un homme nous dit qu´il a vu un compte de 1000 milliards et jusqu'à présent rien n´est saisi, cet homme, je doute véritablement de sa probité moral ! Si nous exploitons soigneusement le rapport et les autres rapports on note un manque de notoire. 

 

 En politique économique, on parle d'écarts lorsque :

En macroéconomie, la croissance potentielle est une estimation du taux de croissance du PIB (Produit intérieur brut) lorsque les facteurs de production (travail, capital) sont utilisés de manière optimale, en l'absence de tension sur le marché des biens et services et sur celui du travail (c'est-à-dire avec une inflation stable). Elle résulte d'une modélisation de l'économie, basée sur une estimation de l'évolution de la quantité de travail disponible, de l'évolution du capital disponible et des gains de productivité réalisés par les entreprises ("productivité globale des facteurs"), souvent assimilés au progrès technique.

 

Le décalage entre la croissance potentielle et la croissance effective (effectivement constatée) est appelé écart de production ou décalage conjoncturel. Si la croissance effective est supérieure à la croissance potentielle, l'économie bénéficie d'une série de facteurs favorables au budget de l'Etat : création d'emplois, baisse du chômage, diminution des aides sociales et des indemnités chômage, augmentation des rentrées fiscales.

 

Si l'écart de production se prolonge dans le temps, alors la croissance potentielle est réestimée car les moyens de production s'ajustent de manière structurelle à l'évolution de l'activité. En moyenne et en dehors des périodes de réduction du déficit budgétaire ou de relance de la croissance par le déficit, la croissance effective est égale à la croissance potentielle. Dans le contexte actuel de recul de l'activité économique, la mesure de la croissance potentielle s'avère délicate et sujette à interprétations. Elle est cependant un outil essentiel pour le pilotage budgétaire et monétaire.

 

Que signifie l’incohérence temporelle en économie ?

En économie, l'incohérence dynamique ou l'incohérence temporelle est une situation dans laquelle les préférences d'un décideur changent au fil du temps de telle sorte qu'une préférence peut devenir incohérente à un autre moment .

 

En une formule lapidaire, dans tout le rapport, aucun mot démontrant du falsifié n´a été ni implicitement ni explicitement dit ! Un rapport de la Cour des comptes sans numéro, cachet ni signature n’a aucune valeur juridique officielle. Il pourrait être contesté devant les juridictions compétentes et ne peut pas servir de fondement à des décisions administratives ou judiciaires. Pour être valable, il doit respecter les exigences formelles imposées par les textes en vigueur.

 

 *Le Haut conseiller samba Ndong* 

 *Mackyste Convaincu*

Heifer International a annoncé aujourd'hui le lancement de la 4ème édition du concours annuel AYuTe Africa Challenge au Sénégal. Ainsi, il récompense à hauteur de 25 000 dollars les startups agritech qui œuvrent pour la modernisation du secteur. L'annonce a été faite lors de la Conférence panafricaine 2025 de l'ANDE à Dakar, où se sont réunies de grandes organisations qui soutiennent l'autonomisation des jeunes à travers l’innovation numérique et la création d’entreprises diverses et durables. Lancé en 2021 dans le cadre de l'initiative AYuTe Africa NextGen de Heifer International, le concours AYuTe (Agriculture, Jeunesse et Technologie) valorise le potentiel qu’offrent la jeunesse africaine et les technologies émergentes, pour aider les petits exploitants agricoles à développer leurs activités et à augmenter leurs revenus. Le concours, organisé au Sénégal et dans 7 autres pays en Afrique, offre aux jeunes innovateurs des fonds sous forme de dons en espèces, pour développer leurs entreprises et leur facilite l'accès à des programmes de mentorat et de formation très utiles. Grâce à cette initiative, Heifer International ambitionne de rendre l'agriculture plus attrayante et rentable pour les jeunes, via la promotion des technologies dans les chaînes de valeur agricole, « de la graine de semence à la table du marché ».

Daouda Ndao, Directeur national de Heifer International Sénégal, encourage les jeunes innovateurs du pays à saisir cette opportunité:« L’agriculture est un secteur essentiel pour le développement économique de notre pays. Il emploie 60 % de notre main-d'œuvre tout en contribuant de manière significative à notre approvisionnement en produits agroalimentaires », a déclaré M. Ndao. « La technologie offre un immense potentiel pour transformer ce secteur, et nous nous engageons à soutenir les entrepreneurs auteurs de solutions innovantes, répondant aux besoins de nos agriculteurs, afin d’augmenter leur productivité et leurs revenus » conclut-il.

Mabouba Diagne, ministre sénégalais de l'agriculture, de la souveraineté alimentaire et de l'élevage et également ambassadeur de AyuTe Challenge - Sénégal, soutient que cette l’initiative « inscrit les jeunes comme acteurs clés dans la vision d’un Sénégal souverain, juste et prospère. Leur rôle important dans les objectifs de souveraineté alimentaire placera le Sénégal parmi les pays où l’agriculture est moderne, résiliente et porteuse de croissance. En 2024, la startup Aar Mbay Mi (qui signifie « protéger les cultures » en wolof), lauréat du concours AYuTe Africa Challenge Sénégal, a mis au point un dispositif répulsif pour protéger les cultures contre les oiseaux granivores. Marie Touré, membre de l'équipe gagnante, a déclaré : « Le fait d'avoir remporté le concours AYuTe nous a apporté bien plus qu'un financement important ; cela nous a ouvert d’autres opportunités qui peuvent permettre à plus de 20 000 petits exploitants agricoles de profiter de notre prototype, qui réduit considérablement les nombreux dommages causés par les oiseaux dans les champs céréaliers»Le 4e concours AYuTe Africa au Sénégal reçoit les candidatures de mars à avril 2025. Les startups éligibles doivent :- être des citoyens sénégalais âgés de 18 à 35 ans.- avoir développé une solution technologique qui répond aux défis rencontrés par les petits exploitants agricoles.À propos de Heifer International :

Depuis 1944, Heifer International a travaillé avec plus de 52 millions de personnes à travers le monde pour mettre fin à la faim et à la pauvreté de manière durable. Heifer est actuellement présent dans 19 pays d'Afrique, d'Asie et des Amériques, y compris les États-Unis, et soutient les petits producteurs afin de renforcer les systèmes de marché locales et de créer des moyens de subsistance décents et durables.

La Communauté mouride et, particulièrement, l'illustre famille de Mame Cheikh Ibrahima Fall est en deuil. Serigne Amdy Moustapha Fall Modou Mbenda, Khalife Général des Baye Fall est décédé au petit matin de ce mercredi 12 février 2025. Le rappel à Dieu du 8ème Khalife de Mame Cheikh Ibrahima Fall est survenu dans la Ville Sainte de Touba. Le défunt guide religieux qui avait vu le jour en 1931/32 avait succédé au Khalifat des Baye Fall Serigne Cheikh Dieumb Fall, décédé le 1er septembre 2021. Le fils de Serigne Modou Mbenda Fall Ibn Mame Cheikh Ibrahima était l'humanité faite homme. Il avait mobilisé beaucoup de fonds pour contribuer aux grands travaux du Mouridisme dont l'université Cheikh Ahmadou Bamba de Touba.

 

En cette douloureuse circonstance, nous nous inclinons pieusement devant sa mémoire et présentons nos très sincères condoléances au Khalife Général des Mourides Serigne Mountakha Mbacké Bassirou, à la famille de Mame Cheikh Ibrahima Fall, à la Communauté mouride et à toute la "Umah".

 

Ibrahima NGOM Damel

Agriculteurs, producteurs, ou même opérateurs affiliés au comité de l'interprofession de l'arachide de kaffrine ( CNIA) se sont rencontrés, hier mardi, pour établir un diagnostic situationnel de la filière. L'objectif de cette restructuration est de clarifier certains points du fonctionnement du CNIA, dixit le représentant du CNIA dans le Ndoucoumane, Aly Diaw.

 

En présence du directeur régional de développement rural, Mamadou Badiane, monsieur Diaw révèle que cette réunion va permettre de recueillir les préoccupations des populations.

"Nous avons formé un comité de sensibilisation composé d'opérateurs économiques, de cultivateurs, de transporteurs et de transformateurs. Aujourd'hui, nous avons réuni plus de cent personnes issues de divers secteurs de la filière pour discuter de ce qui peut faire avancer le CNIA. L'objectif est de recueillir les recommandations des populations et de mieux informer les paysans sur le rôle et les responsabilités du CNIA, afin de mieux répondre à leurs besoins" a ajouté Aly Diaw.

 

Le DRDR se félicite de l'initiative et revient sur l'importance de l'accompagnement des autorités étatiques.

"Ce travail a été confié au fond national de développement agro sylvo pastorale (FNDASP), créé par la loi d'orientation agro-sylvo-pastorale. Aujourd'hui, c'est une grande satisfaction de voir l'étape de Kaffrine se dérouler ainsi. Les autres régions suivent la même dynamique et, finalement, cette restructuration permettra de repositionner le CNIA sur le plan institutionnel. Cela augure sans nul doute un meilleur avenir pour la filière arachidière au Sénégal", a souligné Mamadou Badiane.

 

Mamadou Ndiaye

Originaire de vélingara, les cinq migrants de retour ont entamé dépuis des jours, une marche direction palais de la république de Dakar. L'objectif est de sensibiliser les jeunes sur les dangers de la migration irrégulière et d'inviter les autorités à créer des conditions nécessaires pour que ces jeunes puissent rester au pays.

 

"Nous avons décidé de mener un combat contre l’émigration clandestine, pour avoir tenté l’aventure à travers le désert du Sahara et même la Méditerranée ", a déclaré Seydina Aliou Traoré, porte-parole des cinq migrants de retour qui ont entamé un périple à pied, de Vélingara jusqu’à Dakar. "Nous vivons dans une zone de départ pour l’émigration clandestine avec beaucoup de décès. Ce phénomène a appauvri de nombreuses familles dans le Fouladou, qui ont vendu leurs terres et leur bétail pour financer un voyage incertain de leurs enfants ", dit-il.

 

Face à la presse ce mardi dans la ville de kaffrine, Seydina A Traoré et cie révèlent que sur cent personnes qui tentent cette aventure, une quinzaine arrive à destination.

 

Aliou Traoré a lancé un appel solennel : " Nous disons non à l’émigration clandestine et nous invitons tous les jeunes de croire en leurs possibilités et potentiels de rester et de réussir dans le pays. Nous lançons un appel au président de la République Bassirou Diomaye Faye et à son gouvernement, afin qu’ils fassent tout leur possible pour accompagner les jeunes du Sénégal".

 

Pour rappel, ces marcheurs ont quitté le vélingara, le 5 février dernier et tiennent un point de presse dans chaque grande ville du Sénégal telle que kaffrine.

 

Mamadou Ndiaye

Aujourd'hui, notre pays le Sénégal a plus que besoin d’unité. En effet, le dialogue entre le pouvoir et l'opposition est crucial pour bâtir une nation digne de ce nom, solide et stable. Cela vise ainsi à favoriser la compréhension mutuelle mais aussi permettre de résoudre les conflits par des moyens pacifiques. Ce qui est un puissant levier de rapprocher les positions contraires et de concentrer tous les efforts sur l'essentiel, c'est-à-dire, sur les véritables préoccupations de l'heure. 

 

La mise en place de discussions ouvertes et constructives pourrait également encourager la participation civique et renforcer la confiance entre les citoyens et dans leurs institutions. Il est essentiel que les dirigeants au pouvoir ou dans l'opposition mettent de côté leurs intérêts politiques crypto-

personnels pour une dynamique d'ensemble afin de travailler pour le bien commun et le développement de notre cher pays.

 

 Il est temps qu'on oublie les divisions politiques. Au lendemain des élections, l'on doit alors adopter une nouvelle approche constructive qui peut aider à créer un environnement propice à la coopération franche et au dialogue sincère. 

L’Alliance pour l’Emergence du Baol propose la création de foras où les représentants de chaque parti peuvent se rencontrer régulièrement pour discuter des enjeux nationaux, échanger des idées et trouver des solutions communes. Encourager des initiatives qui visent à guérir les divisions et à promouvoir un sentiment d’appartenance et de solidarité entre tous les Sénégalais, cela doit être un objectif partagé par tous les acteurs et ce, dans le souci de préserver notre héritage de paix sociale et de stabilité légendaire.

 

Il est temps de promouvoir l'éducation sur l'importance de l'unité et du travail d'ensemble pour le bien commun car, la prospérité du Sénégal dépend en grande partie de la collaboration de toutes ses filles et de tous ses fils et, à tous les degrés. 

 

En adoptant ces approches, le Sénégal pourrait,non seulement réduire les tensions politiques, mais aussi, avancer résolument vers un avenir où l’intérêt du peuple est toujours au cœur des discussions et des décisions.

 

 

Mamadou Ndiaye, 

Cordonnateur de l’Alliance pour l’Emergence du Baol,

Membre de la PLATEFORME DES FORCES NOUVELLES ( PLAFON ).

Le centre de santé de Diourbel a abrité du 8 au 9 Février un camp chirurgical dédié aux opérations de cataracte. Il y a au total 112 patients consultés sur un objectif de 100 patients.

 

Ce camp chirurgical dédié à la cataracte est une initiative de Monsieur Matar Sene, le Délégué général de l’action sociale et de la solidarité nationale. Bachir Niang, chirurgien responsable du camp chirurgical dédié à la cataracte de Diourbel explique ; « Nous avons consulté au total 922 patients dont 140 patients souffrant de cataracte. Il y a au total 110 patients qui ont subi des opérations de cataracte. Nous avons eu un flux de patients. C’est pourquoi nous avons augmenté 12 autres malades sur la liste des patients qui ont subi ces opérations. Il y a beaucoup de patients à mobilité réduite. Nous profitons de cette occasion pour remercier le Délégué général de l’action sociale pour ce geste qui entre dans le cadre de la protection sociale et de la solidarité nationale. La cataracte est la première cause de cécité dans le monde. Sur 10 personnes atteintes de cécité, les 6 sont causées par la cataracte. Les coûts de prise en charge sont chers et les attentes sont longues. Nous demandons aux autres Directeurs généraux de faire autant chez eux. Il y a une gratuité des soins et des médicaments ». Le Délégué général de la protection sociale et de la solidarité nationale soutient pour sa part que la santé occupe une place très importante dans le nouveau programme du Président de la République Bassirou Diomaye Diakhar Faye et de son Premier ministre Ousmane Sonko/ Avant de poursuivre : « Ce moment ne se limite pas à une simple démarche médicale ; il symbolise notre engagement envers la vie, l’espoir, et le renouveau pour chacun d’entre vous.

 

Ici, nous ne faisons pas que soigner des yeux, nous redonnons la possibilité de voir le monde différemment, de redécouvrir la beauté qui nous entoure. Chaque éclat de lumière que nous vous restituons est une invitation à revivre des instants précieux, à retrouver des souvenirs, à ressentir pleinement la vie dans toutes ses nuances ». Il dira se suite : « Vos yeux, ces fenêtres de vos âmes, sont non seulement porteurs de lumière, mais aussi des réceptacles de vos rêves, de vos histoires. Ils sont le reflet de vos expériences, de vos joies, et parfois, de vos peines. Notre mission aujourd’hui est de restaurer cette lumière, de réanimer la beauté de chaque moment ». Et d’ajouter : « Nous comprenons à quel point la perte de la clarté visuelle peut assombrir le quotidien, réduire une vie pleine d’expériences riches à une ombre…Notre présence ici, avec cette équipe médicale dévouée, est une promesse de rétablissement et de redécouverte. Nous allons travailler main dans la main pour remettre en lumière vos trésors intérieurs, pour chérir ces instants qui font de nous ce que nous sommes ».

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