Malal DIALLO Pithi
Tournée à Kaolack et Sokone: Xipil Xol entre vulgarisation des réalisations de Macky et distribution de matériels aux populations
Alerte de ‘’Aar Sunu Moomel’’ : « La famine est aux portes du Sénégal »
En plus de la pandémie du coronavirus, une autre frappe aux portes du Sénégal : c’est celle que le président de ‘’Aar Sunu Moomel’’ appelle la pandémie de ‘’Barça ou Barsax’’. Pour Bachir Ba, cet exode massif des jeunes vers l’Europe est la résultante d’une situation économique difficile qui n’augure rien de positif. En conférence de presse ce mardi, le président du mouvement laisse entendre qu’au regard des prévisions de faible production de céréales et de mauvaise qualité de l’arachide, « les sénégalais devront faire face à une famine dans un contexte où l’espoir s’est envolé du fait que toutes les prévisions macro économiques affichent un taux inférieur à 1% de la production intérieure brute ».
Les autorités du Sénégal ont l’habitude de publier des chiffres extravagants sur les productions agricoles. Par exemple, les services du Ministère de l’Agriculture annoncé une production d’1.6 millions de tonnes de produits alimentaires. « C’est faux, ce chiffre est erroné. C’est seulement pour faire plaisir au Président de la république qu’ils ont annoncé cela », réagit Bachir Ba, très emporté par la situation économique qui terrorise les jeunes au point qu’ils désertent par vague leur pays, au moment où les autorités étatiques ferment les yeux sur cette ‘’pandémie de Barça ou Barsax’’. Selon le Président de ‘’Aar Sunu Moomel’’, « le Comité interprofessionnel de l’Arachide (Cnia) nous presse comme de l’huile, nous ne reconnaissons pas cette entité qui ne fait que nous exploiter. Le prix de l’arachide qu’ils nous imposent n’est pas normal. Nous demandons au Directeur de la Sonacos, Modou Diagne Fada, d’implanter des points de collecte pour la Sonacos, sinon, les courtiers vont nous prendre nos productions à des prix dérisoires, alors que nous faisons face à de faibles productions en vue, avec une très mauvaise qualité. C’est justement cette situation qui fait installer la famine que nous redoutons et qui frappe à nos portes », explique Bachir Ba. Se prononçant sur les différends récurrents entre agriculteurs et éleveurs, le président de ‘’Aar Sunu Moomel’’ annonce la mise en place prochaine d’une plateforme pour que ces deux catégories d’acteurs puissent vivre en harmonie, chacun avec son espace de terre qui lui est spécifique afin que la cohabitation puisse se tenir durablement en paix».
EMIGRATION CLANDESTINE : EXPLICATIONS ET SOLUTIONS DU PHENOMENE
Face à la recrudescence du départ massif des jeunes et des conséquences du « mbeuk mi » ou la traversée, il est urgent de repenser le problème. C’est pourquoi notre responsabilité est d’essayer d’expliquer la motivation des jeunes, et dans le même sillage, proposer des solutions durables.
Ceux qui font l'émigration, soit régulière ou clandestine, depuis la nuit des temps, ont, en général, le désir ardent de réaliser un projet qu’ils estiment incapables de concrétiser dans leur propre pays. Ce projet peut être politique (exilés politiques), culturel ou intellectuel (cas emblématique de Souleymane Bachir Diagne, Felwing Sarr, Mamadou Diouf…) ou bien économique.
Cependant, le motif économique est la principale cause de l'émigration clandestine. En effet des jeunes qui pensent qu'ils ne peuvent pas réaliser leur rêve au Sénégal tentent, à tout prix, à aller en Europe. Contrairement à ce que beaucoup de personnes pensent, la plupart de ces jeunes ne sont pas des chômeurs, car ils ont des activités économiques formelles ou informelles qui leur permettent de pouvoir dégager des économies pour financer leur aventure.
Les causes et les motivations des jeunes sont entre des perceptions et des pressions multiformes.
La réussite sociale de leurs frères et sœurs qui vivent en Europe (Espagne Italie, France…) est aussi un des plus grands catalyseurs de ce phénomène social. En effet ceux-là parviennent à mettre leur famille dans des conditions sociales enviables avec de belles maisons, et un train de vie très commode, surtout quand ils viennent en vacance (circuler avec des voitures, distribuer généreusement des billets de banques, se marier avec les belles filles du quartier…). Ceci exerce sur eux une pression psychologique très forte et intensifie leur désir de quitter le pays pour être parmi ces soi-disant élus sociaux.
Dans notre société où les familles polygames sont nombreuses, les rivalités liées à ce phénomène sont très fortes et parfois embrasent la pression psychologique soulignée plus haut qui est renforcée par les clivages sociaux. Ceux qui réussissent sont les élus à adorer et respecter, et ceux qui tirent le diable par la queue sont les exclus de la société. Les « WUJEE » entre coépouses et familles, les « GAARU ALE », les termes « SA NDEYA KO LIGUEY », « LEGUEYOU NDEY AGNU DOOM » sont des concepts frustrants et humiliants qui gonflent l’orgueil de ces soi-disant exclus sociaux. Pour ces raisons, ces jeunes décident de relever le défi quels que soient les risques qu’ils encourent, « barsa ou barsax ».
Certains parents les encouragent, et parfois, même leur viennent en aide en finançant leur voyage avec la vente de leurs biens (bijoux, terrains, maisons…)
Evidemment le chômage chronique alimente les causes de ce phénomène de l’émigration clandestine. Vu que les activités économiques dans le monde rural sont très limitées et peu rentables, les jeunes ont l’habitude d’aller dans les villes pour faire de petits boulots (vente à la sauvette…). Avec la politique des municipalités qui vise à réorganiser les villes, les marchands ambulants qui envahissaient les rues de Dakar ne sont plus désirés. Le secteur artisanal et industriel, étouffés principalement par les accords commerciaux de libre-échange et le rythme effréné des importations de tout genre de produits de la chine et de l’Europe, se trouvent structurellement incapables d’absorber la masse énorme de chômeurs continuellement obérée par une consistante croissance démographique.
Sans oublier les nombreux diplômés inadéquatement formés qui arrivent chaque année sur le marché du travail.
L’inadaptation de la formation scolaire et universitaire est un autre facteur qui augmente cette masse de chômeurs, car on ne forme pas assez de figures professionnelles capables de booster l’économie. De plus, notre mentalité coloniale qui nous incite à être barricadé de diplômes, parfois inutiles, dans le but d’avoir un emploi dans la fonction publique ou dans le privé, nous empêche d’avoir une culture de l’entreprenariat. Le rêve de nos étudiants est d’avoir master 1 et master 2, non pour créer des entreprises mais pour avoir un emploi rémunéré. Je dois rappeler aussi que les énormes difficultés structurelles pour avoir accès aux financements à bas cout et lancer un projet, complique la situation déjà ankylosée par les problématiques du foncier.
Les conséquences du phénomène à plusieurs niveaux
L'émigration clandestine, avec son lot de morts, a détruit la vie de beaucoup de familles avec des conséquences sociales énormes surtout si les parents du candidat avaient vendu leur bien pour financer le voyage.
Une fois arrivés en Europe, ces jeunes ne trouvent pas facilement de l'emploi car les NEET (Neither in Employment or in Education or Training) qui sont des jeunes de 20 à 34 ans, qui n’ont ni emploi, ni études et ni formation) sont 20% en Espagne et 27% en Italie en 2019. Les pays européens depuis la crise financière de 2008 n'ont pas encore trouvé une solution pour donner de l'emploi structurel à leurs enfants. Subséquemment, nos jeunes qui, pour la plupart, n'ont pas de formation, ni de métier, une fois arrivés en Europe seront employés dans le secteur agricole ou dans des secteurs d’activité très précaires avec des salaires trop bas.
La délocalisation des entreprises occidentales en chine a considérablement réduit l’offre de travail manuel dans les usines. Les entreprises qui gardent leur site de production en Europe font souvent recours à l’automatisation de leurs usines avec des robots qui remplacent les ouvriers. C’est ce qui aggrave le chômage de leurs jeunes. Dans ce cas, seuls les emplois précaires faiblement rémunérés sont offerts aux immigrés particulièrement dans le secteur agricole et agro industriel.
Les immigrés clandestins, faute d’avoir des permis de séjour, peuvent rester 5 à 10 ans en Europe sans pouvoir retourner au Sénégal. Pour ceux qui ont quitté le pays à l’âge de 25 à 30 ans, le risque de ne pas pouvoir fonder un foyer à temps est très grand et la réalisation de leur rêve devient toujours problématique. En effet, retourner au pays, construire une maison et fonder un foyer n'est plus facile comme c’était le cas avant la crise financière de 2008. Une maison de 20.000.000 de franc (30.000 euro) exige des économies de 10 ans à raison de 300 euro par mois soit 30 à 33% du salaire moyen pour ceux qui ont la chance de travailler 12 mois sur 12 mois (scénario très difficile pour les clandestins). Une autre difficulté est liée au fait qu’ils n’ont pas accès aux services sociaux de base (médecin de famille, assurance maladie, soutien financier de l’état…). Même s’ils travaillent dans le noir, ils ne peuvent pas avoir de compte bancaire, ni acheter de voiture et avoir un permis de conduire. Ils sont confinés dans ce que je peux appeler la « dark society » ou société invisible ». Pour ces raisons ils vivent dans la précarité et sont la proie de la criminalité organisée (drogue, mafia prostitution …).
Projet de solutions au problème
Pour arrêter ces voyages suicidaires de nos jeunes dans les pirogues de fortune « barsa ou barsax », nos gouvernements (CEDEAO et Maghreb) doivent prendre des décisions impopulaires pour sauver la vie de leurs fils qui périssent dans les océans et le désert. En 2018, The gardian (un journal anglais) déclarait que 34.361 migrants étaient morts dans les océans. Il faut noter que la majeure partie des migrants Africains viennent du Nigeria du Ghana, du Maroc de l’Algérie et de la Tunisie.
Nos gouvernements doivent collaborer avec l’union Européenne pour délocaliser en Afrique (CEDEAO-Maghreb) les centres d'accueil qui sont en Europe. Si des immigrés clandestins prennent les pirogues ou la route (Mali- Burkina Faso- Niger- Libye) et arrivent en Europe, on les renvoie par vols spéciaux dans les centres d'accueil localisés en Afrique et c'est là-bas où se fera le tri pour distinguer ceux qui ont droit à l’asile politique et ceux qui sont des candidats à l’immigrationéconomique.
Ceux qui ont droit à l'asile seront redéployés dans les différents pays qui peuvent les accueillir et les immigrés économiques seront retournés dans leur pays d'origine. Dans ce cas, personne ne prendrait le risque de payer un voyage périlleux pour aller en Europe, sachant que s'il arrive sain et sauf, il rebroussera chemin dans la semaine qui suit.
Pour humaniser cette mesure drastique, l'UE doit signer avec nos états (CEDEAO-Maghreb) des accords commerciaux plus équitables en donnant aussi des quotas annuels pour l’immigration régulière, de visa pour les regroupements familiaux et même en instituant le sponsoring.
Pour consolider cette politique, nos états vont arrêter les importations de biens agricoles, de textile, de produits alimentaires et tous les autres produits de faible contenu technique en vue de promouvoir leur production dans nos pays et donner de l’emploi à nos jeunes. Dans ce cas, ils devront faire des réformes plus agressives pour booster les secteurs privés nationaux, accroitre les investisseurs étrangers, faciliter l’obtention du financement et l’accès au foncier. La digitalisation, la dématérialisation et la démonétisation (les 3D) sont aussi de nouveaux sentiers à bâtir en vue de moderniser l’administration, rendre l’environnement des activités économiques plus efficace et plus efficient et réduire drastiquement la corruption qui freine le développement.
La formation professionnelle doit être intensifiée et les programmes scolaires et universitaires doivent être mis en adéquation aux besoins socio-culturels et économiques de nos pays.
Enfin c’est ainsi que le drame de l’émigration peut être transformé en un levier de développement inclusif.
Dr Moustapha Tounkara
Diplôme en Economie et Gestion des Entreprise
Université de Vérone Italie.
Président de l’association « Gore-Onesta des Sénégalais de la Province de Vérone
A MOUSTAPHA DIAKHASSÉ, LE VIEUX JOUEUR DE POCKER A LA FAMILLE DES XÉNARTHRES
Formation de 39 agents de sécurité aux métiers de la restauration : Birame Faye inaugure l’ère d’un ASP - un métier
Ca bouge du côté de l’Agence de la Sécurité de Proximité ! Formés pour combler le déficit des forces de sécurité classiques, 10.000 jeunes sénégalais étaient jusqu’ici en service dans les différentes structures publiques. Avec l’évolution de leur carrière, des opportunités s’ouvrent et c’est ainsi que le directeur général Birame Faye initie l’ère d’un ASP – un métier pour leur permettre une bonne insertion dans les circuits économiques. En partenariat avec la 3FPT, 39 jeunes ASP ont été formés aux métiers de la restauration dont la cérémonie de remise de leur attestation s’est tenue en présence de Mme le Commissaire représentant M. Antoine Diome, Ministre de l’Intérieur.
D’importants efforts dans le domaine du renforcement de capacité des assistants de l’ASP ont permis aujourd’hui de former près de mille cinq cents (1500) agents dans quarante cinq unités départementales et dans vingt trois filières, parmi lesquelles l'informatique, la sécurité aéroportuaire, les métiers du pétrole, la comptabilité, la mécanique, la transformation de produits locaux, l'agri-élevage, la restauration, entre autres.
« Notre ambition de doter nos agents de métiers avant la fin de leur engagement participe d'une volonté de leur faciliter une insertion professionnelle après services rendus et sans contrepartie financière. D'ailleurs, au moment où se tient notre cérémonie, trois cent assistants à la sécurité de proximité sont en formation au métier de stadiers à l'IFM-Sport suite à la collaboration avec la Fédération Sénégalaise de Football avec l'appui financier de la FIFA », a laissé entendre le directeur de la l’Agence. Pour Birame Faye, « en alliant travail et études, nos trente-neuf agents ont pu saisir la chance que la nation reconnaissante leur a offerte avec la mobilisation d'une enveloppe de treize millions deux cents mille francs (13 200 000f CFA ) pour la réalisation de leurs aspirations en matière de formation. Mais de manière générale, les efforts consentis pour une formation pointue des agents et l'esprit de collaboration du Directeur de l'Institut de Formation ‘’Les Marmitons’’ sont à saluer pour servir d’exemple de coopération entre structures partenaires pour le bien des sénégalais. « Aujourd'hui, l'Agence d'Assistance à la Sécurité de Proximité est à la croisée des chemins avec la problématique de l'insertion de la première promotion et la volonté inébranlable et le souhait ardent de milliers de nos jeunes compatriotes qui tapent à la porte de l'agence pour entrer et servir en qualité de volontaires ou engagés civiques », conclut Birame Faye.
BABA TIOBANE, ATTACHE DE COM DU FRAPE : « Le choix de l'intérêt national »
« Il est question, d’abord, du Sénégal. Et ce pays doit changer de paradigme Politique. En ayant un regard rétrospectif sur l’histoire du Sénégal, de 60 à nos jours, il nous revient de ranger l'amertume et la rancœur au placard de l'oubli et se rendre à l'évidence d'un resserrement des efforts et sous tendue par une optimisation des compétences, dans l’optique d’adopter une autre démarche plus résiliente, parce que rationnelle.
Ces ignares du FRAPP, du Front multi-lutte DOY NA, de Ousmane Sonko et cie devaient panégyriser les réformes de son excellence Monsieur Macky Sall Président de la république du Sénégal, qui n'a pas hésité pour un Sénégal meilleur, dans l'optique d'améliorer les conditions sociales de ses gouvernés, bouleversés par la covid -19n solliciter le soutien et l'expertise de ses frères et sœurs sénégalais. A l'occurrence Monsieur Idrissa Seck, de Monsieur Omar Sarr et de Madame Aminata Tall et Cie. qui ont répondu favorable à l'appel du Chef de l'Etat. Un acte digne d'un meneur d'hommes, qui doit inspirer non seulement ses contemporains, mais également les générations futures, car l'ouverture rime avec gestion efficace de la chose publique.
Je regrette le temps où les généraux vaincus se donnaient la mort par leur épée. Maintenant ils convoquent la presse, utilisent les réseaux sociaux, pour se racheter ou se créer un alibi. En effet, ils sont plus qu'un lanceur de rumeur, les évènements qu'ils génèrent semblent tout a fait vrais et provoquent de véritables réactions. Détrompez vous c'est de la fumée entièrement fabriquée, pour attirer l'œil averti des caméras loin de l'incendie réel.
C'est exactement ce qui se passe au Sénégal. En effet, il ne s'agit pas d'avoir de gros yeux pour être visionnaire encore moins de grosse tête pour être penseur.
Malheureusement ces viles personnes, dépourvues de valeur citoyenne se cachent derrière leur cupidité et mesquinerie pour feindre d'être intéressées par la vie des sénégalais, ils prétendent d’être chauvins. En réalité, ils se foutent complètement des sénégalais tout ce qui leur intéresse, c'est de se faire un nom, bâtir une réputation, l'opulence et la belle vie.
Vous êtes pire que ce politicard de Sonko.
Vous vous cachez derrière votre mouvement pour entuber les sénégalais. Quelle honte!
En cette période si précaire du coronavirus, on attendait plus de patriotisme de votre part, en distribuant des flacons de gel, confectionnant des masques, sensibilisant les sénégalais pour bouter le virus hors du pays. Mais, au contraire vous profitez de l'occasion, pour dénigrer le Président Sall, pour vous, c'est la cible choix pour arriver à vos fins. Vous êtes le summum de l'ignominie.
Sachez une chose, le Président a toujours été à coté de sa population, qu'il pleuve ou qu'il neige. Pendant ce temps qu'est ce que vous avez fait pour vos compatriotes? Rien, à part parloter, créer de fausses informations pour les intoxiquer. Pire vous les escroquez, en leur demandant de cotiser en ces périodes si difficiles, l'argent récolté ne servira que financer vos magouilles que vous essayerez de patriotiser. Quelle stratégie d'enrichissement illicite et méprisable, pour des gens qui se disent être au chevet des sénégalais.
Vous n'avez aucune utilité pour notre Sénégal, car vous n'avez posé aucun acte solide, rentable. Pourtant nous savons tous, que les actes ont plus d'impact que les mots, en particulier ceux qui relèvent de la loyauté et le sens du devoir. Hélas " ko eupoul mbokou menoka dieuw"!
Les sénégalais ont fait leur choix et ce choix s'appelle Macky Sall. Comme vous êtes des loosers insignifiants votre seule compétence reste la critique sans fondement et vide de sens. C'est normal que vous vouliez avoir de l'importance, puisqu' on a tous une façon dont on veut être perçu, une belle histoire ou un mensonge qu'on raconte en espérant qu'on va nous croire.
Les amis réveillez –vous, vos masques sont tombés.
Etre président ne se limite pas à régler le problème de quelques travailleurs de la Senelec, encore moins solutionner un petit problème foncier par ci et par là, ni parler de l'immigration clandestine ou proposer des solutions hâtives sans étude approfondie préalable du sujet. Non c'est loin de là, plus profond que cela et plus technique que vous le pensiez.
C'est en effet, le travail d'une équipe compétente et non les hallucinations d'un mouvement de jeunes ratés.
C'est plutôt mettre sur pied, l'ensemble des moyens humains et techniques dans le but d'améliorer la vie de tous les sénégalais partout où ils se trouvent, au Sénégal comme à l'étranger. Juste pour vous dire que vous êtes loin d'être des leaders.
Vous avez une haute opinion de vous à tel point que vous croyez pouvoir tout changer de fond en comble.
Dieu seul sait, vous êtes loin de peser sur la balance ».
Fallou Ndiaye, leader de Gindi Askan wi : « Avec les Trotskistes au palais, c’est la manigance au sommet de l’Etat »
Ils sont au tour de la magistrature suprême du pays, ils développent des stratégies discrètes et leur point central, c’est le département de Mbacké, plus précisément Touba. En effet, ces gens qui ont bénéficié de la confiance du leader de la mouvance cherchent à affaiblir la coalition par des recrutements massifs, des chargés de mission, des directeurs généraux... Ils font des protocoles qui signifient qu’ils feront le nécessaire pour que ces derniers puissent avoir plus d’aisance dans le gouvernement actuel et ainsi, parvenir à leur fins qui d’abord de fragiliser le régime en le diabolisant de mal gouvernance et de dealers. Ils ont des stratégies larges avec des plans divers dans le trafic d’influence installé un peu partout sur le territoire, ainsi que les unités digitales implantées pour convoquer la magie du clic dans les interventions nationales.
Awa Thiam, leader de Frape '' A Guy Marius Sagna, je rectifie le tir. Il s'est trompé"
Suite à ses sorties incendiaires contre les autorités de ce pays: ''Moustapha Diakhaté n'a aucune classe à revendre, c'est un badolo de première catégorie'', selon Ousmane Faye, leader de MWS
Promotion de la langue Pulaar : La section Keur Mousseu de l’association ‘’Tabital Pulagu’’ étale ses tentacules aux Parcelles Assainies
Promouvoir et développer la langue Pulaar, tel a été le but de la réunion tenue le samedi 7 novembre 2020, du bureau élargi de la section Keur Mousseu de l’Association pour la Renaissance du Pulaar (Tabital Pulagu). Venus de différentes contrées, ses membres se sont donné rendez-vous aux Parcelles Assainies pour échanger sur la vie de la section et dresser une feuille de route dont la finalité est justement de voir les voies et moyens pour davantage hisser la langue Pulaar à des niveaux jamais égalés.
Mise sur les fonts baptismaux en 1968, l’association Tabital Pulagu ambitionne de développer la culture Hal Pulaar. Pour ce faire, ses membres mènent des réflexions et développent des actions en implantant des sections dans les différentes communes du Sénégal. C’est ainsi que la section Keur Mousseu de la région de Thiès a saisi l’opportunité de la réunion de son bureau élargi pour cogiter et peaufiner un plan d’actions qui, à terme, permettra de dresser un fil conducteur pour mener à bien les différents chantiers tracés dans ce sens. Selon Assane Sow, secrétaire général de la section Keur Mousseu, « pour arriver à notre objectif de développer la langue, il s’agira pour nous, de mettre sur pied des écoles Pulaar et créer un renouveau dans ce sens, ensuite de raffermir les relations entre nos différentes entités partenaires pour une intégration nationale afin de mieux lancer Tabital Pulagu à travers le pays. Il faut dire que c’est une approche nouvelle, avec une allure nationale et même internationale, qui nous pousse à poser les jalons pour un développement durable en cultivant l’intégration. Mais il est important de retenir que nous sommes dans 28 pays d’Afrique, et nous invitons nos membres à s’activer ».
Pour le Président Daouda BA, président de section de Tabital Pulagu de la commune de Keur Mousseu, « il est important de faire en sorte que le Pulaar soit davantage pratiqué, réhabilité et promu. Nous partons de l’hypothèse que tous les pays qui se sont développés l’ont réussi en utilisant leur propre langue. Dès lors, nous avons pris notre courage à deux mains pour sillonner les contrées et sensibiliser nos parents Hal Pulaar pour qu’ils étudient leur langue. Notre stratégie consiste, en fait, à aller dans chaque localité où résident nos membres pour y tenir une réunion du bureau élargi afin de promouvoir notre propre culture ».