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Malal DIALLO Pithi

Malal DIALLO Pithi

 

Privée d’eau pour non-paiement de leurs factures, l’école primaire Médina Gounass 1 plus connue sous le nom de  "Ecole 21," retrouve le liquide précieux grâce à un digne fils de la commune, *Hamidou NDAO*,  responsable APR et membre de la CCR pour ne pas le nommer.

En effet, ce dernier sensible à la situation de cet établissement d 'excellence, de par ses résultats, s'est substitué à la mairie qui a failli à son engagement de gérer cette charge après plusieurs relances. Le Directeur de l'établissement au nom de ses collègues a remercié le bienfaiteur,.

 

« Quand le Ministre Oumar Gueye vivait le découpage, pendant 10 ans, sans piper mot, personne ne trouvait à dire. Maintenant que le Président Sall tient à respecter ses engagements en rétablissant la commune de Sangalcam en la rattachant des 5 villages que sont kounoune, keur Ndiaye Lo, keur Daouda Sarr, Galam, et la Cité des enseignants de kounoune, des personnes se sont levées pour ameuter le monde. Mais c’est le maire de Bambilor qui me surprend le plus, car, j’estime qu’il n’a rien à dire. Allez demander aux populations ce que Ndiagne Diop a fait dans ces villages, absolument rien du tout ». Ces propos sont de Amadou Sall, Président  du Mouvement ‘’Taxawu Sama Gox ‘’, qui a tenu à se prononcer sur l’actualité qui fait beaucoup de bruit, en ce moment, dans le département de Rufisque.

En tant qu’agent de l’ADIE, à la DLM dans le secteur de l’énergie, Amadou Sall fait savoir qu’il encourage la mise en œuvre de ce projet de redécoupage qui, en fait, ne vise qu’à restaurer Sangalcam. Ce qui fait ce grand tintamarre, c’est que la commune dirigée par Ndiagne Diop est délestée de cinq villages, mais, pour Amadou Sall, «il faut s’en féliciter. Le nouveau découpage ne fait que corriger des déséquilibres et des incohérences territoriales nées il y a dix ans ».

Le leader du mouvement ‘’Taxawu Sama Gox ‘’, renchérit : « La modification de la carte administrative de la région de Dakar va faire de Keur Massar le cinquième département de ladite entité territoriale, désengorger l’arrondissement de Bambilor qui couvre la plus large superficie de la région et résoudre la lancinante équation des limites entre les communes de Yenne et de Diamniadio ». Et donc, même si ce projet présidentiel fait grincer des dents jusque dans le parti politique de Macky Sall, l’APR, « ce projet de découpage, tout le monde l’attendait. Mais, malheureusement, il vient de tomber et contre la volonté de certains qui n’ont eu, durant leur mandature, à se tourner les pouces, alors qu’il est mené, juste dans une logique de rapprocher davantage l’administration des administrés, et de garantir le principe de la proximité. En effet, il a été décidé de corriger certaines incohérences spatiales », termine Amadou Sall

 

Le nouveau découpage administratif charrie encore des vagues d’indignations dans les rangs de l’opposition. Le conseiller municipal, Alioune Sy, connu aux côtés d’Abdoul Mbaye, accuse et s’interroge sur les desseins de ce nouveau dessin territorial. Selon lui, le reversement de la commune que dirigeait le défunt Idrissa Diallo laisse place à des interrogations qui ont toutes des soubassements politiciens, alors qu’il devait se faire simplement dans le cadre d’un retour à une tradition abandonnée.

«L’information du reversement de la commune de Dalifort dans la commune de Dakar, après avoir été rattachée, depuis sa création, dans le département de Pikine, fait encore tilt. Pour l’histoire, pendant plus de 10 ans, nous avions lutté, avec l’ensemble des couches de la population, jeunes et vieux, imams et délègues de quartier, tous mus par le seul intérêt citoyen et faisant fi de leurs couleurs politiques. Malheureusement, pour des raisons politico-politiciennes, une fin de non-recevoir nous a toujours été servie. Car, simplement, l’équipe municipale était dans l’opposition. Pourtant outre l’adhésion de la population, des techniciens de la décentralisation et des urbanistes avaient été associés à notre démarche pour donner le maximum d’objectivité à nos vœux», retrace le conseiller municipal. Selon Alioune Sy, «il ne s’agissait pourtant que d’un retour à une tradition abandonnée, car Dali fort a appartenu au département de Dakar avec sa sœur jumelle Hann Yarakh».

«Mais alors, quels faits nouveaux peuvent motiver cette décision de remettre Dalifort foirail dans le Département de Dakar? Est ce parce que la mairie a changé de mains, passant de l’opposition à la majorite? Est-il prévu une récompense à un politicien? Que se cache-t-il derrière ce cadeau?» Autant d’interogations qui font dire à Alioune Sy que «les habitants de Dalifort ne demandent pourtant rien d’autre, si ce n’est d’être consultés et entendus dans l’objectif de la meilleure prise en charge possible de leurs préoccupations». A cet effet, solutionne-t-il, deux options se dégagent, à savoir, reconstituer le vrai Dali fort, avec non seulement son foirail (d’où le nom de la commune Dalifort – foirail), mais avec l’adjonction logique de ses environs immédiats : foirail – Seras, Sogas – Parc lambaye – Marché central au poisson qui se trouvent en plein cœur de de la commune». L’autre piste, selon Alioune Sy, «c’est de rejoindre Dakar et retrouver les moyens dont on l’avait privée, parce que sa population avait choisi un maire de l’opposition. Quoi qu’il arrive, Dalifort n’acceptera pas d’être manipulée. La population souveraine fera face, car la commune s’est faite toute seule, parvenant contre la volonté répressive de la majorité au pouvoir de réaliser toutes ses infrastructures».

A la suite du conseil présidentiel sur l'insertion et l'emploi des jeunes du 22 avril 2021 au CICAD, la COJER a initié des panels de restitution des pertinentes conclusions issues dudit conseil au niveau des différentes régions du Sénégal. A l'étape de Tambacounda, un petits détail a fait sortir Ousmane Sonko pour faire des railleries à la Cojer. Mais pour Mareme Tabane, ''ce monsieur n'a aucun conseil à donner à qui que ce soit. Il a un dossier très chaud qui devait le préoccuper plus que ce que font les vertueux membres de la Cojer qui n'ont pour souci que d'offrir des emplois à la jeunesse et les sortir des difficultés

La région de Tamba a donc accueilli ce premier panel décentralisé dans la concorde et la convivialité. Pour la responsable politique membre de la Cojer, Mareme Tabane, ''il y a lieu de féliciter les délégations des quatre départements, notamment Koumpentoum, Goudiry, Bakek et Tamba pour leur mobilisation d'abord et pour leur brillante participation à ce panel. Mais je me réjouis du travail mené par l'infatigable coordonnateur Moussa Sow qui a parfaitement bien coaché. Il faut aussi noter la prestance de Me Sidiki kaba à qui nous donnons une mention spéciale pour l'hospitalité, le Ndogou offert aux différentes délégations. Mes remerciements vont aussi à l'endroit de tous les responsables de la région de Tamba''

Réagissant aux propos de Sonko, Mareme Tabane opte pour le descendre tout simplement. '' Avec ce qui vient de se passer au Sénégal au mois de mars, ce monsieur sweet beauty ne doit pas être amnésique à ce point. N'a-t-il pas un cas à éplucher plutôt que de se permettre de nous faire des railleries ? Vraiment, Sonko amoul jom'', finit la responsable de Dieuppeul Derklé

 

Il attendait ce décret avec impatience, et voilà que la date des élections territoriales est donnée par le Ministère de l'intérieur que le conseiller municipal à la commune de Djeddah Thiaroye Kao annonce les hostilités. Ce sera à travers une importante déclaration dans sa localité le 5 juin qui coïncide avec la célébration de la journée mondiale de l'environnement. A cette occasion, Malal Diallo Pith offrira des matériels tels que des brouettes, des pelles, râteaux afin de pouvoir apporter une salubrité publique dans la commune 

Lors du dernier conseil  présidentiel sur l’emploi des jeunes, le président Macky Sall avait donné des directives pour permettre aux arabisants de bien bénéficier des opportunités d’emploi, de formation, et de l’accès aux financements auprès des institutions comme la Der, 3FPT, etc.. Heureux de cette belle initiative, la Fédération nationale des jeunes afro arabes (Fnjaas), sous la houlette de son coordonnateur, Oustaz Bachir Sow, réunit les représentants des quatorze régions du mouvement  pour, d’abord, rendre un hommage mérité au chef de l’Etat, et, voir comment faire bénéficier à ses membres des emplois offerts dans le cadre du Cniej (conseil national pour l’insertion et l’emploi des jeunes). En marge de cette activité tenue ce jeudi, le coordonnateur de la Fnjaas a adressé aux ministres qu’il juge ingrats de tout faire pour mériter la confiance placée en eux par le Président Sall. «Sinon la cravache risque de s’abattre sur eux», menace Oustaz Sow.  Car, explique-t-il, « jusque-là, avec le recrutement des 5000 enseignants, personne ne peut te dire le nombre d’enseignants réservés aux arabisants, alors que Macky Sall avait donné des instructions claires et fermes. A cet effet, nous lui demandons de suivre, lui-même, ces recrutements qui risquent de mal tourner. Et donc, l’appel que nous lançons est destiné aux ministres concernés : qu’ils se le tiennent pour dit. Ceux qui s’aventureront à passer outre les recommandations du Président seront sanctionnés, et de manière exemplaire», sévit le Président du Mouvement des arabisants du Sénégal. Revenant sur l’affaire qui avait tant fait de bruit et provoquait ces chaudes manifestations, Oustaz Bachir demande à Sonko de jurer sur Dieu comme quoi il n’a point abusé de la fille. «S’il le fait, toute la fédération ralliera sa cause et rejoindra son parti. Je lui rappelle que cette promesse émane de 450 militants qui restent, tous, à son écoute pour cela», révèle le coordonnateur de la Fnjaas.

 

A l’image des autres dates consacrées par la République, Papa Saliou Diop demande solennellement à l’Etat du Sénégal que la date du 5 mai soit définitivement marquée, en lettres d’or, dans l’agenda institutionnel comme ‘’journée de la miséricorde’’.

Des récitals de Coran et de khassida, des prières, et une séance de distribution de ndogou, sont les principales actions qui vont ponctuer, ce mercredi, dans la commune de Yoff, la date du 5 mai 2021, journée de la miséricorde comme aime que ça soit inscrit dans l’agenda républicain, l’initiateur Pape Saliou Diop. Cette activité se tient annuellement en guise de reconnaissance et pour marquer les souvenirs de Serigne Saliou Mbacké, illustre fils de Cheikh Ahmadou Mbacké, connu pour avoir prôné des années durant les actes de miséricorde.

Guide spirituel et formateur, Serigne Saliou Mbacké lui avait suggéré d’être au service exclusif de la communauté et des citoyens. «Mais ce dévouement ne peut se réaliser que quand il y a un brin miséricorde dans le cœur», prévient Pape Saliou Diop qui tient à la célébration de cette journée comme on devrait fêter le 4 avril jour de l’anniversaire de notre accession à la magistrature suprême.  Par conséquent, souffle-t-il aux autorités, «le 5 mai devrait être inscrit en lettres d’or dans l’agenda républicain comme journée nationale de la Miséricorde». En effet, explique Pape Saliou Diop, initiateur de ce projet, «la miséricorde reste, à ce jour, la seule alternative pour l’humanité pour vaincre la pauvreté, les maladies et les souffrances de toutes sortes. Une fois réalisé, tous les projets et programmes vont devoir désormais se concevoir et s’articuler autour de cette notion qui inclut toutes les couches de la société et même des êtres vivants de manière générale. Nous allons nous apercevoir que tous les problèmes qui inquiétaient l’humanité ont des solutions. L’humanité sera sauvée, et nous y croyons, d’autant plus que c’est Dieu qui est au début et à la fin de tout processus. Sans LUI, rien ne peut exister. Ce sont des valeurs que nous incarnons et dont nous pensons qu’il faudrait mieux les partager. Cela devrait commencer par les autorités qui doivent d’abord s’approprier ce concept et d’en faire la promotion en commençant d’abord par institutionnaliser cette journée». Donc, termine-t-il, «c’est comme une révélation et une mission que je me suis assigné d’organiser cette journée pour la communauté toute entière. Serigne Saliou m’avait en effet inspiré les soubassements mystiques du chiffre 5, en choisissant le jour (5), du 5ème mois (Mai)».  

 

A chaque fois qu’il prend la plume ou qu’il ouvre sa bouche, Ousmane Sonko révèle son manque d’expérience et étale toute son ignorance du fonctionnement d’un Etat.

On ne peut pas s’attendre à une surprise pour quelqu’un qui n’a jamais assumé de hautes fonctions dans l’Administration sénégalaise.

Il vient encore une fois de dévoiler toute sa carence à travers sa contribution consacrée aux propos tenus, avec un sourire aux lèvres, par le président de la République Macky Sall, sur les tarifs du péage.

En plus d’être ignorant, le p’tit Sonko est paresseux. L’honnêteté intellectuelle voudrait qu’il cite les sources des chiffres qu’il a puisés du site de l’Apix.

Rien de nouveau : le montage financier, les fonds décaissés, les partenaires techniques etc... toutes ces informations sont disponibles sur le net. Et, il s’en sert à satiété, sans avoir

l’honnêteté de citer ses sources. Jugez-en ! Le plagiat c’est du vol. Et il n’est pas à son premier coup d’essai.

Le leader de Pastef gagnerait à faire une mise à jour de ses connaissances, dans la mesure où, ce débat autour de l’autoroute à péage, est dépassé. En plus, toutes les suggestions faites par des sénégalais experts sérieux, aux savoirs reconnus en la matière, ont été prises en compte, lors des renégociations du contrat avec les autorités de Eiffage.

Mais, lorsqu’on manque de sujet du fait, de l’effondrement de sa petite crédibilité entachée dans une sale affaire, on divague, on se cherche, on ronge ses ongles pour trouver des moyens de rebondir.

La diversion ne passera pas, p’tit Sonko !

L’actualité fraiche, ce sont les importantes décisions prises par le Fmi pour notre pays, lors de la troisième revue du programme appuyé par l’instrument de coordination de la politique économique.

Rappelons que «les services du FMI ont conclu avec les autorités sénégalaises un accord concernant les mesures économiques et financières qui pourraient permettre l’approbation de la troisième revue du programme appuyé par l’instrument de coordination de la politique économique (ICPE) et soutenir un accord de financement sur dix-huit mois au titre de la facilité de crédit de confirmation (FCC) et du mécanisme d’accord de confirmation, pour un montant total de 350 milliards de FCFA) ».

Si le Fmi a validé cette mesure, c’est grâce à la bonne tenue des finances publiques mais aussi à la pertinence des réponses proposées par le président de la République pour la relance économique et la lutte contre la pandémie.

D’ailleurs, Monsieur Charles Reviens, journaliste au prestigieux site

d’information «Atlantico», a publié un article intitulé : «Covid-19 : la jolie réussite sénégalaise».

 

  Dans son texte, il écrit : «des donnée statistiques impressionnantes par rapport à la plupart des pays occidentaux et à l’Afrique du Sud dans le continent africain, avec au total à date 40 344 cas et 1 107 décès covid ».

Le Sénégal, pays de 16 millions d’habitants, présente effectivement

Monsieur Reviens a rappelé «qu’il y a eu une petite second vague au Sénégal, mais sans commune mesure avec ce qui s’est passé en Afrique du Sud qui a été dans une situation dramatique de décembre 2020 à février 2021 ».

Selon lui, «les données du Sénégal sont très comparables à ce qu’on trouve en Asie du Sud et en Océanie. L’explication du faible impact final de la pandémie mondiale covid-19 sur le Sénégal est nécessairement multifactorielle ».

A la suite du Fmi et à la Banque mondiale, Charles Reviens vient de magnifier les efforts immenses consentis par les autorités sénégalaises pour combattre la Covid-19. La stratégie sénégalaise est l’une des meilleures en Afrique pour ne pas dire au monde.

UN LEADERSHIP NE S’IMPROVISE PAS

Le président Macky Sall est un leader africain qui inspire la confiance et impose le respect auprès de ses pairs mais aussi chez les partenaires au développement.

Nous avons tous remarqué que le Président Macky Sall a toujours inscrit son œuvre dans la construction d'une Nation sans couture dans l'entente et la cohésion sociale.

Grâce à son esprit alerte, sa maitrise du fonctionnement de l’Etat, le Sénégal a réussi à stabiliser les finances publiques et à engager avec succès la relance.

Le président Macky Sall, comprend son peuple et il agit toujours en tant qu’humble serviteur de ce dernier.

Le président s’adresse à ses compatriotes, avec des mots teintés d’honnêteté, affichant toute sa volonté d'apporter, dans les plus brefs délais et avec un engagement inoxydable, une solution aux préoccupations nationales.

Le recadrage du Plan de Relance Économique et Social (PRES), va permettre de prendre en

charge les besoins urgents des sénégalais. C’est ce que les partenaires techniques notamment, le Fmi ont bien compris.

Ce PRES lancé pour améliorer le niveau de vie des populations, en dépit des conséquences difficiles nées de la Covid-19, son plaidoyer retentissant à la CEDEAO, à l’Union Africaine dont les échos ont été entendus par le G20, pour l'annulation de la dette africaine, l'acquisition de ces millions de vaccins pour son pays le Sénégal, le choix porté sur sa personne pour diriger l’Union Africaine, témoignent de l'engagement du président Macky Sall à œuvrer pour la défense des grandes causes.

Voilà, les combats qui méritent d’être menés.

Alors p’tit Sonko, tais-toi. Tu n’es pas dans l’eau tiède du jacuzzi de «Sweet beauty » !

 

 

#Samuel_A_SARR

Ancien Ministre d’Etat,

Président du Parti Libéral Social Sénégalais

 

Après l’acquis des femmes sur la parité, les jeunes à leur tour veulent avoir un quota de 30% dans les instances électives et semi électives. La promotion Pypa 2020 souhaite que ce quota soit appliqué dès les prochaines élections locales. D’ailleurs, ils ont fait signer au ministre en charge de la Jeunesse, Néné Fatoumata, ce jeudi, au Grand Théâtre National, lors d’une rencontre multi-acteurs, la charte d’engagement pour matérialiser son accompagnement.

 “Nous sommes la promotion 2020, il y a eu des promos depuis 2016 qui ont initié ce projet. C’est un travail dans la continuité pour essayer de voir comment résoudre cette problématique de la représentativité des jeunes dans les assemblées électives et semi électives. Nous comptons mener ce combat en sensibilisant les premiers acteurs du projet que sont les jeunes mais aussi en allant vers les autorités politiques, les responsables de partis politiques  » a déclaré Ousmane Ndiaye chargé de communication de la promotion Pypa 2020. Il souligne que le combat ne sera pas facile, car ils ont vu comment les femmes ont su se battre pour avoir une loi élective sur la parité. “Nos prédécesseurs ont eu à faire ce qu’ils devaient faire. Cette année on a eu à faire beaucoup d’activités dans ce sens, c’est un processus d’ici quelques années où cette année même à travers un projet de loi on souhaite arriver au l’effectivité de ce projet. Notre objectif d’ici les élections locales et que toutes les listes qui se présenteront  à ces élections puissent adopter ce projet et permettent aux jeunes de concourir de façon légitime. Au plan démographique au Sénégal la jeunesse est majoritaire il faut que cela se reflète dans les instances de décision” a-t-il fait savoir.

Venu présider la cérémonie, le ministre de la jeunesse Néné Fatoumata Tall estime que les jeunes ne doivent pas être confinés à jouer les seconds rôles. “Certes des efforts ont été fait mais, il nous reste encore du chemin à parcourir, il nous revient dès lors de renverser les tendances”, souligne-t-elle

Pour matérialiser son soutien à la jeunesse, Mme Tall, a procédé à la signature de la charte de vulgarisation pour une plus grande plaidoyer auprès des autorités. “Rien ne pourra se faire sans la jeunesse. Il faut promouvoir et vulgariser les jeunes dans les instances électives. Et cela passe par unir nos forces pour une meilleure prise en charge des intérêts des jeunes”, conclu-t-elle.

 

Le 1er Questeur de l’Assemblée Nationale a remis des kits alimentaires à la Coordination des Étudiants du Département de Kanel (CDEKA). Un geste hautement solidaire d'une valeur estimée à plus de 600.000 francs CFA. Avec ce geste, le député Daouda Dia vient de soulager plusieurs étudiants ressortissants de sa localité.

 Le premier Questeur à l’Assemblée Nationale, Daouda Dia a voulu, en ce mois béni de ramadan, assister les étudiants du département de Kanel. «De manière symbolique, nous sommes venus ici à la Médina pour remettre un don de kits alimentaires au niveau de la Coordination Départementale de Kanel. Ce don composé de sucre, de dattes, de lait et de café est destiné à l’ensemble des étudiants du département de Kanel», a déclaré Houdou Boubou Dia, Coordonnateur de la Cojer départementale de Kanel.

«Le 1er Questeur vous encourage, vous félicite et renouvelle son engagement envers les étudiants de Kanel. En effet depuis 2016, il a mis à la disposition des étudiants du département de Kanel des moyens logistiques, immobiliers pour vous permettre d'être dans de d'excellentes conditions de travail», a magnifié M. Houdou Dia.

  «C’est quelque chose que nous apprécions de sa part et ce n’est pas la première fois qu’il vient en aide aux étudiants dont les plus concernés et les cas sociaux vont recevoir ce don», a salué Séga BOCOUM président de la Coordination des étudiants départemental de Kanel

 

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