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Malal DIALLO Pithi

Malal DIALLO Pithi

Le responsable APR de Djeddah Thiaroye Kao Malal Diallo est très remonté contre Ousmane Sonko après sa sortie. Ce dernier en conférence de presse n'a pas épargné ni raté les chefs des institutions de ce pays, notamment les  pouvoir exécutif, judiciaire et même religieux. Il faut que les citoyens reviennent à l'orthodoxie et au respect de l'éthique et des valeurs. Ousmane Sonko doit savoir que le Sénégal a hérité d'institutions fortes et ces acquis résultent d'une abnégation de nos pères devanciers depuis les indépendances, mais aussi de nos chefs religieux qui ont toujours usé des valeurs qu'ils nous ont  léguées'', recadre le chef de cabinet du maire de de la commune de Djeddah Thiaroye Kao, en marge d'une cérémonie de remise de matériels aux groupement des femmes du quartier Bagdad de la localité.

 

Pour Malal Diallo, ''les hommes passent mais les institutions demeurent. J'invite par conséquent la jeunesse de ce pays à prendre conscience que ces nouveaux maires issus de Yewwi Askan wi ne sont là que pour leur propre compte. Ils ont fait beaucoup de bruit dans l'opposition et maintenant qu'ils gèrent des deniers publics, ils se tuent à vouloir coûte que coûte s'agripper sur des privilèges au moment où le président Macky Sall a entamé une politique rigoureuse de gestion des recettes publiques''. Poursuivant, l'apériste et fils de Diallo Pith dézingue les nouveaux députés qui réclament, de manière insipide, des voitures et autres prébendes dans un contexte économique défavorable, où l'Etat procède à une diminution drastique des dépenses. Il s'agit de Ahmed Aidara, Guy Marius Sagna, et Barthélémy Diaz qui avaient crié partout la suppression des salaires. Mais c'est tout à fait le contraire, ils se comportent comme de vulgaires profitards sur le dos des Sénégalais''.

 

Je l'avais dit dans un de mes écrits « Le monde d'aujourd'hui s'il ne veut pas être le réceptacle du choc des cultures, le choc des civilisations, le choc des ambitions inconsidérées qui frisent l'égoïsme n'aura d'autres choix que le respect des différences, la prospérité pour le plus grand nombre, la dépollution de l'espace politique... Attention à la désillusion et au déclin des vendeurs d'illusions ».

 

Si maintenant, à l'ère des vendeurs d'illusions, un représentant « d'une partie du peuple français », pour ne pas dire du peuple français, peuple que je respecte dans toutes ses composantes, peut par pure démagogie politicienne, parler avec une telle légèreté, dans l'enceinte siège des représentants du peuple Français, je ne peux que dire, que « la ligne rouge a été franchie ».

 

Qu'on ne vienne pas invoquer la surprise, tout le monde voyait venir depuis des décennies, cette haine montante envers les immigrés, même si certains d'entre eux, une minorité, n'est pas exempt de reproche... et je le disais encore « dans quelle école enseigne-t-on que l'exception fait la Règle ».

Sans aucune surprise, par fierté, les Africains réagissent depuis hier, ceux qui ont ou non connu le Colon, pour défendre leur honneur blessé, parfois avec une violence verbale à la mesure de tels propos.

 

Cet homme, à l'intelligence limitée par l'obsession de la haine, animé du seul désir d'exister dans son pays, mérite plus que du mépris.

Ce racisme primaire, en appel au phénomène de l'immigration comme prétexte, ne peut plus être considéré comme un épiphénomène.

 

On oublie très souvent que le problème de l'immigration, avec ses conséquences parfois néfastes, n'est pas l'apanage de la seule France. Il est également France-Africain au coût de 1 pour 100. Mais la coloration prise par l'immigration, accolée à des comportements de hors la loi comme motif de rejet, est devenue si récurrente qu'il y a lieu de s'inquiéter de la fracture perceptible de jour en jour, entre la France et l'Afrique. Certains génies de la corrélation en sont même arrivés à corréler noir-immigration-hors la loi.

 

Qu'un hors la loi soit traité conformément à la loi soit, qu'un hors la loi soit coloré noir et ensuite présenté comme tout ce qui est noir est hors la loi est inacceptable et ne relève pas de la responsabilité.

La France par la pratique et la posture de certains de ses fils, même minoritaires soient-ils, ne verra peut-être jamais, un Premier Ministre issu de l'immigration si déjà un Ministre pose problème.

Cette approche véhiculée et entretenue par une partie de la technostructure politique Française conduira, irrémédiablement, à la fracture définitive entre les peuples Africains et Français si cette trajectoire n'est pas corrigée, à l'image de cet astéroïde pour ne pas toucher la terre.

 

Il devient urgent en Europe et tout particulièrement en France, de changer de paradigme de gouvernance de l'immigration.

Les élites Africaines seront forcément du côté des peuples qui les ont élus, pour défendre entre autres, leur honneur et leur dignité.

Car trop c'est trop... Y A EN MARRE., pour emprunter un slogan bien de chez nous le Sénégal, PAYS DE LA TERANGA. L’Afrique en a marre d'être le dindon de ces farceurs incultes.

Comment un homme « sauvage » du 21eme siècle à l'image de Fou, censé avoir été bercé par les lumières, peut avoir un tel jugement à l'égard de l'homme civilisé Africain que je suis.

Comment l'esclave d'hier, le colonisé d'hier, le « sauvage » d'hier peut-il être dans la position du civilisé, du civilisateur, si ce n'était par la magie de la mondialisation de la démagogie.

Les Africains, malgré tout ce qu'ils ont subi des siècles durant, ont fait leur part de l’universel en cohabitant sur leur sol, dans la plus grande élégance d'homme tout court, avec des Français qui eux méritent d'être des Français citoyens d'un monde ; des citoyens ouverts « aux apports fécondants des cultures ». Ceux-là sont une partie de nous, conformément à notre culture et ont tout notre respect.

Cette polémique nauséabonde, fruit du désir d'exister de FOU...NASSE, pris dans la NASSE est celle de trop que l'Afrique ne peut plus accepter.

C'est pourquoi, comme pas mal d'Africains, je ne me tairais pas face à de telles saletés linguistiques que même des excuses ne penseraient, tant la blessure portée à notre honneur, à notre dignité d'Africain est si profonde. 

Haïr est un droit, aimer est aussi un droit mais, ces droits ne sont pas des biens appartenant à un peuple du seul fait de la couleur de sa peau.

Ceci démontre une fois de plus, qu'on peut être blanc et avoir un cervelet de... COQ qui chante dès qu'apparaissent les premières lumières de l'aube et se terre dès les prémisses du couchant : ces genres FOU... NASSE sont sur le couchant.

S'agissant de l'immigration, voilà un dossier qui devait être traité avec responsabilité. Ce ne sont ni les immigrés encore moins leurs dirigeants qui ont créé la mondialisation avec ses conséquences d'émergence de deux mondes : celui des populations les plus vulnérables dont font partie les abonnés au smig à 1000 euros dans vos pays et un monde de l'opulence.

En face des supposés milliards d'euros tirés de l'assistance publique, il y a les billions d'euros tirés de l'économie Africaine, il faut savoir raison garder.

Personne ne veut d'un citoyen du monde qui transgresse les lois d'un pays. Concernant par exemple la drogue, la différence est qu'en Afrique, ceux qui ont introduit la dure dans nos stations balnéaires dans les années d'après les indépendances, étaient jugés conformément à la loi applicable à tout délinquant, abstraction faite de la couleur de la peau : il faut savoir raison garder.

Quand vous créez le monstre de la mondialisation croyant en profiter et que vous émergez parmi les derniers, ne vous en prenez pas à l'immigré, vous n'avez à vous en prendre qu'à vous-même : il faut savoir raison garder.

Enfin, nos actes d'aujourd'hui tracent les lignes de ce que sera notre posture de demain, c'est pourquoi quand l'envahisseur d'hier par la colonisation devient l'envahi d'aujourd'hui par l'immigration... À QUI LA FAUTE si chacun était resté chez soi ? Il faut savoir raison garder.

Les Nobels nous édifieront peut-être un jour, sur la problématique démagogique du monde d'aujourd'hui et ses conséquences éventuelles sur l'avenir de cette jeunesse sans repère, à cause de politiciens véreux.

 

En attendant sachons raison garder. 

 

Abandonnons le populisme irresponsable, devenons des personnes responsables, l'Afrique d'hier n'est pas celle d'aujourd'hui.

 

Ce qui était accepté hier... Insulter sans réponse pour la supposée peur du blanc n'est plus. C'est pourquoi, recevant en direct, à l'aide des technologies de l'information, en pleine figure les insultes des ignorants, nos jeunes Africains de l'universel deviennent de plus en plus caustiques et parfois haineux.

 

Sachons raison garder avant qu'il ne soit trop tard.

 

L'Afrique continuera de défendre sa culture et ses valeurs, même si elles sont absentes de ces valeurs dites de... L'universel, exclusion considérée comme du mépris par bon nombre d'Africains qu'ils le disent tout haut ou non.

Assumez avec regret peut être, ces propos non équivoques, même si certains veulent, par la perche interprétative, sauver le soldat Fou pris dans la NASSE.

Ne soyez pas dans l'indignité d'invoquer aussi LA FOURCHE DE LA LANGUE, ou une quelconque autre interprétation des propos bien audibles, dans une ASSEMBLÉE QUI DIT REPRÉSENTER LE PEUPLE FRANÇAIS DANS TOUTE SA DIVERSITÉ ... à moins que la diversité Française, pour certains, n'est que Blanche.

 

QUAND le FOND remonte, il ÉCLIPSE la FORME DU CIVILISÉ quand on est en plein dans un racisme non assumé.

J'espère que tous les Élus du peuple Africain, sauront défendre l'honneur de leurs Mandants Africains qui sont profondément blessés.

 

Cheikhe Hadjibou SOUMARÉ, Ancien Premier Ministre du Sénégal.

 

Les sénégalais se sont tous indignés de la forte répression menée par les hommes de Sonko lors de son ‘’némékou’’ tour à Tchiky. Peu de doigts se sont levés pour fustiger la démarche violente amenée dans l’arène politique par Ousmane Sonko qui, depuis les évènements de Mars 2021, pense qu’il est un intouchable et que les victimes sont les grands perdants de ses actes barbares. Aujourd’hui que la justice décide de sévir pour situer les responsabilités de ces agressions, l’on semble s’émouvoir et tirer sur le régime. Pour le leader de Manko Wattu Sénégal (MWS), «cette convocation des nervis de Sonko est dans l’ordre normal des choses. Et que c’est même un non évènement qui ne mérite pas qu’on perde notre temps à y épiloguer trop longtemps».

 

Il est temps que les acteurs politiques, surtout ceux de l’opposition, se mettent dans la tête que le Sénégal est bien un état de droit, et que tout acte barbare synonyme d’agressions et de violences sur des citoyens ne saurait rester impuni. Ousmane Faye, qui se prononçait ce matin sur cette affaire tenait à faire cette clarification pour la gouverne de tous : «Des nervis ou gardes du corps d’un quelconque leader politique ne peuvent se permettre de commettre des actes répréhensibles sans que justice ne soit rendue. Il faut que Sonko et ses ouailles arrêtent de penser qu’ils sont les détenteurs de la violence. Pas trop longtemps, des gardes du PUR sont convoqués et sont toujours en prison. Tout comme dans le passé, nous avons toujours souvenance que Idrissa Seck a connu pareil revers en voyant Vieux Sandiéry Diop et ses gardes du corps acheminés directement en prison. Aujourd’hui, c’est autour des nervis de Sonko d’être convoqués pour qu’ils répondent de leurs actes. S’ils sont fautifs, ils dormiront à la citadelle du silence, et ça personne n’y peut rien».

 

Pour le patron de MWS, «ces gens se disent des radicaux et sèment le désordre dans le pays. Leur stratégie, c’est d’infiltrer les forces de défense et de sécurité, les écoles, et tous les segments de l'administration. Pire, ils ont dans leur stratégie construit un discours cousu de mensonges et de fomentations pour faire croire à l’opinion des inepties. Ils cherchent à instaurer une atmosphère de peur et créer la déflagration sociale, une tactique qui était propre à Hitler et qui avait fait que les allemands lui avaient cédé le pouvoir. Mais c’est dommage que le Sénégal de Macky Sall n’est pas l’Allemagne de l’époque. Nous combattons cette forme de pratique, sous risque qu’elle nous dompte tous. Donc, il est temps qu'on arrête, par tous les moyens, ces monstres qui n’ont aucun respect pour l’Etat, les forces de l’ordre, de défense et de sécurité, les chefs religieux et tous les symboles de la république». Mais, termine Ousmane Faye, on ne peut pas commettre certaines barbaries au vu et au su de tous sans en payer les pots cassés. La récréation est terminée, et même si c’était des nervis de la mouvance présidentielle, justice fera bien son travail quoique les politiciens encagoulés en diront».

 

Les chiffres parlent d’eux même sur l’alarme qu’il convient de tirer sur les nombreux cas de noyade enregistrés chaque année au Sénégal. «Plus de 566 décès notés chez une frange importante qu’est la jeunesse, il nous faut une autre forme d’intervention même si, par ailleurs, nous saluons les importantes mesures prises par l’Etat, notamment l’interdiction des plages, entre autres», alerte Ibrahima Niang, Président du MODEL.

 

Le Sénégal a toujours été un pays de paix et de sécurité où chacun veille sur son prochain. Et comme toute République qui se respecte, l'état à la prérogative de sécuriser chaque sénégalais et ses biens. Pour Ibrahima Khalil Niang, le président du MODEL, «le pays enregistre des cas de noyades chaque année surtout pendant les périodes de vacances scolaires. Des chiffres alarmants qui s'élèvent à 566 décès par noyade de 2017 à nos jours. Des pertes en vies humaines déplorables constatées plus chez la couche juvénile. Une situation alarmante qui dérange la quiétude des parents et responsables de familles». Sur ce, le Club MODEL appelle l'État du Sénégal, particulièrement les autorités de tutelle à veiller de très près à ce désastre pour y remédier efficacement. «Certes l'interdiction des plages et la sécurisation avec la gendarmerie et les maîtres nageurs sont des décisions salutaires», reconnait le leader du Model qui s’est érigé en modèle dans la sensibilisation et la prévention contre les cas récurrents de noyade chez les jeunes.

 

A cela l'état pourrait ajouter le reclassement des plages avec des zones pour baignades sécurisées. Sur un autre registre le Club MODEL interpelle la police des consciences de tous les sénégalais sur la situation actuelle du pays avec des dérives au quotidien sur les réseaux sociaux et medias. Ainsi Ibrahima Niang et ses membres demandent de retourner à nos valeurs d'antan à savoir la tolérance, l'acceptation de l'autre et les bons comportements. «Veillons à sauvegarder et à nourrir l'hospitalité, la cohésion sociale, la paix et la stabilité de la nation sénégalaise par nos attitudes et le sens de la responsabilité individuelle», plaide le patron du MODEL.

L’Afrique a subi de plein fouet une succession de crise liées aux avatars de la mondialisation à travers des économies fragilisées dans la plupart de nos pays, la pandémie de la COVID-19 et tout dernièrement les effets de la guerre en Ukraine. C’est d’ailleurs ce qui a motivé mon Département à revisiter nos programmes et approches d’intervention en rapport avec toutes les parties prenantes agissant dans le Développement du Capital Humain et dans les Affaires Sociales. Ainsi, sous l’impulsion de la Commission de la CEDEAO, engagement est pris de mener des consultations dans tous les Etats membres avec les organisations de la société civile en général et particulièrement auprès des Organisations de femmes et de celles en charge du Développement de nos Communautés ; d’où la tenue à Dakar de cette rencontre avec les organisations de femmes de la République du Sénégal, sous le thème :’’investissons dans le capital humain de la Cedeao pour accélérer la performance économique régionale d’ici 2030.

 

Selon Fatou Sow Sarr, Commissaire au Développement Humain et des Affaires Sociales de la Cedeao, « nous avons mandat de mettre en œuvre la stratégie régionale intégrée de Développement du capital humain de la CEDEAO à l’Horizon 2030 et de travailler avec les Organisations de la Société civile. C’est pourquoi, il s’emploie aujourd’hui à développer des programmes précis avec tous les maillons de la Communauté régionale pour améliorer les résultats de l’ensemble de la région en matière de développement du capital humain ; ce qui stimulera, à terme, la croissance et réduira la pauvreté ».

 

En effet, souligne-t-elle, «il y a lieu d’exhorter fortement les organisations de femmes, actrices que vous êtes de l’intégration régionale à soutenir nos Etats Membres dans la mise en œuvre des axes stratégiques prioritaires énoncés dans la VISION 2050 de la CEDEAO et inscrite en filigrane dans sa Stratégie régionale intégrée de Développement du Capital Humain 2030. Cette stratégie vise, entre autres, une transparence sur la situation actuelle en matière de Développement du Capital Humain dans les 15 Etats membres de la CEDEAO afin de définir le point de départ pour une vision et une ambition commune ».

 

 Selon la représentante de Mme le Ministre de la Femme, « nous nous réjouissons d’abord du choix fait sur notre compatriote Fatou Sow Sarr pour diriger ce département combien important de la Cedeao, avant de nous féliciter des pas de géant posés par le Sénégal par rapport aux initiatives prises par la Cedeao, notamment dans les secteurs de département humain où on s’est toujours classé meilleur élève. En effet, cela fait plus d’une dizaine d’années que je suis le point focal du Centre de développement humain de la Cedeao, Par conséquent, je dois reconnaitre que ces consultations reflètent la qualité des stratégies pour encourager les organisations de la société civile pour conduire ces politiques, mais aussi servir de relais communautaires auprès des populations ».

 

Ainsi conclut Mme Sandra OULATE FATTOH, Directrice du Centre de la CEDEAO pour le Développement du Genre, «Nous nous devions en rapport avec l’agenda de discuter avec les principales organisations nationales de femmes et de jeunes en Afrique de l’Ouest pour établir des axes de collaboration commune autour des priorités de la stratégie régionale intégrée de Développement du Capital Humain de la CEDEAO, mais aussi de consolider la synergie entre les actions de la Société Civile et celles de la Commission de la CEDEAO pour un impact socioéconomique important des interventions sur les populations».

 

 

 

 

Depuis 2005, les festivités marquant la célébration de la journée Mame Fa Wade Wélé, Fatimatou Wélé à l’état civil, du nom de la mère de Seydil Hadji Malick RTA, se tiennent dans la capitale sénégalaise. Un évènement qui fait courir de nombreux disciples de la confrérie Tidiane et qui fait que ni le Grand Théâtre ni aucun autre site ne peut contenir l’activité ; d’où la sage décision de Serigne Abdoul Aziz Sy Al Amine de délocaliser les festivités dans la vile sainte. Membre de la famille et déterminant dans l’organisation, Ahmadou Wélé confirme : «Cette neuvième édition de la journée Mame Fa Wade Wélé va se tenir pour la première fois à Tivaouane. L’importance de sa tenue dans la ville sainte est magnifiée par le Khalife général qui a donné des instructions fermes pour une belle réussite de cette initiative pleine de symboles».

 

Les festivités de la célébration de la journée Mame Fa Wade Wélé vont donc se tenir à Tivaouane. En prélude, des cérémonies de récital de Coran s’y tiennent depuis quelques jours et vont se poursuivre jusqu’au vendredi 4 novembre. «Ces prières sont assurées par trente (30) daras pour 3 récitals, soit 90 fois par jour. Après quoi, durant deux jours, samedi 5 et dimanche 6, des séances de consultations médicales gratuites seront dispensées aux jeunes apprenants de tous les daras de la ville. Cela s'inscrit dans le cadre de la réalisation un vœu cher à Mame Maodo qui avait indiqué étudier la médecine s'il n'était pas devenu homme de culte». L'autre vœu, se rappelle Ahmadou Wélé, et qui aura prédestiné à la tenue de cette journée, «c'est bien la prise en charge sociale des enfants-talibés, activité qu'aimait à bien faire la marraine et mère de Maodo Malick.

 

Cette combinaison de ces deux activités qui traduisent les dits voeux des ces deux illustres ont conduit à la célébration de la journée Mame Fawade Wélé». Mais d’ores et déjà, «tout est fin prêt, avec la mise à disposition d'une antenne médicale devant procéder, pendant deux jours donc, à des consultations, dépistages, traitements et autres fournitures de soins médicaux. En amont, le préfet de Tivaouane a pris des dispositions et a déjà envoyé des correspondances aux services techniques de la Senelec et de la Sen Eau pour un approvisionnement correct en électricité et en eau potable». Le khalife général Serigne Babacar Sy Mansour a, de son côté, donné des indications fermes pour une réussite de cette journée dont la célébration va se tenir pour la première fois dans la ville sainte depuis 2012, comme l'avait instruit Al Amine. Pour terminer, Ahmadou Wélé a rappelé la recommandation de Seydil Hadji Malick RTA d'accorder une grande considération à la ville de Gaya d'où gît sa mère Mame Fawade Wélé. «Déjà, on se mobile pour rallier la ville sainte, de Dakar avec les lébous fortement mobilisés par Abdoulaye Makhtar Diop, à Saint Louis en passant par Gaya, Nouadhibou, et toutes les contrées», signale le marabout Ahmadou Wélé.

L’enquête sur les 300 kg de cocaïne saisis à Kidira par les éléments des douanes de Tamba avance à grands pas. L’Observateur informe que le chauffeur, Fousseyni Coulibaly, et l’apprenti, Idrissa Coulibaly, arrêtés à bord du véhicule transportant la drogue, ont été déférés au parquet de Tamba.

 

Le procureur de la République a aussitôt demandé l’ouverture d’une information judiciaire et transmis le dossier au juge Babacar Ngom. En attendant l’audience de première comparution, ce mercredi, ce dernier a «confié» les deux mis en cause à la gendarmerie de Tamba.

Le journal rapporte que les premiers éléments de l’enquête révèlent que les deux suspects agissaient pour le compte d’un commerçant d’origine arabe établi au Mali. La même source ajoute que les 300 kg de cocaïne étaient destinés à un autre commerçant étranger basé à Dakar.

L’Observateur informe que les éléments de la Section de recherches de Tamba sont aux trousses de ces deux «parrains» ainsi que tous les autres membres du réseau. Le journal compte parmi les complices présumés des individus résidant à Dakar dont les activités les conduisent à exporter la drogue en Europe.

 

«Depuis le Mali, le commerçant d’origine arabe parvenait, par des moyens téléphoniques, à coordonner le trafic jusqu’à Dakar, malgré les précautions rigoureuses prises par les forces de sécurité sénégalaise au niveau de la frontière», précisent des sources de L’Observateur.

 

L'Association  sénégalaise des femmes diplômées des Universités (ASFDU) a remis  le dimanche 30 Octobre un lot d'une centaine d'ouvrages à la Bibliothèque Bineta Diop du Lycée  Blaise Diagne de Dakar avec le soutien de son partenaire canadien, la Fondation Paul Gérin-Lajoie.  La cérémonie de remise des ouvrages s'inscrit en droite ligne dans les activités d'animation de cette  Bibliothèque dédiée à la documentation sur les femmes initiées par l'ASFDU dont la dernière en date a été la remise de prix aux lauréats du concours régional de dictée organisée récemment dans l'enceinte de la bibliothèque.

 

 

 

La cérémonie de remise d'ouvrages à la Bibliothèque Bineta Diop du Lycée  Blaise Diagne de Dakar a été rehaussée de la présence de monsieur François Gérin-Lajoie,  Président de la Fondation Paul Gérin-Lajoie, fils du Fondateur, feu Paul Gérin-Lajoie (1920-2018) et de M. Olivier Bertin-Mahieux, le Directeur Général de la Fondation,  tous les deux de passage au Sénégal pour doter leur Centre de ressources de Saint-Louis d'un lot  d'ouvrages. Était également présente à la rencontre; la représentante  résidente de la Fondation au Sénégal Mme Louise Dia Kandé.

Plusieurs membres influents de l'ASFDU ont pris part à la cérémonie de remise des ouvrages aux  côtés de la Présidente Mme  Marieme Diop Dieye, des deux vice-Présidentes, Mme  Alimatou Tairou et Mme Aminata Diop Samb, Directrice du Fond de solidarité et  développement municipal de la Ville de Dakar (FODEM) pensionnaire par ailleurs du Lycée Blaise Diagne  ainsi que des responsables de l'Administration du Lycée représentés par la gestionnaire de la Bibliothèque Mme Fall Amsatou et son équipe qui s'occupent de l'animation scientifique et culturelle de la Bibliotèque. 

 

Dans son mot de bienvenue, la Présidente de l'AFDSU, Mme Marieme Diop Dieye  est revenue sur le concept de ''Bibliothèque dédiée à la documentation  sur les  femmes" qu'elle considère comme  "l'une de ces innovations sociales et universelles qui promeut le leadership féminin".  L'Association  sénégalaise des femmes diplômées des universités (ASFDU), a voulu en faire  un lieu idéal où  les jeunes et les jeunes filles en particulier,  peuvent avoir accès  au savoir. Selon la Présidente, la Bibliothèque est consacrée  principalement aux ouvrages écrits  par des  femmes et des ouvrages sur les femmes. C'est aussi un service pédagogique dont le rôle  est de contribuer à la formation de l'enseigné (e) et de soutenir l'action  de l'enseignant. A ce titre, elle intervient dans des démarches d'apprentissage et d'enseignement  basées sur le triptyque : ''instruire, socialiser, qualifier'', en constituant un environnement éducatif et  culturel favorable au développement de l'élève, et en cohérence avec le programme de formation de l'école. 

C'est le sens de l'engagement de l'ASFDU à mettre en place  cette  bibliothèque conformément à ses missions  principales de promotion de l'éducation et de la formation des femmes et des jeunes  filles, mais également de l'accès égalitaire et l'achèvement du cycle supérieur pour les filles.

Se félicitant de ce don de la Fondation Paul Gérin-Lajoie,  Mme Dieye a saisi l'occasion pour exprimer la gratitude de l'Association à son  Président   qui a tenu à assister personnellement à la rencontre malgré son agenda chargé; et à la représentante  résidente de la Fondation au Sénégal, Mme Kandé qui n'a ménagé aucun effort  pour effectuer le déplacement de Saint-Louis à Dakar  pour venir assister à la cérémonie de remise de ces ouvrages. Pour elle, cette généreuse donation de la Fondation Paul Gérin-Lajoie viendra renforcer la documentation de la Bibliothèque Bineta Diop.

 

 

Mme Dieye a rappelé que  '' l'objectif de cette Bibliothèque c'est d'accompagner la qualité de l'enseignement dans le moyen, le secondaire et le supérieur mais également d'accompagner le développement des jeunes notamment les jeunes filles en leur fournissant des modèles de femmes, c'est pourquoi l'essentiel des ouvrages est écrit par les femmes ou sur les femmes, avec bien entendu  divers autres ouvrages dans des domaines divers dont des ouvrages  étudiés dans les programmes scolaires". Elle a profité d'ailleurs de l'occasion pour remercier l'administration du Lycée Blaise Diagne qui a bien voulu mettre à leur disposition de l'ASFDU un espace pour abriter la Bibliothèque ainsi que la Fondation Heinrich Boll  qui a lui a offert sa première dotation d'ouvrages lors de la mise en place de la Bibliothèque. 

Mme Dieye a saisi l'occasion pour renouveler ses remerciements à l'ensemble des partenaires qui ont rendu possible la matérialisation du concept de Bibliothèque  dédiée à la documentation sur les femmes   notamment le Ministère de l'éducation nationale qui avait  autorisé et encadré l'organisation du concours régional de dictée que l'Association avait organisé au mois de juillet dernier impliquant quatre lycées de la région de Dakar, sans oublier Mme Seynabou Amy Ka Conseillère  aux relations  internationales à la Ville de Montréal qui aide l'Association à trouver des partenaires comme c'est le cas avec la Fondation Paul Gérin-Lajoie.

Tirant le bilan de la marche de la Bibliothèque depuis sa mise en place face à la presse, la Présidente de l'ASFDU se dit très satisfaite et encouragée à la fois par les partenaires qui croient en l'utilité de la Bibliothèque et par son niveau sans cesse croissant de fréquentation. Elle a renseigné qu'en plus des jeunes filles et jeunes garçons, la bibliothèque  accueille aujourd'hui des enseignants et même des chercheurs ; preuve de son ouverture.

Réaffirmant l'engagement de l'ASFDU dans la promotion du leadership féminin, Mme la Présidente a plaidé pour le renforcement de compétences des femmes et pour elle, ce travail doit commencer avec les jeunes filles se fondant sur le fait qu'au Sénégal les gens se demandent encore s'il y a suffisamment de femmes compétentes.  Pour elle, il faut arriver à  une masse critique de femmes compétentes qui pourront peser de tout leur poids dans les instances de prise de décisions à tous les niveaux  et dans tous les domaines ; aussi bien dans la sphère politique, que dans les sphères économique, scientifique et socioculturelle. Cela commence par la promotion de l'excellence chez les jeunes filles à l'école. La Présidente est d'avis que malgré les nombreux progrès accomplis par le Sénégal en matière d'équité et d'égalité de genre parmi lesquels la mise en place d'un cadre juridique et institutionnel  favorable ( La Loi sur la parité,  la  Stratégie nationale d'équité et d'égalité de genre entre autres, un Ministère dédié aux femmes etc), il y a encore des efforts à faire surtout au niveau de la base pour préparer les jeunes filles à devenir de futurs leaders en les dotant de savoir et de compétences y compris dans les domaines les plus pointus. Poursuivant, elle a expliqué qu'un des objectifs de la Bibliothèque, c'est d'offrir en  exemple aux jeunes filles des femmes leaders qui ont réussi dans leurs domaines et sont devenues des références. C'est une façon pour l'ASFDU de jouer sa partition dans la mise en œuvre de la SNEEG (Stratégie   Nationale sur l'équité et l'égalité de genre) qui reste leur document de référence.

 

Dans sa prise de parole, le Président de la Fondation Paul Gérin-Lajoie, François-Gérin Lajoie a tenu à rendre un hommage mérité à un coopérant qui était envoyé à Saint-Louis par la Fondation et qu'il considère comme "un des brillants bâtisseurs de ladite Fondation", en l'occurrence le défunt François Limoges. M. François  Gérin-Lajoie  qui avait du mal à contenir ses émotions parlant de ce dernier, s'est réjoui du fait que les ouvrages qui sont offerts à la Bibliothèque Bineta Diop du Lycée Blaise Diagne, il les avait reçus des mains de  François Limoges.

Il a saisi l'occasion pour souligner à grands traits toute la priorité qui est accordée par la Fondation à l'autonomisation des femmes et des filles dans ses missions et programmes. A noter que la Fondation Paul Gérin-Lajoie a pour mission de contribuer à l’amélioration des conditions de vie des populations par une éducation de qualité et développe de nombreux programmes dans ces domaines à travers le monde et notamment en Afrique francophone.

Le Président de la Fondation  s'est également réjouis de sa présence à cette activité malgré un séjour à pas de charge avec un passage à Saint-Louis au centre de ressources de la Fondation au Sénégal et a encouragé  et marqué tout son soutien à  l'initiative de l'ASFDU  et à son concept de ''Bibliothèque dédiée à la documentation  sur les  femmes '' qu'il trouve très innovant.

 

Le Directeur Général de la Fondation Paul Gérin-Lajoie M. Olivier Bertin-Mahieux, n'a pas caché sa joie après sa visite  guidée de l'espace de la Bibliothèque Bineta Diop.  C'est un partenaire confiant et un  visiteur tombé sous le charme de cette initiative qui  a livré ses impressions à la  presse : "La bibliothèque qui  a  été mise en place avec le soutien de l'ASFDU, c'est quelque chose d'extraordinaire; je n'avais jamais  vu un concept comme ça.  D'abord à l'intérieur, les livres sont très bien présentés mais également à l'extérieur, il  y a un espace jardin pour pouvoir se rassembler, pour faire des pauses, pour pouvoir lire et pouvoir organiser des événements.  Des œuvres d'art y sont exposées. Donc c'est un concept extraordinaire; un projet pilote qui pourrait être reproduit dans le reste du Sénégal. Donc je souhaite bonne chance à cette initiative''.  Il n'a pas manqué d'inviter les jeunes à la lecture car c'est  la clé de la réussite. Il a également  fait savoir que l'expérience dans le monde  a montré que la condition des femmes s'améliore plus vite dans les contrées où les hommes en ont fait leur affaire. 

 

A noter que les ouvrages reçus par la Bibliothèque traitent de plusieurs domaines ; les sciences, la technologie, la culture, la littérature etc. La cérémonie s'est déroulée dans une atmosphère joviale et s'est terminée  sur une note d'espoir, celui  de voir les nouveaux  partenaires qui  frappent  à la porte de l'ASFDU  apporter  d'autres lots d'ouvrages pour renforcer la documentation de la  bibliothèque et les lecteurs et lectrices de ces ouvrages en faire un bon usage. Enfin, avant de rentrer au Canada,  la Délégation de la Fondation Paul Gérin-Lajoie a été reçue par l'Honorable député M. Abass Fall, également 1er Adjoint au Maire de la Ville de Dakar, et formateur très engagé dans la formation des jeunes et leur insertion socioéconomique. 

Par Bacary SEYDI

 

La convocation de Sonko par le juge pour une affaire civile, car l'ayant opposé à une jeune masseuse est fortement médiatisée par l'opposition qui s'empresse de proférer des menaces. Khalifa Sall et ses camarades de Yewwi parlent de réédition de Mars avec, à la clé, 14 morts. Le leader de Manko Wattu Sénégal MWS, très alerte sur ces genres de propos réagit et condamne. '' Voilà ces genres de déclaration qu'il ne faut pas tenir dans une république, surtout venant de celui qui a subi pire et qui ne l'a pas empêché d'aller croupir. Il y a lieu de s'indigner devant des propos tout aussi enfantins que dangereux et qui suscitent l'indignation totale'', se refuse Ousmane Faye.

 

La déclaration de Yewwi révolte toute personne éprise de paix et de quiétude, dont notamment le patron de MWS. Interpellé sur ce manque de sérieux de l'opposition, Ousmane Faye se défoule sur le leader de Taxawou Dakar. ''Il est temps d'arrêter de jouer avec le feu. L'opposition a fini de montrer qu'ils ne sont intéressés que par le pouvoir. Ils ne se soucient plus des 14 personnes qui ont rendu l'âme dans une affaire civile qui ne concerne qu'Ousmane Sonko, et les voilà qui appellent à rééditer le coup. Aucun respect donc pour la mémoire de ces sénégalais  victimes des agissements de ces irresponsables qui, s'ils veulent que la jeunesse serve encore de chair à canon, alors tant pis pour ceux ou celles qui l'accepteront en allant défier les forces de l'ordre''. 

 

Pour Ousmane Faye, ''personne ne peut se prévaloir d'être un intouchable, et que force restera à la loi. Par conséquent, il y a lieu de rire sous cape les propos de khalifa Sall qui, malgré ses nombreux soutiens qui lui promettaient de l'accompagner en prison, avait finalement servi à l'opinion un flot de larmes indignes d'un grand responsable de sa trempe. Comme un enfant, il n'avait que ses yeux pour pleurer devant son sort. Si aujourd'hui il fait le guerrier et balance des propos aussi déplorables, il y a lieu de lui répondre par le rire''.

 

Le président de l’Alliance pour la Citoyenneté et le Travail, Abdoul Mbaye continue d’être la cible d’attaques répétées après sa dernière sortie ce dimanche sur la radio Rewmi FM pour trouver une liaison, entre l’achat des armes au profit des eaux forêts et une éventuelle candidature de Macky Sall en 2024. Une sortie qui selon le leader de Manko Wattu Sénégal MWS n'honore par l'ancien Premier Ministre qui ne vise qu'à semer le trouble dans la tête des sénégalais. Pour Ousmane Faye, ''la sortie de l’ancien premier ministre est motivée par une haine viscérale qu’il nourrit à l'endroit de Macky Sall, qui pourtant l’a tiré vers le sommet. Mais malheureusement, il ne maîtrise plus ce qu'il dit et se fait toujours petit devant son ancien chef. Ce qui lui vaut ses errements et ses sorties maladroites  indignes d’un leader de parti''.

 

Lors d’une rencontre avec les responsables de sa Coalition dans la région de Louga Ousmane Faye n'a pas  raté Abdoul Mbaye. ''C'est pas surprenant quand on s’appelle Abdoul Mbaye qui joue bien son rôle de traître, un qualificatif qui rappelle à bien des égards le'poignard au dos que disait l'ancien président Abdoul Diouf à son défunt papa Keba Mbaye. Donc il  n'y a rien de surprenant si le fils Abdoul possède à la place du cœur une pierre''. Devant des militants conquis, le leader de MWS continue de fusiller:  '' Abdoul Mbaye à travers ses sorties répétées et injustifiées, cherche à tout prix et sans succès, à noircir le bilan reluisant du régime de Macky Sall. C'est un rancunier, et ce n'est pas une surprise qu'il veuille trouver un lien entre l'achat légal d'armes au profit d'un corps et une éventuelle candidature du président Macky et dont les juristes estiment que le second quinquennat est bien dans son droit le plus absolu''.

 

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