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Malal DIALLO Pithi

Malal DIALLO Pithi

Les enfants ne lisent plus. Ils sont attirés par les médias sociaux et d’autres sources pour s’inspirer, ignorant royalement les règles élémentaires de grammaire, de vocabulaire et d’orthographe, bref, des facteurs qui militent contre le système naturel éducatif. Ne pouvant observer plus longtemps trainer ces lacunes, la fondation UBA a initié un programme ‘’l’Afrique qui lit’’ pour redonner le goût de la lecture aux jeunes africains. C’est dans ce cadre que le concours de dissertation est mis en œuvre et pour cette 6ème édition, c’est le Prytanée qui remporte la palme, avec en prime un chèque de 2.5 millions FCFA et un autre de 2 millions pour le second.

Il s’appelle Mohamed Touré, élève en classe de terminale S2 du Prytanée Militaire de Saint-Louis (PMS). Bien qu’ayant fait des études scientifiques, il vient de remporter le prix de dissertation suite à un concours  organisé par la Fondation UBA qui a aussi décerné le deuxième prix à Mohamed Ba du même établissement, pour des chèques respectifs de 2.5 et 2 millions FCFA. La troisième place est allée à l’élève Fatimata Sy du lycée Galandou Diouf. Selon le Directeur de UBA, « ‘’l’Afrique qui lit’’ comprend aussi la fourniture de livres de littérature faisant partie des enseignements dispensés sur le continent. Mais le concours a aussi pour but de tester les capacités rédactionnelles des élèves du secondaire dont le niveau a drastiquement baissé de manière générale, et donc, il fallait soumettre les candidats à une épreuve de dissertation sur des sujets d’actualité. Mais c’est l’occasion aussi pour le Groupe bancaire de montrer son approche de la RSE en octroyant des bourses d’études aux trois gagnants du concours. Et c’est donc heureux de voir 15 élèves bénéficier d’une bourse pour des universités africaines de renom ». L’innovation, de cette année, poursuit le Directeur, « c’est que les deux écoles comptant le plus de candidatures ont reçu une dotation en matériels d’une valeur d’un million FCFA, sans compter que les douze finalistes ont reçu une attestation et un ordinateur portable ».

Youssouf NDIONGUE

‘’Au-delà de la clameur occasionnée par le rapport de la Cour des Comptes, les exportations sénégalaises ont sensiblement augmenté, atteignant la barre 1985.1 milliards FCFA, en attendant la publication-confirmation de l’ANSD’’, a estimé le directeur de l’ASEPEX qui a tenu un point économique sur son institution afin d’informer sur les résultats engrangés par son département.

Selon Dr Malick Diop, « les bons résultats engrangés par l’ASEPEX sont adossés sur une stratégie claire basée sur l’orientation définie par le chef de l’Etat qui vise une relance de l’économie sénégalaise. J’ai donc travaillé sur une stabilisation des agrégats macro économiques, avec comme point de mire, une diminution de la dette, tout cela calqué dans le PSE qui met l’accent sur des investissements sur les secteurs prioritaires à haute valeur ajoutée ». Face aux journalistes, le directeur de l’ASEPEX se réjouit des efforts fournis et qui avaient pour but de multiplier par 2.5 les exportations sénégalaises. « Déjà, admirez la courbe des exportations qui, en 2005, a enregistré +8.5%, en 2012 12.8%, en 2015 18.9% de croissance, pour dire que le moyenne est largement dépassée quand il s’agit de promotion des exportations dont l’ASEPEX s’occupe de la mise en œuvre, avec des stratégies et les différentes références commerciales. De ce fait, le Sénégal a bénéficié au niveau international, avec les efforts déclinés plus haut et qui lui ont valu des résultats probants, des systèmes généraux de préférence, du TEC de la Cedeao, etc., des avantages qui lui permettent aujourd’hui d’intégrer les marchés de l’UEMOA et de la CEDEAO. Mais tout cela, nous l’avons l’obtenu par l’amélioration de l’offre exportable, avec des avantages sur la promotion des TIC, des Téléservices et des produits miniers ». Dans le même registre, développe Dr Malick Diop, « on travaille sur la labellisation pour promouvoir l’origine Sénégal, sur l’intelligence économique et commerciale et de manière générale, sur l’identification de l’offre. Cela permet à nos entreprises d’accéder aux marchés internationaux pour montrer leur savoir-faire, et ceci, dans une synergie synthétique avec le FAISE, le COSEC et les différents partenaires ».

Revenant sur les objectifs immédiats, le directeur de l’ASEPEX fait savoir que maintenant, il développe une stratégie de relance des exportations, avec des objectifs à court et moyen terme. Il y a aussi une fixation faite des priorités pour les différents marchés africains. Pour dire qu’il y a une volonté d’être proactif et dans le secteur agricole, il faut aller au-delà de ce qui a été fait jusqu’ici. Le marché européen étant très concurrentiel, il convient d’être mieux outillé afin de l’intégrer, tout comme il s’agira de se préparer lors de la prochaine foire de Besançon et l’Expo universelle de Dubaï 2020, communément appelée la coupe du monde économique.

Youssouf NDIONGUE

C’est à croire que les grandes sommités mondiales de la propriété intellectuelle trouvent un intérêt particulier au Sénégal. Après l’Ambassadeur du Japon en visite à l’ASPIT à deux reprises et Mme Julia Engelhardt de la mission d’audit et d’évaluation des Nations Unies, notamment de l’OMPI, c’est au tour ce lundi du Directeur Général de l'office de propriété intellectuelle du Singapour. Monsieur Daren Tang est dans nos murs et son séjour s’inscrit dans le cadre d’une visite officielle où il s’entretiendra avec les Ministres Amadou Ba et Moustapha Diop.

C’est donc ce lundi 24 février 2020 que le Directeur Général de l’Agence Sénégalaise pour la Propriété Industrielle et l’Innovation Technologique (ASPIT), M. Makhtar DIA a reçu son homologue Singapourien Monsieur Daren Tang. Le Directeur Général de l'Office de Propriété Intellectuelle du Singapour était accompagné d'une forte délégation pour cette visite officielle inédite de 48h qui leur a permis d'échanger sur la coopération bilatérale et multilatérale, mais aussi d’amorcer un nouveau partenariat entre l'ASPIT et l’IPOS, surtout au niveau de la formation et le transfert de technologies bénéfique pour les deux États. Le clou de cette visite a été, selon le DG de l’ASPIT, « les deux audiences successives accordées par les Ministres des affaires étrangères, Monsieur Amadou BA, et son collègue de l'Industrie Monsieur Moustapha Diop. La délégation Singapourienne s’est dite très heureuse de l'hospitalité et l'accueil très chaleureux de la part des autorités sénégalaises. Elle a également salué le leadership exemplaire mondial incarné par le Sénégal, notamment en matière de Propriété intellectuelle et l'innovation Technologique », s’est ainsi exprimé M. Makhtar Dia.

Youssouf NDIONGUE

Merci de vous présenter

Professeur Daouda Ndiaye, chef du Département de Parasitologie de la Faculté de Médecine et Pharmacie de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD), Principal Instigateur du séminaire de lancement du projet de recherche opérationnelle basée sur l’utilisation des données génomiques pour la prise de décision dans la lutte contre le paludisme.

Quel sens donnez-vous à l’activité et l’intérêt de la visite à Dakar des tous ces scientifiques et chercheurs ?

Via le Service de Parasitologie de la Faculté de Médecine et Pharmacie de l’UCAD et en collaboration avec l’Université de Harvard (États Unis), le Sénégal a reçu une subvention pour appuyer le Programme National de Lutte contre le Paludisme, de la part de la Fondation Bill et Melinda Gates une subvention pour la lutte contre le paludisme. Cette étude porte sur une mise à l’échelle de l’intégration des données génomiques dans la surveillance du paludisme et permettant ainsi la prise de décision éclairée. Ce programme sera mis en œuvre étroitement avec le Ministère de la Santé et l’Action sociale particulièrement le Programme national de lutte contre le paludisme (PNLP) et ses différents partenaires. En effet, ces données génomiques seront intégrées dans la modélisation épidémiologique du paludisme et la cartographie des risques pour aider à guider la stratégie de contrôle et d'élimination du Sénégal. Il y a une forte délégation de la Fondation Bill et Melinda Gates, de l’Université Harvard, du CDC/Atlanta, pour participer à cette rencontre de lancement de ce programme de recherche opérationnelle. D’autres chercheurs et spécialistes d’autres pays sont également présents à cette rencontre de Dakar par la Fondation Gates pour s’enrichir de la vision du Sénégal en matière de recherche opérationnelle dans le domaine de la génomique. Il s’agit du PNLP et MRC de la Gambie, CDC/Africa en Éthiopie, du Mali, de la Tanzanie entre autres.

C’est quoi la génomique et quelle est la place du Sénégal dans la lutte contre le palu ?

Le Programme est lancé pour aider le Sénégal et l’Afrique afin de procéder à l’élimination du paludisme le plus efficacement possible. Il est financé par la Fondation Bill et Melinda Gates qui a choisi le Sénégal comme vitrine pour servir d’exemple dans le monde en matière de stratégie utilisée dans la génomique. C’est un outil transversal scientifique sans quoi on ne pourrait venir à bout du palu. Au Sénégal il y a différents profils épidémiologiques, et avec tous les indicateurs utilisés et les différentes interventions, il y a une certaine forme de résistance du palu et la génétique pourrait permettre d’arriver enfin à son éradication. Avec l’argent déjà investi par les partenaires du Sénégal, la Fondation Bill Gates a jugé utile que sans la génomique, il sera difficile d’aller loin dans le cadre de la lutte contre les maladies infectieuses (palu, maladies émergentes). Il faut dire qu’il y a un leadership incarné par le Sénégal et les résultats engrangés depuis une vingtaine d’années qui facilitent l’accompagnement de la fondation américaine qui fait preuve de reconnaissance de l’expertise du Pr Ndiaye et du Sénégal sur le plan mondial parmi les meilleurs des meilleurs en matière de recherche. Et donc, ils ont jugé nécessaire que le monde vienne apprendre chez nous, d’où la présence des chercheurs venus des quatre coins du monde, notamment les Etats Unis, MIT, Seattle, des institutions de renom, différents pays comme la Gambie le Mali, l’Ethiopie, la Tanzanie, le Bénin, du 17 au 19 février à Dakar.

Un mot sur les différentes tournées sociales organisées par le mouvement social Actions

Le monde a besoin de nous, tout comme la société sénégalaise. Aujourd’hui, nous sommes en train de faire de belles choses en matière de recherche et de mise en œuvre. Nous avons une expertise à vendre et la présence de la Fondation Bill Gates dans nos murs le témoigne à suffisance. Ils nous proposent un travail qu’ils paient, et c’est des travaux qui génèrent des revenus et que nous mettons à la disposition des populations. Si aujourd’hui, dans le monde entier, on est choisi parmi d’autres scientifiques par la fondation Bill Gates (déjà, vous reconnaissez dans la salle (ndlr : où se tient la cérémonie d’ouverture du lancement du programme génomique), tous les experts de ce monde sont là, avec les grands décideurs en matière de santé, c’est parce que nous représentons quelque chose. Mais ça, nous le devons à l’Etat du Sénégal et aux populations. Bénéficier de tous les avantages c’est bien, mais nous devons savoir que nous avons été aidés par un peuple et la logique voudrait qu’on ne l’oublie pas en retour. On doit faire en sorte qu’il s’y retrouve et on peut faire la recherche pour le Sénégal, lui trouver des solutions face à des problèmes de santé, mais un parent vivant dans la banlieue aura toujours besoin d’un accompagnement dans la vie quotidienne. C’est ce que nous voulons faire. Présentement, on aide l’Afrique, le programme et le ministère, mais la population aussi doit bénéficier de tout ça et c’est ce que nous faisons avec le mouvement social Actions pour lequel on a deux vies maintenant : une vie scientifique, de chercheur de la santé et l’autre, c’est la communauté avec l’entité que nous avons créée pour agir dans le social.

Youssouf NDIONGUE

Avec le développement des échanges et l’augmentation du trafic des marchandises au sein de l’espace portuaire de Dakar, des initiatives visant à traduire en acte la fluidité des activités du Port Autonome naissent à appellent à une meilleure prise en compte. De sorte qu’il était pertinent de la signer une convention entre l’institution consulaire et le PAD, portant, sur la gestion du dispositif de pesage de véhicules lourds de transport de marchandises dans l’enceinte portuaire. D’où l’activité qui a réuni, ce mardi, Aboubacar Sédikhe Beye et Abdoulaye Sow, respectivement dg du Port et Président de la Chambre de Commerce et d’Industrie de Dakar.

Le partenariat scellé en présence des représentants des organisations professionnelles, des chefs d’entreprises, et des acteurs portuaires va permettre entre les deux entités de rationaliser leurs interventions pour améliorer la fluidité du trafic à l’intérieur du Port, mais aussi d’assurer la sincérité des pesées nécessaires aux transactions économiques, pour une relance justement de niches économiques. Pour le Directeur du Port, « cette présente convention est caractérisée également par le fait qu’elle attribue un triple avantage aux principaux acteurs, notamment la CCIAD le PAD et les usagers. Il est à retenir que ce présent partenariat sur le pesage englobe tout l’étendue du domaine intérieur de la barrière douanière et des plateformes concédées. Et donc, le maillage de la certification du pesage contribue à la bonne gouvernance et à une meilleure prise en charge des statistiques dans l’enceinte », souligne M. Beye. Qui invite le personnel de la CCIAD d’agir et de s’atteler à la bonne mise en œuvre de toutes les actions et orientations contenues dans la convention et/ou établies par le comité technique paritaire mis en place pour une bonne exécution de ladite convention. « La CCIAD, pour sa part, ne ménagera aucun effort pour respecter les clauses de cette convention la liant au PAD dont le directeur a mobilisé toutes ses équipes pour concrétiser l’objet de la signature, et qui, dans un élan d’associer le secteur privé dans la gestion de l’espace portuaire, a fait preuve d’ouverture d’esprit salutaire. D’après Abdoulaye Sow, « la congestion du PAD a des répercussions sur sa part de marché et le partenariat devra contribuer à la fois à assurer la fluidité dans l’enceinte du Port, la gestion du service public (poids) et la sincérité des pesées nécessaires aux transactions économiques ainsi qu’à l’application efficiente du règlement relatif à l’harmonisation des normes et des procédures du contrôle du gabarit, du poids et de la charge à l’essieu des véhicules lourds de transport de marchandises dans les états membres de l’UEMOA ».

Youssouf NDIONGUE

 « Pour cette journée de cleaning day ici à Dahra, je me réjouis que la population puisse s’en approprier et en faire sienne. Et par rapport à ça, on prie que cela puisse perdurer pour une meilleure prise en charge des déchets dans le Djoloff ». Ceci est la déclaration faite par le Ministre de l’Elevage et des productions Animales au terme de la journée de propreté lancée par le chef de l’Etat. « Désormais, Dahra va asurer le suivi et inciter la population à œuvrer plus que jamais pour que la localité soit parmi les premières à faire preuve de propreté », a notamment indiqué Ndioobène KA

 

Accompagné des directeurs relevant de son ministère, Alioune Ndoye a effectué une visite de travail et d’imprégnation au marché central au poisson de Pikine. Sur place, le Ministre de la Pêche s’est rendu au marché Diola, à l’espace de vente, à la plateforme des containers frigorifiques, au bureau des présidents d’organisation à la nouvelle mosquée érigée et réhabilitée, pour terminer  au batiment administratif où il a eu une séance de travail, en tête à tête, avec le directeur Abou Mbaye, à la grande salle de réunion. Cette rencontre était élargie aux présidents d’organisations de défense des intérêts des travailleurs de la pêche et des représentants de l’administration toute entière. Au terme de cette visite, le Ministre Aliou Ndoye a fait part de sa satisfaction de voir les efforts déployés pour l’approvisionnement correct en produits halieutiques du marchépour le grand bonheur des consommateurs.

Accompagné des directeurs relevant de son ministère, Alioune Ndoye a effectué une visite de travail et d’imprégnation au marché central au poisson de Pikine. Sur place, le Ministre de la Pêche s’est rendu au marché Diola, à l’espace de vente, à la plateforme des containers frigorifiques, au bureau des présidents d’organisation à la nouvelle mosquée érigée et réhabilitée, pour terminer  au batiment administratif où il a eu une séance de travail, en tête à tête, avec le directeur Abou Mbaye, à la grande salle de réunion. Cette rencontre était élargie aux présidents d’organisations de défense des intérêts des travailleurs de la pêche et des représentants de l’administration toute entière. Au terme de cette visite, le Ministre Aliou Ndoye a fait part de sa satisfaction de voir les efforts déployés pour l’approvisionnement correct en produits halieutiques du marchépour le grand bonheur des consommateurs.

A la suite de son engagement, adhésion et manifestation contre la hausse du prix de l'électricité, le Mouvement Reccu Fal Macky démissionne de Nio Lank qui, aujourd'hui, déroule un agenda politique.
 
Par conséquent, il marque son adhésion en toute responsabilité à la plateforme NIO LANK AUTHENTIQUE pour continuer le combat au profit exclusif des usagers en contribuant à la résolution.
 
En effet, des détails et informations complémentaires vous seront communiqués lors du point de presse prévu à Dakar dans les jours prochains.
 

Sous la conduite de Mme Julia ENGELHARDT, une mission d’audit et d’évaluation des Nations Unies, sous la direction de l’Organisation mondiale de la Propriété intellectuelle (OMPI) a été effectuée à l’Agence Sénégalaise pour la Propriété Industrielle et l’Innovation Technologique. Cette activité qui a démarré depuis la semaine dernière a pris fin ce lundi 10 février. Et dans le rapport de fin de mission, le travail de l’équipe dirigée par le Directeur Général Makhtar Dia a été reconnu très satisfaisant dans le cadre de l’exercice de ses missions qui lui sont dévolues. C’est ainsi que les fonctionnaires internationaux ont délivré à l’ASPIT via leur chef un quitus et adressé leurs vives félicitations.

Selon Makhtar Dia qui se réjouit d’une si grande reconnaissance par la mission des Nations Unies conduite de Mme Julia ENGELHARDT, « toute l'équipe de l'ASPIT, par ma voix se dit très heureuse et se réjouit du quitus et félicitations adressés à l’endroit de notre département pour les six(6) dernières années d'exercice, notamment avec l'organisation mondiale de la Propriété intellectuelle (OMPI). Ce plaisir est d’autant plus grand que l’ASPIT est une structure qui fait en même temps office de point focal de la dite organisation internationale. Et donc, au nom des plus hautes autorités du pays, pour le travail et les résultats obtenus dans la rigueur et le dévouement, j’adresse mes vives félicitations et mes encouragements à toute l’équipe, sans exception. Je profite de ces moments de reconnaissance pour souhaiter un bon retour à Genève (Suisse) aux membres de cette mission », a déclaré le patron de l’ASPIT.

Youssouf NDIONGUE

CMU
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