vendredi 10 mai 2024 | Login
Malal DIALLO Pithi

Malal DIALLO Pithi

La grande offensive de nettoiement, c’est la trouvaille que vient de signer Cheikh Ahmed Tidiane Thiam, le Directeur des Ressources Humaine de l’Ageroute. Pour cette deuxième journée mensuelle du nettoiement, c’est avec force, que le responsable politique de Pikine Ouest a fait une descente dans sa localité, avec une mobilisation des 23 quartiers de la commune pour lancer, à son nom, l’opération ‘’Pikine zéro déchet’’.

Cheikh Ahmed Tidiane Thiam a déployé les gros moyens ce 1er samedi du mois de février qui marque la deuxième journée du nettoiement. En plus d’une forte mobilisation d’hommes, de femmes, de enfants, jeunes, adultes et vieillards, tous mobilisés pour rendre propres les coins et recoins de leur localité, M. Thiam, responsable politique et grand souteneur de la Politique du Président de la république Macky Sall a pris une option rare en squattant les lieux de culte (mosquées et autres abris pour dévotion). Pour cela, le DRH (directeur des Ressources Humaines à de l’Ageroute a apporté une nouvelle touche à cette démarche inclusive et participative avec le reboisement des cocotiers sur les grandes artères de la commune et la distribution des poubelles dans les ménages, et sur les axes stratégique de chaque concession des différents quartiers de la commune.

A travers cette journée, le nouvel homme fort de Pikine Ouest vient de marquer un grand coup. Lui-même s’est-il exprimé en ces termes : «Rien qu’un sentiment de fierté. J’ai lancé un appel qui a été entendu et suivi par mes parents, ma famille, mes camarades, mes compagnons, mes collaborateurs, les jeunes et les femmes et surtout les personnes du 3ème âge, bref, par toute la population de ma commune qui partage ma cause, ma vision, ma position et ma perception de ce que doit être la politique, et surtout de rendre beaucoup plus visibles les actions du président de la République, Macky Sall. Vous avez constaté avec moi que tous les 23 quartiers de la commune ont participé à cette journée et ça, je m’en réjouis fortement », a laissé entendre M. Thiam qui, pour ce jour, a fait sortir de gros moyens déployés et promis d’en assurer la pérennité.

Youssouf NDIONGUE

L’opération Sénégal Propre, avec zéro déchet et zéro bidonville, a enregistré, pour sa deuxième journée mensuelle, une participation de taille, en l’occurrence l’Ambassadeur des Etats Unis à Dakar. Trouvé aux Almadies, en plein set-sétal, en compagnie du Sous-préfet de la Circonscription, du délégué de quartier et de quelques autorités locales, Docteur Tulinabo Mushingi a d’abord magnifié l’initiative lancée par le chef de l’Etat, avant d’inviter les populations à se l’approprier afin que cela soit ancré dans les ADN de chaque citoyen. Sa présence a donc été magnifiée par Alioune Badara Samb le Préfet de Dakar qui a conduit, en compagnie du Directeur du Cadre de Vie, Oumar Ba, et de Mme Wardini, le maire de la Ville, le cortège qui les a menés dans quelques communes pour s’enquérir des opérations de nettoiement.
Niayes-Thioker et Rebeuss, quelques quartiers Dakar-Plateau, ont d’abord été la première étape de la visite de la délégation. Sur place, comme on pouvait s’y attendre, les populations riveraines, les commerçants, quelques ouvriers et mécaniciens ou autres marchands ambulants étaient déjà en plein dans l’opération. Les rues balayées, les coins et les recoins visités pour faire sortir les déchets, le soulèvement de la poussière par les pelles et balais, les visages des femmes et des jeunes recouverts de cache-nez, des brouettes par ci et le camion de ramassage par là, des sachets d’eau distribués pour désaltérer ceux qui sont très bien concentrés à faire réussir l’opération, voici le décor qui a été aperçu à toutes les étapes de la visite dans les différentes communes. Sauf qu’aux Almadies, un hôte de marque, en la personne de l’Ambassadeur des Etats-Unis au Sénégal se distinguait au devant des opérations pour, lui aussi, participer à la deuxième journée mensuelle de nettoiement. Quand le Directeur du Cadre de Vie, M. Oumar Ba et le Préfet de Dakar le remerciaient, au nom du président de la République pour sa présence, Docteur Tulinabo Mushingi laissait entendre que sa participation est synonyme d’invite à tous les citoyens pour que l’opération de propreté soit ancrée dans les ADN. « C’est d’abord pour des raisons de santé que le cadre de vie doit être bien propre. Pour cela, on ne doit pas attendre que l’on nous édicte certains comportements dans la prise en charge des déchets qui entourent l’environnement », s’est exprimé l’Ambassadeur Mushingi, accompagné du maire de Ngor Almadies, Amadou Gueye Ati et du sous préfet. Après cette importante étape de la visite, le cortège s’est dirigé aux Parcelles Assainies où le maire Moussa Sy, avec son équipe municipale et le Ministre Amadou Ba ont fait cause commune. « En unissant nos forces et en taisant nos divergences, on devient des frères pour le seul intérêt des Parcelles », a fait savoir le Ministre des Affaires-Etrangères. Ailleurs, dans les communes de Biscuiterie, Grand-Dakar, c’est la même mobilisation. Comme à la Médina où l’association des commerçants de Tilène avec ses 3000 membres se sont appropriés le concept et ont bien suivi le mot d’ordre lancé par le Ministère de l’Urbanisme bien représenté par son Directeur de Cadre de Vie, M. Oumar Ba qui a bien suivi, du début à la fin, le bon déroulé des activités.
Youssouf NDIONGUE
 

Ce week-end, à l'image de toute la population Sénégalaise qui a bien voulu répondre a l'appel du président Macky SALL pour un "Sénégal zéro déchet ". « Nous avons été à KANEL, notre département pour aussi honorer ce rendez vous qui se veut national. Ainsi toutes les populations Kanelloises ont montré leur fierté d’adhérer à cette initiative, mais aussi leur détermination à jouer les premiers rôles pour que le département s’aligne à ceux qui brillent par le travail bien fait », se satisfait le coordonnateur départemental des jeunesses républicaines. Pour Houdou Dia, « avec cette mobilisation, il convient maintenant de saluer, sans exclusive, l'engagement et la détermination d'une jeunesse dont le seul souhait est de rendre notre terroir propre et viable. Car, en réalité, quand il s'agit de notre pays, il n'y a pas de parti ni de couleur qui vaille mais un seul parti et une seule couleur : le vert, le jaune et le rouge ». Pour cela, « conclut-il, en définitive, je remercie, au nom de toute la jeunesse républicaine départementale de KANEL, toutes les bonnes volontés qui nous ont soutenus et qui ont rendu possible notre déplacement à KANEL, il s'agit du Directeur Général de la LONASE monsieur Amadou Samba KANE, du questeur Daouda Dia, du ministre de l'Education Nationale monsieur Mamadou Talla et enfin du docteur Bocar Mamadou Daf, directeur de l'Agence Nationale de la couverture Maladie Universelle  (ANACMU) ainsi que tous ceux qui ont participer de près ou de loin à la réussite de cette journée ». 

 

Les ‘’défanté’’ et les ‘’tontous’’ (attaques et répliques) vont être rangés aux oubliettes dans la section féminine de l'APR Pikine. Lors de l'AG de lancement qui marque le démarrage des activités de remobilisation et d'occupation du terrain, un vibrant appel a été lancé pour que les retrouvailles tant chantées soient enfin une réalité pour le bien du parti présidentiel, du moins dans cette partie où règne la plupart du temps des querelles intestines. Et pour Sadio Bodian, responsable de l’APR D&alifort, « bientôt l’unité sonnera dans nos rangs. Nous allons organiser ce grand meeting pour définitivement sceller l’unité pour le bien de l’APR Pikine ».

Il y a des tendances dans la commune de Pikine. Les militants sont divisés, c’est le grand constat fait par les membres de la section féminine. Les grands responsables sont tout aussi indexés dans les divisions qui minent le fonctionnement du parti, avec des comportements qui portent préjudice à l'unité. D'ailleurs, pour sceller ces retrouvailles, les militantes de la section féminine exigent l’organisation d'un meeting départemental devant tout ce que le parti comme responsables. ''Nous devons montrer au président que nous  ne méritons pas l'étiquette qu'on nous colle. Nos retrouvailles s'imposent à tous les niveaux et dans les prochains jours, ce sera définitivement réglé », rassure Sadio Bodian.

Youssouf NDIONGUE

 

L'ISM nous a habitués à l'organisation de débats et tables rondes sur des questions brûlantes de l'heure. Ce jeudi 30, dans l'enceinte de l'école de formation pour l'enseignement supérieur, le sport était débattu, mais sur les enjeux et défis du sport sénégalais à l'horizon 2022. Et pour Ndongo Ndiaye, ministre conseiller du chef de l'État dans le domaine, ''il convient de faire, à l'image de la transition numérique et celle culturelle qui est en train d'être réussie, la transition du sport''. Cela veut dire, selon lui, qu'on ne doit plus rester dans les mêmes considérations que nous avons toujours eu du sport''.
 
Le sport sénégalais mérite l'organisation d'assises. C'est ce qu'a compris le Groupe ISM qui, en prélude à la Master Class en Marketing sportif qui aura lieu du 25 au 28 février prochain avec les professionnels de Laliga Business School, a initié une table ronde autour du thème portant sur les enjeux et défis du sport sénégalais à l'horizon 2022. Justement pour y arriver avec des gloires, c'est moins le fait que le budget du département soit arrimé à 1% du PIB, que de changer, selon Ndongo Ndiaye, les mentalités pour être en phase avec l'évolution du secteur. Invité à animer la table ronde avec Mame Fatou Ndoye journaliste à la TFM, le ministre conseiller a laissé entendre ceci: "Désormais, on ne doit plus faire le sport après les choses importantes, mais considérer le sport parmi les plus importantes choses à faire''. En effet, s'explique-t-il, " il y a, de manière générale, une transition à faire après la transition numérique et les autres transitions en cours. Déjà, au niveau de la formation, il y a une tendance qui veut qu'on construise une faculté des sciences sportives''. Mais ce qui est sûr, c'est que le Groupe ISM a ouvert le vaste chantier qui est de débattre du sport sénégalais pour se hisser à des standards à l'horizon 2022.
Youssouf Ndiongue

Dans le cadre de la lutte contre la pauvreté en zones vulnérables du Sénégal et de la Guinée, deux pays concernés par le projet de la Cedeao, l’Association des femmes de l’Afrique de l’Ouest (Afao) a expérimenté une méthode qui allie versement d’allocations monétaires directes ou cash flow et distribution de coupons alimentaires. Deux composantes qui ont fini de faire le bonheur des cibles et qui, à l’heure du bilan du projet, suscitent un regain d’intérêts pour les partenaires de l’Etat, notamment la Dgpsn, la Seconda, la CLP, le Pnbsf, entre autres, mais aussi auprès des partenaires tels que l’Agence Espagnole pour la Coopération de Développement Internationale.
L’expérience, la bonne gouvernance, l’intégration de la dimension genre, la lisibilité des opérations, etc. tous ces facteurs ont été déterminants et mis en exergue par l’Afao dans le cadre de la mise en œuvre du projet de réalisation de la résilience des populations du Sénégal, notamment dans les localités de Ngothie (Département de Bambey) et Ndoksarré (Département de Gossas), et de la Guinée Conakry àTougnifilli (Préfecture de Boffa/Région de BOKE) et de Tana (Préfecture de Forecariah / Région de KINDIA. « C’est par souci de conscience qu’on devait toucher les principales cibles que nous avions proposé de combiner simultanément ces deux composantes de remise cash flow et de kits alimentaires de 8 kilogrammes composés de céréales sèches transformées en produits finis. Nous avions, en effet, estimer que le simple fait de disposer seulement de céréales sans d’autres produits pourrait pousser certaines populations à les écouler pour avoir du cash, et cela pourrait avoir des conséquences dans l’impact de promouvoir la résilience. Et donc, le couplage avait été envisagé », s’est justifiée Mme Khady Fall Tall, Présidente de l’Afao, en réunion avec ses partenaires dans ses locaux à Dakar pour apprécier le bilan du projet. Selon elle, « dans la mise en œuvre des filets sociaux de sécurité pour améliorer la santé et l’état nutritionnel des femmes enceintes, allaitantes, pauvres et vulnérables en milieu rural du Sénégal et des enfants orphelins victimes de l’épidémie à virus d’Ebola qui sévissait en Guinée, il fallait développer une stratégie efficace qu’il fallait définir par rapport à ces cibles très affectées. Et donc, l’un dans l’autre, l’importante décision avait été prise de procéder au couplage des 2 principales composantes du projet, à savoir, le versement de cash et de distribution de kits alimentaires. Aujourd’hui, les partenaires se satisfont de cette stratégie, car selon Moustapha Seck, du bureau national de la Cedeao, il y a de réels motifs de satisfaction. Et donc, nous ne manquerons pas, une fois à Abuja, où se discute la suite à donner par rapport à cette initiative, de défendre et de vulgariser l’expérience de l’Afao en la matière ». Dans ce même ordre d’idée, la représentante de l’Agence Espagnole de Coopération tout comme les représentants partenaires des structures de l’Etat se félicitent du résultat d’adhésion des populations qui, in fine, sont non seulement sensibilisées sur les bonnes habitudes alimentaires, l’hygiène et la propreté dans les ménages et les quartiers de leurs localités respectives, mais sont aussi appuyées de manière efficace et efficiente.

Youssouf NDIONGUE

Le ministre du Développement Industriel et des Petites et moyennes industries (PMI), Moustapha Diop, était ce samedi à Louga pour présider un méga meeting organisé par les jeunes de sa localité en l'occurrence Ibrahima Ndiaye Ndiaye qui a quitté Dolly de Mamour Diallo. Une occasion pour l’édile de la ville de renouveler son engagement de faire de la localité une région émergente. Ibrahima Ndiaye Ndiaye, initiateur de ce mega-meeting s’est réjoui de l’engagement et de la disponibilité de l’homme fort de Louga avant de lui renouveler son engagement pour le soutenir à continuer les grands projets qu’il a entamés dans la région. Une occasion également pour les Ndiambour-Ndiambour de témoigner leur fidélité au ministre maire.
 
Le responsable politique Ibrahima Ndiaye Ndiaye a organisé un grand rassemblement dans son quartier natal Artillerie au terrain Ndiangane. Une occasion de réunir toute la jeunesse pour renouveler leur engagement à leur leader Moustapha Diop, ministre de l’Industrie. “Je salue tout le monde ici présent. Je salue monsieur le ministre Moustapha Diop et le remercie pour sa disponibilité de nous avoir honoré par sa présence. Quand j’ai décidé de quitter Mamour Diallo pour Moustapha Diop c’est parce que j'étais persuadé que c’est lui la personne idéale. Il est travailleur et n’est intéressé que par le développement de notre très cher Louga. Les gens ont beaucoup parlé de ma posture mais je tiens à vous assurer que Moustapha Diop est le meilleur des choix. Travailler avec lui revient à contribuer au développement de la localité. Ainsi nous disons au président de la République que Moustapha Diop a tout fait pour la localité. Dans tous les domaines, il a abattu un travail remarquable et colossal. Ce qui a fait d’ailleurs de Louga une ville émergente. Au-delà du social, il est très impliqué dans tout ce qui se passe dans la région. Nous profitons de cette occasion pour assurer le chef de l’Etat qu’il ne s’est pas trompé sur son choix. Il est très engagé, courageux et ne cesse de vanter la politique du président Macky Sall de faire du Sénégal un pays émergent. Ainsi je remercie tout le monde et renouvelle mes engagements auprès du ministre pour un Sénégal émergent”, a laissé entendre Ibrahima Ndiaye Ndiaye.
 
Le ministre Moustapha Diop, prenant la parole, a remercié son frère avant de décliner ses ambitions de continuer le travail entamé.
 
“Je salue tous ceux qui sont ici présents en particulier mon jeune frère Ibrahima Ndiaye Ndiaye qui est à l’initiative de cette rencontre très importante pour nous. Je suis très honoré de me retrouver parmi vous pour échanger et communier avec tous ceux qui ont répondu chaleureusement à cet appel. Je suis très content et fier de vous. Cette forte mobilisation montre que vous êtes toujours unis autour de l’essentiel, c’est à dire travailler pour notre très cher pays en général et notre cher Louga en particulier. 
Je me félicite de travailler avec un jeune comme Ibrahima Ndiaye Ndiaye qui est sincère et courageux. Il n’a jamais triché avec moi et travaille sans relâche pour m’aider à réaliser le travail que je fais pour Louga et le Sénégal. Il est conscient de mon engagement auprès de Macky Sall et ne cesse de nous soutenir. Je le remercie et lui demande de continuer sur cette voie”, a-t-il dit.
Cependant, le Ministre-Maire a aussi profiter de cette occasion pour lancer un appel aux 23 comités de Louga de s’unir davantage pour nous aider à réaliser nos projets mais également de nous permettre à continuer le travail que nous avons déjà  démarré. " Ainsi, je tiens à dire que cette rencontre annonce  le début de ma campagne pour continuer le travail”, a-t-il prévenu.
Le ministre du développement  Industriel se dit très fier de la jeunesse de sa localité qui est très déterminée. Il rappelle ainsi son engagement pour faire de cette région une ville émergente.
Après avoir réalisé d’importants projets, Monsieur Diop rappelle que d’autres s'en suivront dont la mise en place de lampadaires dans la région. Par ailleurs, il a profité de cette cérémonie pour dire et lancer des piques aux membres de Aar Boulevard Abdou diouf qu' il ne va pas reculer et qu' il fera de ce boulevard comme les Champs Élysées de Paris.

Dakar abrite, du 5 au 6 mars 2020, la 4ème édition du Forum international des organisations de la société civile des pays membres de l’Organisation pour la Conférence Islamique (OCI). En prélude à cette importante activité, les organisateurs ont campé les enjeux d’une initiative commune des pays membres de l’organisation à faire face aux nombreux défis qui interpellent les musulmans…

Après les deux premiers fora tenus au Caire (Egypte) et le troisième à Bagdad (Iraq), les organisations de la société civile ont porté leur choix sur la capitale sénégalaise, les 5 et 6 mars prochain. L’objectif de la quatrième édition à Dakar est de parvenir à pouvoir mobiliser enfin les états membres de afin d’avoir une vision et des actions communes face aux agressions perpétrées contre les musulmans du monde de manière générale. Mais aussi pour Bamba Ndiaye, ancien Ministre et membre de l’organisation, « pour mieux déterminer le rôle desdites organisations dans l’unification du monde musulman et dans la protection de ses institutions ». En plus des états membres de l’OCI, les organisations de la société civile vont accompagner les initiatives et les politiques dans le cadre des interventions par la mise sur pied d’un cadre d’échange, de réflexion et d’action. Une façon de relever les défis liés aux guerres fratricides, attaques terroristes, catastrophes naturelles, tentatives de division des pays membres de la Oummah. « Le Forum vise à inviter l’Etat, les organisations de la société civile des pays membres de l’OCI de mieux renforcer leur unité, mais de travailler aussi dans le sens de sauver les populations de nos pays de l’ignorance, de la faim et des guerres », a soutenu Mamadou Bamba Ndiaye. Ce forum sera l’occasion de discuter des principales ressources naturelles, minières et minéralières dont disposent les états de l’OCI afin de les sauvegarder, mais aussi d’alerter les risques encourus. « La plupart des ressources naturelles se retrouvent chez nous, mais malheureusement, nos pays sont plus pauvres ». Selon le religieux, « cela est dû à l’ignorance et à l’analphabétisme dont souffrent lesdits pays. Face à cela, les organisations de la société civile se sentant aussi responsables que les Etats et les individus, décident de conjuguer leurs efforts, d’échanger leurs expériences et de mutualiser leurs forces pour éradiquer ces fléaux qui gangrènent nos sociétés et menacent dangereusement la paix et la sécurité dans le monde.

Youssouf NDIONGUE

L'ISM nous a habitués à l'organisation de débats et tables rondes sur des questions brûlantes de l'heure. Ce jeudi 30, dans l'enceinte de l'école de formation pour l'enseignement supérieur, le sport était débattu, mais sur les enjeux et défis du sport sénégalais à l'horizon 2022. Et pour Ndongo Ndiaye, ministre conseiller du chef de l'État dans le domaine, ''il convient de faire, à l'image de la transition numérique et celle culturelle qui est en train d'être réussie, la transition du sport''. Cela veut dire, selon lui, qu'on ne doit plus rester dans les mêmes considérations que nous avons toujours eu du sport''.
 
Le sport sénégalais mérite l'organisation d'assises. C'est ce qu'a compris le Groupe ISM qui, en prélude à la Master Class en Marketing sportif qui aura lieu du 25 au 28 février prochain avec les professionnels de Laliga Business School, a initié une table ronde autour du thème portant sur les enjeux et défis du sport sénégalais à l'horizon 2022. Justement pour y arriver avec des gloires, c'est moins le fait que le budget du département soit arrimé à 1% du PIB, que de changer, selon Ndongo Ndiaye, les mentalités pour être en phase avec l'évolution du secteur. Invité à animer la table ronde avec Mame Fatou Ndoye journaliste à la TFM, le ministre conseiller a laissé entendre ceci: "Désormais, on ne doit plus faire le sport après les choses importantes, mais considérer le sport parmi les plus importantes choses à faire''. En effet, s'explique-t-il, " il y a, de manière générale, une transition à faire après la transition numérique et les autres transitions en cours. Déjà, au niveau de la formation, il y a une tendance qui veut qu'on construise une faculté des sciences sportives''. Mais ce qui est sûr, c'est que le Groupe ISM a ouvert le vaste chantier qui est de débattre du sport sénégalais pour se hisser à des standards à l'horizon 2022.
Youssouf Ndiongue

Ceux qui s’activent dans le mouvement Nio Lank se singularisent par des attitudes hostiles à la quiétude et au respect des normes édictées par le pouvoir. Selon le bureau exécutif des personnes handicapées, par la voix de son président Toumany Camara, « au moment où Le Président Macky Sall prône le dialogue National et invite les participants à discuter de tout avec un grand T, on ne saurait comprendre l’attitude de Guy Marius Sagna et Compagnies attaquer le régime. Dans des situations pareilles qui interpellent le consensus et le dialogue pour trouver des solutions définitives et durables pour la cause nationale, il faut savoir raison garder et avoir le courage de se mettre autour d’une table plutôt que de faire la politique de la terre brulée. Cela ne nous étonne pas, outre mesure, d’autant plus que je les considère comme des énergumènes dans les mouvements sociaux qui agissent comme des opposants, à l’image de Sonko. Mais cette stratégie ne saurait prospérer car le peuple Sénégalais, ce grand Peuple, n’est pas dupe. Ils savent que la hausse est faite pour quelques temps et que le Sénégal sera bientôt un pays producteur de pétrole. Ce qui entraînera une plus-value et la révision pour une éventuelle baisse du coût de l’électricité et de tous les autres biens sociaux. On doit comprendre que l’argent gagné dans la hausse est destiné à l’extension du réseau électrique pour desservir le monde rural travers », a théorisé Toumany Camara.

Abordant la question sur la crise scolaire et la situation des Enseignants, le bureau exécutif du mouvement des handicapés républicains estime que l’enseignant doit être tout simplement un éducateur. Selon eux, « enseigner est un sacerdoce et une responsabilité à la limite divine, « c’est  angélique, car l’Ange Djibril a été le premier enseignant », rappellent Toumany Camara et ses camarades. Pour qui, « l’enseignant doit avoir comme arme la craie et la plume et doit s’adosser à un discours responsable, républicain qui forme le citoyen, plutôt que la pierre et un discours qui frisent la violence et la haine ». « Avec le Président Macky Sall, l’enseignant est le plus payé de la Fonction Publique. Le Gouvernement leur a octroyé beaucoup de privilèges dans les domaines de la formation, des logements Sociaux, l’augmentation des Salaires etc. », applaudissent-ils.

Evoquant le cas de Moustapha DIAKHATE, Toumany Camara sort le sabre : « Moustapha Diakhaté sait pertinemment qu’une structure politique est régie par la discipline et que le principe du secret d’Etat régit la marche d’une nation. Il a tort d’être dans l’APR et de l’attaquer dans les radios, télévisions, voire dans la rue. Nous ne sommes pas surpris par son attitude parce qu’il est coutumier des faits. Seulement nous avons honte par son attitude et son discours au rabais indigne de sa part. Qu’est-ce que Le Président Macky Sall n’a pas fait pour Moustapha DIAKHATE ? Président de groupe parlementaire de Benno Bokk Yakkaar, ministre chef de cabinet, ministre conseiller entre autres privilèges à lui accordés et dont nous ne pouvons tout évoquer ici. Nous saluons à sa juste valeur la décision du Conseil de discipline du parti qui l’a exclu. On ne peut pas être partisan et opposant », déclare Toumany. Sur le plan International, le bureau exécutif salue la dimension de la carrure du Président Macky Sall. « Il a une dimension internationale qui force le respect. Il a noué des relations d’amitié, de convivialité avec beaucoup de pays du Monde et surtout avec les puissances occidentales. Sa vision sur ce plan est à l’origine de la venue des bailleurs qui investisseurs pour notre économie. Nous le félicitons de l’accueil qu’il a réservé à son hôte le Président Turc Recep Taib Erdogan dont la visite a accouché de la signature de beaucoup de conventions de partenariat bénéfiques à notre pays ». Le Bureau Exécutif National salue a décerné une mention spéciale à son président, e l’occurrence le Président Toumany CAMARA qui ne ménage aucun effort pour la marche du Mouvement National des Handicapes Républicains du Sénégal. « Sa disponibilité pour le mouvement, son sens de l’écoute et sa promptitude à l’action ne sont plus à démontrer. Il lance donc un vibrant hommage au Président de La République du Sénégal Macky Sall, Président du Parti pour son courage et sa lucidité d’Homme d’Etat. Il lui renouvelle sa fidélité et son attachement indéfectible pour un Sénégal émergent.

CMU
cmu