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Malal DIALLO Pithi

Malal DIALLO Pithi

Le leader du mouvement "Tekki" a fait d'effarantes révélations. En effet, la rédaction dakarposte, qui a réussi à parcourir l'émission "Face To Face" de la TFM, est en mesure de révéler que Mamadou Lamine Diallo a laissé entendre au cours de cette émission ,qui passe ce dimanche 12 Janvier à 12h,  qu'il aurait  réussi à éventer un secret. 
Quoi qu'il s'est réjoui  de l’adoption, le 31 décembre 2019, par le parlement Sénégalais, d’une loi criminalisant le viol et la pédophilie, Mamadou Lamine Diallo a soutenu mordicus au micro d'Aïssatou Diop avoir éventé un projet de loi qui visait à légaliser l'homosexualité au Sénégal. "L'Etat l'avait bien dissimulé dans les textes, mais j'ai réussi à le dénicher et ils ont réculé" dira t'il.
  Avec Dakarposte.com

Il était jusqu’ici resté dans l’ombre, malgré le meurtre de son épouse, feue Fatoumata Mactar Ndiaye, alors vice-présidente du Conseil économique, social et environnemental (Cese). Répondant au nom de Houdou Bâ, l’homme qui est une figure notoire de la vie politique en Mauritanie est le père des deux enfants de la défunte vice-présidente du Cese. Pour la première fois depuis ce drame, il sort de son mutisme pour se prêter aux questions de «L’Observateur».

 

Vous étiez l’époux de la défunte vice-présidente du Conseil économique, social et environnemental, Fatoumata Mactar Ndiaye. Vous le confirmer ?

Je dois tout d’abord vous dire qu’avant d’être mon épouse, feue Fatoumata Mactar Ndiaye était ma nièce. Son père est mon cousin direct. Pour être beaucoup plus précis, sa grand-mère paternelle et mon père sont du même père et de la même mère. Fatoumata et moi, nous nous sommes connus depuis notre jeune âge. À l’époque, dans les années 1962 à 1972, je passais constamment mes vacances à Dakar. Aujourd’hui, avec le temps et tous les évènements qui ont suivi, je suis devenu l’unique chef de tribu pour les enfants de ma défunte épouse et ceux de ses grands frères. Pourtant, certains d’entre eux sont plus âgés que moi, mais je demeure leur oncle. C’est d’ailleurs ce qui explique le choix porté sur ma personne pour porter la parole de la famille dans la gestion de ce douloureux évènement, qu’est le meurtre de Fatoumata Mactar Ndiaye, tuée chez elle le 19 novembre 2016, dans des circonstances horribles que vous connaissez. Ce choix n’est donc pas lié au fait que je suis le père de Adama Bâ qui avait été grièvement blessé par le meurtrier de sa mère le jour du drame.

 

Pouvez-vous nous parler de vous, de votre histoire avec Fatoumata Mactar Ndiaye ?

Je me nomme Houdou Bâ. J’ai vu le jour en 1950. Je fus député à l’Assemblée nationale de la Mauritanie et administrateur des régies financières hors classe de la Mauritanie, à la retraite. J’ai fait mes études supérieures à Nouakchott, puis à l’Université d’Orléans en France, puis aux Ecoles nationales d’administration de Nouakchott et de l’Enap de Rabat (Maroc). C’est en juillet 1973 que j’ai intégré la Fonction publique de la Mauritanie et mon dernier poste fut celui de Directeur des Domaines, de l’enregistrement, du timbre et de la conservation de la propriété foncière et des hypothèques de 1998 à 2002. Puis, je fus ministre de la Promotion des investissements de 2008 à 2009, puis maire de Bagodine, avant de devenir député de Nouakchott et Président du Groupe parlementaire des partis solidaires depuis 2013.

Je suis l’ex-époux de la feue Fatoumata Mactar Ndiaye. C’est en 1978 que nous nous sommes mariés. Nous avons malheureusement divorcé en 1992. L’une des causes de cette séparation fut notamment la crise entre le Sénégal et la Mauritanie, en 1989. Les relations délétères entre les deux pays ont porté un grand coup à notre ménage. C’est ainsi que de commun accord et sans aucune animosité, la rupture a été consommée. Les liens de sang ont fait que nous sommes restés bons amis. La reprise des relations diplomatiques entre le Sénégal et la Mauritanie nous ont davantage rapprochés. C’est un des membres de la famille qui m’a joint au téléphoné vers 9 heures du matin, pour m’annoncer la triste nouvelle. A ce moment précis, je me trouvais à l’Assemblée nationale de la Mauritanie. Naturellement, cela a été un choc pour moi. J’ai été davantage bouleversé et dévasté lorsqu’on m’a décrit les circonstances atroces de sa mort. Je suis resté liquéfié en apprenant également que l’auteur de ce crime est Samba Sow, son chauffeur. J’avoue que pendant une bonne trentaine de minutes, je suis resté sans voix. Je me suis posé mille et une questions, mais je ne parvenais pas à comprendre ce qui a amené Samba Sow à s’en prendre avec autant de cruauté à cette bonne dame généreuse et qui a tant fait pour lui. J’ai aussitôt quitté les locaux de l’Assemblée nationale de la Mauritanie et je me suis rendu à mon domicile. Après avoir préparé mes bagages, j’ai débarqué à Dakar où je suis arrivé aux environs de 23 heures. Ce qui s’est passé est tout simplement horrible et Fatoumata ne méritait pas ça.


Pensez-vous que le meurtre de votre épouse a été commandité, comme l’affirme le présumé meurtrier Samba Sow ?

Écoutez, je suis un homme censé et mesuré. Sous ce rapport, je ne peux pas du tout croire aux délires d’un criminel qui est de surcroit arrogant, grossier et désinvolte. Mais je suis formel et c’est ma conviction, Samba Sow est l’unique assassin de Fatoumata Mactar Ndiaye. Chercher à mouiller d’autres personnes est, à mon avis, un stratagème qui ne pourrait pas prospérer. Samba Sow a fait des déclarations truffées d’incohérences qui ne relève que de son imagination fertile pour articuler son moyen de défense. Mais sa traîtrise, sa mauvaise foi et son hypocrisie ont été mises à nue. Il s’est perdu dans ses propres mensonges au point même de s’enfoncer davantage et il n’est nullement besoin d’être un expert juridique pour savoir qu’il n’a pas convaincu les juges.

 

Quid alors du mobile politique avancé pour expliquer ce crime ?

Devant l’inexplicable et l’inconnu, on peut penser à toutes sortes d’hypothèses pour chercher à comprendre. Il est aussi vrai que dans cette vie, rien n’est impossible. Mais, à ce stade de la procédure qui a été diligentée, la seule constance qui se dégage est que l’accusé Samba Sow a tué avec une atrocité inouïe cette brave femme qui le traitait comme son propre fils.



Avez-vous confiance en la Justice sénégalaise au point d’attendre d’elle qu’elle dise le Droit ?

Bien sûr que oui. La Justice sénégalaise a une réputation légendaire. Elle est l’une des meilleures d’Afrique pour ne pas dire la meilleure. Elle dispose de magistrats dont le professionnalisme, la probité morale et l’indépendance ne souffrent d’aucun doute. Ceux qui ont suivi ce procès de bout en bout se sont fait une religion du talent du Président de la Chambre criminelle de Dakar, du Procureur général, mais également des avocats qui ont fait preuve d’une grande maîtrise du sujet. J’ai été particulièrement sensible au sérieux et à la rigueur dont ils ont fait montre dans la conduite du procès.

Les travaux forcés à perpétuité requis par le Procureur général vous a-t-il satisfait ?

Satisfait, c’est trop dire. Même si Samba Sow était condamné à mort et pendu en public, une telle sentence ne m’aurait pas satisfait, parce que 100 Samba Sow ne valent pas une seule Fatoumata Mactar Ndiaye. Mais comme le législateur sénégalais n’a pas prévu une peine plus lourde qui va au-delà des travaux forcés à perpétuité, je peux dire que le Procureur général n’a pas failli à sa mission. Bien au contraire.

Si l’occasion vous était donnée d’être en face de Samba Sow, qu’allez-vous lui dire ?

Quoi ? Moi parler à Samba ? Non, arrêtez de m’insulter !

Avec l’Obs

 

« C’est pour moi un immense plaisir de présider cet atelier de partage et de pré-validation du rapport provisoire de la politique ferroviaire devant cette auguste assemblée.

J’aimerai en premier féliciter les actions du chef de l’Etat qui vont dans le sens du développement du transport terrestre en général et du ferroviaire en particulier avec notamment le lancement du Bus rapide transit(BRT) et de la réalisation du train express régional (TER), tous des infrastructures de dernières générations.

L’action de mes services pour relancer le chemin de fer s’inscrit dans la perspective de mise en œuvre de la deuxième phase du Plan Sénégal émergent (PSE).

A cet égard l’amélioration et la modernisation des infrastructures de transport, donnent ainsi un nouveau visage au secteur ferroviaire.

Ainsi conditionné par les impératifs de modernité, ces efforts ne peuvent occulter l’urgence d’apporter des changements importants qui s’imposent en matière de développement ferroviaire ».

 

Les populations de la commune de Pikine Ouest sont très remontées contre leur maire Pape Gorgui Ndong. L'ancien ministre de la jeunesse est déclaré persona non grata dans sa propre commune. Pour cause, les nombreux engagements non tenus pris à l'endroit de la jeunesse, des groupements de femmes et du personnel de la mairie sont restés sans suite.

« Pape Gorgui est un imposteur, un mythomane doublé de grand menteur » a déclaré Abdoulaye Coly, responsable politique et ancien chef du personnel de la commune de Pikine Ouest. Selon notre interlocuteur, « lors de la finale zonale de Pikine Ouest dont il était le parrain, le maire avait pris l'engagement de doter une enveloppe à chaque ASC finaliste, et d'accompagner la zone pour les préparatifs. À l'arrivée, rien, que dalle, nada. Et le jour de la finale, il a eu le toupet de se présenter au stade en compagnie du ministre de l'intérieur Aly Ngouille Ndiaye. N'eût été l'intervention de Cheikh Ahmed Tidiane Thiam, responsable politique et  souteneur du président Macky Sall qui a financé cette finale à la dernière minute en dotant les deux ASC de subvention conséquente pour le bonheur de la jeunesse, le pire allait se produire. Le ministre de l'intérieur constatant l'absence des responsables de l'Apr en l'occurrence Abdoulaye Timbo, maire de la ville de Pikine, de Issakha Diop, maire de Pikine Est, de la député Awa Niang, deuxième questeur à l'Assemblée Nationale, a vite pris ses cliques et ses claques après avoir remis la coupe aux cadets vainqueurs ».

 À l'issue de la finale, l'ancien ministre s'est autoproclamé meilleur maire de la ville de Pikine, or tout le monde sait que c'est cette distinction revenait au maire de Pikine Est Issakha Diop qui avait été désigné meilleur maire du Sénégal dans la catégorie inclusion, équité et égalité, c’était lors de la première édition du prix leadership local. Pour M. Coly, « la gestion de Pape Gorgui ne répond pas aux critères de sélection, du coup il n'est pas éligible. Sur quoi s'est donc basé Pape Gorgui pour se proclamer le meilleur maire de Pikine ? S'interroge-t-il. 

Et de préciser, « la jeunesse de Pikine, en l'occurrence Pikine Ouest, n'est et n'a jamais été contre le président Macky Sall. Si l'Apr est arrivée en 7eme position à la dernière élection présidentielle, c'est du fait des pratiques de Pape Gorgui Ndong qui ne sert pas le président. Ces pratiques ont fini d'irriter tout le monde ici. Sinon comment expliquer le fait qu'un maire aille jusqu'à arnaquer le groupement des femmes de Pikine Ouest ? Pape Gorgui a réuni plus de 100 groupements en leur faisant cotiser 65.000f par groupements avant de disparaître avec leur argent et leur dossier. Depuis, il reste injoignable ». Cependant, il faut dire que l'arrivée de Cheikh Ahmed Tidiane Thiam a redonné espoir à la jeunesse Pikinoise et aux groupements des femmes. Grâce à lui, beaucoup de jeunes ont pu trouver du travail en activant le réseau de ses partenaires. Il appuie tous les groupements de Pikine sans compter les actions sociales et de développement. 

Youssouf NDIONGUE

                     

Diaspora Debout est un mouvement politique qui regroupe 11 pays de la Diaspora européenne créé par Suzanne Ndiaye responsable APR au UK et par des membres de L’APR (le parti au pouvoir au Sénégal).

Nous sommes des patriotes de différents groupes d’âges qui soutenons le Président Macky Sall !

Notre objectif est  de réunir la famille APR en Europe et souhaiterions que nos responsables mettent nos compatriotes qui vivent dans ces pays dans des conditions décentes en leur facilitant  le  retour au pays et leur  offrir les mêmes privilèges que ceux restés là-bas!

Nous sommes pour le moment 250 membres qui se trouvent en majeure partie en

L’Angleterre, en France, Benelux (la Belgique, le Netherlands, le Luxembourg), en Suède, en Italie, en Russie etc....ainsi qu’au Tchad, au Maroc, en Mauritanie et au Togo.

Notre ambition est de recruter plus de sénégalais possible dans de nouveau pays et de faire de cette Diaspora une Diaspora unie !

 

C’est un lourd réquisitoire que l’informaticien Ibn Taimya Sylla a dressé contre le Plan Sénégal Numérique 2016 – 2025, mais aussi contre la gestion du Président Sall dans son ensemble. Face à la presse et comme à ses habitudes, le leader du parti Disso a démonté les arguments du Ministre en Charge de l’Economie Numérique qui, dans le plan ‘’Sénégal Numérique’’ prévoyait, en 2025, une participation du numérique à hauteur de 10% dans le PIB. « Voilà un manque d’ambition qui ne dit pas son nom ! Aujourd’hui, la moyenne est de 10% dans l’espace de la Cedeao. Donc, attendre 5 ou 6 ans plus tard pour avoir ce même chiffre sera vu comme un retard », corrige le patron de Disso Mouvement pour l’émergence et le développement (MED).                                                             

 Il n’est pas faux de dire que le Sénégal court à une vitesse vraiment inférieure à celle des puissances de la Cedeao. Le plan 2025 du Sénégal numérique porté par le Ministre Ndèye Tické Ndiaye est parti pour accuser un grand retard et manque terriblement d’ambition. « J’en veux pour exemple le fait que le plan se fixe comme objectif d’atteindre 10% comme contribution du numérique dans le PIB, alors qu’aujourd’hui, la moyenne est de 10% dans la Cedeao.  Là, les autorités doivent comprendre que dans le domaine du numérique, nous devons avoir la place que ciblent le Nigéria, le Ghana et la Côte d’Ivoire. C’est cela qui va nous permettre d’avoir des investissements directs en quantité pour pouvoir créer des richesses pour notre jeunesse. Le constat est que le taux d’investissement étranger direct par rapport à notre PIB est de 3%, alors que pour avoir des emplois décents stables, il faut attirer ces mêmes investissements dans le domaine du numérique qui vont au moins frôler les 10% du PIB. Par conséquent il faut le leadership sénégalais comprenne, une bonne fois pour toute, qu’il y a des défis qui ne sont pas de créer des ateliers par ci et des séminaires par-là, mais de mettre en place une stratégie cohérente et qui tienne compte de tous ces facteurs cités plus haut »., fait savoir l’informaticien Dr Ibn Taimya Sylla. Qui ne mâche pas ses mots devant Macky Sall :

« Je voudrais au Président Macky Sall que non seulement les sénégalais sont fatigués, mais qu’ils arrêtent de publier de faux chiffres, démentis par la suite au vu, au su et à l’écoute de tout le monde.  L’exemple de Ndèye Tiké Ndiaye, avec son plan Sénégal numérique qui est vraiment amputé d’ambition est là. Cela fait perdre du crédit à notre pays sur le plan international. Mieux, des statistiques sur le taux de croissance sont toujours publiées et brandies comme des trophées alors que si elles étaient exactes, cela serait au moins ressenti sur le panier de la ménagère, et dans ce que vivent les paysans du Baol ou du Niani. En circulant dans ces zones, on sent une nette paupérisation de ces habitations. Mon message à lui est de mettre en place des stratégies innovantes qui puissent nous sortir de la pauvreté et d’arrêter de nous saupoudrer avec un semblant de faux paraitre, alors que l’on sait qu’ils ne font que du tape-à-l’œil », sermonne le leader de Disso MED. Qui ajoute : « J’en veux pour preuve l’institution d’une journée mensuelle de set-setal qui, en soi, est une bonne initiative, mais qui va devenir du folklore qui ne rime pas avec un travail sérieux pour un environnement sain. Je suggère, à ce sujet, d’inclure les composantes éducative et budgétaire et la composante des Collectivités locales qui ont un rôle à jouer dans cette initiative. J’estime donc que c’est mal parti pour eux, car, la gestion des déchets ne doit pas être logée dans les attributions du gouvernement, elle doit plutôt être confiée, comme dans plusieurs pays du monde, aux collectivités locales qui ont une proximité avec les populations et qui gèrent notre environnement quotidien. Il faut qu’on leur donne ces prérogatives ». Tout compte fait, consent-il, « on est tous déçu de Macky Sall qui semble ne pas être en contact avec le vécu des sénégalais. On aurait pu être dans de meilleures conditions de vie, car Macky a eu le temps de bien travailler ».

Youssouf NDIONGUE

J'ai signé ce mardi 24 décembre à Djeddah en Arabie Saoudite un accord de financement par lequel la Banque Islamique de Développement (BID) apporte sa contribution à la réalisation du projet Projet de Zone de Transformation Agro-Industrielle du sud ou Agropole Sud.

Cette nouvelle séquence dans nos excellentes relations avec l'institution dirigée par le Dr Bandar Hajjar se matérialise par un apport de 27 850 000 euros sur les 80 290 000 euros que va coûter le projet.

La BAD mettra 43 100 000 euros et le Gouvernement du Sénégal 9 340 000 euros pour compléter et renforcer les capacités des acteurs de la chaîne de valeur et de créer des conditions favorables à l'investissement privé dans la transformation des produits agricoles en Casamance.Merci encore au Dr Hajjar et à toutes équipes de la BID.

 Amadou Hott,Ministre de l'Economie de la Coopération et du Plan

Nous avons célébré avec succès la Journée mensuelle du nettoiement (JMN), dénommée "Samedi de la Propreté". Une journée dure bien 24 heures. Pour l'amélioration du cadre de vie, chaque citoyen doit quotidiennement mener des actions responsables. En 24H/24, cette invite ne doit connaître une rupture. Tel est le chiffre (24) floqué sur la casquette du Président, en noir et blanc. Le Chef de l'Etat a Choisi cette casquette noire à la place de la casquette blanche confectionnée spécialement pour lui. Sur cette casquette blanche, nous avions bien mis : PR; Sénégal propre. De même, une casquette a été préparée pour la Première Dame. Cette dernière a choisi le "Mousoor" qui reflète mieux notre culture.

Par humilité, chacun des deux a fait une option qui lui permet d'être plus proche des populations, en vue de traduire l'esprit de cette journée populaire.

A ma grande surprise, un cartel de politiciens mal intentionnés et de soi-disant spécialiste en communication politique, au lieu de descendre sur le terrain pour nettoyer devant leur porte, se dresse en spectateur malheureux devant cette belle mobilisation populaire pour verser dans la diversion.

Nous devons être plus sérieux que cela. Nous devons nous concentrer plus sur l'essentiel et non sur l'accessoire. Il est important que les Sénégalais qui se réclament patriote gèlent les enfantillages et la perversion des gestes nobles, s'ils aiment le pays.

La question de l'amélioration du cadre de vie demeure un consensus national que personne ne peut altérer. Toute personne qui s'y aventurera se cassera le nez.

J'invite ceux-là qui ont passé la journée du 4 janvier devant leur clavier à se rattraper lors de la prochaine journée mensuelle du nettoiement prévue le 1er février 2020.

Mobilisez tous vos militants et vos ressources pour contribuer à l'amélioration du cadre de vie des populations. C'est ça le PATRIOTISME.

 

Dr Diomaye Dieng

Directeur de la Propreté et de l'Hygiène publique.

 

La situation économique du pays pose un grand problème, avec un faux taux de croissance annoncé par les autorités, et démenti par la suite par l’Uemoa. Ce mensonge a fait sortir le leader du parti Disso de ses gonds qui n’a pas manqué de le souligner et de le regretter lors de la réunion de son comité directeur. Devant une telle situation, Dr Ibn Taimya Sylla craint pour le peuple qui va encore, selon lui, vivre les affres d’une mauvaise gestion qu’il impute au Président Sall. Pour éviter aux sénégalais des lendemains incertains, M. Sylla, ingénieur  informaticien de son état décide de se présenter lors de la présidentielle de 2024 afin de dégager l’actuel régime qui cache mal qu’il est aux abois.

La réunion du comité directeur de Disso était riche en déballages. Pour les partisans de Dr Ibn Taimya Sylla, « il faut craindre le pire si jusqu’à présent Macky reste encore à la tête de ce pays. En effet, sur le plan économique, à la suite de la publication des statistiques de l’Uemoa qui contredisent carrément le gouvernement en dévoilant des chiffres en deçà de ce qu’on nous avait annoncé, il est temps que le sénégalais moyen comprenne enfin  que joindre les deux bouts relève d’une utopie. Maintenant que le taux de croissance de 7% annoncé est revu  à la baisse, cela explique pourquoi le front social est en ébullition, et en conséquence, les sénégalais risquent gros pour leur avenir. Pire encore, en indiquant qu’on ne va jamais augmenter le coût de l’électricité, ce qui, du reste, est un grand mensonge sur leur dos, l’Etat a fini de montrer qu’il manque de respect aux administrés, et fait preuve d’une irresponsabilité incompréhensible », a ainsi réagi le leader de Disso. Listant toujours les griefs à l’encontre du régime de Macky Sall, l’ingénieur informaticien fait remarquer que l’Etat n’a pas tenu un langage de vérité et cela depuis longtemps déjà. « Vouloir dire qu’on ne va jamais augmenter le coût de l’électricité alors qu’on maitrise pas les coûts de production du pétrole, cela laisse un sentiment de dépit. Les sénégalais doivent se méfier des politiciens ». Evoquant le changement de monnaie, le leader de Disso rappelle qu’ «on était d’accord sur le fait qu’on devait faire un grand pas vers la bonne direction. Nous sommes encore loin de la souveraineté monétaire que nous voulons pour le Sénégal, l’Afrique et la Cedeao, certes, mais, il faut se féliciter du rapatriement du compte d’opération de la France vers l’Uemoa. Du coup, il ne faut pas se leurrer, car, nous devons éliminer cette parité fixe entre l’Eco et l’euro. C’est cette parité qui agit négativement sur notre balance commerciale. Nous allons donc nous battre pour avoir une indépendance financière vis- à-vis  de la France, et c’est un travail à faire en amont comme en aval », préconise le leader du mouvement pour l’émergence économique et le développement.

Youssouf NDIONGUE

C’est à croire que les poulains de Birane Ndour, directeur du Groupe Futurs médias jouent mieux au ballon que les autres confrères. En remportant cette 8ème édition du tournoi presse-foot organisé par Sambou Biagui et Abdou Khadre Lo, les voilà encore vainqueurs du trophée dénommé coupe Serigne Aly Cissé, du nom de l’ancien reporter sportif du quotidien national Le Soleil aujourd’hui disparu.

Le Ministre Matar Ba a présidé la finale de la 8ème édition du tournoi. Il était en compagnie des représentants du Ministres de la Culture et de la Communication, de la Présidente du CESE, du parrain Abdoulaye Sow, directeur du Coud et des partenaires qui ont accompagné l’organisation du tournoi. Au départ, ils étaient nombreux au départ, mais en phase finale, les groupes GFM et DMEDIA ont encore prouvé que dans leur rédaction respective, il n’y a pas que des journalistes. Habitués au podium, Birane Ndour, Youssou Barro, Ibrahima Kandé et leurs collègues l’ont remporté sur le score de 2 buts à 1, avec un spectacle digne d’un match de championnat vu le relèvement du niveau. Pour Sambou Biagui, l’initiateur du tournoi presse-foot, « nous nous réjouissons de l’initiative qui, il faut le dire, n’a pas été de tout repos. Jouer une trentaine de matches en un mois, il faut du punch pour le réussir, mais dans l’ensemble, nous tirons un bilan très satisfaisant. Cela nous a permis une retrouvaille entre confrères pendant un mois, pour oublier les micros et jouer au ballon dans le fair-play, la confraternité et dans la sportivité », s’est ainsi réjoui le confrère du monde sportif. Pour qui, « en citant le nom de Serigne Aly Cissé, on pense à ceux-là qui nous ont fait aimer le métier de journaliste d’abord avant celui de reporter sportif. Je veux parler de Abdoulaye Diaw, Pathé Fall Dieye, feu Bachir Kounta, Balla Basse Diallo, Abdoulaye Dabo, bref, des monuments du monde sportif qui nous ont comblés ». Ouvrant les perspectives pour le tournoi presse-foot, Biagui comme on le surnomme entre-nous, ouvre les brèches : « Nous allons travailler, car il y a de l’engouement avec un désir de tous les organes de vouloir y participer. Nous allons ouvrir les portes et ils devront respecter les conditions de participation. Notre ambition, c’est d’organiser un tournoi d’une dimension africaine, du genre CAF de la presse. Nous comptons, à partir du Sénégal, créer une compétition africaine qui va regrouper l’ensemble des acteurs de la presse. Les discussions sont en cours depuis la fin de l’édition dernière, avec le Mali, les deux Guinée, la Mauritanie, la Gambie bref, bref, les pays limitrophes. Nous sommes également en discussion avec  les autorités sportives, notamment la Fédération Sénégalaise de Football, la CAF, la zone de l’UFOA. Cela va permettre à toute la presse sportive du continent de se retrouver autour du ballon et c’est important en tant que journalistes ».

Youssouf NDIONGUE

 

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