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Malal DIALLO Pithi

Malal DIALLO Pithi

« Je préfère la répression devant l'anarchie orchestrée par les indisciplinés de ‘’Ñoo lank’’. Sous le prétexte d’une marche contre la hausse de l’électricité qui, pourtant, ne vise que les grands consommateurs, ils sont manipulés et financés par des lobbys obscures afin de déstabiliser le pays», soutient Ousmane Faye, leader de Mankoo Wattu Sénégal (MWS).

Dans le cadre d’une activité politique tenue ce dimanche dans le département de Pikine, Ousmane Faye s’est vivement prononcé sur l’actualité nationale marquée par l’affaire de la hausse sur les factures d’électricité,  et l’organisation de la marche réprimée par la Police qui en découle. Mais, pour le leader de MWS, « il convient de rappeler, avant tout, que depuis que le Président Macky Sall est à la tête de ce pays, des diminutions ont été opérées, à plusieurs reprises, sur les  factures d’électricité mais aussi sur les denrées de première nécessité. Maintenant que l’Etat veuille opérer des ajustements après la montée en puissance du dollar et le baril du pétrole, afin de poursuivre son projet  pour permettre aux populations rurales de disposer elles-aussi de l’électricité, des énergumènes très indisciplinés, manipulés et financés par des lobbys obscures, se mettent à brandir des menaces et défient ouvertement l'autorité et les forces de l'ordre pour installer l'anarchie et déstabiliser le pays. Cela est inacceptable et moi Ousmane Faye, je préfère la répression face à l'anarchie, comme disait l’ancien Président de la Côte d’Ivoire, feu Houphouët Boigny. Par conséquent, je félicite toutes les forces de l'ordre pour leur fermeté et leur professionnalisme dont ils ont fait montre pour assurer, de manière régalienne, la sécurité des personnes et de leurs biens ", dixit le Président de la Coalition MWS. 

Très en verve, Ousmane Faye s’est prononcé sur l’actualité marquée par l’affaire de la hausse sur les factures d’électricité et l’organisation des matches qui en découlent. Mais, selon le leader de MWS, « il convient de rappeler que depuis que le Président Macky Sall est à la tête de ce pays, des diminutions ont été opérées, à plusieurs reprises, sur les factures d’électricité et les denrées de première nécessité. Maintenant que l’Etat veuille opérer des ajustements afin de permettre aux populations rurales de disposer elles-aussi de l’électricité, on se met à brandir des menaces en voulant organiser des marches, alors qu’on restait des heures sans le jus et que personne ne trouvait à dire en payant très cher ».

C’est à travers un face à face avec les journalistes que le leader de MWS a tenu  à faire cette importante déclaration, pour demander à l’Etat de sévir et de ne pas fléchir devant ces gens que je juge malhonnêtes, pour avoir sciemment décidé de faire du sabotage pour mener des marches, alors que la hausse déclarée sur la facture d’électricité ne les concerne absolument pas. « Je demande à ces manipulateurs de savoir raison garder, et de se souvenir des efforts importants que le Président Macky Sall a eu à faire, en stabilisant, pendant sept bonnes années, les prix à la consommation », rappelle Ousmane Faye.

« Combien de fois on est restés, des heures durant, sans électricité, et que les gens arrivaient malgré tout à payer convenablement les factures ? », s’interroge M. Faye avant de poursuivre : «  Alors que, c’est sous Macky qu’on a pu voir une diminution à deux reprises de l’électricité. De sorte que nous n’accepterons pas qu’on joue avec les institutions, et là, j’interpelle l’Etat à faire preuve de fermeté. Je pense que ces gens sont amnésiques et armés d’une mauvaise volonté. Mais ça ne passera pas. Je ne comprends pas les agissements de ces grévistes-marcheurs et les syndicalistes mécontents qui, pour d’autres motivations, s’activent dans la désinformation pour régler des comptes inavoués ».

Développant son argumentaire, le leader de MWS souligne : « Les gens devraient même se féliciter de la démarche du chef de l’Etat d’avoir épargné les petits consommateurs de la hausse qui ne vise, encore une fois, que les grands consommateurs. Je suis sûr que ce sont les gens de l’opposition qui ont échoué et qui, de guerre lasse, ont décidé d’armer les manipulateurs pour avoir gain de cause. Je demande solennellement à l’Etat de sévir contre eux », a demandé Ousmane Faye qui faisait face à la presse pour se prononcer sur cette affaire.

 

Ils étaient certes là, en 2012, à la création du mouvement pour la défense de la république (Moder), mais, par le décret divin, ils ont quitté ce bas monde aujourd'hui. En hommage à leur mémoire, le président René Pierre Yehoumé et ses camarades ont une pensée pieuse pour la célébration de la septième année d'existence de leur mouvement.

 

C'est un récital de Coran, tôt le matin, en cette journée du 14 décembre, qui a lancé les festivités de commémoration de leur formation politique. Une forte mobilisation des membres, tous affiliés à l'APR, aura été une occasion de discuter des enjeux de renouveler leur soutien constant au Président Macky Sall, dont ils n'ont pas manqué de saluer les nombreuses réalisations, après onze ans d'existence et 7 ans de gestion du pouvoir.

 

Selon René Pierre lui même, ''nous avons tenu à marquer cette journée par un recueillement et des prières pour nos camarades disparus. C'était un devoir de nous rappeler d'eux et des efforts qu'ils ont consentis pour les nombreuses victoires obtenues par le Président Sall. Nous profitons de cette journée pieuse pour remercier tous ces militants et autres sympathisants qui continuent de croire au mouvement et à l'idéal de notre combat , toujours aux côtés du PR, pour le développement de notre pays mais aussi pour la sauvegarde des intérêts du Sénégal, après la découverte des richesses naturelles, notamment le pétrole et le gaz''.Le Président du Moder aura aussi profité de son intervention pour rendre un vibrant hommage au président Abdoulaye Wade pour les nombreux acquis par le Sénégal obtenus sous son règne de 2000 à 2012.

 

Représentant le Moder en banlieue, Malal Diallo a déploré le comportement de certains responsables de leur parti qui se sont mal distingués récemment par presse interposée. ‘’J’invite les uns et les autres à plus de calme et de retenue. Ils doivent savoir que les jeunes sont à leur écoute et ils devraient veiller à ne pas leur inculquer ces genres de comportement qui n’honorent ni le Président Macky Sall, ni le parti encore moins leur propres camarades de la coalition BBY’’ déplore l’apériste de Thiaroye.

 

Youssouf Ndiongue

 

Le marché du luxe en Afrique représente moins de 1% du marché international. Et donc, il convient aujourd’hui de renverser la tendance au regard des multiples facettes qui peuvent être valorisées et mises à l’exploitation. Du moins, selon Birahim Gueye et Maguette Diop, respectivement Président de l’Association des Sciences de Gestion et directrice de l’école Thelma, spécialisée dans le management du luxe, première école du genre dans le secteur en Afrique de l’ouest. Ils ont fait face à la presse ce vendredi dans le cadre de la 6ème édition des Carrefours du mercredi.

C’est comme un thème de philosophie que de vouloir s’adonner à expliquer et disserter sur le luxe. Mais, les initiateurs du carrefour du mercredi ont cette fois-ci, décidé d’aborder ce thème. Le but, explique Birahim Gueye, « c’est de faire prendre conscience des nombreuses et exaltantes richesses dont dispose le Continent Africain, et qui méritent d’être valorisées pour booter le PIB de nos états ». En effet, comme pour corroborer cette déclaration, Mme Maguette Diop indique qu’ « il n’est l’apanage de personne et- que tous les pays peuvent se prévaloir de disposer et d’exploiter le luxe afin des fons commerciales au-delà des considérations esthétiques ». En général le constat est fait sur l’hypothèse que l’Afrique consomme plus le luxe venu d’étranger parce qu’elle n’en dispose peu. Faux ! rétorquent les panélistes qui estiment tout le contraire. « Seulement, il faut une sensibilisation et un travail à faire pour mettre en valeur les produits issus du continent noir. D’ailleurs, jugent-ils, « les ventes de produits de luxe sur le continent se font sous le label de marques moins dotées en qualité que celles tirées en Afrique ».

Mais ce qui est constant, explique Mme Maguette Diop, « nous avons notre mot à dire. Nous pouvons nous épanouir dans notre propre luxe, selon nos moyens et quelque soit l’endroit dans lequel on vit ». La prochaine édition du Carrefour de mercredi se tiendra dans 6 mois, soit l’année prochaine pour aborde d’autres questions d’importance capitale », se ^projette Birahim Gueye pour qui « lorsque l’on parle de luxe en Afrique, on évoque souvent toutes ces marques de luxes occidentales qui viennent s’installer en Afrique. Pourtant, il existe des marques de luxe africaines basées sur le continent qui arrivent à s’exporter tout en créant un marché local.

Youssouf NDIONGUE

Les jeunes apprenants du CFPT Sénégal-Japon auront désormais la possibilité d’explorer les nouvelles filières ‘’chaudronnerie industrielle’’ et ‘’froid et climatisation  industrielle. En effet, le Ministre de l’Economie du Plan et de la Coopération, Amadou Hott et l’Ambassadeur du Japon au Sénégal ont procédé ce mercredi 11 décembre à la signature don de 2,4 milliards FCFA du Japon, le quatrième du genre qui lui est destiné pour soutenir son développement et renforcer son rôle de pôle sous régional de formation dans le cadre de la coopération sud-sud.

 

« La croissance n’est pas uniquement alimentée par les ressources naturelles. Ce sont les gens qui la stimulent et la maintiennent, à travers leurs compétences, leurs formations, leur innovation et leur cohésion sociale ». Ces propos du Premier Ministre Shinzo ABE illustrent parfaitement la pertinence de l’acte que vient de poser le gouvernement Japonais à l’endroit du Sénégal. « Le Sénégal pourra toujours compter sur le Japon, un pays avec son peuple qui est d’une culture et d’une tradition extrêmement riches », dira Amadou Hott pour qui « la stratégie d’intervention du Japon dans notre pays est fortement orientée vers le développement des ressources humaines, avec notamment l’envoi régulier de volontaires japonais au Sénégal pendant presque quatre décennies ». Ensuite poursuit-il, « ce don est le quatrième du genre destiné au CFPT pour soutenir son développement et renforcer son rôle de pôle sous régional de formation dans le cadre de la coopération sud-sud, surtout que l’exploration des nouvelles filières ‘’Chaudronnerie Industrielle et froid et ‘’Climatisation industrielle’’ va permettre aux apprenants du CFPT, du Sénégal et de l’Afrique, de se renforcer de nouvelles technologies pour mieux positionner le Sénégal sur les rampes de l’émergence ».

Youssouf NDIONGUE

 

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Dans une note d’information transmise à notre rédaction, l’Agence de Développement Local (ADL) est revenue sur l’objectif de la mission de collecte de données pour l’établissement de la situation de référence des années 2015, 2016, 2017 et 2018 des indicateurs de la plateforme de l’ONT dans la région de la Casamance naturelle.

Selon Abdoulaye Doumbya, agent de l’ADL, « cette présente mission permet de poursuivre le travail déjà entamé en vue de produire les rapports départementaux et régionaux de l’observatoire. Ce sera également l’occasion d’appuyer les points focaux en difficultés à établir la situation de référence et renforcer leur niveau de maîtrise des outils de l’ONT ». Ainsi, « après une série d’ateliers de formation sur la gestion et l’utilisation de la plateforme SIG-Géoportail de l'Observatoire accessible sur https://observatoire.adl.sn, les points focaux de l’observatoire dans le pôle Casamance ont commencé l’évaluation de la situation de référence des indicateurs retenus dans les domaines de la Gouvernance territoriale, de la Santé, de l’Education et de l’Environnement », ajoute-t-il.

Pour rappel, l’Observatoire National des Territoires (ONT) est une plateforme d’échanges et de réflexion multi-acteurs, multisectoriels et multi-niveaux dont le but est d’apporter un véritable outil d’aide à la décision, à l’élaboration, à la mise en œuvre, ainsi qu’à l’évaluation des projets et programmes porteurs de croissance économique et de développement local. « C’est pourquoi tous les techniciens sont en conclave pour échanger des données collectés dans la région de Ziguinchor. Une fois collectées, les données seront intégrées sur le site de l’observatoire en attendant le lancement officiel de la phase pilote de l’ONT », annonce Abdoulaye Doumbya.

Youssouf NDIONGUE

Au regard des liens fraternels qui lient le président du Model et le Président de la République, on serait tenté de dire que Ibrahima Sall  serait le dernier des Mohicans. C’est, du moins, ce qu’il a réaffirmé sans ambages au sortir de la réunion entre une délégation de leaders de Macky 2012 et lui-même, rencontre au cours de laquelle, les échanges portaient entre autres sur les déclarations faisant état de menaces par certains responsables du Model de quitter la coalition BBY.

Selon le communiqué qui a sanctionné la rencontre de haute facture entre une délégation de leaders de Macky 2012 conduite par le Président d’honneur de la coalition Moustapha Fall Thié et le Président du Model pour échanger avec lui sur la situation politique nationale et par rapport aux récentes déclarations de certains responsables de fédérations du Model qui avaient menacé de quitter la coalition BBY, Ibrahima Sall a réaffirmé son soutien au Président de la République. En effet, les leaders qui ont pris la parole, ont manifesté tour à tour leur solidarité et leur soutien au camarade Ibrahima Sall. Mieux, ils ont unanimement demandé au Président du Model, membre fondateur de la coalition Macky2012, de rester dans la coalition et dans BBY, afin de  soutenir le Président de la République pour la réalisation du PSE2 et la réussite de son mandat. Le Président Ibrahima Sall après  avoir prêté une oreille attentive à tous les intervenants, a accédé sans réserve à la demande des leaders de Macky 2012. Il leur a  réaffirmé son encrage dans la coalition  et dans BBY, non sans leur témoigner les liens fraternels,  qui le lient au Président de la République. « Je leur ai fait savoir, sans ambages, que je serai le dernier des Mohicans », leur a-t-il répondu dans sa réponse reprise par le communiqué signé par Moustapha Fall Thié et Ibrahima Sall, respectivement Président d’honneur de Macky 2012 et celui du Model. Avant de terminer, Ibrahima Sall a profité de cette rencontre  d’échange avec la délégation,  pour appeler aux retrouvailles de la grande famille de Macky 2012, en vue de la préparation pour les victoires futures,  aux  prochaines échéances  électorales. La rencontre à laquelle ont participé la vice-coordonnatrice Adji Mbergane Kanouté, El Hadji Ibrahima Mbow et Babacar Guèye entre autres, a pris fin,  après plus de deux heures d’horloge.

Youssouf NDIONGUE           

L’un des principaux freins au développement économique et social reste la faiblesse des infrastructures. De sorte que de nombreuses études sur le climat des affaires ont suggéré aux gouvernements africains de placer les infrastructures au sommet de leurs priorités. D’où la pertinence de la tenue à Dakar de ce conclave qui regroupe les Agetip africaines pour justement traiter cette lancinante question.

Pour El Hadji Malick Gaye, Directeur de l’Agetip Sénégal, « aujourd’hui, nous faisons face à un déficit estimé à 98 milliards de dollars. Le financement de nos programmes de développement qui consistait à compter sur l’aide publique s’essouffle peu à peu pour ne pas dire devient inadapté. Les actions des gouvernements africains dans ce secteur des infrastructures reflètent des connaissances limitées sur beaucoup de points, notamment en matière de réglementation, de gestion, et de financement des projets structurants ». Ainsi, poursuit-il devant ses homologues africains et en présence des Ministres de l »’Economie et des Collectivités Locales, « dans la plupart de ces pays, les infrastructures ont d’abord été réalisées par l’Etat ; cependant, l’urbanisation galopante et le fort niveau d’endettement, ont contraint la plupart d’entre eux à s’orienter vers la recherche de nouveaux mécanismes de financement. Il urge de combler ce gap dans les plus brefs délais et c’est tout le sens de la vision du Président Macky SALL dans ce qu’il est convenu d’appeler le Programme Sénégal Emergent (PSE) référentiel de la politique économique et sociale du Sénégal et dont la cadence qui lui ai assignée est le FAST TRACK ».

Contextualisant ses propos, El Hadji Malick Gaye indique que « c’est dans ce contexte particulier que le partenariat public-privé (PPP) peut servir de moyen efficace pour pallier aux carences du secteur public dans la gestion des infrastructures et services essentiels. Toujours dans ce cadre, de nouvelles formes de financement disponibles sur ce qui est convenu d’appeler le marché sont en train d’être développées. Des financements structurés à travers lesquels on retrouve notamment les fonds d’infrastructures – qui n’est rien d’autre que le produit de notre épargne collective – et d’autres types de financement à forte valeur ajoutée où l’ingénierie financière est mise en œuvre, afin de concevoir un ensemble d’activités et de produits taillés sur mesure, tout en réduisant le risque grâce à l’utilisation des structures adaptées (collatéraux, dettes senior et mezzanine, équité, titrisation…) ». Mais, malheureusement, conclut le directeur de l’Agetip, « notre secteur privé national éprouve des difficultés à jouer sa véritable partition dans ces schémas, car ne disposant pas d’outils suffisants et d’un système d’opération adéquat, d’où la perception que ces mécanismes ne profitent qu’aux acteurs économiques étrangers. 5 Pour pallier à ces insuffisances une plus grande implication des AGETIP est plus que nécessaire ».

Youssouf NDIONGUE

L’Association des professionnels de l’hôtellerie et de la restauration (APHORE), en partenariat avec l’Agence sénégalaise de promotion touristique (ASPT), a organisé, le week-end dernier, un concours mettant à l’épreuve les serveuses et les serveurs des hôtels et restaurants dans tout le pays pour mieux faire valoir la destination Sénégal.

C’est ce fut un circuit fermé, allant de l’hôtel Pullman de Dakar qui a été le lieu de départ pour faire le tour de la place de l’Indépendance, avant d’emprunter l’avenue William Ponty jusqu’au rond-point Sandaga, pour revenir ensuite sur l’avenue Lamine Gueye qui mène à la Cathédrale de Dakar jusqu’au Café de Rome, le Palais Présidentiel pour enfin s’arrêter à la piscine dudit établissement hôtelier. Pour le président Pape Béranger Ngom, initiateur de la course des garçons de café, « il faut dire et souligner que cette activité est la première du genre depuis des décennies qu’elle a été une fois organisée. Mais le plus important, c’est de promouvoir à notre manière, le tourisme pour une meilleure contribution dans l’économie nationale. Et donc, cette course avait pour objectif de développer l’expertise locale, tester l’endurance des jeunes acteurs du secteur, mais aussi servir de tribune de promotion de la destination Sénégal ».

Une centaine de garçons et filles qui ont montre de leur talent, de leur professionnalisme et de leur endurance sur un parcours cité plus haut étaient engagés, avec une participation de tous les hôtels 5 étoiles qui ont amené six participants (3 garçons et 3 filles) et les autres hôtels et restaurants, seulement quatre participants (2 garçons et 2 filles). Le Directeur de l’ASPT, tout comme les invités d’honneur, parrains et marraines de l’activité ont magnifié cette initiative qui entre dans le cadre de booster davantage certains aspects de notre tourisme. Comme dans leur lieu de travail, les candidats seront tous habillés en tenue classique chemise blanche, pantalon noir et des tennis (chaussure). A l’arrivée, des cadeaux ont été remis aux meilleurs et un cocktail d’arrivée en présence du représentant du ministre du Tourisme, et des autorités déjà citées. Des enveloppes de 1 500 000 F CFA étaient remises aux (lauréat, lauréate) vainqueurs de la course, 1 000 000 F CFA octroyés aux seconds (garçon et fille) et pour les 3e garçon et 3e fille, chacun 250 000 F CFA.

Youssouf NDIONGUE

CMU
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