Malal DIALLO Pithi
Fallou Ndiaye, leader de Gindi Askan Wi "Cheikh Abdou Baly est en train de fissurer l'APR Touba..."
Le Ministre Cheikh Abdou Baly est allé trop loin en livrant ses sentiments personnels en réaction à la formation du dernier gouvernement. En affirmant que tous les responsables sont en phase avec les mesures prises par le chef de l'État, il a irrité le président du mouvement citoyen Gindi Askan Wi Fallou Ndiaye qui dans dans sa réponse, lui met les points sur les i. ''Notre cher transhumant a tout faux dans son propos trop complaisant. Il devait simplement agir à son nom propre, mais pas pour les autres responsables. L'Apr Touba n'est pas sa propriété encore moins son Dahira. Certes nous sommes avec le président de la République, mais nous ne sommes pas d'accord avec les dernières mesures prises et on est libre de nous exprimer ainsi en tant que membre fondateur. Mais comme lui Chekh Abdiu Baly, on a mis du pain dans sa bouche, il est libre d'esquisser des pas de danse, cela n'engage que lui et son dahira. Mais il devait se garder de généraliser ses sentiments''. Pour Fallou Ndiaye, Cheikh Abdou Baly doit retenir que l'Apr Touba est loin d'être son appartenance, et que les jeunes qui l'avaient accompagné dans sa politique se refusent d'applaudir à tout va. Nous n'accepterons jamais que notre parti soit réorienté à des fins personnelles. La prochaine fois qu'il se débinera, nous l'intimons de le faire à son nom propre ou à celui de son Dahira'' recadre le président du mouvement Gindi Askanwi.Le parti a toujours connu des déboires et des revers sans que Cheikh Abdou Baly ne se prononce, donc s'il le fait aujourd'hui, on retient qu'il agit pour son propre compte et ça ne nous engage pas'' conclut Fallou Ndiaye
2ème phase Pasneeg: L'Italie toujours en guest-star
Reconduction d'Elhadji Malick Sall comme Ministre de la Justice: La Cojer Matam reconnaissante au chef de l'Etat
Suite à la formation du nouveau gouvernement, la COJER/MATAM félicite le Président de la République pour les changements en profondeur opérés dans le choix des hommes et des femmes devant conduire et matérialiser l'exécution des politiques publiques.
RIFIFI AU LAGON 1 : Le bras de fer se corse entre la Direction Générale et les travailleurs
Les travailleurs du Lagon 1 ont rejeté la proposition faite par la Direction Générale pour un chômage technique renouvelé à hauteur de 50% des salaires. Evidemment, c’est un non catégorique qu’ils ont opposé, car déterminés à assurer leur survie. Du moins, c’est ce qui ressort de leur assemblée générale tenue ce 2 novembre.
Selon El hadji Ndiaye, SG syndicat national des travailleurs de l’hôtellerie, des restaurants et des casinos du Sénégal, « On ne peut pas accepter la décision de la Direction. Car, nous estimons que ce n’est pas six mois de pandémie seulement qui empêcheront à un hôtel, qui existe depuis plus de 30 ans, de payer le salaire des travailleurs ». Pour le moment, le bras de fer continue, et pour le Président du collège des délégués, Vieux Saloum Sagna : « les travailleurs restent entièrement déterminés face à cette forfaiture que le Lagon1 veut imposer alors que tous les services ont repris ». Venu apporter son soutien, Pape Bérenger Ngom, président de l’Aphore (association pour l’hôtellerie et de la restauration du Café de Rome) se dit déçu de l’attitude de la direction du lagon1, au moment où des hôtels comme le terrou bi, le café de Rome sont à 100% de salaire. « Nous ne pouvons pas le cautionner, le Lagon1 doit s’harmoniser comme les autres ont fait », a t-il laissé entendre. D’une part, il rejette la faute au patronat Sénégalais qui ne se préoccupe que de son propre sort. Mais, « il est aussi important qu’il regarde l’avenir des employés, car c’est eux qui créent la richesse », soutient-il. Sur ce, il exige de la transparence de la part de l’État à travers le fond de relance qu’il a attribué aux hôteliers. Ainsi pour faire face à ces difficultés, il appelle à une vaste fédération des travailleurs du secteur.
Bassirou Niang, Président de ‘’Intelligence Républicaine’’: « L’agenda caché de Amadou Ba lui a joué un mauvais tour :
D’aucuns ne pouvaient penser une séparation entre l’ancien argentier de l’Etat et son mentor de Président. Mais, avec le dernier remaniement du gouvernement, que certains assimilent à un simple réaménagement, ce n’est point une surprise au regard de l’écart adopté par Amadou Ba depuis un certain temps, chose qui fait dire qu’il lorgne le fauteuil de son chef. Pour le leader de la plateforme Intelligence Républicaine, « sur cette question, je crois qu'il faut considérer la posture d'équilibriste qu'il a toujours eu depuis les législatives. C'est la confirmation de l'agenda caché de Amadou Ba. Il faut qu'il s'assume en dehors de l'espace gouvernemental. N'oubliez pas que nous sommes toujours dans une crise où la diplomatie économique est essentielle dans la relance de la machine économique ».
Commentant le retour de Idy, Bassirou Niang laisse entendre qu’on doit sortir des logiciels politiciens et d’assister à ce qu'on avait appelé "entrisme" en 1993 entre l'ancien chef de l'état et Abdoulaye Wade. « L'entrée de Idrissa et les autres constitue la suite logique du dialogue national. En politique aussi, il faut un peu de cohérence. Ils ne pouvaient pas accepter le dialogue et refuser aujourd'hui de partager la peine du Président de la République face à une crise multiforme. Lui-même, Idrissa Seck, l’a dit " il convient de construire et non déconstruire ". Je pense qu'il officialise une posture de conseil qu'il a toujours joué pour le chef de l'état. Comme d'autres pontes de l'espace politique d'ailleurs.
Bassirou Niang sur la question du 3ème mandat pense qu'il est trop tôt pour s’y prononcer. « On constate la cohérence du chef de l'état avec ses alliés d'hier. Et, parfois on oublie que APR ce n'est pas un parti classique avec des organes bureaucratiques. C'est une alliance pour la République. C'est ce qui justifie cette aisance du chef de l'état qui a conjugué les contraires. Aujourd’hui, le schéma est de relancer l'économie et d'obtenir un bilan. Et le reste est du domaine du futur ».
INNOVATION DANS L’ENSEIGNEMENT POST-BAC AUX COURS SAINTE MARIE DE HANN: Deux ans de cours préparatoires requis avant la formation d'ingénieurs
Partager le contenu des cours pédagogiques tout en informant sur les mesurées barrières pour l'ouverture de l'année académique qui se tient dans un contexte de Covid 19, tel est l’objectif de la rencontre entre la direction centrale des cours Sainte Marie et les parents d'étudiants du cycle préparatoire à l'école d'ingénieurs. Il faut dire que depuis 8 ans, l’école sise à Hann prépare, en partenariat avec des universités françaises, les bacheliers à une formation d'ingénieurs à travers deux ans de cours préparatoires
Selon André Sonko, directeur des Cours Sainte Marie de Hann, '' l'accent sera surtout mis sur les matières scientifiques (Mathématiques, Physique et Chimie), afin de permettre aux étudiants d'être mieux préparés et de se familiariser avec les outils du cycle d'ingénieurs. Ce sera un approfondissement de ce qui a été fait au lycée en classe de terminale. On peut dire aussi que c'est une ouverture aux curricula qui seront donnés dans les cycles d'ingénieurs. Mais nous saluons le partenariat qui est noué avec 12 universités françaises regroupées autour de la Feci (Fédération des écoles d'ingénieurs d'intérêt collectif). Cela permet à nos étudiants d'accéder directement à ces écoles d'ingénieurs sans passer par le concours qui, il faut le rappeler, est obligatoire après le Bac dans les autres écoles''. Selon l'ancien Ministre de l'Education Nationale du Sénégal sous le régime du Président Abdou Diouf, '' l'avantage est que les études que nous dispensons dans les cours préparatoires sont suivies par le collectif des écoles, les examens sont validés par eux tout comme la fin de cycle. Ce qui fait que ceux terminent ici sont accueillis par le collectif. Par rapport aux perturbations des cours dans un contexte de Covid 19, André Sonko se félicite malgré tout des brillants résultats acquis par son institution.
Pour contrecarrer Guy Mary Sagna et son Frapp, Awa Thiam crée son Frape et compte occuper le terrain
Désormais, il faudra compter avec Awa Thiam, principale initiatrice du Front républicain d’actions patriotiques pour l’émergence (Frape) pour non seulement vulgariser les réalisations du Président Macky Sall, mais sur le terrain, faire face à ses principaux détracteurs qui ne s’appuient sur rien pour dénigrer la République à longueur de journée. « C’est fini maintenant, nous disons à l’autre Frapp de Guy Mary Sagna qui nous tympanisait tout le temps, que désormais, on ne se laissera plus faire, car, nous allons occuper le terrain par la force de nos arguments. Gare à eux alors ! », menace Awa Thiam.
L’ère de Guy Mary Sagna approche, avec la venue sur terrain de la contestation, de celle que ses camarades appellent la lionne. Awa Thiam qui compte se faire entendre par tous les ennemis de Macky et de l’APR avertit : « Ce bruit que ces petits types faisaient pour nous tympaniser est derrière nous. Nous comptons dans nos rangs des jeunes beaucoup plus instruits, puis dynamiques et plus belliqueux que ces têtes brûlées qui passent leur temps à fomenter des coups bas afin de se faire une pub médiatique. A la place, les belles réalisations du régime de Macky seront désormais exposées ; afin que nul n’en ignore sur le travail combien important que le Sénégal a commencé à observer depuis 2012. C’est plus juste que de brandir le faux, simplement pour dérouter les sénégalais. Notre Frape va frapper fort l’autre Frapp qui dort continuellement et qui n’a pas de sens aux yeux des sénégalais épris de paix, d’espoir et d’émergence », a dit Awa Thiam. Selon elle, « que Guy Mary Sagna se le prenne pour dit, désormais il n’y a qu’un seul Frape, c’est celui de la force tranquille portée par des jeunes pour promouvoir l’espoir et l’émergence. Pour cela, nous allons entamer une tournée nationale pour faire connaitre le Frape aux sénégalais et les informer que notre pays va bientôt se peser avec les nations émergentes suite aux nombreuses réformes entreprises par Macky Sall dans le PSE et son Pap2 ».
Message du Président Diouf galvaudé par certains médias sur la question des mandats : Ousmane Faye dénonce une pratique vicieuse et recadre
L'ancien Président Abdou Diouf a vu ses propos dévoyés par certains médias sur la question des mandats. Selon le leader de Manko Wattu Sénégal, ''Abdou Diouf ne mérite pas les cochonneries de certains qui se disent acteurs de la société civile ou qui se cachent derrière certains médias. Pourtant ce qu'il avait dit est clair en parlant de 2 mandats de 7 ans qui suffiraient pour un chef d'État en Afrique Francophone. Mais, pour justifier leurs pensés machiavéliques et régler des comptes personnels, ils racontent du n’importe quoi, depuis quelques jours, tout en essayant de mettre la confusion dans la tête des sénégalais.
Est ce qu'il y a lieu de fouetter un chat sur la déclaration, à travers une chaine étrangère, du président Abdou Diouf qui date de plus de 15 ans ? Pour Ousmane Faye, ''il faut retenir que l'ancien chef d'État ne s'est jamais prononcé sur la gestion de ses successeurs, ni sur la situation politique nationale ou une quelconque autre question, même de son parti. Donc 20 ans après avoir quitté le pouvoir, je trouve indécent qu'on veuille lui attribuer des propos que je trouve déformés par certains médias, en complicité avec de sordides gens. On se souvient que quand il évoquait cette question, il était couvert du manteau de SG de la Francophonie, mais avait tenu à parler à son propre nom''. Donc, poursuit le patron de MWS, ''c'est inadmissible et incompréhensible que des blogueurs, en complicité avec des journalistes qui se passent des règles d'éthique et de déontologie et des acteurs de la société civile en manque de repère, puissent tomber aussi bas pour toucher l'honorabilité de celui qui a toujours incarner l'État républicain. Ils cherchent à semer la confusion dans la tête des sénégalais, mais cela ne passera pas'', se refuse-t-il tout en se demandant comment peut-on tenir des mensonges aussi grotesques contre un si grand homme d'État.
Communiqué : L’équipe de www.senegalnews.sn présente ses excuses aux observateurs de la Cedeao
Ceci est un communiqué pour démentir l’information reprise par le site www.senegalnews.sn et relative à une affaire de partage d’argent par les observateurs de la Cedeao accrédités en Guinée pour superviser la présidentielle. Nous tenons à publier cette information dont nous n’avons pas pris la précaution de vérifier la véracité, et par conséquent, nous présentons toutes nos excuses à ces honorables représentants de la Cedeao.
Ces excuses sont d’autant plus formulées que, par effet de reprise, d’autres supports médiatiques pourraient être amenés à reprendre cette information ou la partager, alors que ces observateurs accrédités sont totalement pris en charge par leur organisme pour les frais relatifs à l'exécution de leur mission
De toutes les façons, il nous a été très difficile de croire à la véracité de cette information qui semble-t-il, vise plus à discréditer les protagonistes sur la scène politique que ces observateurs qui n’ont fait que le travail pour lequel ils ont été accrédités.
Encore une fois, toute l’équipe de www.senegalnews.sn présente ses plates excuses à ces dignes observateurs de la Cedeao qui ne méritent pas une telle considération.
Attaques contre le projet de Samuel Sarr et Cie... Ousmane Faye traite Thierno Alassane Sall d'un petit type agité, d'une haine dangereuse pour ses compatriotes.
Quand des sénégalais bon teint réunissent leurs moyens financiers pour implanter une centrale afin de produire de l'électricité pouvant ravitailler leur pays et le continent, le bon sens voudrait que l'on applaudisse une telle initiative. ''Mais que des aigris comme Thierno Alassane Sall se mettent à rouspéter inquiète au plus profond de soi’’, regrette Ousmane Faye qui se souvient des accusations du député Farba NGom qui l’avait défié sur TFM, en le menaçant de révéler le nom du pétrolier qui l’avait offert de l’argent alors qu’il était ministre de l’Energie. Corrompu qu’il est ! Cet homme a-t-il de la valeur pour oser d’essayer de ternir l’image des gros investisseurs comme Samuel Sarr et Cie ?''
Scotché dans une réunion politique, le patron de Manko Wattu Sénégal a voulu faire une mise au point sur la dernière sortie de Thierno Alassane Sall contre l'ancien Ministre de l'énergie sous Me Wade. En effet, explique-t-il, ''le président Macky Sall a toujours théorisé la préférence nationale. Et donc, nous devrions montrer toute notre satisfaction en voyant que des sénégalais se sont organisés et ont pu décrocher un marché dont la destination finale est pour nos frères et sœurs. Donc personne ne comprend l'agitation de ce petit type animé d'une haine dangereuse pour ses compatriotes. Tout le monde connait Samuel Sarr dont les compétences sont prouvées’'. Pour Ousmane Faye, ‘'Samuel SARR n’était pas le financier de Me Abdoulaye WADE pour rien, alors que lui Thierno Alassane Sall usait ses culottes sur les bancs des écoles primaires à Thiès pendant que l’ancien Dg de la Senelac administrait sa société en France dans ses bureaux situés à l’avenue Georges 5 au cœur de Paris et en Suisse''. Poursuivant ses diatribes contre le leader de République des Valeurs, M. Faye rappelle que ''à l'époque, tous ses employés étaient des français, même celui qui lui servait son café chaque matin. Ce disciple de Serigne Saliou MBACKE n’a pas attendu d’être au pouvoir en 2000 pour connaître l’opulence. Vous pensez que c’est avec ses dents qu’il avait loué des hélicoptères pour la campagne électorale de Me Abdoulaye WADE en 1993 et un jet privé en 2000 ? Malheureusement, Abdou Diouf s’était opposé à l’entrée de ces hélicoptères au Sénégal''. Pour conclure, Ousmane Faye se demande ''Où était Thierno Alassane SALL, à cette époque ? Donc qu'il reste fair-play et qu'il nourrisse de bons sentiments pour ses compatriotes travailleurs''