dimanche 24 novembre 2024 | Login
Malal DIALLO Pithi

Malal DIALLO Pithi

Sabotage ou erreur sur la confection des bulletins de vote dans la commune de Ngékhokh ? En tout cas le débat fait rage et certains parlent même d’annulation imminente des résultats pour refaire les élections qui ne pourraient être validées. Et d’ailleurs, l’on se demande comment les autorités en charge de l’organisation des élections, ont pu laisser passer de telles erreurs qui discréditent la viabilité du scrutin. Les mêmes noms qui figurent sur les bulletins de Benno et sur ceux de Gox You Bess, «cela invalide les élections», corrige un spécialiste de la décentralisation et des questions électorales.

 Il y a lieu de se poser cette question à la lecture de la situation inédite et invraisemblable qui secoue la commune de Ngékhokh. Comment dans une démocratie qui se dit majeure, où dont on ne cesse de marteler qu’on ne peut voler des élections, peut-on se permettre cette marge flagrante d’erreur? «Cela relève simplement de l’invraisemblable, mais dans des cas pareils, il n’y a aucune autre forme de procès, sinon que de refaire les élections et que le meilleur gagne», départage le monsieur de la décentralisation et des questions électorales.

Et comment la situation est gérée par le camp de Ameth Diallo, le leader de la coalition Gox You Bess, victime d’erreurs administratives ou de manœuvres politiciennes de ses adversaires de la coalition au pouvoir? «Nous sommes au regret de constater que les noms qui figurent sur les bulletins de vote de la liste proportionnelle de la coalition Gox You Bess et ceux de la Coalition Bby sont identiques. Je dois signaler que les bulletins n’ont pas été conformes en lieu et place des noms que nous avions investis. Ce sont les noms des personnes investies sur la liste Benno Bokk Yakaar qui y figurent et les nôtres totalement zappés.

Cette situation a été saisie pour faire de la propagande en notre défaveur en racontant partout dans la ville qu’Ameth Diallo n’est pas candidat, il soutient le maire sortant. Cela a découragé beaucoup de nos militants qui ne sont pas partis voter», s’étonne le candidat de la coalition Gox You Bess, pour qui, «il s’agit là d’une grave irrégularité qui est de nature à affecter le vote et la bonne expression du suffrage citoyen». Pour toutes ces raisons, «nous contestons le scrutin dans sa totalité et ce sur l’ensemble des centres de vote de la commune de Ngékhokh», se refuse Ameth Diallo.

 

Les élections locales du 23 sont terminées. Les candidats et les électeurs sont unanimes à reconnaître la qualité du système électoral du Sénégal, de son fichier et du processus électoral. Ils sont aussi d’accord que le Sénégal est une démocratie où l’élection est libre et transparente et reflète la volonté des populations. Il y’a aussi le fait que dans la plupart des localités qui sont en lice, un sentiment de fair-play a prévalu, poussant les vaincus à s’empresser de féliciter les vainqueurs. Cet esprit de jeu démocratique, COH et sa bande n'en connaissent pas. Eux qui avaient fait de la division leur arme d'existence politique et qui se trouvent aujourd'hui esseulés, car ayant perdu leurs soutiens dans cette entreprise malveillante. 

 

Accuser le Ministre des Finances et du Budget, Abdoulaye Daouda Diallo, de soutenir des listes parallèles, relève de la médiocrité et de la méchanceté. Comment peut-on être si injuste envers quelqu'un qui a battu campagne aux côtés des investis de Benno et qui a fait triompher le camp de la majorité, non seulement dans son fief à Boké Dialloubé, mais aussi à Podor, Mbolo Birane, Ndiayene-pendao,Niandane, Medina Ndiathbé, bref, partout où il y'avait des listes parallèles. La diffamation et les propos haineux, que COH et Cie s'expriment à l'encontre du coordinateur départemental ADD, ne doivent pas restés impunis. 

 

Nous ne devons pas et ne pouvons pas rester aphones face à cette manipulation dangereuse, qui a tendance à s’accentuer et à perdurer dans notre département. Si nous restons les bras ballants, les conséquences seront désastreuses. Car le maire de Ndioum ne s'arrêtera pas tant qu'il met en péril cette unité que le ministre Abdoulaye Daouda Diallo a réussie à créer entre les leaders politiques du département. Cette entreprise de destruction mise en œuvre et entretenue par COH, doit être combattue avec la dernière énergie. Cela doit constituer la mère de toutes nos batailles, car sans la paix dans le département, rien n’est envisageable de mieux pour les législatifs prochaines.

 

Par conséquent, nous en appelons au sursaut patriotique de chacune et de chacun. Nous en appelons à la retenue, à la défense des idées par des armes intellectuelles et morales. Nous devons exclure toute sorte de violence, en commençant par celle qui est verbale, car le feu de la violence se propage d'abord par les mots. L’inquiétude est d’autant plus grande quand on constate que COH ne surfe que sur la division et ceci après chaque élection, c'était le cas aux dernières législatives et même après la présidentielle passées, il a voulu replonger le département, mais les jeunes ne l'ont pas suivi dans sa démarche.

 

COH, cette fois-ci, est tombé très bas, en voulant trop justifier la défaite de ses poulains. N'est-ce pas lui, qui disait, qu'il est le seul maître du département et qu'à l'heure actuelle, personne ne peut le battre. Aujourd'hui si certains maires qu'il clame être ses proches ont perdu ces élections, c'est juste parce qu'ils sont minoritaires dans leurs communes respectives.  Monsieur de "ça étouffe" et ses délinquants politiques dans un article qu'ils ont publié dans un site de la place parlent de la mainmise de ADD sur certaines listes parallèles dans d'autres villes, c'est juste pour chercher des béquilles pour amplifier son combat. ADD n'a jamais travaillé contre la volonté de son excellence le président de la république Macky Sall.

Le ministre des Finances ADD n'a jamais eu d'ambition politique, sa seule ambition c'est de servir le chef de l'État et son pays le Sénégal. Cependant relevons quelques irrégularités de leur dissertation :

 

Comment peut-on dire qu'ADD a combattu la liste de Madina Ndiathbe alors que 48h avant le scrutin, le coordinateur ADD s'est rendu à Cascas pour prêter main forte au maire sortant et candidat de BBY en demandant aux populations de cette localité de voter pour lui, la majorité, et en lui donnant un appui financier conséquent ?

Comment peut-on dire que c'est ADD qui a fait sauter Amadou Ba du gouvernement, cette accusation touche directement le président, car dans la Constitution du Sénégal, seul le Président nomme et dégomme aux fonctions militaires et civiles ?

  Comment peut-on  penser qu'ADD s'est opposé à la réélection  de COH à Ndioum, alors Amadou Kane Diallo et Nawel Thiam tous deux proches du maire de Boké ont battu campagne pour le triomphe de sa liste Benno Bokk Yakaar.

Comment peut-on penser qu'ADD a un pouvoir magique pour décider de qui va gagner à Dakar, en Casamance, a Kafrine, etc. ?

Voilà autant d'arguments qui montrent que COH a déserté définitivement le champ du raisonnable et qu'il lui manque une boussole républicaine pour éclairer sa démarche, autrement dit, le carburant qui fait tourner le moteur de la haine se déverse dans son esprit. Il n'est animé que de mauvaise foi et cherche toujours à diviser le département à des fins que lui seul connait.

 

Heureusement qu'ADD et Mamoudou Dia, respectivement coordinateur départemental de Benno Bokk Yakaar et président du conseil départemental, et certains leaders comme eux ont travaillé d'arrache-pied pour faire de Podor le premier grenier de BBY avec près de 90.000 d'apports de voix.

 

La Jeunesse Républicaine de Podor

 

 

Les élections locales du 23 janvier 2022 ont cristallisé  énormément de passions dans le département de Matam, avec notamment un enjeu de taille pour les populations. Pendant  sept ans, les populations ont vécu le diktat d’un homme politique atypique, le député maire des Agnams.  En effet, s’exaspère notre interlocuteur qui préfère cacher son identité, «les pratiques peu orthodoxes de ce pseudo-leader, qui use des méthodes anti démocratiques pour imposer ses hommes de pailles dans les dix communes irritent plus d’un». 

 

Dans la plupart des communes, on a noté une modification injustifiée des fichiers. Par exemple, à Ourossogui, les résidents de la ville ont eu la grande surprise de voir les changements de leur lieu de vote. Mieux, les cartes d’électeurs ont été remises au ‘’super’’ député qui s’est brutalement substitué à l’administration administrative. «Malgré ces pratiques qui procèdent de ‘’la création d’une élection’’ et non d’organisation d’une élection, Farba a eu la surprise de sa vie de voir que le titre foncier du chef de l’état s’est déchiré. Au niveau départemental en 2019, le score de la coalition était de 92,34% et en 2022, ce score est tombé à 58,35%», fait noter notre interlocuteur.

 

De plus, ajoute-t-il, «aucun des maires des 10 communes, à part Farba, n'a obtenu 50%. Ces  chiffres montrent, à suffisance, que les populations du département sont remontées contre les pratiques de ce pseudo-maire qui cherche à travestir les mœurs politiques du département». Cette élection constitue un rappel de la population de Matam pour que le chef de l’état reconsidère la place de Farba dans le dispositif politique du département. «Le risque de désertion des militants vers l’opposition se renforce au quotidien», regrette-t-il.

L’issue du scrutin de dimanche dernier a fait d’heureux élus du côté de la coalition au pouvoir du département de Fatick. Ils ont produit un communiqué de reconnaissance à l’égard des électeurs qui ont encore fait preuve de constance et de confiance, et ont, tous, réaffirmé leur attachement aux idéaux du Président Macky Sall. Ce communiqué est publié in-extenso.

«Nous, Président du Conseil département et maires nouvellement élus dans le département de Fatick, nous nous réjouissons du déroulement transparent et paisible des élections locales dans l'étendue du département de Fatick. Nous  remercions les populations qui ont pris conscience de l'importance des élections territoriales et qui se sont largement mobilisées pour accomplir leur devoir civique. Nous remercions également les autorités administratives pour le professionnalisme avec lequel elles ont géré le processus électoral dans tout le département. Félicitons également Son Excellence Monsieur le Président de la République Macky Sall pour son bilan exceptionnel et son attachement aux principes de transparence et de bonne gouvernance. Nous, Président de conseil départemental et maires nouvellement élus dans le département de Fatick quelques soient les partis ou coalitions qui ont porté nos candidatures, réaffirmons notre engagement total auprès du Président de la République et notre disponibilité à l'accompagner dans la mise en œuvre de sa vision pour faire du Sénégal un pays émergent. Nous remercions et félicitons le président du Conseil départemental sortant et tous les maires élus pour leur brillante élection et nous nous engageons à travailler ensemble pour le développement de notre très cher territoire. Nous encourageons le Président du Conseil départemental et les maires sortants, car, ils n’ont pas démérité. Nous les invitons à poursuivre leur engagement auprès du Président de la République pour relever tous les défis qui interpellent nos populations. La présente déclaration prouve bien que ce sont les militants et alliés de Son Excellence Monsieur le Président de la République qui ont gagné les communes du département de Fatick.

Youssouf Ndiongue

 

Les élections locales se sont bien déroulées dans l’ensemble du territoire national. Il ne reste que la commission nationale de recensement des votes pour valider les résultats issus des urnes et qui coiffent l’opposition au poteau malgré ses victoires acquises sur 4 capitales régionales sur 14. Pour le reste, la coalition Benno Bokk Yakaar y a effectué une véritable razzia. Suffisant pour le collectif des jeunes de la grande majorité présidentielle (CJGMP) de parler de bérézina et de confiance renouvelée au Président Macky Sall et à son gouvernement. «Les dés sont jetés, la victoire acquise de haute lutte par le pouvoir malgré les commentaires qui semblent vouloir griser la machine beige-marron», se félicite Moustapha Ndiaye, le président dudit collectif, par ailleurs coordonnateur des jeunes de Manko Wattu Sénégal (MWS)  

Pour Moustapha Ndiaye, «si c’était des élections législatives, Benno remporterait la majorité des sièges  à l’Assemblée nationale, et la victoire acquise dès le premier tour si c’était une élection présidentielle. Comme quoi, ces locales sont bien celles du Président Macky Sall qui a, avec ses résultats brillants obtenus sur l’ensemble des collectivités en compétition, permis de faire basse sur la majorité des collectivités en compétition». «Nous suggérons au Président de remobiliser les troupes en perspectives aux législatives qui pointent déjà à l’horizon, mais aussi, nous demandons aux responsables de faire bloc autour du chef de l’Etat, de continuer, dès la publication définitive des résultats issus des locales, le travail entamé pour poursuivre les chantiers et les programmes», insiste Moustapha Ndiaye, Président des jeunes Mackystes qui se félicite, encore, des résultats globaux engrangés sur l’ensemble du territoire national, notamment à Dakar, où malgré la résistance de Yewwi, les meilleurs scores ont été obtenus avec quatre communes tombées dans l’escarcelle de Benno, contrairement aux locales de 2014 où pratiquement c’était véritablement la bérézina»

Malgré ce qu’en disent l’opposition et quelques faux chroniqueurs politiques, la coalition Benno Bokk Yakaar a fait des percées remarquables lors de ces élections locales. Ils ont obtenu les meilleurs résultats sur l’ensemble des collectivités en compétition, mieux qu’en 2014 où à Dakar, la coalition au pouvoir n’avait pu engranger qu’une commune sur les 19 possibles. Ces faux politologues continuent, malgré cela, d’épiloguer, à longueur de journée,  sur les résultats issus des élections et ne prennent aucune précaution et ne se basent que sur quelques statistiques de trois à quatre localités pour prédire et annoncer la fin du régime de Macky Sall.

 Mais pour Ousmane Faye, leader de Manko Wattu Sénégal, «avant de proférer de telles idioties, le bons sens voudrait qu’on fasse une analyse froide des résultats réalisés par les uns et les autres des camps en compétition, avant de procéder à des conclusions futiles. Leur argumentaire est totalement faux, car c’est Benno Bokk Yakaar qui affiche les meilleurs scores qui seraient synonymes de victoire dès le premier tour si c’était une élection présidentielle. On ne peut que les laisser dans les illusions qu’ils se font»

Dans ce pays il y a des énergumènes qui se lèvent un beau temps pour se proclamer chroniqueurs ou politologues, alors qu’ils sont tapis dans l’opposition et ne sont guidés que par une haine vis-à-vis du pouvoir, leurs analyses et commentaires sont différents de la réalité. Pour Ousmane Faye, « personne ne peut nier les belles performances réalisées par le camp du Président Macky Sall durant ces locales. C’est de grandes percées partout et on veut nous faire croire le contraire. Analysons et comparons les résultats pour nous rendre compte d’une victoire acquise dès le premier tour par Benno si on était dans une élection présidentielle».

Le leader de MWS compare ces beaux scores réalisés dimanche dernier à ceux de 2014 et en conclut que dans l’ensemble, les scores obtenus sont appréciés à leur juste mesure. Et que même dans les localités perdues, c’est l’opposition qui est restée sur ses bases, donc aucun regret n’est à déplorer. Au contraire, des efforts perceptibles sont enregistrés par Benno pour rudoyer l’opposition. J’en veux pour preuve Ziguinchor où Sonko a véritablement mordu la poussière dans la région, malgré une petite victoire dans la commune. Si c’était une élection présidentielle, il aurait été laminé. Cela signifie qu’en dehors de 4 capitales régionales où la coalition Benno a fait des contreperformances, Macky reste encore majoritaire dans ce pays.

Et puis, clarifie-t-il Ousmane Faye, «même pour les communes perdues, il faut noter que ces nouveaux maires sont pratiquement membres de Benno : c’est le cas à Tivaouane avec Diop Sy, Kolda avec Mame Boye Diao, Serigne Mboup de Kaolack, Guinaw Rails Nord, etc. Je m’inscris en faux par rapport aux commentaires des chroniqueurs que je taxe d’illusionnistes et en panne d’arguments politiques lucides». En déclarant à tout-va que c’est le début de la fin pour le régime actuel, le leader de MWS prend le contre-pied de ces faux-politologues qui, dit-il, «avancent des choses qu’ils ne maitrisent pas. Ils sont guidés par une haine viscérale à l’encontre du régime en place».

«A la place de nos leaders politiques, c'est nous qui en découdrons dorénavant avec Ousmane Sonko. Nous le déclarons persona non grata à Guédiawaye. Et qu'il se le tienne pour dit: il sera responsable de la correction exemplaire qui sera réservée à l'effronté et le prétentieux qu'il est. D’ailleurs, on se pose encore la question au Ministre de la Justice: N'est-il pas grand temps que tous ceux qui croupissent en prison pour viol hument l'air de la liberté comme Sonko?». Ces propos sont d’Alboury Gueye et de la jeunesse de Benno de Golf Sud, qui faisaient face à la presse, ce mercredi, pour apporter la réplique à Ousmane Sonko, après ses propos qu’ils jugent diffamatoires à l’encontre d’Aliou Sall et Lat Diop.

Ousmane Sonko ne mettra plus les pieds dans le département de Guédiawaye, sinon, il risquera d’en découdre avec la jeunesse très engagée de Lat Diop. Face à la presse, hier, les protégés d’Alboury Gueye, Coundoul, Moussa Fall et de Bécaye Diop ont complètement déshabillé le Pastéfien en chef. «Avec un bilan très lourd de turpitudes et de dégâts collatéraux, sa route est pavée de morts, de blessures morales et physiques qui n'ont pourtant pas l'air d'entamer ses instincts nécrophages et son cynisme flagrant. Voilà Un gus est lui scotché sur 2024, distribuant à sa guise et sa langue de vipère qui pue la méchanceté crasse, des tickets pour l'échafaud à des personnes dont le seul crime est de porter un étendard différent du sien», ont réagi les protégés de Lat Diop. 

Très remontés contre Sonko, Benno Golf Sud se pose : «C'est à se demander si Sonko n'a pas un problème avec lui-même. Son retour sur la terre ferme l'a enfermé dans un réduit de haine et de remords pour l'ensemble de son œuvre. Le fait de se pavaner comme en tournée "présidentielle", d'entretenir cette logorrhée infâme, cache un mal-être dont la profondeur n'a d'égale que son souci lancinant de paraître fort. Les agissements actuels de Sonko sont les derniers soubresauts d'une bête à l'agonie. Les sénégalais commencent à comprendre enfin que la seule réponse à opposer à un sujet confronté à un tel trouble de la personnalité, c'est le mépris, parce que c'est le meilleur moyen de le rappeler à lui-même, à sa poussière d'homme».  

Mais, pour eux, la réponse est simple: «Aliou Sall et Lat Diop ne boxent sur le même ring qu'Ousmane Sonko. Sur plusieurs plans et indépendamment des considérations partisanes, Sonko ne leur arrive pas à la cheville. Ils sont dans le temps de la noblesse par la mise en œuvre d'actions salutaires envers les populations de Guediawaye tandis que leur pourfendeur est dans bassesses infâmes. L'Une des causes pour lesquelles il n'a pas le temps d'avancer des arguments de bonne foi face à un aventurier de mauvaise foi. Il préfère de loin se disputer avec un intelligent que de discuter avec un imbécile. Lat et Aliou ont autour du cou un collier doré. Ils ne sont pas prêts de commettre la bêtise de prêter le flanc pour qu'un voleur chevronné (de sexe) le leur chipe. Les hommes et femmes de valeur épris de leurs personnes ne leur pardonneraient jamais», ont-ils déclaré.

 

 

Le candidat de Benno Bokk Yakaar pour la ville de Guediawaye, le maire sortant Alioune Sall, était, ce mardi matin, dans le quartier de Darou Salam pour y effectuer une visite de courtoisie dans le cadre de la campagne électorale. Accueilli par le responsable Ngagne Gueye et ses sympathisants qui lui ont promis une victoire éclatante dimanche prochain, Alioune Sall en a révélé des facettes de son prochain mandat, et qui ont pour noms : équipement des postes de santé et réfection des travaux pour faire de Darou une cité émergente où il fait bon vivre.

Si Aliou Sall sort victorieux de ces élections pour lesquelles, d’ailleurs, il compte rafler la mise au regard de l’inexistence d’un leadership fort du côté de l’opposition, les importants travaux engagés pour la Ville de Guédiawaye n’épargneront pas Darou Salam, quartier emblématique où réside le responsable et opérateur économique Ngagne Gueye. Le Président de l’association des maires du Sénégal (AMS) s’est, en effet, prononcé sur ce que devra être son prochain mandat à la tête de la Ville en termes d'investissements et de prises en charge des questions sociales des populations de Guediawaye.

Sur ce point, Darou Salam occupe une place de choix. Pour Aliou Sall, «je veux que les populations de Darou soient rassurées. Nous allons doter, aux postes de santé, un matériel flambant neuf pour une bonne prise en charge sanitaire de ses habitants. Mais mieux, nous allons dans le projet de modernisation de la Ville, nous occuper du cadre de vie et des effets d’embellissement de Darou et des quartiers environnants. Mon engagement à faire de Guédiawaye, de manière générale, une ville lumière, n’est plus à démontrer, avec ces importants investissements qui y sont faits.

Ce deuxième mandat à la tête de la mairie sera consacré aux quartiers périphériques pour une certaine homogénéité, où justement les questions d’insécurité et les problèmes d’assainissement seront de vieux souvenirs». Dans son speech, le responsable et opérateur économique Ngagne Gueye a réaffirmé, à son hôte, son engagement à l’accompagner afin de réussir sa mission en tant que premier magistrat de la Ville. «Soyez rassuré monsieur le maire, Darou Salam est derrière vous et prie pour que vos objectifs soient atteints, afin que Guédiawaye, dans son ensemble, puisse servir d’exemple de développement et d’épanouissement de ses populations», a dit Ngagne Gueye.

Youssouf Ndiongue

Keur Massar, c’est dans une salle bondée de monde venu se faire dédicacer le livre du Ministre Assome A. Diatta intitulé ‘’D’une rive à l'autre’’. Son œuvre livre retrace son parcours et son ambition en tant que juriste d’affaires, économiste-gestionnaire de la politique économique. La ministre qui a remercié ses parents et surtout son mentor à qui elle dédie ce livre, lui qui a fait d’elle ce qu’elle est aujourd’hui, en la personne de Ousmane Diallo, et à cet instant précis, elle ne peut plus retenir ses larmes, applaudie par toute l’assistance. Assome Diatta regrette que pour ses dernières années, elle n’a pas pu véritablement s’occuper de lui, car, reconait-elle, « il a toujours été là pour moi, au même titre et rang que mes parents ». Ce livre aussi est dédié à la jeunesse pour qu’elle puisse aussi s’armer de patience et de persévérance dans la vie courante. ‘’D’une rive à l'autre’’ qui peut être défini comme divertissement, c'est-à-dire de Ziguinchor ou je suis née à Keur Massar où j'habite, d’agent à aujourd’hui Ministre, et demain Maire de ma localité. Elle est titulaire du brevet du cycle A de l’école nationale d’administration gestion de la politique économique à l'université de Cocody (Cote d’Ivoire), elle est commissaire aux enquêtes économiques et actuellement Ministre du Commerce et des PME et future Maire de Keur Massar Nord.

M Touré

 

La campagne à la course pour les locales enregistre des blessés au niveau des rangs des différents candidats. L’attaque du cortège du ministre de l’économie en est une preuve. Plusieurs blessés ont été enregistrés. Et les responsables s’accusent mutuellement. 

Selon certains responsables du camp du ministre, « leurs militants ont été attaqués, battus et blesses ». Ils indexent leurs adversaires politiques comme le maire sortant de la commune de Yeumbeul Sud où leur leader est candidat comme étant le commanditaire. Du côté du camp adverse c'est-à-dire de celui du maire, « ce sont eux qui ont été provoqués, attaqués, battus, malmenés  et blessés par des barres de fier, des machettes et des pierres au moment où ils ont déroulé leur campagne dans la sérénité. Le maire sortant n’a jamais été violent et n'est une personne qui pousse les militants vers la violence.

 La réalisations qui ont été faite pour améliorer le cadre des vies des populations de la commune montre que Bara Gaye est soucieux des problèmes que rencontrent la localité dont-il pilote depuis 2014 ». Ils ont eux aussi enregistré plusieurs blessés au sein de leur rand, en pointant du doigt le camp du ministre de l’économie. A travers un communiqué distribué à la presse par le responsable de la coalition de Benno Bok Yaakaar, il y est paraphé que, « des dispositions seront prises pour mettre fin à des situations du genre. Des faits qui ont eu lieu dans la commune de Yeumbeul Sud. A Yeumbeul Nord, une même situation s’est encore produite. Ici, ce sont les militants du maire sortant qui attaquent le cortège d’un candidat Vieux Diop, blessant une personne qui a été poignardée au niveau de la cuisse.

A Keur Massar, la caravane qui a voulu perturbée la rencontre du ministre Assoume Aminata Diatta a été stoppée et déviée. Les nervis étaient armés de machettes, de couteaux et de gourdins. Là bas une personne a été encore poignardée. Une violence qui a été enregistrée dans la banlieue en pleine campagne, a été aussi constatée dans d’autres localités du Sénégal. Une situation qui fait que beaucoup d’autorités et responsables politiques  et religieuses ont levé leur voix pour lancer un appel à la paix, à la sérénité et au calme car le Sénégal est un pays indivisible.

 

CMU
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