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Malal DIALLO Pithi

Malal DIALLO Pithi

Suite à la parution d’un article de presse faisant allusion à la démission de Mr Alioune SY, Secrétaire National chargé des élections, nous nous sommes accordé à le rencontrer. Mr SY a confirmé qu’il était bel et bien toujours membre de l’Alliance pour la Citoyenneté et le Travail (ACT), et travaille même actuellement à la présentation de son candidat, l’ancien Premier Ministre Mr Abdoul MBAYE qu’il se plait à appeler son mentor en politique.

Mr Alioune SY affirme cependant n’avoir pas été d'accord avec les investitures au sein de la coalition CRD-WALLU, notamment sur la liste nationale et sur plusieurs départements, où estime-t-il, les responsables ont été zappés.

Il a également ajouté que le Président de son parti, Mr Abdoul MBAYE leur a instruit de travailler pour la victoire de l’opposition, et de continuer à travailler pour le rayonnement de leur parti.

Mr Alioune SY est donc toujours le Secrétaire National Chargé des élections et le demeure jusqu’au prochain renouvellement.

 

Le Maire apériste de la Ville de Koungheul n'attend pas midi à quatorze heure pour apporter une cinglante réplique au leader du Pastef. Selon Alioune Badara Ly, Ousmane Sonko joue à se faire peur: «Sa sortie est triste et malencontreuse à la fois. Ousmane Sonko joue à se faire peur alors qu'il n'est rien et ne vaut rien. Il est un habitué des méthodes fortes, des discours va-t-en-guerre et à forte teneur de supercherie et de fumisterie. Qu'il sache que nous serons toujours debout pour lui faire face. Nous ne permettrons plus à personne de fouler au pied nos immenses acquis démocratiques», lâche le Directeur des Paysages Urbains et des Espaces Publics. Qui dézingue: «Sonko sent venir le couperet Adja Sarr, et il anticipe sur sa prochaine mésaventure. Il sait plus que quiconque son  dossier ne passera pas comme pertes et profits. La loi sera appliquée dans toute sa rigueur».

Le maire apériste de Koungheul est d’abord revenu sur les résultats des dernières élections législatives au niveau de la capitale du Bambouck : «c'est la conjugaison des efforts des principaux responsables locaux qui ont permis d'aboutir à ce score de 56%. J invite tout le monde à préserver la dynamique unitaire pour accompagner la vision du Président de la République». Revenant sur la décision du leader de la Coalition Bokk Gis Gis/Liguèy, l'édile de la capitale du Bambouck est d'avis que «l'ancien Président de l'Assemblée Nationale vient de rejoindre le camp de la clairvoyance et de la lucidité. Et que l'autre enseignement est que ces élections ont vu une véritable poussée de l'inter-coalition YAW-WALLU. Les animateurs de cette trouvaille ont servi un discours fantastique qui a une incidence majeure sur les primo-votants. Fort de ce constat, je crois dur comme fer que la Coalition Benno Bokk Yakaar gagnerait à procéder à un rajeunissement de sa classe et une campagne massive de reconquête de cette jeunesse-là».

Revenant sur les prétendues fraudes et de bourrage d'urnes, Alioune Badara Ly soutient que «c'est vraiment manquer de respect au peuple sénégalais souverain. Ils ont largement  gagné Dakar, Touba et Ziguinchor, etc. Nous, on n'a pas levé le plus petit doigt pour fustiger. Pourquoi ils nous accusent de bourrage d'urnes? Dans tous les centres de vote, les différentes coalitions y avaient des représentants. Résultat des courses: il n'y a aucun décalage entre le nombre d'inscrits et d'enveloppes dans l'urne. Tout ce que disent Sonko et Cie est donc la confirmation manifeste de leur manipulation. Ils n'ont jamais proposé un programme cohérent, pertinent. Ils s'empêtrent dans les basses manœuvres, les calomnies, le mensonge et tutti quanti... ».

 

 

 

 

Dieu par Son temps a fait mentir beaucoup de journalistes «opposants encagoulés»-vouant une haine personnelle- on ne sait trop pourquoi, contre le Président Macky Sall, qui sur des plateaux de télévision avaient été catégoriques en disant que les dites élections n'auraient jamais lieu. Eh bien celles-ci sont désormais  derrière nous ! Se pose alors pour nous majorité Présidentielle, une équation autrement plus redoutable à résoudre : la lecture sans complaisance des résultats des élections afin d’en tirer les enseignements nécessaires pour la survie de la grande coalition Benno Bokk Yakaar.

Assurément les urnes ont livré leur verdict et malgré les gesticulations d’une certaine opposition malhonnête et manipulatrice tendant à jeter le discrédit sur la transparence du scrutin, le Conseil constitutionnel a validé les résultats provisoires de la Commission nationale de recensement des votes donnant gagnante BBY avec 82 sièges ; Yewwi 56 ; Wallu 24 et 3 sièges pour trois autres coalitions. Il est heureux de constater au grand dam d’une certaine opposition crypto personnelle, que l’ensemble des observateurs nationaux et internationaux, en plus de la Société civile, ont tous reconnu la crédibilité des résultats. Quoi de plus naturel donc,  que de féliciter d'emblée le peuple sénégalais qui a su montrer sa maturité en transcendant les querelles de bas étages et prouver qu'en dehors de Dieu, la souveraineté absolue lui appartient. Ce peuple a donc administré une belle leçon démocratie, non seulement aux hommes politiques, mais aussi et surtout au monde entier ! Il ne fait plus de doute à présent, que le Sénégal est entré de plain-pied dans le cercle restreint des grandes nations démocratiques. Pour en venir aux enseignements à tirer de ce scrutin, reconnaissons tous que le camp présidentiel a connu un recul évident dans certaines localités du pays. Nonobstant la perte de quelques grandes villes emblématiques dont Dakar,  la capitale. Une lecture lucide et sans parti pris, ne saurait occulter ce fait.

Qu'est ce qui peut expliquer une telle déconvenue ? Et surtout, qu'est ce qui fait que malgré les réalisations du Président Macky Sall dans ces zones où nous avons perdu, nos responsables n’aient  pas pu capitaliser cela en termes de voix électorales ? On est en droit de se poser toutes ces questions, si on sait que la majorité  de la population reconnaît les bonds qualitatifs accomplis par le pays depuis l'avènement du Président Macky Sall. Pourquoi cela ne s'est-il  pas traduit dans les urnes? Il y a eu forcément  quelque part des défaillances !

En effet, dans une élection, il y a beaucoup de paramètres.   Car, au-delà du bilan à présenter, il ya ceux qui doivent recevoir le message. Or, il se trouve que ceux-ci  représentent la majorité de la population, composée de jeunes. C’est du moins ce que confirment les dernières données de l’Agence nationale de la démographie et des statistiques. Cependant,  nul ne peut contester que dans la prise en compte des préoccupations de la population, le Président a accordé une large part à la jeunesse. Donc  à ce niveau, le problème qui se pose, c’est pourquoi le message n’est pas passé? A l’évidence il y a une carence communicationnelle ! Et dans nos réflexions,  nous avons trouvé que ce qui bloque, c’est moins le message en lui-même, que le porteur du message ! Et pour cause, au moment où l’opposition avait littéralement «lâché» ses jeunes sur le terrain pour aller à l’assaut de leurs homologues de même génération, notre coalition s’est contentée de mettre face à cette jeunesse, des « adultes »,  qui méconnaissent les besoins  de cette frange importante de la société, puisque ne vivant pas les mêmes réalités.

D’où un déphasage criard  entre le discours de nos responsables et ce qu’attendaient cette partie essentielle de la population, pouvant faire basculer le vote.

Le parti et notre coalition ont donc l’obligation ici et maintenant de promouvoir de jeunes intellectuels politiquement bien formés, pour se dresser contre leurs vis-à-vis de l’opposition, non pour des confrontations physiques, mais pour leur opposer des arguments probants du programme de développement de tous les secteurs particulièrement le leur, mis en œuvre par le Président Sall et dont on commence à voir les nombreuses retombées.

Ce travail sera d’autant plus facile pour nos jeunes, que  ceux d’en face sont pour la plupart incultes.  A la place des débats d’idées,  ils ne servent que des injures et des insanités. Leurs leaders qui n’ont que faire de la morale, ont spécialisé certains d’entre eux dans la diffusion de fake news et plus grave, de diffamations d’honnêtes citoyens.

Face à cette horde sauvage d’un nouveau genre, qui a complètement métamorphosé la politique au Sénégal,  il faut de preux chevaliers capables de les  traquer partout et montrer à la majorité de notre population qui est saine,  parce qu’ancrée dans nos traditions de vertus léguées par nos ancêtres, que cette jeunesse malsaine les induit en erreur et les mènent vers le précipice ! Il faut donc réorganiser nos jeunes cadres en leur inculquant les vertus d’un militantisme désintéressé,  au service de la patrie. Au demeurant cet engagement sans calculs politiciens pouvant leur valoir des postes de responsabilité.  Ils nous épargneraient ainsi ces guerres de positionnement pour accéder à de hautes fonctions, qui impactent négativement sur l’image de la Mouvance présidentielle aux yeux de l’opinion. Les bagarres qui se produisent à la Permanence nationale doivent cesser dorénavant et leurs auteurs devront être menacés d’expulsion à l’avenir. Ce mal qui touche nos jeunes, on l’a constaté malheureusement au niveau des adultes car dans certaines localités Benno Bokk Yakaar a voté contre son propre camp…Certains responsables s’étant même abstenus d’aller voter.                                       Il est donc urgent que notre leader incontesté, le Président Macky Sall, convoque les Assises du parti et de la coalition, non pas pour accuser les uns et les autres, ou pour régler des comptes,  mais pour promouvoir la réconciliation entre frères du parti et de la coalition. Nous devons nous persuader que la Mouvance présidentielle, a les moyens de proposer une offre politique crédible aux Sénégalais qui ont toujours renouvelé leur confiance au Président Sall. Ce revers électoral doit donc être décrypté par le camp présidentiel en toute lucidité sans faux-fuyants. La nouvelle donne nous impose donc de changer radicalement de cap si nous voulons gagner les échéances futures.         

 Dans les premières mesures doivent figurer en priorité la nécessité d’être plus proches des populations et non attendre la campagne électorale pour faire de la proximité.  A cet égard nous avons vu , sans avoir besoin de les citer, que les responsables qui ont gagné chez eux entretenaient avant les élections des relations suivies avec leur base. Par ailleurs, l’arrogance doit cesser et aussi les comportements scandaleux.

Le parti et la coalition ont assez de ressources humaines pour inverser la tendance. En effet, nous avons assez de jeunes cadres et suffisamment de femmes engagées. Mais aussi il faut le dire de grands responsables qui ont gagné dans leurs localités. Il y a aussi cette entité significative des arabophones qui se sont battus corps et âmes, surtout dans les foyers religieux, où les forces du mal ont faits des dégâts considérables. Parce qu’il faut dire qu’à  ce niveau les vrais interlocuteurs ont été laissés en rade. Et pourtant, les investissements colossaux effectués dans tous les foyers religieux auraient du produire des retombées en termes de voix.

Comme on l’a donc vu, les défis sont nombreux mais aussi, comme on l’a démontré, les solutions sont à portée de main. En définitive nous sommes à la croisée des chemins ! Le Président j’en suis sûr, me fondant sur ses grandes qualités intellectuelles et la pertinence de ses analyses politiques, saura prendre la pleine mesure des enjeux ! C’est tout ce que je lui souhaite, eu égard aux immenses efforts qu’il a déjà fournis pour faire émerger ce pays qu’il aime tant.                                           

Professeur Souleymane Gadiaga  Coordinateur du Mouvement National des Arabisants Républicains

 

Les travailleurs de l’opérateur téléphonique Expresso Sénégal ne parlent plus du même langage avec leur Directeur Général dont ils accusent la gestion de mauvaise. Raison pour laquelle, ils ont tenu une conférence de presse pour se faire entendre.

 

Ce n'est pas la première fois que les travailleurs de l'opérateur Expresso Sénégal ont fait face à la presse pour exprimer leur colère contre de monsieur Radi Almamoun. Selon eux, "ce dernier a décidé de licencier certains travailleurs pour motif économique. Après 14 ans d’exploitation, Expresso Sénégal bénéficie du renouvellement de sa licence, malgré le non respect des clauses contenues dans le cahier de charges, surtout le retard constaté sur les investissements prioritaires et la création d’emplois durant plusieurs années d’exploitation. À la surprise générale, la société Expresso a entamé, depuis le 25 juillet 2022, une procédure de licenciement collectif du personnel, pour motif économique arguant le prétexte d’avoir cumulé des pertes avoisinant les 14 milliards sur les revenus et 5,9 milliards sur capitaux propres durant les trois exercices de 2019 à 2021, période qui a coïncidé avec la crise sanitaire de la Covid 19.

 

Le plan d’ajustement préconisé vise à réduire les revenus des travailleurs à travers la compression des effectifs dont la masse salariale ne représentait que 12% des charges totales qui passent actuellement en 2022 à 9%. Poursuivant leurs propos, les travailleurs déclarent, par la voix de leur porte parole, que" beaucoup d'entre eux sont dévastés d’entendre les arguments avancés par la direction générale pour justifier les mesures envisagées et qui contrastent avec la réalité des faits’’. Pour étayer leurs arguments, et par souci de transparence, ‘’nous leur avons demandé la présentation des états financiers afin de partager avec les délégués du personnel les informations économiques et financières de la société, conformément aux dispositions de la charte nationale sur le dialogue social, ainsi que le pacte national de stabilité sociale et d’émergence et la déclaration des principes tripartite de l’OIT sur les entreprises multinationales et la politique sociale de 2017’'.

 

 Toujours est-il que pour eux,’' ce sont  les autorités qui ont été alertées sur cette situation à ce qu’elles ne tombent pas dans le piège de ce groupe, à ne pas céder à cette supercherie. Il n’y a aucune difficulté financière qui puisse justifier des suppressions d’emplois dans ce contexte, avec toutes les faveurs qui leur ont été accordées. La société ne dispose que de cent vingt huit (128) employés et 56 cadres parmi lesquels dix huit (18) sont des expatriés dont la composante essentielle est constituée de consultants pour monter des opérations circonspectes. C’est également la course effrénée vers les sociétés de placement mettant à leur disposition des agents, ce qui constitue aujourd’hui un modèle achevé de dumping social. La société en compte 80".

 

Les travailleurs soulignent que ‘'des recrutements, à l'heure actuelle, ont été opérés, ce qui démontre, à plus d’un titre, le non fondé du motif invoqué, Expresso ne traverse aucune difficulté économique, elle a relevé actuellement son chiffre d’affaires de 16% par rapport au dernier semestre et la masse salariale a baissé de 10% en 2022’’, listent des travailleurs licenciés, et cela ne fait qu’allonger des motifs fallacieux du genre insuffisance de résultats sans aucune base légale ou objective. Il est temps que cela cesse, l’Etat doit veiller sur les conditions d’exploitation de cette boite dégradantes.

 

‘’En tout état de cause les travailleurs mobilisés derrière leur centrale syndicale sont déterminés à faire face à cette nébuleuse et n’entendent pas se faire écraser. Ils ont tout donné à cette entreprise qui cherche par des moyens détournés à les liquider, voila une société multinationale qui ne respecte pas la liberté syndicale et refuse de dialoguer avec ses travailleurs et qui se croit en territoire conquis", confient-ils. Au cours de la rencontre avec la presse, le personnel a exige le respect et que les choses se passent dans la transparence à travers la communication du bilan social, ce qui n’a jamais été le cas, ces derniers comptent donc entamer une action de protestation à la mesure de l’agression et demandent à l’ARTP de procéder à une évaluation du cahier des charges et à la tutelle technique de revoir les clauses du contrat avec l’implication des représentants. Il y a moins d'un mois, les travailleurs avaient fait une sortie du genre dénoncer cette situation à laquelle ils sont confrontés au niveau de  Expresso. Des doléances qui n'ont jamais été satisfaites. C'est ce qui explique leur colère et le directeur qui a été indexé et que nous avons essayé de joindre en vain. À noter que les travailleurs ne comptent pas baisser leurs bras jusqu'à obtenir gain de cause.

Modou Touré

 

La Coalition Naataangué Askan Wi est surprise de constater les sorties injustifiées de Monsieur  Sheikh Alassane Sène, qui s’attaque frontalement au chef de l’Etat et à sa famille. Une attitude qui est aux antipodes des valeurs républicaines qu'elle incarne. 

Non content de ses débordements médiatisés, Monsieur Sheikh Alassane Sène règle ses comptes personnels sous la bannière de ladite Coalition. De surcroît, il a introduit un recours contre les résultats des Législatives de 2022, sans en aviser la Coalition dont il était membre à titre individuel. 

Par conséquent, au regard de ses agissements qui nuisent à l’image de la Coalition et de ses membres, la conférence des leaders s’est réunie en urgence et a pris la décision d’exclure Monsieur Sheikh Alassane Sène de ladite Coalition, avec effet immédiat. Monsieur Sène n’est plus lié en aucune façon à Naataangué Askan Wi.

La Coalition Naataangué  Askan Wi, se désolidarise de son action et l’invite à cesser de parler en son nom. Le cas échéant, elle n’hésitera pas à entamer une procédure judiciaire contre lui.

 

L'association Solidarité Ci Sutura a reçu, ce samedi, les Jeunes Volontaires pour l'Environnement et Enda Pronat dans la commune de Bargny qui a servi de cadre pour accueillir l’importante rencontre de sensibilisation dénommée ‘’ndadjé agro écologie sur les OGM’’, avec les jeunes Volontaires pour l'Environnement et Enda Pronat.

Un conclave d’une importance capitale durant lequel il était question de revenir longuement sur l’importance de promouvoir l’agro écologie, seule alternative préconisée par le Président Fadel Wade et ses collègues, pour une agriculture saine et durable. Pour cela, l’accent devait être mis  sur des informations/sensibilisations sur les impacts des OGM sur l'environnement, sur la biodiversité (toxicité sur les insectes bénéfiques, menace pour les écosystèmes du sol, pollution des eaux, réduction du nombre de bactéries du sol, etc.), et la santé humaine et animale.

L’occasion a été donnée par la présence des acteurs pour discuter des avantages et des inconvénients des OGM, des risques encourus pour la santé, des solutions pour éviter d’en consommer éventuellement, entre autres points débattus.

 

« Basé politiquement dans le département de Goudomp précisément dans la commune de Goudomp, je puis mesurer l’excellent travail fait par les différents responsables pour la coalition BBY. Mais au départ, il y a lieu de saluer le travail remarquable abattu par le Directeur des Infrastructures Aéroportuaires du Sénégal M. Souleymane NDIAYE, Chef du Parti Politique S2D Yonou Naatangué et Responsable Politique de BBY dans le département de Goudomp. Son arrivée dans le département de Goudomp a permis à la coalition BBY de gagner la commune de Goudomp, Chef de lieu de département, qui était jadis dans l'opposition, et inverser la tendance en faveur de la coalition BBY dans le département en remportant plusieurs communes qui étaient dans l'opposition.

 

Voilà un homme courageux, au service sa communauté et qui se donne corps et âme pour le développement du département de Goudomp. Ces actions de solidarité ont touché toutes les couches sociales du département. Des jeunes, aux femmes, en passant par les familles religieuses, couches vulnérables etc., tous ont salué les actions qu'ils mènent au bénéfice des populations du département. Récemment il a apporté un soutien financier à 92 groupements de femmes pour leur autonomisation, sans compter ses soutiens multiformes à la jeunesse du département de Goudomp et à l'association des handicapés que je dirige.

 

Dans le domaine de l'éducation et de la santé, c'est le seul leader du département à être aux côtés des acteurs et des populations. Pour preuve, informé du taux de 100% réalisé par le CEM de Kaour au BFEM, il a aussitôt effectué le déplacement pour féliciter l'établissement et leur apporter un soutien financier pour une amélioration de leur conditions d'études. C'est également cet élan de solidarité qui l'a animé en apportant des équipements (ventilateurs, draps etc.) à l'hôpital de Goudomp. Sur le plan politique, il joue le rôle de rassembleur au sein de la mouvance présidentielle, en étant à l'écoute de tous leaders du département et de la région de Sédhiou, mais également en apportant un soutien constant à tous les Maires et Responsables politiques du département.

 

Face à l'opposition, il est le seul qui défend le Président de la République SEM Macky SALL dans toute la région naturelle de la Casamance. Pour toutes ces raisons évoquées, nous souhaitons qu'il intègre le nouveau Gouvernement pour ainsi promouvoir un fils de la Casamance, apprécié dans toute la région naturelle, suscitant l'espoir de toute une région, pour permettre au Chef de l'État de gagner les prochaines échéances en Casamance et mieux servir le département et la région de Sédhiou ».

 

Après la publication des résultats définitifs des élections législatives du 31 juillet 2022, la convergence des jeunesses républicaines (COJER) a apporté une analyse fine des résultats issus des urnes. «Dans l’ensemble, je reste persuadé que tous les enseignements du scrutin seront tirés par le Président Sall lui-même, mais aussi par tous les responsables afin de remobiliser les troupes dans l’optique des futures échéances», tempère le patron des jeunesses républicaines.

 

Face à la presse, ce samedi, Moussa Sow a lancé le mot d’ordre à la jeunesse pour une remobilisation autour des impératifs de développement du pays : «Nous ne cesserons de remercier le Président Macky Sall pour avoir ouvert de nombreux chantiers pour la jeunesse, notamment le financement de leurs initiatives pour promouvoir l’entrepreneuriat, booster la formation professionnelle et faciliter des lignes de crédit pour lutter efficacement et durablement contre le chômage. Au-delà de la mouvance présidentielle, j’invite tous les jeunes, de quelque bord qu’ils puissent se situer, à se mobiliser et à faire bloc autour de Son Excellence Macky Sall pour qu’il continue à nous faire bénéficier de ses merveilleux plans de développement ».  

 

A l’endroit de l’opposition, le coordonnateur national de la Cojer dézingue : «elle tente  continuellement de saper les fondamentaux de notre République. On connait parfaitement cette opposition, elle est foncièrement politicienne, revancharde et manipulatrice, et joue quotidiennement au discrédit de nos institutions. Par conséquent, nous ne sommes pas surpris qu’ils appellent au boycott de l’élection des futurs membres du HCCT dont l’utilité n’est plus à démontrer, contrairement à ce qu’ils avancent. C’est des adeptes de la pyromanie, mais cela ne passera pas».

 

Moussa Sow termine par féliciter le Président Pape Diop de la coalition Bokk Guiss Guiss Liggey pour la décision républicaine qu'il a prise, d'intégrer le groupe parlementaire BBY. «En prenant cette décision hautement salutaire, le Président Pape Diop montre clairement la voie à suivre à tous les députés républicains qui seraient tentés de suivre les opposants pyromanes. La démocratie sénégalaise bien consolidée avec son Excellence Macky Sall, continuera sa belle progression, n'en déplaise à une certaine opposition qui rêvait déjà d'une cohabitation imaginaire et dangereuse pour la démocratie Sénégalaise», se réjouit-il. 

 

La défaite enregistrée dans le département de Keur Massar lors des élections législatives, reste difficile à avaler de la part des membres de la mouvance présidentielle. Ces derniers demandent à ce que Macky Sall adoube la tête de liste de la coalition de Benno Bokk Yaakaar, puis de la laisser dans le prochain gouvernement si toutefois qu'il y a remaniement. Ils ont tenus des rencontres avec la presse pour prononcer sur ce sujet.

 

Après les femmes de Benno Bokk Yaakaar, c'était le tour des hommes qui ont fait face à la presse. " Nous, nous reconnaissons la victoire et on s'en réjouit. Assome Aminata Diatta est une dame de fer et qui a beaucoup fait pour les populations de Keur Massar. Rien ne peut contre la volonté de Dieu. La défaite enregistrée lors des élections législatives ne va pas dire que la ministre du commerce n'a pas travaillée. Elle assiste les foyers les plus modestes à chaque fois qu'il est important", déclarent les femmes de la coalition de Benno Bokk Yaakaar de Keur Massar.

 

Et parmi ellles, il y a madame Awa, responsable de l'Apr à Yeumbeul Nord et entre autres. Toutes les autres communes du département ont été représentées. Du côté des hommes, on constate la forte présence des représentants des ténors de Benno. Assane Sylla et Matar Diop figurant parmi eux. Face à la presse, Benno locale témoigne que, " la ministre du commerce a le meilleur profil pour rester dans le prochain gouvernement. Assome Aminata Diatta doit être renforcée pour qu'elle puisse beaucoup mieux aider les populations de Keur Massar".

 

Benno Bokk Yaakaar de Keur Massar et qui réclame Assome Aminata Diatta témoigne que, " tous les secteurs ont été appuyés. Et la tenue des assises pour rencontrer toutes les couches de la zone à fin de diagnostiquer les problèmes que rencontrent les populations en est une preuve. Force est de rappeler qu'Assome Aminata Diatta qui était la candidate lors des élections locales pour briguer la commune de Keur Massar Nord, avait été battue. Elle avait été choisi pour porter les "drapeaux" de Benno Bokk Yaakaar.

 

La tête de liste départementale de cette même coalition a été encore lamentablement affaiblie par l'opposition. Deux défaites consécutives qui font que ses proches et militants ne tardent à se lever pour se faire entendre par apport à cette situation inquiétante qui risque d'impacter sur le fonctionnement de Bby à Keur Massar. Quoi qu'il en soit, Benno locale réclame toujours Assome.

 

Naître et mourir sont deux étapes inévitables de la vie, ce sont les bornes de cette dernière. Ce sont des moments où notre incapacité à nous prendre en charge se révèle au grand jour. Notre fragilité est sans doute ce qui explique notre inertie à ces moments précis. Nous ne pouvons rien de nous-mêmes et ceci nous rappelle, sans précédent, notre passage éphémère.

Durant notre existence, deux sentiments indissociables nous habitent: la peur et l’amour, se juxtaposant dans une sorte de valse: " Avoir peur d’aimer quelqu’un et aimer avec la peur de perdre quelqu’un". A ce qui précède, s’ajoutent deux émotions qui surviennent  dans les moments les plus culminants de notre vie : la joie et la tristesse. La deuxième étant plus dominante sur la première. Notre environnement laisse présager des temps de tristesse au détriment des temps de joie.

Choisissons malgré tout d’être heureux, en acceptant que la vie nous arrache la plupart du temps ceux qui nous sont si chers et ce qui nous tient vraiment à cœur.  Aimons sans compter les fois où nous avons été déçus et blessés.  Aimons à l’ivresse, sans modération, sans rétention.

Avec toute ma gratitude et ma reconnaissance.

Dr. Mohamed Diallo

Le Berger au service de la Nation, 

Président de la Coalition Naataangué Askan Wi

 

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