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Malal DIALLO Pithi

Malal DIALLO Pithi

Le duel aura bien lieu entre ‘’le lion de Guédiawaye’’ et le leader de Pastef. Les hostilités ont démarré depuis un certain temps et se corsent encore aujourd’hui, avec la sortie, ce jeudi, de Lat Diop qui s’est encore ‘’défoulé’’ sur Ousmane Sonko. En conférence de presse tenue dans la commune de Golf Sud, l’initiateur du mouvement ‘’Lou Eup Tourou’’ n’a pas encore raté son protagoniste : ‘’Tu m’auras forcément sur ton chemin. Tu es un rebelle et on ne laissera pas ce pays entre les mains d’un fractionniste’’, a dézingué le responsable APR de Golf Sud et de Guédiawaye.

 

Face aux menaces et violences orchestrées par l'opposition qu'incarne Ousmane Sonko, le directeur de la LONASE se met en mode alerte pour dire : «NON, Stop ! Trop c’est trop, les menaces de déstabilisation de ce pays ont assez duré». Devant des journalistes venus nombreux, Lat Diop a livré une communication rugueuse, se voyant certainement sur le ring politique en train d'en découdre avec Sonko. Le responsable de Guédiawaye a ainsi foudroyé et brûlé le ‘’pastéfien’’. «Ils (ndlr: les membres de Yewwi) avaient menacé qu’il n’y aurait pas d‘élections sans leur liste nationale, mais la suite des évènements leur a apporté un démenti cinglant. C’est donc un moment de célébration de la victoire de l'ordre sur le chaos, de la vérité sur le mensonge, de l'état de droit sur l’anarchie», analyse Lat Diop. Qui, en commentant le rétropédalage de l'opposition sur la manifestation prévue hier 29 juin, enfonce Sonko et Cie: «ils usent de prétextes aussi fallacieux pour justifier leur honte. Ils se sont sentis menacés, mais en vérité personne ne leur a demandé de faveur pour surseoir à leur manifestation, ils ont fui comme des lapins et des lâches».

 

Lat Diop de poursuivre : «Sonko est un manipulateur chevronné, un menteur reconnu, mais aujourd’hui, c'est la victoire de la démocratie qu'il convient de saluer. L'État restera toujours fort sous Macky Sall, et cela doit être clair. L'agitateur de Yewwi (Sonko) sait ce qui l'attend. Il ne vit pas. On sait qu'il souffre, mais on compatit. Nous devons au président Sall cette détermination et cette bravoure à leur barrer la route». Commentant le milieu politique devenu pollué, Lat Diop déplore : «La liberté d'expression est mal encadrée au Sénégal, il va falloir apporter des correctifs urgents. Contrairement à ce que dit l’opposition, il y a trop de libertés dans ce pays et si on y prend garde, il risque d’y avoir libertinage. Aujourd’hui, on dit du n’importe quoi sur les autorités administratives, religieuses, coutumières, etc. Le débat est devenu stérile, mais on est obligé de répondre pour rétablir la vérité. On ne les entendra jamais parler de réalisations dans ce pays. Parce que tout simplement Macky, c’est juste le train qui arrive à l'heure», jubile Lat Diop qui se veut ferme : «On ne laissera jamais ce pays entre les mains d'un fractionniste».

 

Aux responsables de l’Apr et de Benno, le DG de la LONASE les invite, après avoir usé de privilèges, à descendre sur le terrain et à défendre le chef de l'État qui leur a tout donné. «Soyons reconnaissants au Président Macky Sall. Combattre Ousmane Sonko est un devoir civique, et il faut le combattre par tous les moyens. J’ai appris qu’il était à Guédiawaye hier (mercredi ; ndlr), mais il s'est caché et a encore fui comme un lapin. C’est un lâche», le qualifie-t-il.

Youssouf NDIONGUE

 

 

Ces temps-ci, il y a des personnes handicapées qui ruent dans les brancards pour fustiger la politique de leur prise en charge sociale. Une situation que contredit les membres du mouvement national des personnes handicapées de l’APR (MNHR) qui battent en brèche une telle thèse. Mieux les camarades de Toumani Camara, Chérif Ka, Moussa Touachi, Aminata Diallo, Monsieur et madame Ndaw, etc, énumèrent les acquis sociaux obtenus par les personnes souffrant d’un handicap sous le régime du Président Macky Sall. Ils ont aussi appelé à voter les listes de Benno Bokk Yakaar pour les prochaines élections législatives afin de rafler la majorité des sièges.

 

Dans u communiqué qu’ils ont rendu public, les membres du MNHR rappellent que «le Président Macky SALL, depuis son accession à la Magistrature Suprême, a toujours insisté sur le soutien de l’Etat envers les personnes handicapées. Sur ce, dès son arrivée il a fait l'audit de la Fonction publique en 2013 et a embauché 29 personnes en situation de handicap. Il fait de même en 2015 avec le recrutement de 9 autres». En effet, explique Chérif Ka, membre du mouvement des handicapés républicains, «entre 2016 et 2017, la loi d'orientation sociale indiquant le recrutement à hauteur de 15% a été  appliquée à Dakar Dem Dikk, et il faut se réjouir du fait qu’un nombre très important a été embauché là-bas». Dans les autres structures de l’Etat aussi, poursuit Chérif Ka, «des personnes handicapées sont également recrutées dans des structures comme l’Adie avec 23 personnes vivant avec un handicap, 15 au niveau de l’Asp, 3 à l’Aibd, 3 à l’Ucg 3, 1 à l’Anpej, 3 au Ministère de la Culture, même au niveau du Centre Talibou Dabo qui dépend du ministère de la santé et de l’Action sociale, et au Ministère de l'intérieur».

 

Dans toutes les régions du Sénégal, l’Etat sous l'ère Macky SALL a recruté des personnes handicapées à travers des centres dédiés ou spécialisés et dans les ministères, donc l'inclusion est bien prise en compte. Pour les partisans de Toumani Camara, Président dudit mouvement, «concernant les postes nominatifs, nous avons une conseillère spéciale auprès du président de la République, Mme Aissatou CISSE qui fait un excellent travail, et qui a un bureau et secrétariat logé dans le palais, ça n'avait jamais existé auparavant ; Il faiut aussi se féliciter du fait qu’au CESE, au HCCT et à l’Assemblée Nationale, il y a énormément  de Chargés de mission qui y sont recrutés, comme à la présidence de la République.

Au COUD, beaucoup de personnes handicapées sont embauchées pour souligner les efforts déployés par les différents gouvernements du président Macky SALL qui ont toujours pris en compte l'insertion des personnes handicapées, sans oublier les cartes d’égalité des chances»

 

Aujourd’hui, il y a certes beaucoup à faire, mais le Président Macky SALL a la volonté manifeste et grande considération pour les personnes handicapées pour leur bien être et leur insertion socioprofessionnelle et ceci dans le cadre d’une politique d'inclusion totale. Pour terminer, le mouvement lance un message pour un vote massif des listes de Benno Bokk Yakaar en vue de permettre au Président de disposer d’une majorité confortable.

 

Depuis son accession à la souveraineté internationale, notre pays s'est distingué parmi les nations les plus stables en Afrique et dans le monde. Malgré la survenance, par moments, de tensions politiques sporadiques, il est important de relever que le peuple sénégalais, et la classe politique, en particulier, ont toujours su surmonter les divergences de vues, pour préserver l'essentiel, à savoir, cette volonté de vie commune qui a été et qui doit demeurer l'essence et le ciment de notre Nation.

 

L'État du Sénégal s'est ainsi illustré, et depuis longtemps, comme l'une des démocraties les plus inclusives, notamment par son attachement à la liberté d'association et d'expression érigée en droit fondamental par la Constitution, mais également son option assumée pour le pluralisme politique. Pour préserver cet acquis, dont tout observateur attentif sait qu'il n'est jamais irréversible pour aucun État, il doit veiller à ce que les instruments de la démocratie ne soient pas utilisés contre la démocratie, en devenant le prétexte à des attaques violentes contre les institutions de la République, les citoyens et leurs biens.

 

L'exercice de ces droits, constitutionnellement garantis, obéit à un certain nombre de règles auxquelles, aussi bien l'État que le citoyen demeurent soumis ; le premier ayant l'obligation de veiller à leur effectivité, tout en préservant l'ordre et la tranquillité publics, le second devant tenir compte des limites que lui impose la loi, seule expression de la volonté générale dans une démocratie représentative. La loi étant impersonnelle et générale, nul ne saurait s'en affranchir, pour quelque motif que ce soit, au risque de compromettre la paix et la concorde sociales ou de mettre en péril la vie d'honnêtes citoyens et la propriété d'autrui. Toute personne a le droit de contester une décision, qu'elle soit administrative ou judiciaire, et la loi a aménagé des procédures diverses et appropriées pour garantir à tout citoyen qui le souhaite, le recours à une juridiction ou autorité judiciaire indépendante.

 

La justice, à l'image des autres institutions Constitutionnelles, n'est pas épargnée par les coups de boutoir. Elle reste pourtant le gage d'une paix durable et d'un environnement socio-économique serein; elle constitue le dernier rempart de l'État de droit, la gardienne des libertés. Nul n'a intérêt à l'affaiblir, et tous devraient contribuer à la soutenir et la renforcer. Elle est l'incarnation de l'équilibre entre la puissance de l'État et l'exercice des libertés individuelles et collectives, mais aussi le garant de l'effectivité de la règle de droit et du respect, par chaque individu, des droits et de la propriété d'autrui.

 

La justice ne peut pas et ne doit pas être distribuée au gré de surenchères médiatico politiques ou des besoins contingents de quelques personnes, quel que soit le bord ou elles se situent. Elle doit demeurer intransigeante par rapport aux principes qui ta gouvernent,

 

Elle ne cherche ni à plaire, ni à déplaire et ne saurait non plus être intimidée ou distraite. L'obéissance à la loi et le respect de l'autorité de l'État sont des exigences aussi légitimes que l'est l'exercice des libertés et des droits fondamentaux. L'un ne peut pas aller sans l'autre et nul doute que la Justice saura veiller à leur effectivité sans que cela ne puisse, d'une quelconque manière, compromettre l'ordre public ou la tranquillité des citoyens. Cet équilibre est une quête permanente et la Justice est le seul mécanisme apte à en

garantir la pérennité.

  1. Touré 

 

Ils sont définitivement entrés, après de bons et loyaux services, dans le cercle fermé et restreint des serviteurs émérites, reconnus par la République. Avec un sens élevé du culte du travail, ces récipiendaires ont brillamment marqué leur passage dans l’exercice de leur travail, avec de très grandes qualités professionnelles qui ont fini de faire d’eux des modèles. Parmi ces distingués, figure le Secrétaire Général de la LONASE, M. Mamadou Gueye, qui a reçu, ce mardi 28 juin 2022, des mains du Ministre des Finances et du Budget, M. Abdoulaye Daouda Diallo, l’insigne de décoration au Grade de Chevalier dans l’Ordre national du Lion. Une consécration que l’Etat décerne aux valeureux fils de la République qui, il faut le rappeler, ont bien servi la nation. Et avec ses 33 années passées au service de la LONASE, M. Mamadou Gueye, Expert Comptable chevronné se réjouit d’avoir rehaussé, avec cette reconnaissance de la République, l’image de l’institution financière.

1989 – 2022, que de va-et-vient, 33 ans durant, entre le domicile familial et les bureaux de la LONASE. C’est en effet un véritable parcours du combattant que le Secrétaire Général de la société nationale de jeux a su gravir, après avoir passé toutes les étapes jusqu’à cette station. Un destin qui n’était pas du tout évident, si Mamadou Gueye n’était pas armé de courage, d’abnégation et de volonté de servir sa patrie. Bénéficiant avant tout d’une éducation basée sur des valeurs cardinales que ses parents ont su lui inculquer, et qui lui ont servi de leviers pour rebondir à chaque fois qu’il était desservi par Dame nature, ce Cadre de haut niveau, qui voit aujourd’hui ses efforts récompensés par l’autorité Suprême, se remémore : «J’ai été inspiré par un homme qui se trouve être mon papa, qui avait érigé le travail en culte et qui nous a formaté dans cette voie. Et donc, je me suis efforcé à travailler sans pitié de ma personne. C’est ainsi que j’ai servi la LONASE, avec beaucoup d’abnégation et de loyauté», se souvient encore l’ancien agent comptable qui est passé chef de Section Paie, avant d’atterrir à Ziguinchor comme Chef d’Agence.

(Sg avec sa brave maman)

 

Après deux années passées dans le Sud du pays, retour à Dakar pour continuer la comptabilité comme Chef de service, puis chef de Département, avant de bénéficier d’une promotion pour occuper le poste de Directeur financier et Comptable. «Je suis nommé après Conseiller», vit-il encore. C’était une manière de vivre une petite pause, mais après 6 mois de «flottement» qui ne lui ont pas empêché de maintenir la cadence, l’horizon s’éclaircit pour ce cadre émérite. Des propositions s’ensuivirent venant de l’ancien Directeur général, jusqu’à l’occupation, aujourd’hui, du stratégique poste de SG de la LONASE. Mamadou Gueye partage, aujourd’hui, ses sentiments de reconnaissance aux parents d’abord, et au Directeur Général Lat Diop pour la confiance de l'avoir maintenu à ce poste après sa nomination comme le nouveau patron de la LONASE. "J'ai aussi le sentiment heureux de servir de modèle à ma famille, et je peux être cité de référence pour les jeunes sénégalais au regard de mon cursus en tant que technocrate. Mais le seul message que j'aimerai lancer à la jeunesse de mon pays, c'est ceci: «Gardez votre dignité en toute situation, armez-vous de courage et battez-vous, même s’il faut vendre du ‘’ngoogn’’ (foin : ndlr)».

 

(Sg avec son épouse valeureuse)

 Le Ministre des Finances et du Budget a clos son discours préparé à cette occasion par cette marque de reconnaissance : «je rends hommage à vos familles respectives, mais particulièrement à vos épouses qui ont su faire preuve de patience», a déclaré Abdoulaye Daouda Diallo.

 

 

 

Il y en a qui dissertent sur des sujets qu'ils ne maitrisent pas, et qui ne prennent pas la précaution de demander. C'est le cas de Barthélémy Diaz qui, lors d'une émission retransmise sur la TFM, a carrément offensé la forte communauté musulmane du Sénégal par des propos aussi blasphématoires. Ce qui a fait réagir Ousmane Faye de Manko Wattu Sénégal (MWS) qui tient à alerter: '' il est temps que les Sénégalais se rendent compte du caractère dangereux de ce type et de ses acolytes qui sont dans l'opposition. Tout le monde constate que depuis un certain temps, ils se distinguent par des insultes et n'épargnent pas la croyance des Sénégalais. Ils pensent que seule la rébellion dans leur comportement et dans leur propos peut leur permettre d’arriver à leur fin. Les Sénégalais sont avertis et, pour plus de paix et de stabilité, ils doivent les écarter de toutes les compétitions politiques ''.

 

Barthélémy Diaz a gravement fauté et cela devrait faire réagir toutes les sensibilités de ce pays, notamment les organisations des droits de l'homme, telles que Amnesty International ou Samm Jikko Yi, qui doivent lui demander des excuses publiques. Mais le leader de MWS se veut clair : '' ç'aurait été dans un autre pays, l'irréparable pourrait se produire. Nous musulmans, nous savons parfaitement l'importance du Coran dans notre vie d'ici bas et dans l'au-delà. Qu'un ignare comme lui Barthélémy tienne des propos qui touchent à notre croyance suffit pour que les Sénégalais dans leur globalité lui retirent son statut de maire de la capitale d'un pays à 95% de musulmans. Il vient ainsi de prouver son incapacité, en tant que candidat à la députation qui doit être durement sanctionné, à représenter le plus petit citoyen à l'Assemblée nationale'', dézingue Ousmane Faye. Qui interpelle encore l'opinion que les propos de Barth sont d’une rare dangerosité qui ne doivent pas passer par pertes et profits '. Mais, se réjouit-il, ''heureusement que le Président Macky Sall sauve la face pour avoir été adoubé à Tivaoune. ''le Khalife général et la famille de Mame Seydil Hajji Malick Sy dont on fête le centenaire de sa disparition, lui ont déroulé le tapis rouge. ''Cela suffit amplement comme message, comme quoi c'est des personnes valeureuses qui ont salué le comportement de respect, de tolérance et de pondération du chef de l'État'', a dit Ousmane Faye lors d'une rencontre avec des compatriotes à Levallois-Perret en banlieue parisienne.

 

 

 

Primac est une association composée de cadres et de personnes ressources qui s'engagent à mettre fin aux difficultés que rencontrent la commune de Fann-Amitié-Point E. L'annonce a été faite lors de la Une cérémonie de lancement de ses activités s’est tenue afin d’en porter l’information aux partenaires et aux populations

 

Plusieurs autorités et responsables politiques étaient présents. Et le président de Primac de déclarer que, " ses camarades sont soucieux des problèmes que rencontrent Amitié Fann Point E. C'est ce qui fait que la structure a été mise sur pieds pour mieux s'acquérir des doléances des populations de la cité. Ces amis useront de leurs forces pour trouver des moyens financiers dans le but de dérouler leurs projets de développement pour la commune. Mener des actions citoyennes dans le domaine de la santé et l'environnement fait partie du programme composé de trois axes. Il s'agit d'apporter secours aux personnes, d’assister les populations en situation précaire et informer l’opinion par rapport à certains problèmes. Aucun domaine ne sera négligé", dira-t-il.

 

D'autres actes vont être menés en dehors de la commune pour soutenir les personnes qui sont dans le besoin par les membres de Primac. Pape Mael Diop ainsi que le maire Palla Samb et d'autres responsables étaient présents. Pour Palla Samb," l'engagement des jeunes de sa commune est noble. Il ne ménagera aucun effort selon les moyens de bord dont la commune dispose pour les accompagner. Primac sait prendre ses responsabilités. Ses membres veulent participer au développement de la municipalité. Heureusement qu'ils ont compris et aujourd'hui ils sont mobilisés et depuis qu'ils sont sûrement en train de faire des propositions pour sortir la localité de l'ornière. Raison pour laquelle je suis présent aujourd'hui, seulement pas pour apporter mon soutien mais pour apporter en tout cas celui du conseil municipal, car on a l'habitude de l'affaire", explique monsieur Samb.

 

 

Un mois après mon installation à la mairie de Thiaroye Gare,  j'ai eu  une première offre de cadeau : Un 4/4 Ford d'une valeur de 15 millions et une importante enveloppe financière. Mais derrière, ce cadeau insinue aussi que l'auteur te donne par la main droite et le retire par la main gauche, avec les marchés fictifs et l'exclusivité de gagner tous les marchés comme auparavant. J'ai décliné l'offre.

Deuxième proposition de certains collecteurs (Diouti), chaque week-end 500 000 F, équivalant à 2 millions FCFA par mois, des collecteurs dont le salaire ne dépasse pas 150 000 FCFA par mois. La commune perdait au minimum 100 millions F par an, j'ai relevé tous les collecteurs de leur poste après leur offre. Je peux énumérer encore d'autres offres.

J'ai licencié des personnes qui ont des CDI, mais n'ont jamais mis les pieds à la mairie avec des salaires de cadres (emplois fictifs). En 5 mois de gestion, si  je n'avais pas pris l'option de rompre ce système, je  peux me retrouver facilement à l'heure actuelle entre 30 à 50 millions FCFA.

 Je partage les mêmes convictions du maire de Thiès Babacar Diop "L'homme n'est rien. Nous finissons toujours au fond d'un trou, laissant amis et parents en pleurs. Je souhaite à ma mort qu'on dise : il aimait son pays, il a vécu en se rendant utile plutôt qu'il était riche. Je souhaite retrouver mes futurs compagnons dans la dignité d'homme comme je suis né dans cette dignité. ''

 

La sortie de Mélenchon et de Faure, taxant le Sénégal de «Démocratie piétinée», à cause du professionnalisme montré par nos services de renseignement,  qui ont pu déceler, à temps, des risques de troubles graves à l’ordre public, permettant ainsi, à l’Autorité préfectorale, d’interdire le rassemblement du 17 juin 2022 à Dakar, et de mettre en branle les forces de sécurité publique qui ont pu étouffer, dans l’œuf, le projet d’insurrection auquel avait appelé une  partie radicalisée de l’opposition politique Sénégalaise, qui organisait ce rassemblement, mérite d’être commentée !

 

En effet, leur hypocrisie saute aux yeux, puisqu’ils n’auront jamais cautionné dans leur pays qu’une organisation politique, syndicale, ou de la société civile, au nom de la Démocratie, et des libertés démocratiques, fasse un appel public à manifestation pour aller déloger le Président Macron ! Au contraire, ils seraient en première ligne pour non seulement condamner pareil appel, mais aussi, pour exiger leur arrestation préventive, pour éviter des massacres, en appelant à un Front Républicain, contre l’anarchie !

 

Mais puisqu’il s’agit de pays d’Afrique, notamment d’Afrique Francophone, particulièrement du Sénégal, ce qu’ils jugent inadmissibles chez eux, est normal chez nous ! Pourtant quand le Canada interdisait le mouvement des Camionneurs et dispersait leur rassemblement par les forces de l’ordre, ils n’ont pas osé taxer la Canada de «Démocratie couchée» ! Ils ont osé le faire au Sénégal, à cause de leur mentalité néocoloniale, qui leur permet de dicter ce que le pouvoir politique Sénégalais devrait faire  dans une crise politique !

 

Ils s’en prennent à l’arrestation des organisateurs, publiquement connus, de ce rassemblement, dont des Députés de l’opposition et de gens de la société civile ! Pis encore, ils exigent leur libération, et l’arrêt des poursuites en cours pour trouver et neutraliser les terroristes encore en  cavale ! Ce qu’ils n’auraient jamais exigé en France ! Ils n’arrivent pas encore à comprendre que la République démocratique et l’Etat de Droit ne sont ni le monopole exclusif, encore moins l’apanage de la France ! Ils devraient savoir qu’en matière de Démocratie, le Sénégal n’a rien à apprendre de la France !

 

En effet, que ce soit sur la parité dans les assemblées électives, ou l’inclusivité dans le domaine électoral, à travers le parrainage citoyen, contre leur parrainage par les Elus, le Sénégal est en avance sur leur pays ! Ainsi, notre système politique, est plus pluraliste et plus représentatif des courants d’opinions chez eux. Donc, notre République démocratique est plus ancrée sur le suffrage universel et diversifié des citoyens, que chez eux !

 

Républicains, et Démocrates sénégalais, disons NON au néocolonialisme rampant, sous le manteau de la Gauche française, des Mélenchon et Faure !

 

Ibrahima SENE PIT-SENEGAL

 Dakar le26 juin 2022

 

Du haut de ma petite expérience politique amassée depuis mes premiers pas dans le mouvement MDJ de la LD/MPT  au collège, où on taquinait des ouvrages pas faciles à déchiffrer, tels que les écrits des bolchéviques,  en passant par le capital et d’autres lectures, notamment sud américaines, on était convaincu que la révolution des masses populaires était possible.  

Dans ce cheminement militant de jeunes collégiens, la culture et la conscientisation des masses semblaient être les clés pour un nouveau Sénégal.  Plus tard, l’entrisme avait adouci nos leaders de l’époque, et nous avions changé de cap.  A l’université, la soif de changement nous amena à fréquenter les libéraux, jusqu’à l’avènement de l’alternance en 2000. La pratique du pouvoir dilua notre libéralisme dans une forme de socialisme, dictée par les urgences de l’époque. Et c’est dans cet esprit qu’Idrissa nous disait,  fort justement, que la propriété privée n’exclut pas le sens de la justice sociale. C’est même une question d’intelligence relationnelle et de sécurité.  C’est l’avènement d’une sorte de libéralisme social.  Il fallait laisser la propriété privée et la liberté individuelle s’exprimer, mais, il fallait surtout construire et répondre aux exigences du parti  de la demande sociale. 

Cette politique s’est accentuée depuis 2012 avec un fort penchant vers la satisfaction des besoins du monde rural,  avec des programmes comme le PUDC, l’éducation,  l’université,  l’hydraulique etc.  Brutalement, et sorti des lambris d’une bourgeoisie débridée, on nous propose un cocktail jusque là illisible, avec un vocabulaire approximatif et populiste.

IL FAUT CHANGER LE SYSTÈME 

Plusieurs questions nous envahissent.  De quel système parle t- on ?  Ceux qui en parlent, sont – il vraiment en dehors, où des maillons de ce système ? Quel système  faudrait- il mettre en place ? Et pour quels résultats ? Autant de questions qui demeurent  sans réponses. Nous sommes à notre sens devant une ROUGEOISIIE.  Un mélange  qui tente malencontreusement de mixer une bourgeoisie oisive, issue du SYSTÈME, avec une sorte de communisme réactionnaire.

Ce cocktail, sans mode de pensée opératoire, qui surfe sur le côté sombre de la société de l’information, ne pourrait constituer une offre idéologique sérieuse. Et c’est là où il faut agir. Mao disait : ‘’il n’y a pas d’action sans pensée, car la ligne n’est pas claire’’. Ce qui explique justement  l’arrogance dans le verbe,  car les arguments ne suivent pas. On doit revenir aux fondamentaux, et la prochaine assemblée devrait réfléchir sur ces aspects essentiels de la démocratie. Ils fondent véritablement la vraie citoyenneté et l’engagement politique des plus jeunes.  Sans cela, notre projet du commun vouloir de vie commune est sérieusement menacé. Ce qui fait un citoyen accompli,  c’est la capacité de discernement, à défaut, on court le risque de toujours recommencer à zéro. 

 

Dr Bassirou NIANG,  INTELLIGENCE RÉPUBLICAINE

 

L’omnipotence est propre à Allah, celui qui s’en proclame se berce lui même dans une marée de mensonges. C’est l’histoire d’un lutteur devenu promoteur qui veut garder la couronne à tout prix. Malgré lui, la saison est ouverte, il n y’a plus d’excuse. Malheureusement pour lui, dans l’arène, voilà le jeune Tyson fort comme un lion et robuste comme un éléphant avec des leaders décomplexés, prêts à en découdre pour restaurer les droits et redonner l’espoir d’une arène saine comme vantée l’eau de kirène. 

 En sus, de jeunes sirènes, loin du sentimentalisme et de la convoitise d’un abri provisoire de richissimes coffres-forts cadenassés à bord des villas de marbres aux Almadies, qu’on croirait être à Rome où à côté des grands barons, avec une beauté sublime, sont mêmes des défenseurs de Tyson malgré une grave accusation sur la dignité d’une semblable qui n’en mérite pas le moindre degré. Le promoteur-lutteur veut choisir son adversaire, l’arbitre, ses propres média pour la publicité, la pelouse et les spectateurs…

 Les sages ont dit le non doit pour écarter un-face-to-face. 

 Les griots Père B et autres savent que ce sont les gris-gris de Tyson qui font peur à Ndafa, il va devoir supporter le tapage et autres manifestations pour accepter de se battre parce que le trône de Gal Gui attend un successeur digne de le porter. Bref, une liste de titulaires avec des noms connus partout au Sénégal peut faire peur. Un Weur-Ndonbo scellé à la dernière minute entre Yewwi et Wallu peut faire mal. Du moins ça sonne bien à l’oreille pour laisser une réserve car il y’a politiciens et hommes politiques. Pour ces élections législatives, il faut une liste de titulaires et de suppléants. La liste de suppléants est prévue au cas où un suppléant ne peut pas suppléer un suppléant en principe. C’est comme dans une équipe de foot où l’on ne trouve que des remplaçants. Illogique que cela puisse être. 

Le promoteur-lutteur pense bien pouvoir réussir son coup en imposant la force. Son arsenal de combat est exposé ça et là comme si cette force n’émanait pas du peuple, que ces fils qui défendent les couleurs du Sénégal ne sont pas nés dans nos villes, nos villages. Que cet argent qui les paie n’émane pas du peuple qui cotise dans la caisse commune. Il oublie que lui même n’avait pas la force quand il était malmené jusqu’à ce qu’il se réfugie en pleurs auprès du khalife. Je parie que cette dictature ne passera pas, illogique, inimaginable dans une arène de gladiateurs qui ont su vaincre et perdre dans la dignité, qui ont su féliciter leurs adversaires et partir à pont.

Le Sénégal est dans un tournant décisif, toute personne qui se tait reste complice.

Il faut oser dire la vérité au PR, que lui ce qui le grandit c’est de laisser toutes les représentations politiques qui ont franchi le cap des parrainages de participer aux élections législatives. Si le principe de l’élection c’est la participation, que tous les partis soient représentés. Je suis dans la coalition «Les Serviteurs/MPR» tête de liste du département de Diourbel mais, je soutiens Yewwi Askan Wi, Wallu Sénégal dans leur combat pour le règne de la démocratie, dans la paix et le respect des institutions. Je ne cautionne pas la violence, je suis pour le triomphe de la vérité, de ce qui est juste, normal et bon, comme le disait Kéba Mbaye dans son discours «l’éthique aujourd’hui». Je suis contre un troisième mandat, mais je n’ai rien contre le PR, c’est un homme bon qui est tout simplement mal conseillé.

Seule la lutte libère et quand les casseroles vont vibrer au rythme des bongos, que la danse diabolique prend l’arène et que les supporters en chaleur se déchaînent sur le sol et sous le soleil ardent, c’est là que nous verrons un autre Sénégal. Il faut arrêter quand il est temps. De l’arène du côté de Diourbel, nous avons des poltrons qui roulent avec le pouvoir et ne piperont pas mot pour garder leur petits privilèges…De Diop à Tall, vous êtes tous pareils. Le Maire-maçon est parti en Allemagne sous une couverture  souple pour narguer un peuple émotif, qu’il mette son manteau avant que le froid lui ventile la cervelle, s’il en a. Il y aura des élections et tout le monde sera au rendez-vous et que le meilleur gagne.  Qu’Allah protège le Sénégal avec nos khalifes bien aimés, régulateurs de la paix sociale.

 

CMU
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