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Malal DIALLO Pithi

Malal DIALLO Pithi

Les propos du leader de Pastef, lors de son passage dans la banlieue dakaroise, contre le Directeur de la Lonase résonnent encore mal dans les oreilles des jeunes de Guédiawaye. Qui, non seulement n’acceptent plus pareils écarts de langage, mais affichent une forte détermination à barrer la route à Ousmane Sonko. Dans ces moments de pré campagne pour les législatives, leur leader, Paul Ndiaye, et ses camarades lui déclarent persona non grata dans le territoire de Guédiawaye, même en période de campagne qui démarre le mois prochain.

Après Lat Diop qui, depuis Mbacké où il se trouvait les semaines dernières, pour alerter Ousmane Sonko sur ses propos discourtois et indécents à son endroit, ses jeunes sont montés au créneau ce jeudi pour montrer plus de virulence. «On n’arrive pas à digérer l’indiscipline et le culot de l’adepte des salons de massage. Mais qu’il se le tienne pour dit : A Guédiawaye, les populations sont connues pour leur discipline et leur bravoure. Et tant que tu franchis ce territoire dans le respect de ses citoyens, rien à dire. Lat Diop fait partie des responsables sur qui les jeunes portent beaucoup d’espoir. Il est d’une grande ouverture d’esprit et nous aide beaucoup. C’est pourquoi nous portons ses combats et quiconque s’aventurera à lui regarder d’un œil alerte, nous trouera sur son chemin»,  préviennent ces jeunes enragés contre le leader de Pastef.

Le nouveau maire de Guédiawaye en a pris pour son grade. «Ahmet Aidara n’a encore rien fait depuis plus de 100 jours qu’il est à la tête de la Ville. Nous l’attendons au tournant et nous lui lançons le message suivant : Si tu veux vraiment travailler et être au service des populations qui t’ont mis là où tu es aujourd’hui, de grâce, associe les jeunes. Ils sont plus de 250 à avoir perdu leur boulot dans les travaux du FERA, alors que tu as toujours décrié le chômage. Mais apparemment, tu sembles te préoccuper de tes affaires personnelles au détriment de ceux qui attendent encore des réalisations de ta part. Arrête de jouer et mets toi à leur service, tu es un vrai opportuniste et nous craignons de regretter ton arrivée à la municipalité de Guédiawaye qui mérite plus et mieux que toi», dézingue Paul.

Elles sont certes des personnes vivant avec un handicap qui, à tout moment de leur vie, peuvent faire face à un besoin de sang, mais cela ne les empêche d’en donner elles-mêmes, pour aider les structures de santé à remplir les poches vidées par la forte demande. Pour la 6eme édition de leur activité annuelle don de sang, la section féminine du mouvement des handicapés républicains se met dans le social. Une occasion pour le bureau de revenir sur les enjeux des prochaines élections législatives pour lesquelles ils ont récolté plus de 1000 parrains.

 

70 poches de sang ont été remplies pour cette édition. ''Moins que les années précédentes'', regrette Mme Aminata Diallo pour qui ''l'acte est d'abord à saluer. Mais il faut dire que l'avènement de la pandémie avait freiné le dynamisme que cela avait suscité. Ainsi après deux ans de trêve, nous sommes heureuses de procéder à la première du genre post-Covid et la 6ème depuis l'avènement du Président Macky Sall du pouvoir. D'ailleurs, c'est l'occasion de le remercier pour les multiples efforts consacrés à la prise  en charge des personnes vivant avec un handicap, dont la mise en place de la loi d'orientation sociale, les cartes d’égalité des chances, l’emploi des membres à hauteur de 15 % dans les structures publiques’’.

 

 

La vulnérabilité des économies africaines ainsi que leur forte dépendance vis-à-vis du reste du monde constituent deux points ayant fait l’objet, mardi, lors du 1er forum économique de l’intégration économique, d’échanges sur des questions qui portent sur l’avenir et le développement du continent noir. Une rencontre présidée par le Ministre de l’Economie, du Plan et de la Coopération Internationale, M. Amadou Hott qui, pour plus de résilience des économies africaines, appelle à une production locale accrue et un renforcement des échanges ‘’intra muros’’.

 

«L’intégration économique à l’heure de la Zone de libre-échange continentale africaine (Zlecaf)» a été le thème pour ce premier forum qui a vu la participation des  partenaires du Sénégal tels que la Cedeao, l’Uemoa, la CEA, entre autres. Mais, il faut rappeler que depuis l’entrée en vigueur le 1er janvier 2021 de l’accord portant sur cet instrument conçu pour concrétiser un modèle de développement de la vision panafricaine, le continent noir s’est accordé à davantage inciter les états à s’industrialiser, à accroitre le commerce intra-régional, et à créer plus d’emplois à travers notamment le développement des petites et moyennes entreprises (PME).

 

Le Ministre Amadou Hott saisit la balle au rebond pour dire que «ces petites unités de production, représentant plus de 90% des entreprises et employant près de 60% des travailleurs, en majorité des femmes et des jeunes, sont l’épine dorsale de l’économie africaine. Cependant, leur contribution à la formation du PIB du continent, demeure faible en raison principalement de leur caractère informel prédominant et des difficultés d’accès au financement». Le mot est lâché. Ainsi, déclare le Ministre Hott, «pour relever ces défis, nous devons accorder plus d’attention au secteur privé, par un meilleur accès au financement, afin qu’il puisse jouer pleinement son rôle dans le processus d’intégration régionale».

 

Car, ajoute-t-il, «quoi que l’on puisse dire, «le défi de l’Afrique reste aujourd’hui la mobilisation des financements pour construire des infrastructures». Tout de même, il convient, à cet égard, de poursuivre les politiques visant l’amélioration de l’environnement des affaires en accordant une place de choix aux entreprises régionales dans la réalisation des projets communautaires, notamment à travers le partenariat public privé, et le renforcement des dispositifs de soutien des PME/PMI en vue d’améliorer leur compétitivité. Le Sénégal et ses partenaires restent alors convaincus qu’une intégration régionale dynamique et cohérente constitue la réponse appropriée à ces difficultés, et demeure un instrument essentiel qui pourrait aider l’Afrique à accroître sa compétitivité, diversifier sa base économique.

Jamais dans l'histoire, les syndicats d'enseignants du Sénégal n'ont reçu autant de faveurs du gouvernement. En effet, pour une reprise normale des cours, après deux à trois mois de grève, il a fallu à l'État, beaucoup de concessions et des sacrifices énormes pour satisfaire les doléances des enseignants. Donc, c'est une grande surprise d'entendre certains d'entre eux accuser le Ministre des Finances et le Directeur Général du Budget, des hommes d'État émérites qui ont fini de faire l'unanimité autour de leur probité morale et intellectuelle, mais aussi des autorités dévouées pour la cause de l'Etat et qui sont promptes à satisfaire les préoccupations des Sénégalais et des organisations et autres structures nationales.

 

D'où  la réaction de Moustapha Ndiaye, président du Collectif des jeunesses Mackystes : ''C'est inacceptable ce que les syndicats d'enseignants veulent véhiculer comme information. C'est à la limite stupide, mensonger et indécent, car on ne comprend pas pourquoi, après autant de sacrifices consentis sur le budget national et de temps consacrés à eux, avec des réunions interminables, ils reviennent encore pour des détails relatifs à une histoire d'impôts qui rabaisse leur degré de patriotisme'', dézingue le président des jeunes Mackystes.

 

Réunis autour du Collectif des jeunes de la grande majorité présidentielle, les jeunes du Président Macky Sall se désolent de l'attitude de certains enseignants. ''Sils sont sérieux et véridiques, ils n'ont qu'à sortir les accords signés pour permettre aux Sénégalais de voir que rien a été violé de ce qui a été signé entre le gouvernement et leurs syndicats.

 

Par contre, s'il s'agit de l'impôt sur les revenus, là vraiment, il ne doit pas y avoir de débat. L'impot sur les revenus doit se payer et cela n'a rien à voir avec les accords signés'', réagissent les camarades de Moustapha Ndiaye. Selon eux,, ''il y a lieu de féliciter Saourou Séne et Abdoulaye Ndoye, des syndicalistes qui sont conscients que les bons citoyens doivent payer les impôts. Ils n'ont pas manqué de le faire savoir lors d'une déclaration à la presse, une manière de prévenir leurs camarades qui, aujourd'hui, accusent à tort le Ministère des finances et le Directeur Général du Budget qui, il faut le dire et le saluer, ont fait beaucoup de sacrifices pour parvenir à signer ces accords qui sont en train d'être appliqués à la lettre''. Les jeunes Mackystes fustigent cette attitude qui dégrade l'image de certains enseignants qui, pourtant, savent bien que toutes les augmentations sont fiscalisées, et que seule l'indemnité de logement est payée net d'impôts.

 

Après leur conclave à Saly, les Toastmasters du Cameroun, de la Guinée, du Burkina, etc., étaient en conclave hier mardi pour une importante réunion à Dakar. L’objectif était surtout de rencontrer les leaders du pays de la Téranga, tout en procédant à des échanges sur des perspectives d’agrandissement des clubs et des secteurs Toastmasters dans les quatorze (14) régions du Sénégal. D’où la naissance d’une Division au Sénégal qui sera chargée de former à son tour d’autres leaders en vue d’élargir le cercle des Toastmasters.

Toastmasters est une organisation dont le but est d’aider ses membres à se développer et à disposer des aptitudes managériales dans différents domaines (en communication, leadership, activités socioéconomiques de manières générales). Chaque année, ses membres se retrouvent dans un pays donné appelé un District, que ça soit au niveau de la zone Afrique de l’ouest ou de l’Afrique centrale, ou ailleurs. C’est dans ce cadre que le Sénégal a accueilli les délégations venues des autres contrées du continent pour la tenue de leur conférence annuelle.

Au cours de la conférence de Saly, de nouveaux dirigeants ont été élus et le Sénégal s’est vu confier une division qui sera chargée de former les Toastmasters d’ici et de la Gambie. Ils seront 12 clubs qui vont, dans le cadre de leur fonctionnement, faire du ‘’pays de la Téranga’’ un Toastmaster fort de la sous-région. Après échanges entre les différents membres, «le Sénégal s’est vu rehausser d’une subdivision à part entière du District qui compose la Cedeao. La réunion de ce mardi visait à recueillir les avis des responsables de cette Division, faire part de leur vision et comment ils compteront s’y prendre par rapport aux prochaines activités».

 

 

La multinationale Endeavour Mining cooperation, est présente en Afrique de l’Ouest où elle est leader, notamment au Sénégal avec la mine d'or de Sabodala-Massawa, 4 mines au Burkina Faso, une mine et un projet de développement en Côte d'Ivoire. Elle produit en moyenne 45 T d'or par an. Sur le plan social, Endeavour a une fondation appelée "la fondation Endeavour Mining" qui porte tout ce qui est projet de développement durable, les projets en terme de contribution socio-économique au niveau des partenaires.

Lutte contre la désertification : La Grande Muraille Verte et  SGO ont signé un protocole de 40 millions de FCFA.

C'est cette fondation qui a initié et discuté avec l’Agence Sénégalaise pour la reforestation et la grande muraille verte. Cette discussion entre dans le cadre, non seulement  du projet de reforestation de l'environnement et de la biodiversité, de la création d'eco-village, des écosystèmes, mais aussi des activités de résilience et de préservation des moyens de subsistance. Ainsi, selon Abdou Aziz Sy, le directeur général de la SGO, "ce que nous faisons ici entre en droite ligne de nos objectifs d’être des mines avec de l’énergie verte parce que nous souhaitons limiter, réduire notre empreinte carbone. C'est donc très important de pouvoir développer des projets dans le sens la de re-végétation », a-t-il souligné.

Donc l’Agence panafricaine de la muraille verte avec sa composante sénégalaise et Sabadola Gold Operation ont signé le Mardi 17 Mai 2022, dans le cadre de la COP, un protocole qui est composé d’un budget de 40 millions de FCFA, « pour aider donc dans la reforestation au niveau des zones cibles de la grande muraille verte et pour le Sénégal en fait notre priorité serait si possible de le faire à Kédougou » a annoncé MSY.

 Lutte contre la désertification : La Grande Muraille Verte et  SGO ont signé un protocole de 40 millions de FCFA.

Mais « en fait Kédougou ne se trouve pas dans le couloir de la grande muraille verte, qui est plus proche de nous, c’est la région de Bakél donc c’est pour cela que nous avons ciblé Bakel dans ce projet-là de 100 ha et nous allons impliquer les collectivités territoriales qui sont dans cette zone où l’on va planter des arbres pour participer à freiner l’avancée du désert avec des arbres à valeur économique et développer les communautés, et que ces arbres aient une valeur ajoutée afin que les communautés puissent elles-mêmes s'améliorer et s'approprier ces projets… », a-t-il ajouté.  

Plus fourbe et trompeur que Déthié Fall dans l’arène politique n’existe pas au Sénégal ! Voilà un gosse qui ne connaît rien du droit, et qui, en cherchant à cacher ses erreurs commises dans la confection des listes de Yewwi à Dakar, veut semer le doute dans la tête des sénégalais. Pour le leader de Manko Wattu Sénégal (MWS), «Il n’y arrivera pas. Mieux, il faut que les sénégalais ne perdent pas de vue que les gars de Yewwi sont dangereux. Si on ne fait rien pour arrêter leurs turpitudes, ils risquent d’embraser le pays. Après les erreurs fatales qu’ils ont commises, et qui les écartent de la compétition du 31 juillet prochain dans le département de Dakar, leur seule préoccupation, aujourd’hui, est de tout faire pour invalider la liste de Benno, mais ils ne l’auront pas, du simple fait que la loi est claire à ce sujet concernant les listes suppléantes».

 

Pour Ousmane Faye, «ce sont de grands falsificateurs, animés d’un orgueil débordant. Voilà une raison de plus de veiller sur leurs agissements dangereux. S’ils savaient que leur mandataire Déthié Fall est si nul qu’un ignare, ils ne lui auraient pas confié une once de responsabilité dans leur coalition. Après ses erreurs et ses mensonges flagrants, le voilà qui se rabaisse pour trouver un compagnon hors de la course à l’hémicycle». Poursuivant, le leader de MWS le renvoie à ses débuts en politique. «Je lui conseille d’aller revoir ses cours de droit ou même de relire simplement la loi électorale, s’il ne veut pas paraitre ridicule. Déthié doit savoir qu’il ne peut aucunement influer sur la décision du Conseil Constitutionnel qui dira le droit dans toute sa véracité d’ici la fin de la semaine prochaine. Nous sommes devant une situation où tout est clair, Benno peut s’appuyer sur la non-exigence d’avoir une liste suppléante complète. En effet, la loi électorale permet à toute liste de ne pas avoir un nombre complet de (53) sur la liste suppléante. Donc souligner des semblants de non respect de la loi sur la parité dans ce cas de figure ne vaut absolument rien du tout. Qu’ils aillent relire les textes, c’est mieux que de chercher à amuser la galerie pour cacher leur incompétence et tromper les gens».

 

«Cependant, le constat est que ces irrégularités sont aussi notées dans des listes comme celles de Wallu du Pds, ou même d'autres  qui, ont connu, dans certaines collectivités, des erreurs moindres. Mais, finalement, l'autorité leur a ordonné de procéder à des corrections pour ensuite les valider. Donc il n'y a pas lieu de s'alarmer comme le font les gars de Yewwi qui doivent simplement accepter leurs irrégularités. Donc tout ce bruit orchestré vise simplement à saboter ces élections dont ils savent qu'ils les ont perdues, et que leur projet de cohabitation est dans l'eau», analyse Ousmane Faye.

 

C est une des voix autorisées à Kaolack sa ville de naissance. Mohamed Rajab, ancien judoka de haut niveau (il a été champion du Sénégal et participe à de nombreuses compétitions), jouit donc d’une aura puisée dans le milieu associatif.

Son entrée dans la vie politique s’est accompagnée d un blanc seing par les autorités locales. Il crée l’Union Démocratique Républicaine et tance les leaders locaux. Personnage insaisissable, il peut se retrouver avec la majorité et claquer la porte le lendemain pour rallier l’opposition.

Véritable stratège, sa capacité de nuisance reste intacte, surtout qu’il est courtisé par tous les responsables. Très au fait de la donne actuelle, il alerte le président Macky Sall sur les dangers qui guettent la coalition Benno Bokk Yakaar en prédisant une déculottée mémorable

Principaux accusés : Modou Ndiaye Rahma pas au niveau pour faire face, et Pape Demba Bitèye, loin des préoccupations des populations. Sur la base de la non-implication des vrais leaders solidement implantés dans le Saloum profond, il dénie à ces militants de la dernière heure, le droit de diriger la coalition Benno Bokk Yakaar. A Macky Sall de prendre ses responsabilités a t il conclu.

 

Gabrielle Kane : "Il est temps de traiter des questions d'humiliation dont les femmes sont victimes..." 

 

En conférence de presse, Gabrielle Kane qui est connue par son engagement pour défendre la cause des femmes, est revenue sur plusieurs sujets dont ses paires ont été victimes. Elle appelle à la justice sénégalaise au respect des droits des femmes. 

 

Gabrielle Kane reste formelle sur des sujets liés à la protection des femmes. Lors d'une rencontre avec la presse pour aborder sur la maltraitance des femmes, elle déclare que, " la justice est parfois négligeante voire même complice surtout quant il s'agit de traiter des questions liées à la maltraitance des femmes". Gabrielle Kane est Présidente de l'Association d'Appui et de Protection des Femmes Victimes de Violences dont les droits droits sont souvent bafoués. Madame Kane accentue son débat sur deux cas: l'affaire de Léna Tine disparue depuis 2019 et le sort d'Aicha Diop répudiée par son mari après avoir consommé le mariage sur motif qu'elle n'était pas vierge. Gabrielle déplore la lenteur de l'affaire Adji Sarr / Sonko. Elle s’en est ouvertement pris à la justice sénégalaise. Selon elle, " la justice encourage ceux qui maltraitent et qui violentent les femmes. La justice m’a condamnée pour diffamation pour avoir soutenu la dame Aïcha Diop dans l’affaire qui l’oppose à son ex-époux qui l’a répudiée pour avoir constaté que Aïcha avait perdu sa virginité avant leur mariage", à t-elle dit. À travers ses propos, " l'avocate" des femmes estime que, " la justice sénégalaise, en terme de défense des droits de la femme à travers ces jugements a donné un permis d’humilier les femmes de notre pays. Le juge qui avait rendu le verdict en faveur de Souleymane Ciss dans l’affaire qui l’oppose à son ex-épouse Aïcha Diop vient de délivrer un permis d’humilier aux hommes". Elle rejette la décision du Juge. Toujours est-il que pour elle, "c’est une honte pour la justice sénégalaise parce qu’elle est très rapide dans certains dossiers mais qu'à même il est temps de traiter des questions d’humiliation dont les femmes sont victimes. S'agissait du droit de la femme, la justice sénégalaise est aux abonnés absents et elle est du côté des bourreaux. j’assume entièrement mes propos et je prend mes responsabilité même si on doit encore me condamner je serai ravie de faire de la prison car mon engagement vise à défendre les femmes victimes de violences de toutes sortes". Gabrielle l'enlèvement d'une fille, perdue de vue depuis plus de trois ans. "La justice devrait soutenir les femmes. Si Lissa Tine était la femme d’un responsable politique ou la fille  d’un guide religieux, on l’aurait retrouvée. Sa disparition dure plus trois ans. Il est grandement temps que la justice sénégalaise arrête d’être complice des violations". Pour conclure notre interlocutrice a fait savoir à l'assistance que, "la justice sénégalaise est complice de la violation des droits des femmes". 

Modou Toure

 

 

 

La Convergence des Éleveurs pour l'Emergence du Sénégal (CEES) va tenir, ce dimanche 22 Mai 2022, une grande cérémonie "Sargal" dédiée au Président de la République Macky Sall. Cette manifestation aura comme parrain le ministre des Finances et du Budget, Abdoulaye Daouda Diallo. Ainsi, plusieurs organisations socioprofessionnelles gravitant autour du secteur de l'élevage sont attendues à cette journée qui aura pour  cadre le Grand Théâtre National Doudou Ndiaye Coumba Rose de Dakar.

 

A en croire l'honorable député Aliou Dembourou Sow, Coordonnateur national du CEES et maître d'œuvre principal de cet événement, ''nous allons organiser cette journée Sargal à l'honneur de son Excellence Monsieur le Président de la République Macky Sall. Nous, acteurs de l'élevage, lui devons beaucoup et, ce sera l'occasion de lui rendre un vibrant hommage pour ses multiples et bénéfiques actions de à notre endroit. Car, l'histoire retiendra que c'est sous son magistère qu'on a abouti à l'institutionnalisation d'une journée nationale dédiée au secteur de l'élevage au Sénégal. Ce qui est, du reste, un acquis appréciable. La politique pastorale que Macky a instaurée reste un exemple en Afrique et dans le monde", a attesté M. Sow qui n'a pas manqué de  revenir sur le choix du parrain. ''Les éleveurs ont, à l'unanimité, fixé leur choix sur le Ministre Abdoulaye Daouda Diallo pour cette journée "Sargal". Voilà un homme qui est au service exclusif du Président de la République Macky Sall. Il ne cesse de l'accompagner dans sa vision large pour un Sénégal émergent et prospère où les populations se retrouvent parfaitement dans sa politique''.

 

Il faut aussi dire que cette cérémonie de "Sargal" sera l'occasion pour les éleveurs affiliés à la Convergence des Éleveurs pour l'Emergence du Sénégal (CEES) de sonner la mobilisation afin de contribuer à  une large victoire de la Coalition Benno Bokk Yakaar lors des  échéances électorales prévues le 31 Juillet 2022.

 

CMU
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