samedi 4 mai 2024 | Login
Malal DIALLO Pithi

Malal DIALLO Pithi

La campagne électorale bat son plein. Les différentes formations politiques sont à la pêche des voix pour former la prochaine législature pleine d'enjeux. Mais le leader de Manko Wattu Sénégal MWS se veut alerte sur le choix des futurs représentants du peuple à l'hémicycle: '' Nous sommes en période de campagne électorale mais jusque-là, personne n'a encore écho d'un quelconque programme décliné par l'opposition. S'ils ne sont pas dans le dénigrement, ils se distinguent dans le mensonge, la fomentation et l'incitation à des troubles. Ils n'ont aucune  proposition concrète concernant l'avenir des Sénégalais et ne s'en cachent pas. Leur seule et détestable déclaration se résume à instabilité et insurrection. De telles personnes ne méritent pas de figurer sur une liste, encore moins siéger à une Assemblée'', prévient Ousmane Faye.

 

 Pour lui, '' l'opposition actuelle est sur le terrain en train de proférer du n'importe quoi aux Sénégalais. Et malheureusement, c''est l'image de la démocratie sénégalaise qui s'en trouve écornée et en prend un sacré coup, car, victime des agissements d'un groupement de personnes irresponsables qui doivent leur salut à l'ouverture d'esprit du président Macky Sall qui aurait pu les confondre à des insurrectionnistes qui ne parlent que de mandat avant l'heure. '' Jamais dans l'histoire politique du Sénégal, des candidats à une législature n'ont autant manqué de programme et de solutions alternatives. Leur seul mot de campagne s'arrête à ''pas de 3ème mandat''. Vous pensez que c'est sérieux ça ? J'en appelle les Sénégalais à se méfier de ces genres de politiques qui n'ont pas encore décliné leur véritable ambition. Ils sont d'une dangerosité inouïe et ne méritent aucun respect et aucune considération. Ils sont à bannir du cercle politique. Nous allons les laminer dans tous les départements du Sénégal au soir du 31 juillet prochain '', promet de sévir le patron de la coalition MWS en pleine campagne dans le centre du pays, notamment dans les zones de Gandiaye, Sibassor et Kaolack.

 

Nous vivons dans un monde ingrat dominé par la turpitude, la tricherie et la trahison. Le mot ingrat appartient à deux classes de mots : c'est un substantif et un adjectif qualifiant et il s'écrit avec une consonne finale muette. Que les spécialistes de la langue de Molière me pardonnent mon ignorance, eux qui maîtrisent parfaitement le français et savent habilement le manier ! Je leur laisse le soin d'utiliser les termes morphèmes et graphèmes pour vous offrir une approche plus linguistique.

Si dans ma démarche, je me suis permis cette incursion dans les labyrinthes de la langue française, c'est pour montrer si besoin est que l'ingrat cache son jeu et ne se montre pas au grand jour. Nous allons le 31 juillet 2022 de manière Souveraine et responsable élire les femmes et les hommes qui vont nous représenter à l'Assemblée Nationale. Les voix que les électeurs donneront aux différents partis et coalitions vont déterminer la voie du développement ou celle de la déperdition.  Il faut, disait Charles Maurras, s'attendre à tout en politique où tout est permis sauf de se laisser surprendre Ce pays nous appartient et nul n'a le droit d'y installer la violence et l'anarchie

Le Sénégal est une nation où vivent en harmonie les différentes ethnies qui la composent et c'est cela qui constitue le ferment de notre unité dans la diversité Cheikh Anta Diop l'éminent penseur a montré la bonne voie à suivre avec une phrase que les historiens et les socio anthropologues doivent inscrire sur tous les murs des écoles primaires des collèges des lycées et des universités. En Afrique, la parenté est beaucoup plus sociale que biologique. Ne laissons pas la turpitude, la tricherie et la trahison nous gouverner Cherchons ensemble les armes du pardon

Ababacar Gueye, chargé de communication de Mbacké Sylla, ancien maire de Golf sud

Le Continent africain subit les affres d’un changement climatique progressif qui agit négativement sur les capacités de résilience des acteurs économiques, principalement les femmes. Pour parer à toute déchéance et dans le but d’encourager les initiatives de sauvegarde des conditions d’une sécurité alimentaire sujette à l’évolution climatique, l’AFAO a initié un important programme stratégique 2023 – 2025 dont le soubassement repose sur le renforcement des capacités organisationnelles chez les femmes et les jeunes actrices de la chaine de valeur agricole.

Un atelier de partage s’est ouvert dans ce cadre ce jeudi sous la présidence de Mme Khady Fall Tall, des représentantes de la Cedeao et de l’Uemoa, avec la participation des membres de l’organisation des 14 régions du Sénégal et des 5 départements de Dakar. L’objectif, selon Khady Fall Tall, «est surtout de mettre en œuvre les mesures d’adaptation nécessaires, permettant ainsi aux femmes d’accroître leurs revenus et leur résilience aux effets du changement climatique». L’AFAO envisage d’approfondir la connaissance sur la question de la résilience climatique chez les femmes et jeunes actrices dans la chaine de valeur agricole qui sera suivi de la validation du Programme stratégique 2023-2028 de l’AFAO WAWA. Cela s’inscrit dans le cadre du processus de renforcement des capacités organisationnelles, pour mieux accompagner ses membres et bénéficiaires, à savoir les femmes et les jeunes filles,

Reelu de manière elogieuse en  2019, le President Macky SALL reste dans une perspective d’ameliorer les conditions de vie des senegalais et de parachever l’emergence.En effet ,le President Macky SALL continue de faire rever les senegalais (TER,BRT,autoponts ,stades,nouvelles villes etc),tout en boostant sa politique de jeunesse(DER,Fongip,pole emploi,bureau de mise à niveau ,anpej etc) et en ameliorant les conditions de vie des senegalais.

 eci donne des tournis à l’opposition qui n’a qu’une seule ambition : freiner les realisations du President Macky SALL et plonger le pays dans le chaos pour ecorner l’image du President Maky SALL,notamment sur le plan international où les plus grands de ce monde lui vouent respect et considération.

Nous avons donc une responsabilité historique  d’eclairer la lanterne des senegalais sur les meilleurs choix à faire ,dans cette perspective il existe beaucoup de raison de choisir la liste BBY :

-Les projets futurs de l’Assemblée nationale ;

-Une cohabitation à l’Assemblee Nationale serait une catastrophe et source de blocage pour beaucoup de projets, mieux la seule ambition de l’opposition est de faire voter des lois pour blanchir leurs leaders qui ont pour la plus part des dossiers judiciaires (Sonko,Khalifa ,Barth etc) ;

- la tete de liste nationale de BBY est le meilleur profil, son choix temoigne de  l’attachement que le President voue aux femmes contrairement à SONKO qui n’a pas hesité à chosifier cette dernière à l’appelant « sen lolou » ; BBY respecte les femmes ;

-la continuité de l’Etat qui est un imperatif du developpement ;

- « yewi » est une coalition « soupou kanja » qui va casser à cause du choc des ambitions et que ce sont des gens mus par les interets crypto personnels.ils ne cessent de le montrer et meme pour le choix sur les listes ,chacun impose les lieutnants qui vont l’aider dans sa campagne dixit sonko ,au detriment des responsables de la première heure;

-Contrairement à cette opposition qui veut faire sombrer le pays ,notamment avec l’exploitation de notre petrole et nos autres ressources.Nous voulons des gens responsables ,d’où la necessité de voter BBY,dont la liste est composée de profils experimentés  et compétents .

Chers compatriotes !

Voteriez vous pour quelqu’un qui veut continuer ses projets pour insufller le developpement,ameliorer vos conditions de vie ou une opposition  dont la seule ambition est de tout bloquer pour jeter de l’ecume sur le bilan,créer le chaos, et blanchir ses leaders qui ont des dossiers judiciaires brulants ?

 

Make your choice !!!

 

 

 

Papa Malick GUISSE

PDT jeunes coalition ADIANA/BBY

Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

 

Tout système de relations professionnelles est composé d’acteurs ( le gouvernement , les employeurs , et leurs organisations, les travailleurs et leurs syndicats ), de procédures d’établissement des règles et lois relatives aux relations professionnelles, et contexte qui constitue le cadre d’évolution des acteurs  Le contexte tel que défini est composé de trois éléments : Les caractéristiques technologiques, le marché et les contraintes budgétaires, et le contrôle et la distribution du pouvoir dans la société. La difficulté consiste à déterminer à partir de quel moment il est possible de conclure qu’un élément du contexte a plus d’impact que les autres sur les procédures d’établissement des règles et lois. Il ne fait aucun doute aujourd’hui au Sénégal l’élément du contexte qui a déterminé tous les autres aspects des relations professionnelles a été L’ERESION du pouvoir d’achat des travailleurs.

La hausse de l’inflation constatée depuis la fin de l’année dernière continue à s’accélérer ces derniers mois dans le pays de l’UEMOA , notamment au Sénégal. L’élément du contexte qui a déterminé tous les autres aspects des relations professionnelles est le niveau assez élevé de l’inflation ; ce sont donc les contraintes et le marché qui devraient dans une large mesure intervenir dans les rapports de force entre gouvernement , employeur et travailleurs. Pour faire face à l’inflation une décision mixte interprofessionnelle du 06 juin 1986 entre  - la CNES, l’UNISYNDI , le SCIMPZX et le SYPAOA d’une part 

 - la CNTS d’autre part,  Est convenu, une augmentation du salaire mensuel forfaitaire de 3000 f est appliqué a tous les salariés permanents ou non à compter du 1 janvier 1986.

 

Cette augmentation porte le nom d’indemnité de cherté de vie et étendue par l’arrêté interministériel n 1371 MFPT - DTSS - MEF en date du 09 novembre 1989 portant extension de l’indemnité de cherté de vie à toutes les catégories d’entreprises (Jos du 13 janvier 1990) . Par conséquent s’appuyant sur ledit Arrêté et compte tenu du niveau assez élevé de l’inflation (+ 2%) il est est du ressort des centrales les plus représentatives d’ouvrir des négociations avec l’état, les employeurs et leurs organisations au fin d’ augmenter les salaires proportionnellement à l’érosion du pouvoir d’achat des travailleurs. J’accuse le silence coupable des organisations syndicales par rapport à la pauvreté des travailleurs.

 

 

Il est, en ce bas monde, des êtres dont le parcours plus ou moins long, plus ou moins éphémère, peut être assimilé à quelque chose d’étrangement divin. En effet, des paroles formulées aux actes posés, tout ce qui émane de ces personnes là, à y regarder de près, peut indiquer pour des êtres tant soit peu avertis, une  provenance surnaturelle, dépassant de loin une quelconque compréhension humaine. Celle dont il est question dans ces propos, appartient sans aucun doute, à cette catégorie là. Qu’on les appelle érudits, immaculés, saints, d’une générosité sans bornes, d’une bonté sans limites, d’une croyance écarlate, ces personnes sont à  coup sur des élues de Dieu Le Tout Puissant. C’est absolu. On  a beau vouloir exceller, dans tous les domaines de la vie, mais s’il n’y a pas une once divine pour accompagner, l’objectif peut ne pas  être atteint. Fatoumata DIAGNE par son sobriquet FIFI, défunte épouse Mme NIASS peut, naturellement être logée à cette enseigne.                                    

 De l’enfance à l’adolescence

Plusieurs témoignages concordent sur son parcours atypique. Sénégalo-malienne, de père thiessois et de mère malienne, Fatoumata DIAGNE plus connue sous le pseudonyme consacré de FIFI, est native de Thiès, une des régions à histoire très chargée dans cette partie centre ouest du pays de Lat Dior et de Cheikh Anta DIOP. Sa terre natale de Thiès dénote déjà, par cette mixité africaine consolidée par le chemin de fer Dakar-Bamako, cet esprit de révolte et de résistance face à toute forme d’oppression ou de domination dressée sur son chemin, qu’elle combattra plus tard dans son parcours politique. Dans le quartier Hersent, ses frères et tantes de sa famille paternelle ainsi que ses amies d’enfance avec qui elle a partagé l’école et les jeux rappellent comment FIFI était adulée, polie, respectueuse des personnes âgées dont sa grand-mère paternelle qui l’aimait plus que tout. D’ailleurs Mame Ndawa dont il s’agit, avait fini de prendre la place d’une mère qui vivait à des centaines de kilomètres au loin, en pays voisin. Ainsi, entre études scolaires et cheminement social, elle poursuivra son cursus social qui la mènera à sa rencontre avec un jeune homme qui, faisant la navette entre Louga, Dakar et Thiès où lui aussi avait des parents, allait devenir son époux.

 A l’épreuve de mère, d’épouse et d’éducatrice

Ainsi donc après la bénédiction de la grand-mère doublée de mère, Mame Ndawa, et du père, la voilà sur le chemin du Ndiambour d’Alboury Ndiaye dans précisément la Commune de Louga au quartier Santhiaba Nord, à la maison conjugale où, encore des témoignages, belle mère Sokhna Fatou Ba et Mame, s’arrachaient la nouvelle recrue, leur belle fille Fatoumata Diagne FIFI devenue Mme Niass. La présence de la belle fille se savait dès les abords de la demeure des beaux parents. En effet, nous dit-on, Fifi se levait comme à son habitude dès l’aube, se dirigeait au dehors, balai à la main pour rendre propres les abords et l’intérieur de la concession de sa seconde famille. La belle mère et la grand-mère, comme à Thiès, l’aimaient plus que tout. C’est pourquoi elle ne s’est jamais sentie dépaysée et avait hâte de revenir à Louga, sachant qu’elle y serait toujours accueillie à bras ouverts.

Quelque temps après, cap sur la région de Dakar où entre les localités de Guediawaye, la Cité Gendarmerie et l’Unité 3 de Keur Massar, elle allait accompagner son mari et poursuivre sa trajectoire sociale en tant que mère et épouse. Mais éduquée à ne jamais baisser les bras, pleine d’énergie, elle va prendre plusieurs initiatives dans le domaine éducatif. Il reste entendu que Fifi ne faisait rien sans avoir l’aval de son époux. C’est une de ses autres qualités saluées par toutes celles et tous ceux qui la connaissaient. C’est encore une vertu religieuse dont elle s’inspirait fortement. De fil en aiguille, elle allait articuler l’éducation de ses enfants et la prise en charge de jeunes enfants. Dans son nouveau domicile de l’Unité 3, de 11 puis 27, elle allait totalement se lancer dans la socialisation des tous petits.

Dans ces nouvelles habitations des Parcelles et de Jaxaay érigées grâce au Président Wade pour désengorger les zones inondées entre Pikine et Guediawaye, elle se voit confier les enfants de mères enseignantes, vendeuses et commerçantes qui, chaque jour acheminent leurs enfants chez Tata FIFI, pour ne les reprendre qu’en fin d’après midi. Poursuivant ainsi son petit bonhomme de chemin, elle envisagea alors l’ouverture de classes dans le cycle élémentaire. Le Groupe Scolaire Keur Mame Ndawa voyait ainsi le jour, Keur Tata FIFI en étant le précurseur. De fil en aiguille, le groupe continuait dans sa lancée jusqu’à occuper aujourd’hui une place prépondérante sur l’échiquier scolaire dans le nouveau département de Keur Massar, en introduisant le cycle du Moyen-Secondaire, dans les ordres d’enseignements de l’Etablissement. Depuis quelques années déjà, le GSKMN enregistre les meilleurs résultats au CFEE, aux  examens d’entrée en 6e et au BFEM. Fifi avait compris depuis fort longtemps l’importance de certains intrants dans les considérations d’ordre pédagogique.

En tant que Directrice du GSKMN, elle mit en place le volet Transport et Cantine Scolaire permettant ainsi aux parents d’élèves de placer leurs enfants dans de meilleures conditions d’apprentissage. Très tôt le matin, le groupe de chauffeurs et d’accompagnants parcourent en bus GSKMN des kilomètres de route pour aller prendre les élèves et les apprenants chez eux pour les acheminer à l’école. Elle tenait particulièrement à ces deux volets qu’elle jugeait importants pour atteindre les objectifs de performance et d’excellence que le GSKMN s’était assignés. Les mêmes trajets seront arpentés à 16 heures tous les jours, sauf les Mercredi et Samedi, où c’est à 13 heures que le chemin inverse sera parcouru. La cantine scolaire permet aux élèves et aux tout-petits de se restaurer en mi- journée, vu que l’instauration de la journée continue est l’option prise par la Direction du GSKMN.

Sur le front social et politique

Que dire des actions entreprises par Fifi sur les plans politique et social ? Mme la Directrice du GSKMN, tout en étant très versée dans les questions d’éducation n’en était pas moins une véritable actrice sociale. En effet, n’est ce pas elle qui faisait du porte-à-porte sur l’étendue du périmètre communal en sensibilisant les pères et mères de familles sur l’importance de l’état civil, aussi bien pour les enfants que pour les adultes eux-mêmes ? Beaucoup de témoins affirment que c’est grâce à elle, si un grand nombre d’enfants et d’adultes disposent aujourd’hui de leurs bulletins et extraits de naissance d’une part et d’autre part, de leurs pièces nationales d’identité. Sur un autre registre, les habitants des différentes cités, parfois distantes de plus d’un kilomètre affirment disposer d’eau potable à partir du robinet érigé devant son domicile à l’unité 3. Même les daaras et les enfants talibés étanchent leur soif grâce à Fifi.

Le Mouvement des Jeunes Humanitaires des Parcelles regrettent le Rappel à Dieu de leur Marraine.

En effet, nous disent ils, c’est Fifi qui a donné le nom d’humanitaire au Mouvement qui leur a fait obtenir le Récépissé, qui les a toujours accompagnés pendant des années, durant le mois de Ramadan avec les kits alimentaires dénommés ‘’Ndogou Populaire’’. Restant dans ce volet social et humanitaire, les habitants des différentes localités citées (et jusqu’à Thiès, Guediawaye entre autres, affirment que le soutien de Fifi ne leur a jamais fait défaut. Au-delà des denrées alimentaires, des factures d’eau et d’électricité, du paiement de frais médicaux ou de factures scolaires), elle s’est battue pour que l’Unité 3 où elle résidait, ait sa Mosquée grâce à l’ONG ARPIECA qui non seulement a totalement construit la Mosquée, mais a distribué des kits alimentaires durant les mois de Ramadan successifs en collaboration avec Fifi.

Même durant la Tabaski, de la viande était distribuée à des indigents avec le bœuf immolé grâce à ARPIECA. Cette ONG continue ses actions en reconnaissance et en signe de fidélité vis-à-vis de leur partenaire Fifi aujourd’hui rappelée à Dieu. Mme la Directrice du GSKMN, marraine du Mouvement Humanitaire des Jeunes des Parcelles, était aussi Présidente du GIE Bokk Nday Bokk Baay. Les femmes avec qui elle s’accompagnait, ont affirmé lui être redevables puisque non seulement elle a créé le Groupement qui dispose de sa reconnaissance juridique, mais elle a su être autonome. Financièrement, Fifi leur a appris à compter sur leurs propres forces ; ce qui leur a permis de verser des montants de 200 à 300 000 aux membres du GIE qui en font la demande le 11 de chaque mois, jour qu’elles ont choisi pour se rencontrer.

Sous un autre rapport, Fifi a su rassembler les femmes et les jeunes des Parcelles autour d’une Coalition ‘’Sama Gox, Sama Askan’’ (Mon quartier, Mon Peuple) en 2014, dans le but de conquérir des suffrages aux Elections Locales d’alors. Devenue Conseillère Municipale, elle allait inscrire ses marques dans la marche de la Collectivité Locale en initiant un certain nombre de programmes au profit des femmes en tant que Présidente de la Commission Municipale pour l’Entreprenariat Féminin. C’est ainsi que des femmes ont pu bénéficier de modules de formation sur le leadership, sur les transformations de produits locaux entre autres.

Sur le plan politique, voilà une militante engagée dès les premières heures contre l’arbitraire, l’oppression ou l’impunité. Elle portait par devers elle, l’ensemble des valeurs positives de notre société. Selon ses camarades de Yoonu Askan Wi, le Délégué Général Madièye Mbodj en tête, Fifi était l’incarnation des Valeurs de nos héroïnes Njeumbeut, Ndaté Yalla Mbodj, Aline Sitoé Diatta, de nos Saintes Mame Fawade Wellé et Mame Diarra Bousso pour ne citer que celles là. Ses sœurs du Forum des Femmes Dakaroises sous la houlette de leur Présidente Yacine Diagne, continuent à pleurer son départ prématuré vers l’éternel, tellement elle jouait un rôle essentiel dans le dispositif. D’ailleurs la plupart de ses camarades dans le Département de Keur Massar ont souligné que si elle était encore en vie, elle serait naturellement choisie pour diriger la Mairie de Keur Massar Sud ou pourquoi ne pas être Présidente du Conseil Départemental.

Elle en avait le charisme et le leadership. Dieu en a décidé autrement. Néanmoins, ses proches parents, ses camarades, les femmes du Gie Bokk Nday Bok Baay, son époux en premier lui jurent reconnaissance et fidélité dans la dynamique de poursuivre l’œuvre immense qu’elle a légué à sa descendance, pour la postérité.  

                                                                           LA FONDATION

                                                                              

         

 

 

 

  

C'est une lourde enveloppe que la responsable de l'APR de la commune de Dieuppeul Derkle, Mareme Tabane a dégagée aux fins de permettre aux populations, notamment aux femmes, de bien passer la fête de Tabaski, et dans la dignité. Un appui financier sous forme de cash-transfert qui s'inscrit dans le sillage de la méthode utilisée par le président de la République qui,  récemment, a permis à des millions de ménages de disposer d'un soutien. 

 

Comme à la veille de chaque grande fête, korite et Tabaski, Mareme Tabane se démène pour assister les populations de sa localité. Entre dons en nature et des enveloppes financières, la responsable de l'APR mobilise les femmes pour leur permettre de bénéficier de ses largesses, comme le font les plus grands responsables qui disposent de portefeuille de l'État.

 

Expliquant son geste, Mareme Tabane déclare: ''Dans ces moments de grandes sollicitations, les responsables doivent se substituer au président de la République pour assister les populations. Cela permettra  de rendre visible sa politique sociale dont l'importance a fini de convaincre les plus sceptiques''. 

 

En plus soucieuse de permettre au président Macky Sall de disposer d'une majorité absolue à l'assemblée lors des prochaines législatives du 31 juillet, Mareme Tabane lance un appel aux militants et sympathisants, de voter les listes de Benno Bokk Yakaar. '' Il faut qu'on continue cette dynamique d victoires enclenchées depuis 2012. Cela signifie que les Sénégalais dans leur grande majorité adhérent à la bonne vision du chef de l'État pour un Sénégal émergent'', fait-elle savoir.

 

 

Ils étaient en grève de la faim pour exiger de l'État du Sénégal leur recrutement dans la fonction publique. Une doléance entendue par le Président de la République qui, en Conseil des Ministres de ce mercredi 6 juillet, a donné des directives allant dans le sens d'insérer les personnes handicapées diplômées. Pour le mouvement national des handicapés républicains, ''cette importante mesure est à saluer avec la plus grande énergie, car elle confirme tout le bien qu'on disait de la politique sociale du chef de l'Etat. Et aussi elle s'ajoute aux nombreux acquis déclinés dans le cadre de la loi d'orientation sociale soutenue par les pouvoirs publics depuis 2012''. 

 

Le bureau du mouvement des handicapés républicains se réjouit de la décision de recruter les diplômés handicapés en gréve de la faim. Le président Toumani Camara et ses camarades applaudissent une telle initiative qui, selon eux, renforce la politique sociale du président Macky Sall qui a encore prouvé qu'il accorde une place prépondérante à  l'égalité des chances et à la promotion des droits des personnes handicapées. 

 

Cette mesure est édictée dans un contexte de pré campagne pour les élections législatives et pour lesquelles, le chef de l'Etat a encore démontré sa volonté de faire de l'inclusion sociale un point phare de sa ligne de gestion.   En effet, se félicitent les membres du MNHR, '' le président Macky Sall a décidé d'inclure dans les comités électoraux départementaux et communaux le Pôle des personnes handicapés, ce qui est une avancée dans l'organisation des formations politiques. Pour Cheikh Ndiaye, Vice Président du mouvement, '' en perspective aux prochaines joutes du 31 juillet aussi importantes que les législatives, nous remercions et approuvons la.decision du Président Macky Sall qui implique les personnes handicapées dans l'organigramme des comités électoraux et départementaux. Nous percevons bien ce message qui est pour nous une invitation à redoubler d'efforts dans la coalition Benno Bokk Yakaar, et à participer activement aux efforts de conquête  d'une majorité confortable à l'Assemblée nationale''.

 

 

Les propos tenus par Ousmane Sonko, selon lesquels, le président de la République "a un problème particulier avec la Casamance et les Casamançais. Cette stigmatisation est extrême, surtout ceux qui ont des noms à consonance Diola", ont suscité, hier, une violente réplique de Lat Diop. 

 

"C'est vraiment honteux et scandaleux, qu'un homme politique, formé à l'école de la haute administration, puisse tenir des propos aussi irresponsables et dégueulasses, dans une République. Je précise que, lors de ma dernière conférence de presse, j'avais dit à qui voulait l'entendre, que le leader de PASTEF, Ousmane Sonko, est un fractionniste, un rebelle et un ethniciste qui ne s'assume pas. Il est en train de prouver au monde entier que tout ce que j'avais dit sur lui était vrai", assène-t-il. 

 

Le responsable "apériste" dans le département de Guédiawaye d'enfoncer le clou : "Ousmane Sonko ne se considère pas comme un sénégalais. C'est la raison pour laquelle, il ne respecte aucune institution du pays. Vous ne l'avez jamais vu compatir quand l'armée enregistre des décès. Vous ne l'avez jamais vu communier avec le peuple sénégalais, en cas de joie nationale, comme ce fut le cas, lorsque les Lions ont remporté la Coupe d'Afrique des nations de football. Quand le Président a invité toute l'opposition à l'accueil des Lions du football, il a trouvé le moyen de ne pas venir à l'aéroport". 

 

En outre, Lat Diop relève, pour le déplorer, que le chef de file de PASTEF "fait insulter les marabouts, les forces de défense et de sécurité, le président de la République, les magistrats, toutes les institutions". "C'est un séparatiste dont l'objectif est de saper l'unité nationale. Mais, qu'il sache que c'est peine perdue. On est en période électorale. Réglons cette question. Et ensuite, il faudra régler son problème, parce que les Sénégalais en ont marre de lui", fulmine également M. Diop.   

 

Le Directeur général de la Loterie nationale sénégalaise (LONASE) assure que "le président de la République, Macky Sall, ne connaît ni Diola, ni sérère, ni Wolof, ni toucouleur. Il ne connaît que les fils du Sénégal en tant que père de la Nation".  A l'en croire, "toutes les personnes de bonne foi savent que le Président Macky Sall porte la Casamance et les Casamançais dans son cœur. Il a beaucoup fait pour le Sud du pays. Ce qu'il a fait là-bas, aucun président de la République du Sénégal ne l'a fait". 

 

En guise de conclusion, Lat Diop martèle : "Je ne parle pas en l'air. Ousmane Sonko, il faut le combattre par tous les moyens. C'est un danger pour la République. Il faudra que la République prenne ses responsabilités pour régler ce cas. Ousmane Sonko est une menace pour la cohésion nationale, il faut l'arrêter. Il veut se suicider, parce qu'il sait ce qui l'attend. Mais, il ne perd rien pour attendre".

Cela fait presque deux ans que la Cour d’appel de Dakar a blanchi Mme Aïda Ndiongue, avant d’ordonner à l’État de lui restituer ses biens. Mais depuis lors, aucun franc n’a été restitué à l’ancienne mairesse des HLM qui vit actuellement une injustice morale et financière. Aussi, ses avocats, parents, amis et sympathisants prennent l’opinion à témoins. Pour cause, depuis l’ordonnance de non-lieu rendue par la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei) et une décision de la Cour d’appel demandant la restitution de ses biens, Mme Aïda Ndiongue peine à retrouver son patrimoine. 

 

Pour Youssou Dieng,  porte parole du RASAN, « dans cette affaire, la Justice avait ordonné à l’État de lui restituer tous les biens.  A partir d'aujourd'hui, nous prenons la bataille en main. Il faut faire en sorte que Macky Sall restitue à Aïda Ndiongue son argent. Qu'on lui rembourse intégralement son argent. C'est de l'arnaque, du vol déguisé ». A l'en croire, « ce combat ne doit pas être seulement celui des  sympathisants de Aïda Ndiongue, mais celui de tous les Sénégalais ».

 

  1. Dieng  précise que c’est le président de la République qui doit pousser à l’application de cette décision, car, c'est l'état qui a empêché à Mme Aïda Ndiongue de faire son travail social, surtout pendant la période de tabaski. 

 

CMU
cmu