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Malal DIALLO Pithi

Malal DIALLO Pithi

Bientôt la Radio Télévision Sénégalaise sera transférée dans des nouveaux locaux dont la cérémonie de la pose de la première pierre pour la construction a été effectuée par le chef de l’Etat Macky Sall.  Un bâtiment financé à hauteur 30 milliards de Franc Cfa, à fonds propres par l'état du Sénégal. 

 

Les locaux de l'actuel bâtiment ont été visité de même que l'exposition qui a été faite pour exhiber les outils de travail de la télévision nationale depuis sa création jusqu'à nos jours. C'est vers les coups de 16 heures que Macky Sall est arriver au Triangle Sud, siège de la Radiodiffusion Télévision sénégalaise (RTS). Dénommé ’’Tour de la RTS’’, ce bâtiment sera construit sur dix étages en 18 mois sur une superficie de 2615 mètres carrés, précise le directeur général de la RTS, Racine Talla. La future tour va regrouper deux pôles principaux sur le site du Triangle Sud : les studios et le bloc administratif. Il sera constitué de plusieurs studios parmi lesquels certains seront modulables, d’un espace détente et d’un jardin suspendu. Il comprendra aussi une salle de spectacle de mille mètres carrés et une zone technique radio avec trois studios régies radio filmée. La Tour de la RTS va aussi abriter un centre de formation audiovisuelle. Selon Racine Talla, en plus de la construction de la Tour, l’immeuble existant sera réhabilité". Pour le président de la république," la Rts n'est pas seulement la chaîne nationale, c'est la première chaîne. C'est celle qui concentre en son sein le plus grand nombre de professionnels de l'information et de la communication. Un personnel bien formé, dévoué qui comprend le sens de sa mission". Il faut signaler que la mise en place de ce bâtiment permettra aux journalistes de mieux faire leur travail.

 

 Baaba Maal "anime" à la Rts

 

L'engagement du leader vocal du groupe Daande Leniol à côté des populations sans parti pris est connu de tous surtout pendant les moments où le public a besoin d'entendre sa voix pour être conscient de ce qui se passe. Il s'agit de la cérémonie de la pose de la première pierre pour la construction d'un bâtiment pour la Rts. Le public était satisfait après avoir entretenu les mots qui sortaient de la bouche du chanteur qui magnifie l'enlèvement.

 

Quelques notes de guitare, suffisent par faire bouger le public. Et encore, c'est Baaba Maal qui anime. C'était à la Rts ! Le leader vocal du Daande Leniol est accueilli par des applaudissements. Il chante Macky Sall. Il retrace les efforts qui ont été faits par "kor Mareme Faye Sall" pour rendre le Sénégal un pays émergent. Plusieurs autorités gouvernementales étaient présentes. Tout pour dire que Baaba Maal "animé" à la Rts en ce jour où le chef de l'état procédait à la pose de la première pour la construction d'un bâtiment pour la Rts...

Par Modou Toure

 

 

En prélude du Gamou annuel qu'organise Dahiratoul Nourou Daraini de la communauté Diola à Thiès, le parrain de la 26ème édition prévue pour le samedi 11 juin 2022, M. Ansoumana Sané, secrétaire général de l'AIBD, par ailleurs maire de la commune de Sindian, en Casamance, a rencontré ce lundi le comité d'organisation. Une rencontre qui a permis à la tête de liste de la coalition BBY du département de Bignona de magnifier mais surtout remercier les membres dudit Dahira pour le choix porté sur lui comme parrain de l'édition de 2022.

Très satisfait d'être choisi comme parrain l'enfant de Sindian, le Maire Ansoumana Sané a décidé de prendre en charge toute la restauration et certaines charges du Gamou dont l'invité d'honneur n'est personne d’autre que l'imam ratib de Bignona, Cheikh El hadji Fansou Bodian. Ce sera un moment pour la communauté Diola dans la capitale du Kadior de communier, de se retrouver et de faire des prières pour une paix définitive en Casamance et une élection apaisée.

Une première qu'un fils de la Casamance prend en charge les frais d'organisation et honorer de sa présence au Gamou annuel. Les membres du Dahiratoul Nourou Daraini n'ont pas manqué de remercier le jeune maire Ansoumana Sané qui, à son tour, se dit prêt à mobiliser tous les fils de la Casamance pour une parfaite réussite de cette cérémonie religieuse. Y NDIONGUE

 

Depuis quelques jours, on assiste à une  débauche de haine de la part de Farba Ngom contre le Ministre de la Justice. C’est connu : Pour être célèbre, il faut s’attaquer aux gens célèbres.  Farba est sous les feux de l’actualité avec un scandale qui choque tous les partisans de la mouvance présidentielle  . 

 

Au moment où, les militants et sympathisants sont concentrés sur l’objectif des législatives du  31 Juillet, le duc des AGNAMS  organise des attaques médiatiques contre un de ses camarades, qui du reste à sauver BBY de la débâcle lors des locales passées. 

 

C’est clair, l’agenda de Farba n’est plus celui du chef de l’état. Sinon, comment comprendre cette haine subite contre un camarade qui ne cesse de soutenir le Président, avec ses propres moyens. Au moment où la caverne d’Ali Baba de Farba  a été découverte par un autre voleur, la solution pour faire oublier son scandale est de tirer sur tout ce qui bouge. Le choix de la cible n’est pas fortuit. A  l’analyse, Farba est pire que Sonko dans la mauvaise foi et la manipulation.  Il allume des contre feux partout et cherche un bouc émissaire. 

 

Se cacher derrière  des jeunes - vieux, qui se prétendent leaders, (la valeur n’attend point le nombre d’années) et de surcroît nombre de ces jeunes ont gracieusement bénéficié des largesses de celui qu’ils attaquent pour ses beaux yeux.

 

En tant que cadre de la mouvance, nous invitons notre camarade Président à prendre les mesures idoines pour écarter ce monsieur, qui du reste devient un danger pour notre projet politique.

 

Un Farba n’en cache-t-il pas un autre? En juin 2012, un autre Farba, par ses folies avait coûté au président Wade un désamour du peuple. 

 

Il est temps de stopper ce monstre, qui confond politique et business. Et compte écraser tout homme sincère, qui souhaite dans la dignité accompagner le chef de l’état. 

L’image du Président en sera redorée, le jour où  Farba ira répondre devant la justice de ces scandales à répétition. 

 

 

 

 

Aucun candidat ne veut figurer sur une liste de suppléants, surtout ceux de Yewwi Askan wi (yaw) qui croyaient, mordicus, à l'avènement d'une probable cohabitation avec la grande majorité présidentielle. Au lendemain de la publication de la décision du Conseil Constitutionnel qui annule tous les recours introduits par les différents mandataires en lice, tout le monde est édifié désormais sur les candidats à la course des sièges de l'Assemblée, mais aussi sur la fausseté qu'entretenaient les gars de YAW  qui voulaient faire comprendre qu'ils ne participeraient pas aux législatives. Pour Ousmane Faye, leader de la coalition Manko Wattu Sénégal (MWS), ''la liste des titulaires de Yewwi n'étant pas bonne, les suppléants vont devoir défendre les couleurs de leur coalition. Donc personne n'est écarté finalement et que Yewwi sera bien présente dans les départements pour compétir''. 

 

Le droit à été dit et bien dit par les sages du Conseil Constitutionnel. Nous prenons acte de cette décision qui conforte la thèse que tout ce que disaient les gars de l'opposition fond comme de la neige sous le soleil. Car, ils vont bien participer aux élections contrairement à ce qu'ils voulaient faire comprendre aux Sénégalais. Désormais, toute manipulation ne sera plus possible et les vrais députés de Yaw sortiront de la liste des suppléants. Ça au moins c'est le principal enseignement qu'il faut tirer, comme qui dirait que le bon Dieu a tranché. Si d'éventuels fauteurs de trouble se mettent encore à faire tympaniser les Sénégalais, nous allons faire face. Nous estimons en effet que le droit doit être respecté par tous. Le Conseil Constitutionnel a confirmé ce que tout le monde savait déjà sur les erreurs de Yeww et qu'eux mêmes ont confirmé pour avoir reconnu les erreurs commises. Du moment que tout est clair maintenant, il faudra se plier à la décision finale et force restera à la loi. Nous n'accepterons pas qu'on installe le désordre dans ce pays. On est prêt et on fera face'' avertit Ousmane Faye.

 

Les propos du leader de Pastef, lors de son passage dans la banlieue dakaroise, contre le Directeur de la Lonase résonnent encore mal dans les oreilles des jeunes de Guédiawaye. Qui, non seulement n’acceptent plus pareils écarts de langage, mais affichent une forte détermination à barrer la route à Ousmane Sonko. Dans ces moments de pré campagne pour les législatives, leur leader, Paul Ndiaye, et ses camarades lui déclarent persona non grata dans le territoire de Guédiawaye, même en période de campagne qui démarre le mois prochain.

Après Lat Diop qui, depuis Mbacké où il se trouvait les semaines dernières, pour alerter Ousmane Sonko sur ses propos discourtois et indécents à son endroit, ses jeunes sont montés au créneau ce jeudi pour montrer plus de virulence. «On n’arrive pas à digérer l’indiscipline et le culot de l’adepte des salons de massage. Mais qu’il se le tienne pour dit : A Guédiawaye, les populations sont connues pour leur discipline et leur bravoure. Et tant que tu franchis ce territoire dans le respect de ses citoyens, rien à dire. Lat Diop fait partie des responsables sur qui les jeunes portent beaucoup d’espoir. Il est d’une grande ouverture d’esprit et nous aide beaucoup. C’est pourquoi nous portons ses combats et quiconque s’aventurera à lui regarder d’un œil alerte, nous trouera sur son chemin»,  préviennent ces jeunes enragés contre le leader de Pastef.

Le nouveau maire de Guédiawaye en a pris pour son grade. «Ahmet Aidara n’a encore rien fait depuis plus de 100 jours qu’il est à la tête de la Ville. Nous l’attendons au tournant et nous lui lançons le message suivant : Si tu veux vraiment travailler et être au service des populations qui t’ont mis là où tu es aujourd’hui, de grâce, associe les jeunes. Ils sont plus de 250 à avoir perdu leur boulot dans les travaux du FERA, alors que tu as toujours décrié le chômage. Mais apparemment, tu sembles te préoccuper de tes affaires personnelles au détriment de ceux qui attendent encore des réalisations de ta part. Arrête de jouer et mets toi à leur service, tu es un vrai opportuniste et nous craignons de regretter ton arrivée à la municipalité de Guédiawaye qui mérite plus et mieux que toi», dézingue Paul.

Elles sont certes des personnes vivant avec un handicap qui, à tout moment de leur vie, peuvent faire face à un besoin de sang, mais cela ne les empêche d’en donner elles-mêmes, pour aider les structures de santé à remplir les poches vidées par la forte demande. Pour la 6eme édition de leur activité annuelle don de sang, la section féminine du mouvement des handicapés républicains se met dans le social. Une occasion pour le bureau de revenir sur les enjeux des prochaines élections législatives pour lesquelles ils ont récolté plus de 1000 parrains.

 

70 poches de sang ont été remplies pour cette édition. ''Moins que les années précédentes'', regrette Mme Aminata Diallo pour qui ''l'acte est d'abord à saluer. Mais il faut dire que l'avènement de la pandémie avait freiné le dynamisme que cela avait suscité. Ainsi après deux ans de trêve, nous sommes heureuses de procéder à la première du genre post-Covid et la 6ème depuis l'avènement du Président Macky Sall du pouvoir. D'ailleurs, c'est l'occasion de le remercier pour les multiples efforts consacrés à la prise  en charge des personnes vivant avec un handicap, dont la mise en place de la loi d'orientation sociale, les cartes d’égalité des chances, l’emploi des membres à hauteur de 15 % dans les structures publiques’’.

 

 

La vulnérabilité des économies africaines ainsi que leur forte dépendance vis-à-vis du reste du monde constituent deux points ayant fait l’objet, mardi, lors du 1er forum économique de l’intégration économique, d’échanges sur des questions qui portent sur l’avenir et le développement du continent noir. Une rencontre présidée par le Ministre de l’Economie, du Plan et de la Coopération Internationale, M. Amadou Hott qui, pour plus de résilience des économies africaines, appelle à une production locale accrue et un renforcement des échanges ‘’intra muros’’.

 

«L’intégration économique à l’heure de la Zone de libre-échange continentale africaine (Zlecaf)» a été le thème pour ce premier forum qui a vu la participation des  partenaires du Sénégal tels que la Cedeao, l’Uemoa, la CEA, entre autres. Mais, il faut rappeler que depuis l’entrée en vigueur le 1er janvier 2021 de l’accord portant sur cet instrument conçu pour concrétiser un modèle de développement de la vision panafricaine, le continent noir s’est accordé à davantage inciter les états à s’industrialiser, à accroitre le commerce intra-régional, et à créer plus d’emplois à travers notamment le développement des petites et moyennes entreprises (PME).

 

Le Ministre Amadou Hott saisit la balle au rebond pour dire que «ces petites unités de production, représentant plus de 90% des entreprises et employant près de 60% des travailleurs, en majorité des femmes et des jeunes, sont l’épine dorsale de l’économie africaine. Cependant, leur contribution à la formation du PIB du continent, demeure faible en raison principalement de leur caractère informel prédominant et des difficultés d’accès au financement». Le mot est lâché. Ainsi, déclare le Ministre Hott, «pour relever ces défis, nous devons accorder plus d’attention au secteur privé, par un meilleur accès au financement, afin qu’il puisse jouer pleinement son rôle dans le processus d’intégration régionale».

 

Car, ajoute-t-il, «quoi que l’on puisse dire, «le défi de l’Afrique reste aujourd’hui la mobilisation des financements pour construire des infrastructures». Tout de même, il convient, à cet égard, de poursuivre les politiques visant l’amélioration de l’environnement des affaires en accordant une place de choix aux entreprises régionales dans la réalisation des projets communautaires, notamment à travers le partenariat public privé, et le renforcement des dispositifs de soutien des PME/PMI en vue d’améliorer leur compétitivité. Le Sénégal et ses partenaires restent alors convaincus qu’une intégration régionale dynamique et cohérente constitue la réponse appropriée à ces difficultés, et demeure un instrument essentiel qui pourrait aider l’Afrique à accroître sa compétitivité, diversifier sa base économique.

Jamais dans l'histoire, les syndicats d'enseignants du Sénégal n'ont reçu autant de faveurs du gouvernement. En effet, pour une reprise normale des cours, après deux à trois mois de grève, il a fallu à l'État, beaucoup de concessions et des sacrifices énormes pour satisfaire les doléances des enseignants. Donc, c'est une grande surprise d'entendre certains d'entre eux accuser le Ministre des Finances et le Directeur Général du Budget, des hommes d'État émérites qui ont fini de faire l'unanimité autour de leur probité morale et intellectuelle, mais aussi des autorités dévouées pour la cause de l'Etat et qui sont promptes à satisfaire les préoccupations des Sénégalais et des organisations et autres structures nationales.

 

D'où  la réaction de Moustapha Ndiaye, président du Collectif des jeunesses Mackystes : ''C'est inacceptable ce que les syndicats d'enseignants veulent véhiculer comme information. C'est à la limite stupide, mensonger et indécent, car on ne comprend pas pourquoi, après autant de sacrifices consentis sur le budget national et de temps consacrés à eux, avec des réunions interminables, ils reviennent encore pour des détails relatifs à une histoire d'impôts qui rabaisse leur degré de patriotisme'', dézingue le président des jeunes Mackystes.

 

Réunis autour du Collectif des jeunes de la grande majorité présidentielle, les jeunes du Président Macky Sall se désolent de l'attitude de certains enseignants. ''Sils sont sérieux et véridiques, ils n'ont qu'à sortir les accords signés pour permettre aux Sénégalais de voir que rien a été violé de ce qui a été signé entre le gouvernement et leurs syndicats.

 

Par contre, s'il s'agit de l'impôt sur les revenus, là vraiment, il ne doit pas y avoir de débat. L'impot sur les revenus doit se payer et cela n'a rien à voir avec les accords signés'', réagissent les camarades de Moustapha Ndiaye. Selon eux,, ''il y a lieu de féliciter Saourou Séne et Abdoulaye Ndoye, des syndicalistes qui sont conscients que les bons citoyens doivent payer les impôts. Ils n'ont pas manqué de le faire savoir lors d'une déclaration à la presse, une manière de prévenir leurs camarades qui, aujourd'hui, accusent à tort le Ministère des finances et le Directeur Général du Budget qui, il faut le dire et le saluer, ont fait beaucoup de sacrifices pour parvenir à signer ces accords qui sont en train d'être appliqués à la lettre''. Les jeunes Mackystes fustigent cette attitude qui dégrade l'image de certains enseignants qui, pourtant, savent bien que toutes les augmentations sont fiscalisées, et que seule l'indemnité de logement est payée net d'impôts.

 

Après leur conclave à Saly, les Toastmasters du Cameroun, de la Guinée, du Burkina, etc., étaient en conclave hier mardi pour une importante réunion à Dakar. L’objectif était surtout de rencontrer les leaders du pays de la Téranga, tout en procédant à des échanges sur des perspectives d’agrandissement des clubs et des secteurs Toastmasters dans les quatorze (14) régions du Sénégal. D’où la naissance d’une Division au Sénégal qui sera chargée de former à son tour d’autres leaders en vue d’élargir le cercle des Toastmasters.

Toastmasters est une organisation dont le but est d’aider ses membres à se développer et à disposer des aptitudes managériales dans différents domaines (en communication, leadership, activités socioéconomiques de manières générales). Chaque année, ses membres se retrouvent dans un pays donné appelé un District, que ça soit au niveau de la zone Afrique de l’ouest ou de l’Afrique centrale, ou ailleurs. C’est dans ce cadre que le Sénégal a accueilli les délégations venues des autres contrées du continent pour la tenue de leur conférence annuelle.

Au cours de la conférence de Saly, de nouveaux dirigeants ont été élus et le Sénégal s’est vu confier une division qui sera chargée de former les Toastmasters d’ici et de la Gambie. Ils seront 12 clubs qui vont, dans le cadre de leur fonctionnement, faire du ‘’pays de la Téranga’’ un Toastmaster fort de la sous-région. Après échanges entre les différents membres, «le Sénégal s’est vu rehausser d’une subdivision à part entière du District qui compose la Cedeao. La réunion de ce mardi visait à recueillir les avis des responsables de cette Division, faire part de leur vision et comment ils compteront s’y prendre par rapport aux prochaines activités».

 

 

La multinationale Endeavour Mining cooperation, est présente en Afrique de l’Ouest où elle est leader, notamment au Sénégal avec la mine d'or de Sabodala-Massawa, 4 mines au Burkina Faso, une mine et un projet de développement en Côte d'Ivoire. Elle produit en moyenne 45 T d'or par an. Sur le plan social, Endeavour a une fondation appelée "la fondation Endeavour Mining" qui porte tout ce qui est projet de développement durable, les projets en terme de contribution socio-économique au niveau des partenaires.

Lutte contre la désertification : La Grande Muraille Verte et  SGO ont signé un protocole de 40 millions de FCFA.

C'est cette fondation qui a initié et discuté avec l’Agence Sénégalaise pour la reforestation et la grande muraille verte. Cette discussion entre dans le cadre, non seulement  du projet de reforestation de l'environnement et de la biodiversité, de la création d'eco-village, des écosystèmes, mais aussi des activités de résilience et de préservation des moyens de subsistance. Ainsi, selon Abdou Aziz Sy, le directeur général de la SGO, "ce que nous faisons ici entre en droite ligne de nos objectifs d’être des mines avec de l’énergie verte parce que nous souhaitons limiter, réduire notre empreinte carbone. C'est donc très important de pouvoir développer des projets dans le sens la de re-végétation », a-t-il souligné.

Donc l’Agence panafricaine de la muraille verte avec sa composante sénégalaise et Sabadola Gold Operation ont signé le Mardi 17 Mai 2022, dans le cadre de la COP, un protocole qui est composé d’un budget de 40 millions de FCFA, « pour aider donc dans la reforestation au niveau des zones cibles de la grande muraille verte et pour le Sénégal en fait notre priorité serait si possible de le faire à Kédougou » a annoncé MSY.

 Lutte contre la désertification : La Grande Muraille Verte et  SGO ont signé un protocole de 40 millions de FCFA.

Mais « en fait Kédougou ne se trouve pas dans le couloir de la grande muraille verte, qui est plus proche de nous, c’est la région de Bakél donc c’est pour cela que nous avons ciblé Bakel dans ce projet-là de 100 ha et nous allons impliquer les collectivités territoriales qui sont dans cette zone où l’on va planter des arbres pour participer à freiner l’avancée du désert avec des arbres à valeur économique et développer les communautés, et que ces arbres aient une valeur ajoutée afin que les communautés puissent elles-mêmes s'améliorer et s'approprier ces projets… », a-t-il ajouté.  

CMU
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