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Malal DIALLO Pithi

Malal DIALLO Pithi

Dakar Science Po (DKSP), la première grande école panafricaine de Science politique, a participé à la 14e édition de la Biennale de l’Art africain de Dakar. Les étudiants de Dakar Science Po ont, en effet, accueilli, le 28 mai dernier, dans leur établissement, un public nombreux venu assister au vernissage de l’exposition de tableaux d’art plastique qu’ils ont entièrement réalisés. L'exposition principale, composée de 59 artistes de près de 30 pays, s’est tenue à l'ancien Palais de justice de Dakar. Ici, les étudiants ont profité des enseignements en art plastique inscrits à leur programme et animés par l’artiste peintre Doudou Sarr Ndoye. Ils se sont révélés de vrais passionnés d’art et de peinture. C’est du reste ce qui les a conduits à adapter les œuvres d’art qu’ils produisent à l’actualité politique du moment, en choisissant comme thème de leur exposition : « Le changement climatique, préoccupation de la jeunesse ».

 

Pour les étudiants de DKSP, cette manifestation a été le premier grand défi de leur association. En somme, un premier coup d’essai qui, au final s’est avéré être un grand coup de maître à la grande satisfaction du public, des étudiants et de la Directrice générale, Docteur Mariam Aïdara qui explique : « À Dakar Science Po, nous avons pensé qu’en plus de la maîtrise des fondamentaux de la science politique, les jeunes ont besoin d’activités culturelles telles que l’activité artistique pour leur permettre de s’ouvrir à d’autres sensibilités pour élargir le champ de leur expertise et de leur socialisation ».

 

Ainsi, loin du bruit et des embouteillages habituels de Dakar, la capitale sénégalaise, l’exposition des étudiants de l'établissement situé sur la VDN x Route du Front de Terre Lot n°02, a vu se succéder d’éminents invités, dont Me Papa Laïty Ndiaye, Bâtonnier de l’Ordre des avocats du Sénégal, Thérèse Diatta, la directrice de la Galerie Kemboury, entre autres. Tous se sont réjouis de cette invitation et de la qualité des tableaux qui ont mis en lumière l'intérêt que les étudiants accordent à l’art. Ils ont aussi partagé l’opinion selon laquelle, « Un bon intellectuel est quelqu’un qui a plusieurs talents. Sensibiliser les gens par l’expression artistique sur les questions environnementales est une bonne chose ».

 

Rappelant que la mission de l’établissement qui est de « former les nouvelles élites africaines, du secteur privé et du secteur public, à l’art de gouverner, entre autres, la Directrice générale de DKSP renseigne que durant leur formation, l’école met « tout en œuvre pour que ses étudiants acquièrent les bases solides de la Science politique qui est transversale à tous les domaines de la société qui aujourd’hui, doit faire face aux impacts négatifs du changement climatique ».

 

Faisant le bilan de la journée, Dr Mariam Aïdara soutient qu’elle a été une réussite. Selon elle, de l’engagement des étudiants, aux peintures exposées, en passant par la mobilisation des invités, cette première participation de Dakar Science Po à la Biennale de Dakar a tenu toutes ses promesses. « C’est une fierté de voir que cette génération de futurs hommes et femmes politiques prend conscience de toute l’importance qu’occupe la culture dans le développement d’un pays. Nous sommes fiers d’avoir pu participer à cette 14e édition et d’avoir pu inscrire Dakar Science Po aux côtés de très grands noms de l’art africain, et d’avoir apporté notre contribution à la célébration de l’art au Sénégal, et en Afrique en général. », a-t-elle conclu.

 

 

"Dadash Couture" s’est pendu. L’esthète des ciseaux n’excelle pas seulement en coupe et en couture. Loin s'en faut ! En plus d’être un spécialiste  de la haute couture, homme et femme, Pape Diop a aussi l’œil pour dénicher les bonnes graines . Il vient de convoler en justes noces avec  une belle nymphe aux yeux de biche.

 

L’union sacrée a été célébrée, ce samedi, à Dakar et ce, devant les  parents, amis et autres connaissances . Un mariage si riche en couleurs et en harmonie. Tant les deux tourtereaux étaient sur leur trente unième avec une belle mise au point  de Max Vision, le géant de la photographie.

 

La passion a envahi les étudiants de Dakar Science Po, eux qui ont subi des enseignements en art plastique dans le cadre de leur participation à la 14ème édition de la Biennale de l’Art Africain de Dakar. En effet, la Première Grande École Panafricaine de Science Politique a effectué une sortie à la 14e édition de la Biennale de l’Art africain de Dakar. Les étudiants de Dakar Science Po avaient accueilli, le 28 mai 2022, dans leur établissement, un public nombreux venu assister au vernissage de l’exposition de tableaux d’art plastique qu’ils ont entièrement réalisés. L'exposition principale, composée de 59 artistes de près de 30 pays, s’est tenue à l'Ancien Palais de Justice de Dakar.

Les étudiants de Dakar Science Po qui ont profité des enseignements en art plastique inscrits à leur programme et animés par l’artiste peintre Doudou Sarr Ndoye, se sont révélés de vrais passionnés d’art et de peinture. C’est du reste ce qui les a conduits à adapter les œuvres d’art qu’ils produisent à l’actualité politique du moment, en choisissant comme thème de leur exposition : le changement climatique, préoccupation de la jeunesse.

Pour les étudiants de DKSP, cette manifestation a été le premier grand défi de leur association, en somme un premier coup d’essai qui, au final s’est avéré être un grand coup de maître à la grande satisfaction du public, des étudiants et de la Directrice générale, Docteur Mariam AIDARA qui explique : « À Dakar Science Po, nous avons pensé qu’en plus de la maîtrise des fondamentaux de la Science politique, les jeunes ont besoin d’activités culturelles telles que l’activité artistique pour leur permettre de s’ouvrir à d’autres sensibilités pour élargir le champ de leur expertise et de leur socialisation. »

Ainsi, loin du bruit et des embouteillages habituels de Dakar, la capitale sénégalaise, l’exposition des étudiants de l'établissement situé sur la VDN X Route du Front de Terre LOT N°02, a vu se succéder d’éminents invités, dont Me Papa Laïty Ndiaye, Bâtonnier de l’Ordre des Avocats du Sénégal, THÉRÈSE DIATTA, la Directrice de la Galerie KEMBOURY, etc. Tous se sont réjouis de cette invitation et de la qualité des tableaux qui ont mis en lumière l'intérêt que les étudiants accordent à l’art. Ils ont aussi partagé l’opinion selon laquelle, « Un bon intellectuel est quelqu’un qui a plusieurs talents. Sensibiliser les gens par l’expression artistique sur les questions environnementales est une bonne chose».

Pour ADJA FATOU NDIAYE DIENG, étudiante en licence 2, « L’art aiguise davantage sa curiosité, l pousse à se questionner sur le comportement des acteurs politiques africains dans leurs rapports avec la politique qu’ils réduisent exclusivement à la lutte pour la conquête du pouvoir, alors que le Peuple ne demande qu’une chose, la transformation de son environnement, comme l’artiste cherche à le faire, pour la prospérité, le bonheur, la paix et la sécurité. ». Papa SANGOULE NGOM, étudiant en Licence 2 et Président de l’Association des étudiants de Dakar Science Po (AEDKSP), va dans le même sens. Selon lui, « L’art et la Science Politique ne sont pas des domaines opposés. Ils sont interactifs, donc complémentaires ». La Directrice générale de DKSP, Dr Mariam AIDARA de rappeler « La mission de l’établissement, Première Grande École Panafricaine de Science Politique, qui est de former les nouvelles élites africaines, du secteur privé et du secteur public, à l’art de gouverner....Durant leur formation, nous mettons tout en œuvre pour que nos étudiants acquièrent les bases solides de la Science politique qui est transversale à tous les domaines de la société qui aujourd’hui, doit faire face aux impacts négatifs du changement climatique ».

« Nos objectifs, à moins et long terme, c’est d’arriver à faire en sorte que les Africains s’approprient les objectifs et les orientations de Dakar Science Po, pour contribuer positivement à la renaissance de l’Afrique. Nous souhaitons contribuer à l’émergence d’un nouvel Homme africain qui aura une autre

approche de la Politique, un Africanus novus, capable de répondre à tous les défis du monde actuel», a précisé Dr AIDARA. Faisant le bilan de la journée, la Directrice générale de la Première Grande École Panafricaine de Science Politique estime qu’elle a été une réussite. Selon elle, de l’engagement des étudiants, aux peintures exposées, en passant par la mobilisation des invités, cette première participation de Dakar Science Po à la Biennale de Dakar a tenu toutes ses promesses. « C’est une fierté de voir que cette génération de futurs hommes et femmes politiques prend conscience de toute l’importance qu’occupe la culture dans le développement d’un pays. Nous sommes fiers d’avoir pu participer à cette 14e édition et d’avoir pu inscrire Dakar Science Po aux côtés de très grands noms de l’art africain, et d’avoir apporté notre contribution à la célébration de l’art au Sénégal, et en Afrique en général. », a-t-elle conclu, avec un très grand optimisme.

Ils sont plus de 70 entrepreneurs contractés dans le cadre du projet MCDAR (Mécanisme Communautaire et Décentralisé de Développement de l'Assainissement Rural) lancé en 2015 par le Ministère de l'Hydraulique et de l'Assainissement. Il consistait à construire des édicules publics (toilettes dans les lieux publics comme les marchés, foyers religieux, écoles, hôpitaux, cases et centres de santé, églises du Sénégal). Après réception de plus 600 unités d'une valeur de 2,500 milliards, l'Etat du Sénégal peine à honorer les factures. Face à la presse, ce mardi, les camarades d’Ibrahima Mbengue annoncent des actions fortes.

 

«Nous n'en pouvons plus. Depuis 6 ans, on court derrière notre argent. Nous avions présenté des dossiers valables et avions respecté tous les termes du contrat. Tous ceux qui étaient dans ce projet ont procédé à la réception de leurs ouvrages en présence du Préfet /ou sous-préfet de la localité sous la supervision d'un Inspecteur Général des Finances (IGF). En dépit de notre cri de cœur, l'on fait la sourde oreille. Ce qui est inadmissible», râle MBaye Ndiaye, membre du Collectif des Entreprises du MCDAR. Lui emboîtant le pas, Babacar Diouf, d'aller plus loin en déplorant une politique de deux poids deux mesures. «Le Président de la République Macky Sall avait donné des instructions fermes pour qu'on nous paie nos factures. Nous étions allés voir l'Agent Judiciaire de l'Etat. Mais, résultats des courses, une partie a été sélectionnée, on ne sait sur quelle base et payée au détriment de la grande majorité. Ce qui est injuste. Nos PV de réception sont là. Le Ministre de l'Economie et des Finances doit respecter les consignes du Président. Aujourd'hui, on ne doit pas sortir des sommes faramineuses pour, dit-on, venir en aide aux populations, créer des emplois en acculant à la faillite des Petites et Moyennes Entreprises (PME) comme nous. On doit consolider donc les emplois et non les précariser», embraie-t-il. Ibrahima Mbengue qui avait aussi à ses côtés Baye Fall, d'annoncer des actions dont une marche ou une grève de la faim pour les 70 entrepreneurs : «Nous lançons un vibrant appel au Président de la République Macky Sall pour le règlement définitif de leur problème. A ce jour, beaucoup de membres de notre collectif ont fini par rendre l'âme, d'autres poursuivis par les banques s'ils ne sont pas chassés de leurs maisons faute de paiement de loyer. Si le problème n'évolue pas, nous allons organiser des marches de protestation avec nos familles, faire diète. Trop, c'est vraiment trop».

Youssouf NDIONGUE

 

Le Directeur de la Lonase n'a pas été tendre avec l'opposition, notamment le leader de Pastef, Ousmane Sonko. Face à la presse pour, dit-il, lancer un message, Lat Diop a usé de mots virulents pour montrer son amertume face au comportement de l’opposition et à laquelle il compte faire face désormais. D’où la naissance prochaine de ‘’Lou Eup Tourou’’, un mouvement qu’il compte lancer pour s’ériger en fervent défenseur de l’Etat de droit qu’est le Sénégal et de ses citoyens.

Les dernières sorties de l'opposition qui, depuis quelque temps, se distingue, de manière violente, avec un appel à insurrection et des menaces physiques sur les autorités, ont fait réagir le directeur de la Lonase qui, pour toute réaction, convie la presse pour lancer son message. Mais, l’assistance a pu voir un Lat Diop très en verve qui est apparu devant ses militants et sympathisants venus très nombreux à ce face-à-face spécial avec la presse, pour réagir aux propos de l’opposition qui menace de perturber les prochaines élections législatives.

«Je ne vais pas  perdre mon temps sur le cas de cet imbé… (Ndlr : Ousmane Sonko) à qui je dis que ces élections législatives vont bien se tenir. Il ne se passera rien du tout. Je leur demande simplement d’épargner les jeunes qu'ils exposent sous le chaud soleil pour des mobilisations sans grande importance», réagit Lat Diop. Virulent à l’encontre du pastéfien en chef, il dézingue : «Sonko est un petit crétin, une pourriture. Il a droit à une réponse pour avoir proféré des menaces, mais, il ne mérite absolument pas qu'on perde du temps sur ses propos», a dit Lat Diop.

Selon lui, «ses menaces et autres bravades ne passent pas. Il a intérêt à faire autre chose. Mais on a pris bonne note par rapport à son appel à insurrection et aux attaques contre les responsables et autorités administratives. Pour tout ça, on le comprend, tous ses actes, c'est pour bluffer afin qu'il ne soit pas jugé par rapport à l'affaire qui l'oppose à Adji Sarr. Après quoi, il me verra sur son chemin. Dans ce cadre, je vais lancer un mouvement dénommé ''Lou Eup Tourou''. Le but est de défendre l'état de droit et les citoyens. Car, ça commence à en devenir trop avec cette opposition», argue le responsable de l’APR Golf Sud.

Youssouf NDIONGUE

 

 

 

Une conférence avec la presse a été organisée au lendemain de la marche de Yewwi par les leaders de la coalition de Benno Bok Yaakaar. Ces derniers qui adoubent le conseil constitutionnel, confortent le président de la republique dans ses démarches en tant que président de l'union Africaine. 

 

La conference de presse avait été tenue au siège de l'APR. Selon Mimi Toure qui était le porte parole du jour, " il faut saluer l’action du Président Macky SALL qui a fait preuve d'une volonté mébraniable pour soulager son peuple, en prenant des mesures fortes en termes de subventnon des prix sur des denrées sensibles où d'augmentation de salaires pour améliorer le pouvoir d'achat des ménages", dira-t-elle. Elle y ajoute que, " la coalition BBY encourage le peuple frère du Mali à poursuivre ses cflorts pour aller vers une sortie de crise".

 

BENNO ADOUBÉ LE CONSEIL CONSTITUTIONNEL 

 

prononçant au sujet du conseil constitutionnel, Mimi Toure déclare que, " ses camarades acceptent les décisions de justice. La coalition BY condamne les déclarations incendiaires des leaders de Yewwi.  En vérité, les leaders de YAW ne peuvent se prévaloir que de leurs propres turpitudes Le véridique du Conseil constitutionnel ne fait que confirmer l'aveu des leaders de YAW et qui avaient publiquement reconnu leurs erreurs et annoncé que leur hate proportionnelle serait invalidée. Les leaders de la coalition YAW ne peuvent pas avoir une lecture des décisions de justice à géométrie variable, En effet, lorsqu'une décision de justice leur est favorable comme cela été le cas pour leur liste départementale de Dakar, ils applaudinsent, mais lorsqu'une autre décision ne répond pas à leur « désidérata s, ils appellent à brûler le pays. Cette posture antirépublicaine, séditieuse, putschiate et rebelle ent inacceptable. Nous appelons les autorités de l'Etat à prendre toutes leurs responsabilités pour préserver l’ordre public et garantir la sécurité des biens et des porsonnes. La décision du Conseil constitutionnel met définitivement fin au débat sur les listes retenues, par conséquent, le débat est clos. La coalition BBY rappelle que le Sénégal demeure une vitrine démocratique qui 4 capitalisé des décennies d'expérience dans l'organisation d'elections libres et transparentes. Les élections législatives se tiendront à date échue, car le Sénégal reste un État de droit. Par conséquent, les menaces et les cris d'orfraie d'opposants déboussoles ne pourront constituer un frein à cet élan. La coalition BBY est prête à engager la bataille des législatives, parce que nous avons un projet, un leader et des résultats probants qui ont positivement impacté sur le vécu des sénégalais et sénégalaises. La coalition BBY magnifie l'élan d'unité et la cohésion en son sein. Nous saluons la remobilisation de la grande coalition Benno Bokk Yaakaar dans la perspective des élections législatives. La coalition Benno Bokk Yaakaar est en ordre de bataille pour gagner les élections législatives", explique Mme Toure. 

Modou Toure

 

 

 

Sa visite à Dakar ressemble une opération de charme car elle avait été nommée par Emanuel Macron comme ministre Déléguée auprès du Premier ministre chargée de l’Egalité entre les femmes et les hommes, de la Diversité et de l’Egalité des chances le 6 juillet 2020. Élisabeth est donc arrivée dans la capitale sénégalaise dans le but de dérouler les activités politiques de la France à l'étranger. 

 

Et un analyste politique de déclarer qu'Elisabeth est sur le point de concrétiser la vision du président de la France. Elle déclare : « Si on m’avait dit un jour, de mon petit Cap-Vert natal, que j’aurais la situation professionnelle que j’ai aujourd’hui et que j’aurais la chance d’inspirer les autres… je n’y aurais pas cru ». Elle a eu parcours politique et professionnel une expérience de « fille d'immigrés » qui l’aura amenée à développer un grand sens d’adaptation et une résistance aux défis. Elle affiche comme ambition de développer et de renforcer les relations et les échanges de toute nature entre la France et le Cap-Vert. C'est ce qui l'a value une nomination un an plus tard, comme Présidente-directrice générale de la filiale française de ce groupe informatique. Un atout indéniable pour une femme engagée, elle s’investit en parallèle auprès d’associations œuvrant en faveur de l’éducation, de l’inclusion et de la mixité professionnelle.

Force est de reconnaître que la ministre Moreno ne s’était encore jamais présentée face à ces concitoyens. Selon elle, " cette première campagne à la faveur des législatives 2022 ne sera pas de tout repos. Avec une douzaine de pays, la circonscription d’Afrique du Nord et de l’Ouest est vaste et  elle doit rassembler plus de 117.000 français d’horizons variés et aux besoins différents. Au Maghreb, la gestion des retraites des binationaux pose problème. La situation est régulièrement dénoncée dans des rapports parlementaires ou des avis de la Cour des comptes, du fait d’une absence de traçabilité réelle des pensionnés qui ne manque pas d’étonner les sages. La situation des français du Mali est aussi délicate alors que les relations entre les deux pays se sont crispées depuis 2 ans. Et les prochains mois seront encore plus difficiles avec un départ des troupes, et la réémergence des urgences sécuritaires. J'ai un grand rôle à jouer pour relever le défi", a-t-elle dit. Elisabeth Moreno qui est arrivée à Dakar pour rencontrer et recueillir les doléances des français, va en outre devoir de se frotter à la politique internationale, aux problèmes liés aux certificats de vie et au paiement des pensions, et bien d’autres thèmes pour répondre aux attentes fortes et légitimes des Français de la IXème circonscription des Français établis hors de France.

Sa visite intervient au moment où les urnes électroniques en France seront ouvertes dès le 27 mai et le premier tour se conclura le 05 juin (soit 1 semaine avant ). Le second tour aura lieu le 19 juin en France. La ministre s’est entretenue à Dakar avec ses compatriotes Français issus de divers horizons. Des échanges qui s'articulent sur l’entreprenariat, en tenant compte du genre et en se référant sur l’équité et l’égalité des chances, étant donné que pour elle, les femmes ont un potentiel énorme en terme de leadership. L'exemple qu’elle incarne montre encore une fois de plus que les Hommes et les Femmes issus de la diversité ont des capacités managériales incontestables. Le séjour de Mme Elisabeth Moreno, candidate de Mr Emmanuel Macron de la 9éme circonscription, à Dakar pendant un certain nombre de jours, a été bien rempli de bonheur pour les français qui se disent fier de son déplacement. Elle rafraîchie les relations entre la France et les pays africains. Une manière de concrétiser la vision de Macron, partenaire des pays sous développés. 

Modou Toure

 

Les populations de la banlieue n'ont pas cachées leur colère à l'encontre de l'opposition qui sème de la violence surtout au niveau de la place de la Nation, lieu où se tient la plupart des manifestations. 

 

À notre micro, la population a regretté les difficultés qu’ils traversent avant et après chaque manifestation. " La majeure partie de ceux qui travaillent à Colobane et environs résident en banlieue. Nous, nous fermons tables et cantines puis nous restons chez nous pour éviter les pillages. Chaque manifestation, les malfrats nous agressent en profitant de la situation. Ce sont les leaders de Yewwi qui sont les responsables", martel Ousmane Soro qui a décidé de ne pas aller au travail le jour de la marche de l'opposition. Des personnes interrogées racontent la même chose. Pour ces derniers, "même les familles résidentent des environs à Colobane ne restent pas à l’abri des gaz lacrymogène et autres agressions dont la plupart concernent des fauteurs de troubles militent dans les rangs de Yewwi". En effet, à chaque fois que des scènes de violence surviennent, les propriétaires de garages mécaniques les vendeurs et autres marchands qui viennent de la banlieue en subissent les contre coups. Mais très souvent, ce sont les jeunes qui sont pointés du doigt alors que les marcheurs sont les propres instigateurs. Une situation qui les attriste profondément. Force est de rappeler que la manifestation du M23 à la Place de l’Obélisque contre la candidature de l’ancien chef de l’Etat Me Abdoulaye Wade, ayant entraîné la mort du policier Fodé Ndiaye, en est le parfait exemple, puisque lors des faits plusieurs des jeunes avaient été arrêtés sans reparer les dommages enregistré à l'époque. Beaucoup de gens avaient perdu leurs marchandises. Des cantines avaient été défoncées. Des boutiques de validées. La majeure partie des personnes interrogées, dans la banlieue demande à ce que les autorités prennent des mesures nécessaires pour interdire les manifestations qui les empêchent de travailler.

Modou Toure

 

750.000 Franc Cfa est la somme débloquée par Abdou Karim Sall qui a été toujours à côté des adeptes du sport à Mbao. Le maire promet de donner du prime au Club de la commune dont-il dirige.  

Le maire avait offert encore des billets aux personnes qui avaient voulu partir au stade pour suivre le match. Les jeunes de Mbao étaient dans des rues depuis le matin de ce jour du samedi. Ils étaient arborés du drapeau de "Model" comme pour montrer le signal de satisfaction à l'endroit du ministre de l'environnement qui les encourage d'aller supporter les représentants de la commune pendant les compétitions. Interrogé sur les activités du Club, certains parmi les membres de l'équipe municipale qui accompagne le maire dans des œuvres sociales, déclarent qu'une victoire a été déjà acquise face à leurs adversaires même s'ils étaient très prudent pour ne pas prononcer sur le score. Des efforts qui ont été faits par Abdou Karim Sall témoigne sa sensibilité par rapport aux préoccupations des adeptes du ballon rond notamment à Mbao. Le geste du maire de Mbao soulage les compétiteurs du "Model", les habitants de la localité mais aussi tous les sénégalais. Répondant aux questions des journalistes, Abdou Karim Sall exhorte aux habitants de Mbao de rester uni et d'aller soutenir le Club "Model" .

Modou Toure

 

 

Les jeunes républicains du département de Keur Massar étaient en assemblée générale où ils ont abordés des sujets liés à l'unité. Ils se disent déterminer à tenir des activités qui permettent à l'Apr et ses alies d'obtenir une victoire pour les élections législatives à venir.                             

Une assemblée générale aux allures d'un meeting a été tenue à Keur Massar par la Cojer qui ont pris la parole à tour de rôle. D'après Ahmed Ka, " l'heure n'est plus à se chamailler. Le choix qui a été fait sur le confectionnement des listes est compréhensif. Tous les responsables doivent être en phase avec la vision du chef de l'état". Des mêmes propos ont été également abordés par Matar Ba et entre autres. Et Bamba de souligner que, " Keur Massar restera toujours uni autour de l'essentiel. Ce n'est pas le moment de manifester la colère même si ils savent tous que certains de leurs camarades sont mécontent".

*Il lance un appel à l'unité pour que les ténors de l'Apr de Keur Massar se retrouvent ensemble, se donner main dans la main pour éviter les syndromes des élections municipales passées qui ont fait que l'Apr et ses alies ont perdus beaucoup de localités. Et Matar Ba d'ajouter que, " l'assemblée générale a pour but de mettre en place des stratégies pour faire face à leurs adversaires politiques avant la campagne électorale pour les élections législatives à venir. Ce retrouvail des jeunes de Jaxaay, de Yeumbeul Nord et Sud, de Keur Massar Nord et Sud est un signal fort pour montrer aux hauts responsables de l'Apr que la Cojer est unie, puis est adhérente à la politique du président de la republique. La frustration est partout mais ce n'est pas le moment d'en faire des soucis. Seulement que les jeunes républicains qui se sont tous battus semblent être laisser en rade. C'est ce qui explique la colère de certains parmi eux qui ne souhaitent pas tourner le dos à un parti où ils ont milités depuis". Une assemblée générale qui montre que la Cojer de Keur Massar reste plus déterminer que jamais pour semer l'unité à l'essemble de la famille de la mouvance présidentielle.

Modou Toure

CMU
cmu