Le pôle mobilisation et parrainages de la coalition Benno a reçu des mains de Toumani Camara, Président du mouvement des handicapés républicains, 420 fiches au total pour un total de 4194 parrains récoltés en perspectives aux prochaines élections législatives. La cérémonie de remise a eu pour cadre la permanence de l’APR sis à Ouakam, mais a été un bon prétexte pour Mme Aminata Touré d’adouber le président et les membres de son mouvement qui, dit-elle, viennent de taper fort.

Pour les parrainages aux élections législatives du 31 juillet prochain, Cheikh Ndiaye, Aminata Diallo, Toumani Camara, Moussa Touachi, Abou Soumaré et l’ensemble de leur MHR ont remis, ce vendredi 4191 parrains à Mimi Touré. Ces signatures concernent l’ensemble des départements du Sénégal où le mouvement est établi. Remettant ces parrains, le président Camara a appelé tous les responsables de Benno à maintenir le cap jusqu’au 31 juillet 2022, date du scrutin. «Il n’y a pas autre chose qui vaille que d’assurer la victoire dans tous les départements. Il nous reste en tant que responsables de continuer ce travail. Être auprès des militants jusqu’au 31 juillet pour transformer ces parrains en suffrages ? Mais nous remercions Mme Mimi pour l’accueil et nous profitons de cette occasion pour formulons encore une fois notre désir d’être reçus en audience par le Président Macky Sall», a indiqué Toumani. Mme Aminata Touré, à son tour, de féliciter les membres du mouvement dynamiques et qui sont d’une loyauté et d’une fidèle exemplaires. «A l’image de Toumani Camara, je félicite et encourage les membres de ce mouvement qui abattent un excellent travail. Je reçois la liste de ces parrains avec plaisir et vous remercie pour les efforts déployés», a-t-elle dit.

Après avoir participer à tous les combats pour soutenir la politique de Macky Sall, la député madame Adja Dado Ly, militante puis présidente nationale du parti du feu Mamou Niasse reste aujourd'hui marginaliser et laissée en rade. Un cris de cœur dont-elle a lancée lors d'une rencontre avec la presse à Pikine. La député attire l'attention du président de la coalition de Benno Bokk Yakaar.

La rencontre des membres de BBY ressente avec la président de la république, les élections locales passées et encore les échéances législatives à venir puis entre autres sujets, ont été abordés par l'honorable député Dado Ly. Selon elle, " beaucoup d'efforts ont été faits pour accompagner la coalition de Benno Bokk Yakaar depuis le début mais jusqu'à que la, rien n'a été fait pour le parti où elle milite. Ce sont des directives qui avaient été données par le feu Serigne Mamour Niasse. Rp dispose d'un quota important pour les parrainages. un travail colossal a été fait au niveau de la base.

 Être reçu en audience au palais par le président de la République pour échanger sur le compagnonnage de entre Rp et Apr est important pour solutionner les problèmes qui risquent d'impacter négativement sur la situation et le fonctionnement de Bby à Pikine et ailleurs, a t- elle poursuit. "Rp qui ne tournera jamais le dos à l'Apr a fait ses preuves et compte travailler sans faille pour la victoire de Macky pour les prochaines élections législatives". Des propos tenus lors d'une rencontre qui avait été organisée par Adja Dado Ly, en présence des responsables et militants du feu Mamour Niasse de Pikine. " C'est vrais que Macky avait promis de nommé notre leader comme ambassadeur mais Dieu a fait que Mamour nous a quitté très tôt. La seule cible, c'est les élections législatives à venir pour le compte de la majorité présidentielle. Des directives qui avaient été données par le marabout avant sa disparition vont être honorées. Rp reste aujourd'hui négligé et laissé en rade malgré le travail que ses responsables sont entraine de faire pour accompagner Macky Sall sur la réalisation de ses projets au profit de tous les sénégalais.

C'est une tire qui doit être rectifié. mes militants et moi, '' allons pas baisser les bras pour continuer le compagnonnage avec l'Apr et de ses alliés. Telles sont des confidences de notre leader avant sa disparu", a t- elle dit devant la presse. À la question de savoir est ce que cette mise en garde du parti du feu Serigne Mamour ne vont pas dispersées la coalition à Pikine où plusieurs responsables avaient été battus lors des élections locales passées au niveau de leurs bases ? 

Modou Toure

En perspective aux législatives du 31 juillet prochain, ils ont été 17 maires du département de Podor, plus le Président du Conseil départemental et de hauts responsables, à adouber le coordonnateur de l’APR et de Benno Bokk Yakaar (Bby) pour assurer et rassurer sur la dynamique victorieuse de la majorité présidentielle dans leur terroir. En réunion, ce samedi, à la permanence de l’APR Dakar, ils ont rendu public un mémorandum dans lequel ils se félicitent du fait que Abdoulaye Daouda Diallo (Add) reste l’artisan des victoires de Macky à Podor, et demeure toujours le symbole d’unité de leur parti, mais aussi, un de ces grands  rassembleurs dont l’Apr a besoin pour davantage asseoir son leadership sur le territoire national.

En plus de Mamoudou Dia, tous les 17 maires et responsables politiques ont unanimement confirmé le leadership d’Abdoulaye Daouda Diallo derrière lequel ils s’engagent à se ranger pour assurer une victoire éclatante de la coalition au pouvoir lors des joutes prochaines. Ainsi, après avoir  déposé un nombre record de parrainages et effectué un travail de terrain salué par tout le département et les autorités du parti, Bby Podor compte maintenir, sous l’égide du Ministre maire de Bokki Dialloubé, cette belle dynamique de victoires entamée depuis 2012 et cela passe par une concrétisation des stratégies de ADD pour le triomphe de Macky. En effet, en rendant visibles les importants chantiers et réalisations du Président de la République, tant sur le plan des infrastructures que sur bien d’autres domaines, le Ministre des Finances et du budget, en grand homme politique, a fini d’orienter sur la nécessaire confiance à renouveler lors des prochaines législatives pour permettre au chef de l’Etat de continuer le travail salutaire aujourd’hui apprécié de tous les sénégalais. Et donc, cette réunion de ce samedi des responsables et maires de Podor à Dakar devra être perçue comme un message d’unité de tous derrière Abdoulaye Daouda, comme il a été stipulé dans le mémorandum qu’ils ont rédigé.

La commune de Mbao compte plus de 82 mosquées qui ont reçu de l'appui en termes de matériel qui est composé de ciment et autres. C'est le maire qui est encore passé par là. Le coup de l'aide à ces mosquées s'élève à plus de 5 millions de Franc Cfa, sur fonds propres.

" Un tel montant n'a jamais été investi à Mbao pour soutenir les mosquées depuis que la localité a été érigée en commune", explique la chargée des affaires religieuses de la commune. D'après un imam, " ces plusieurs tonnes de ciments offertes par le maire consistent à accomplir les mosquées qui sont en phase de construction. Il y a des lieux de cultes dont les mûrs sont vétustes. L'électricité fait défaut au niveau de certaines mosquées, des portes et des vitres cassées, sans parler du manque d'eau et des climatiseurs pour les morgues", dira t-il d'une voie chuchotante de satisfaction.

Toujours est-il que selon la chargée des affaires religieuses de la commune, " Abdou Karim Sall n'a pas attendu d'être élu pour appuyer les mosquées. Il le faisait bien avant d'être maire. Ses gestes de bienveillance à l'endroit des populations témoignent sa sensibilité par rapport aux problèmes que rencontre la commune de Mbao". Cheikh Diaw et Maodo de souligner que, " la commune a été héritée dans une situation de précarité mais l'équipe en place, sous la houlette d'Abdou Karim Sall, usera ses forces pour mettre fin aux calvaires des populations sans parti pris". Un sage évoque la sourate dans le Coran qui est relative de l'engagement de la municipalité envers les mosquées.

 " ku Tabaxal Yalla Neeg Ci Kaw Souff, Yalla Tabaxal La Neeg Ci Aldianna", dira t-il. C'est ce qu’ont compris Abdou Karim Sall et son équipe qui sont à pied d'œuvre pour sortir la localité des difficultés où elle était bien avant leur arrivée. À signaler qu'en commençant par les adjoints au maire, les agents et même les secrétaires travaillent sans faille, chaque jour que Dieu fait, sur instruction du ministre pour satisfaire la demande des populations de Mbao. Il faut reconnaître que le maire qui vient d'apporter son assistance aux mosquées de Mbao a encore frappé fort. Un appui qui est venu à son heure. 

Modou Toure

"Art Moma Yobante" est le titre de l'album produit par Mamadou Laminé Maiga. La cérémonie du lancement du produit a eu lieu dans un hôtel de la place. 10 titres sont suffisants à Mamadou Lamine Maiga pour confirmer son talent. Il n'a pas manqué d'aborder la tube qui parle de l'amour après avoir bien décortiqué d'autres morceaux où il rend hommage à Lat Diop. Maiga comme l'appellent ses fans, retrace la vie du prophète (PSL) à travers ses tubes qu'il projette devant la presse. D'abord le bijou porte, comme nom: "Art Moma Yobante".  ‘’Faw niou doon ben", "Ku sanioon", Mustapha, Lat Diop, "Xossal sa gomme", ‘’Hommage à Habib Faye’’, ‘’Art mo ma Yobante’’," Li fi maam baayiwoon", "Mbeggela neex" et "Medley": Ce sont des sujets biens décortiqués par M. Lamine Maiga.

La rencontre avec la presse a été une occasion pour l'ancien compagnon d'Omar Pene de projeter l'un des clips de l'album, où il est habillé en blanc, en boubou Wolof. Une photo qui figure sur la cassette, disait l'ancienne génération. En souriant, il porte un chapeau appelé en langue Pulaar: " Kufne". Les deux doigts posés sur ses oreilles à gauche et à droite. C'est comme si Maiga veut demander aux sénégalais d'écouter la vie. Un album qui succède " Expérience" qu'il avait offert aux sénégalais avant "Art Moma Yobante" et qui cartonne en ce moment.

L'artiste sénégalais qui vit presque à l'étranger tire un bilan sur son parcours, en parlant surtout des efforts qu'il a faits pour produire l'album. Il faut signaler que Mamadou Lamine Maiga fait partie des artistes qui ont marqué l'histoire de la musique sénégalaise. Ainsi, la publication d'un nouvel album lui permettra de revenir sur la scène où il était très attendu par ses fans. 

Modou Toure 

Aussitôt après sa prise de fonction comme nouveau maire de la ville de Guédiawaye, Ameth Aidara est descendu sur le terrain. Il a saisi l’opportunité de la célébration de la fête de l’aid- el- fitr pour prendre langue avec les populations, les militants et les sympathisants. Faisant fi de toute considération politicienne, l’une des associations et entités les plus populaires du département, à savoir la Fédération des femmes handicapées du département  l’a reçu jeudi dernier, à son siège sis à Wakhinane Nimzatt. En leur offrant 2 bœufs pour les besoins de la fête de la korité et 2 postes dans l’administration de la mairie pour leur insertion dans le circuit de la production économique, le maire Ameth Aidara, accompagné du maire honoraire de la ville Malick Gackou a défini la mise en branle de sa politique sociale et d’assistance sans exclusive pour toutes les couches et catégories sociales parmi les plus démunies. Il a invité les membres de cette entité à participer activement à la construction de la ville.

La présidente de la fédération des femmes handicapées du département Mme Khady Ba, surnommée « la lionne de Guédiawaye », de par sa détermination et son engagement dans l’action sociale et politique (elle est aussi la présidente nationale des femmes de l’ACT de Abdoul Mbaye) s’est félicitée de l’acte généreux et hautement significatif du maire Ameth Aidara, un digne fils du Guédiawaye. La lionne de Giédiawaye a ainsi dit tout l’engagement des femmes de son association à œuvrer aux côtés du maire Ameth Aidara, pour la construction et l’intérêt supérieur de Guédiawaye.

Mohamed Al Amine THIOUNE

Les trois derniers rapports du GIEC sont dans plus qu’une trilogie catastrophe qu’un simple avertissement. Les experts rappellent qu’il n’est pas tard pour lutter contre le changement climatique, bien que les aspects du changement climatique soient de plus en plus visibles.

Le changement climatique touche déjà 3.3 à 3.6 milliards d’habitants, environs un milliard de personnes pourraient vivre, d’ici 2050, dans des zones côtières menacées par la montée des eaux, selon le GIEC. La température dans le monde a augmenté de 1.1 degrés contrairement aux objectifs de limiter l’augmentation de la température à 2° voir 1.5°. Des dommages irréversibles sont déjà observés sur les plantes les animaux et au niveau humain par de graves pénuries d’eau.

Les politiques d’adaptation mises en place contre le changement climatique se développent : 170 pays au moins et de nombreuses villes ont intégré l’adaptation dans leurs politiques climatiques et leur processus de planification. Force est de reconnaitre l’insuffisance des adaptations par un manque de financement adéquat, d’engagement politique et de réponse à l’urgence. Une transformation de notre façon de vivre au-delà des politiques d’adaptation s’avère indispensable en mettant la société humaine sur la voiedu développement durable par la priorisation des énergies propres.

L’Afrique étant l’une des zones contribuant le moins aux émissions de gaz à effet de serre subit, de plein fouet, les conséquences de la crise climatique. Selon le GIEC : «avec un réchauffement climatique de 1.7°C, d’ici 2050, 17 à 40 millions de personnes pourraient migrer à l’intérieur de l’Afrique subsaharienne. Ce chiffre passant de 55 à 88 millions pour 2.5°C».

Le rapport d’Avril parle d’informations importantes sur les stratégies pour ralentir ou arrêter le changement climatique qui est entrain d’impacter toutes les régions du monde par le dérèglement des cycles aquatiques la montée du niveau de la mer, l’augmentation, la fréquence et la sévérité des tempêtes.

Nous allons devoir augmenter nos efforts d’adaptation et aussi trouver les moyens d’arrêter les dommages posés par les émissions de gaz à effet de serre. La conférence de Paris en 2015 a tracé le meilleur chemin pour limiter l’augmentation de la température à 1.5 °C, les autres scénarii, 2° ou 3°C, présentent trop de pertes et dommages. Le rapport du 4 Avril montre la voie malgré qu’on ait peu de chance pour y arriver et l’avenir serait pire si nous ratons cette opportunité. Le message est très clair, nous devrons réduire les émissions pour 43% en dessous du niveau actuel avant 2030. Si nous ratons cette opportunité les impacts seront majeurs et dangereux.

Une augmentation de 2°C de la température terrestre, et l’Afrique subira des impacts négatifs par : l’instabilité alimentaire, la réduction des ressources halieutiques, la réduction des productions agricoles, la réduction des disponibilités en eau. Le Sénégal s’est engagé dans l’exploitation du pétrole qui est à contre-courant de l’objectif de limiter la température à 1°C ou 2°C. C’est malheureusement la voie pour la destruction de la pêche qui nourrit la plupart des populations et soutient l’économie. Nous sommes à l’heure de la transition et non à l’exploitation du pétrole.

Le rapport du GIEC plus qu’une alerte est plutôt une ligne directrice montrant comment nous allons vers une vie durable. Les coûts de l’énergie éolienne et solaire sont presque au même prix que les combustibles fossiles. Compte tenu du potentiel énorme en énergies renouvelables ; le Sénégal est bien positionné pour capitaliser ces sources énergétiques.

Limiter le réchauffement à 1.5°C est possible et des solutions existent ; il faut une volonté commune surtout au niveau des pays développés et diviser par deux nos émissions d’ici 2030 grâce au solaire, à l’éolienne, à l’efficacité énergétique et à la protection des forêts. L’argent ne manque pas il faut simplement orienter les financements au service des solutions et non des problèmes. Le monde entier vit un moment unique ou les problèmes, comme les solutions, sont plus importants que jamais.

« Il n’y a rien d’égal à la petitesse d’un homme que sa vanité » nous apprend avec justesse un proverbe bien de chez nous. 

 Il faut dire que ce proverbe est très à propos concernant notre sujet : Barthélemy DIAS.

Beaucoup ont cru que Barthélemy Dias, devenu maire de Dakar allait être habité par la fonction, poser des actes concrets allant dans le sens d’une amélioration nette de la situation des dakaroises et dakarois et, se battre pour donner à la capitale l’image qu’en attendent les sénégalais. En le faisant, il contribuerait, autant que possible, au rayonnement d’un pays, porté par ses innombrables spécificités, qui sont à nulle autres pareilles sur le continent. Hélas, les habitudes ont la vie dure. Force est de constater que ceux qui en croyaient ont  porté une très grande ambition pour l’homme ! Voilà, qu’il vole au ras des pâquerettes, avec ses recrutements populistes, démagogiques de l’ex capitaine TOURE et de Guy Marius SAGNA, au lieu de s'atteler à ce pourquoi, il a été élu. Il pense voler au secours d’hommes qui n’ont pas une fine idée de la loyauté vis-à-vis de l’autorité et qui se sont retranchés dans les bas-fonds perfides d’un simulacre d’hommes anti système. 

On le connaissait léger, agitateur, tonitruant, mais de là à instrumentaliser les indélicatesses voire les fautes lourdes de certaines personnes contre l’État, pour les ériger en mode de gouvernance en dit long sur le personnage. Pauvre pitance pour calmer ses rancœurs ! Toutes celles et tous ceux qui, dans l’administration, ont désormais maille à partir avec l'État pour manquements et fautes graves et peut être demain d'opposants irreductibles, peuvent aller frapper à la porte de la pseudo agence de recrutement de la ville de Dakar. Cela va de boy djinné à Abdoul MBAYE et, excusez du peu…. Barthélemy DIAS qui, lui-même, est en procès pour des accusations de meurtre, semble avoir mal tiré les leçons de ce pan de sa vie. Il aurait pu intégrer au mieux l’importance de la justice et surtout le sens du juste. Il préfère n’en retenir apparemment qu’un sentiment "d’invincibilité" qui l’incite à épouser toutes les causes qui se présentent, sans discernement. L’important pour lui, est de jouer au justicier, assorti d'une recherche effrénée de buzz. 

 Quid donc pour lui de Dakar ville propre, bijou de l’Afrique, carrefour unique des échanges économiques et culturels, avec des infrastructures de dernières générations ? Bonjour, la démagogie, l’insouciance qui lui sont consubstantiels et cachent très certainement une incompétence notoire et une roublardise.  Le petit maire, osons le dire, est bien là par accident au regard de son attitude. TALLEYRAND avait vraiment raison de considérer que " l’ambition dont on n’a pas les talents est un crime "Avec le recul, je me dis qu’après l’échec de son mentor Khalifa SALL, Barth, aurait pu s’inspirer de Chirac, et plus proche de nous, de feu le Président Ousmane Tanor DIENG. Ils avaient du coffre. Hélas, ils ne sont plus là pour que leurs actes et paroles retentissent dans sa dure oreille. Mal lui en prendra.  En effet, le score à l'élection présidentielle en France de leur chère Anne HIDALGO est assez pertinent pour faire comprendre aux derniers des téméraires qu’une élection d’un maire, fusse-t-il d’une capitale, n’est pas semblable à celle d’un Président de la République. 

La protection de l'enfant a toujours été un combat de plusieurs acteurs qui ont mis en place un nouveau système dont l'objectif visé c'est de défendre cette couche. Certains enfants ont longtemps été victimes de mauvaises traitements. C'est ce qui explique l'engagement des acteurs. 

Pour se faire, un atelier a été tenu pour échanger sur la question qui demeure cruciale. L'atelier qui a réuni les différents acteurs a été une occasion de produire un rapport sur les efforts qui ont été faits pour mettre fin aux problèmes que rencontrent les enfants. Selon la directrice de (DPDPE), " la rencontre entre dans le cadre de la mise en place d’un système de protection, d’appui et de promotion des droits de l’enfant. Des manquements ont été constatés au cours de cette évaluation, tant sur le plan familial, étatique que sur tous les acteurs tournant autour de l’écosystème de l’enfant. La validation de ce rapport a pour objectif de mettre d’abord en place un système intégré de la protection de l’enfant, ensuite l’appui et surtout la promotion des droits de ce dernier, qui se base sur trois piliers : la prévention, la prise en charge et l’accompagnement », a-t-elle soutenu avant de poursuivre : « On note une remise en question perpétuelle et une mutualisation des forces tant du côté étatique que du côté des partenaires techniques et financiers ». Et monsieur Mame Ngor Diouf qui est le secrétaire général du Ministère de Femme de la Famille du Genre et de la Protection des enfants de déclarer que, " l'evaluation demeurait aujourd’hui encore plus qu’hier, une exigence au regard des nombreuses mutations sociétales qui sont source d’effritement des valeurs ».

« La SNPE contribue à conférer davantage de poids aux questions de la protection de l’enfant au niveau politique, à améliorer le cadre juridique et faciliter la mobilisation des ressources financières nécessaires à la mise en œuvre des programmes destinés aux enfants », a-t-il expliqué. Il faut signaler que le nouveau système qui a été mis en place permettra de défendre la cause des enfants, victimes de toutes sortes de mauvaises traitements.

Modou Toure

Cette année, la commémoration de la fête du 1% Mai survient dans un contexte particulier marqué par plusieurs défis. C'est ce qui fait la Cnts, a pris les devants en anticipant ses activités. Une rencontre à été tenue à cette occasion pour diagnostiquer les maux du Sénégal. 

Au plan international par un ralentissement de la croissance, dû notamment à une pandémie durable et handicapante, aux conséquences néfastes et multiformes, de surcroit le guerre en Ukraine engendrant entre autres, une flambée du prix du baril du pétrole, un sérieux risque sur la stabilité et La paix dans le monde. Au plan régional, règnent : une crise sécuritaire sous le péril terroriste, une crise politique et l'instabilité dans certains pays de la sous-région impactant de manière drastique les populations dans leur vécu au quotidien et professionnel précarisé. A va s’en dire, le Sénégal n’échappe pas aux conséquences drastiques et multiples de cette crise à l'échelle internationale et régionale. En effet, l'inflation galopante des prix des denrées de première nécessité dont en particulier le blé et le maïs que l'Etat peine à subjuguer, survient au moment où nous avons déjà enregistré de nombreuses pertes d’emplois, suite à la pandémie de COVID-19. L’approvisionnement régulier en produits pétroliers carburant et en kérosène est maintenant menacé. Selon les notes de conjoncture de 2021, pour le travail et l'emploi, des centaines d'établissements ont fermé boutique, engendrant plus de mille pertes d’emplois surtout dans les secteurs de l'éducation, de l’hébergement et de la restauration, de la construction et de commerce de gros et de détail. En outre, comparativement à 2019, les CDI sont enregistrés à ls baisse au profit des emplois temporaires, à la hausse. Nous avons noté au cours de l’année écoulée, de nombreuses violations des droits et libertés des travailleurs, notamment dans les secteurs de la presse, des mines et de la construction, des industries alimentaires, de l'hôtellerie et de la restauration ainsi que de nombreuses entreprises " difficulté avec de sérieuses menaces sur les emplois. En réponse aux luttes dans de secteurs divers, nous avons enregistré des efforts et séponses positives de l’état à l’actif des travailleurs, dont en substance : L'organisation de la 3e conférence sociale sur le thème de « la protection sociale pour tous » avec des recommandations fortes, portant entre autres sur les nécessité de :@ relever les niveaux de prestations de sécurité sociale, if) assurer la couverture du monde rural, fé} généraliser la retraite complémentaire à l’IPRES pour une meilleure adéquation des pensions, iv) réaliser une enquête nationale sur le secteur informel, opérationnaliser la mutuelle sociale des artisans, vi) parachever le processus d'adoption du nouveau code de sécurité sociale en intégrant les travailleurs de l'économie informelle, vii) mettre en place une caisse autonome de protection sociale universelle, viii) supprimer ou réviser le plafond des montants soumis à cotisation… L'élaboration d’un Registre National Unique(RNU), recensant 542 956 ménages à revenus faibles qui vont recevoir, selon le dernier conseil de ce mois, un Cash Transfert exceptionnel d’un montant global de 43 milliards, à partir du ce mois de mai, L'augmentation du point indiciaire de 05 points. La signature de la 2° convention collective dans le sous-secteur du pétrole portant sur le transport des hydrocarbures. La signature d’un protocole d'accords dans le secteur de l'éducation et de la formation ainsi que la mise sur pied d’un comité de suivi et d’un Conseil national pour l'Education et la Formation afin d'accompagner la mise en œuvre et garantir le stabilité nécessaire de ce secteur hautement stratégique. La mise en œuvre d’un processus de négociation dans le secteur de la santé et l’acheminement vers la signature d’un protocole d'accords global sur le régime indemnitaire qui, à l’image de celui dans l’éducation et la formation concrétisera la volonté de toutes les parties d’œuvrer de manière inclusive à une sortie de crise fortement attendue par tous les usagers des services de santé. L’accessibilité et le relèvement des plateaux techniques de santé, de même que le recrutement en nombre d’un personnel qualifié semblent être les appendices nécessaires À ces accords afin que ce secteur puisse répondre de manière optimale à l'attente des populations. Le renforcement des mécanismes de dialogue social par l’élaboration d'un plan de relance inclusif.