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Malal DIALLO Pithi

Malal DIALLO Pithi

C’est la désolation et la consternation des musulmans du Sénégal en général et de la communauté Khadriya du Sénégal et de la Mauritanie en particulier, devant cette ignominie et propos blasphématoires digne un ignorant, sur le Prophète Mohamed Ibn Abdallah, le sceau des Prophètes, (PSL), de celui qui prévaut et se réclame être musulman, lors de son invitation à l’émission de Sénégal 7TV Soir du 15 février 2021,

 

 Le Conseil Supérieur Khadriya pour l’Afrique (CSKA), en tant que structure religieuse d’obédience Sadiya, Fadélia et dont notre guide religieux Cheikhna Cheikh Saad Bouh Ould Cheikhna Cheikh Mohamed Fadel est de la lignée du sceau des Prophètes, Mohamed Ibn Abdallah (PSL), se voit injurié et atteint dans sa chair. Par conséquent, le Président de ladite structure et les membres de la communauté Khadriya condamnent, avec la dernière énergie, cette sortie malencontreuse et ignoble du sieur Diakhaté. Cheikh Ousmane Diop alerte pour que pareilles déclarations ne se tiennent plus dans notre pays. En effet, le Prophète MOUHAMMAD Ibn Abdallah (PSL) est la référence et la révérence absolue, et nous nous offusquons inlassablement et sans ambiguïté pour que de pareils agissements ne soient répétés.

 

Le Conseil Supérieur Khadriya pour l’Afrique (CSKA), respectueux de la parole de d’Allah SWT, des enseignements du Prophète MOUHAMMAD Ibn Abdallah (PSL) et de ces petits fils, Cheikhna Cheikh Abel Khadre GUILANI, de Cheikhna Cheikh Mohamed Fal Ould Mamin et de son fils Cheikhna Cheikh Sadou Abihi, a écouté le sieur Moustapha DIAKHATE en tant qu’invité dans l’émission de 7TV Soir du 18 février 2021, demandant pardon à Dieu et à  la communauté musulmane Sénégalaise, et a accepté cet acte de se repentir et alerte ainsi les Sénégalais en général et les musulmans en particuliers, que de telles dérives ne seraient plus être tolérées.

La SAPCO Sénégal SA invite toutes les personnes qui bénéficient de sous-baux sur l'assiette foncière de la station balnéaire de Saly Portudal, objet du titre foncier n°638/MB, à se rapprocher du Bureau des Domaines de Mbour pour solliciter la mutation de leurs titres d'occupation et leur inscription au livre foncier. Elles devront se munir d'un quitus dûment délivré par la SAPCO-Sénégal SA datant de moins de trois (03) mois, à compter du présent communiqué.


La SAPCO-Sénégal SA précise que cette opération concerne les parcelles de terrain faisant l'objet de titres d'occupations délivrés avant la résiliation de son bail sur cette assiette foncière le 02 octobre 2012.
Passé le délai du 30 juin 2021, la SAPCO-Sénégal SA se verra dans l'obligation d'user des voies de droit pour la résiliation de plein droit.
 
Société d'Aménagement et de Promotion des Côtes et Zones Touristiques du Sénégal Sicap Liberté 3-Villa 2118- Avenue Bourguiba. B.P. 3112 Dakar (Sénégal) - Tél. : (221) 869 08 88 Fax : (221) 867 21 22 
NINEA: 00154212G3 - Email: Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.. Site : http://www.sapco.sn

Le rythme de propagation de la maladie à Coronavirus s’accélère de jour en jour, accentuant la pression sur des services de santé déjà submergés par la demande quotidienne en soins liés aux pathologies courantes.

Depuis deux semaines (du 1er au 14 février 2021) le nombre de cas graves admis en réanimation se maintien au-dessus de 50, et oscille entre 53et63 patients. Durant cette période, 116 décès ont été enregistrés dans les formations sanitaires et déclarés par le Ministère de la Santé et de l'Action Sociale, soit un nombre moyen de décès journaliers de 9, avec des extrêmes de 3 et 12 (figure 1). A cela, il faut ajouter les éventuels cas de décès survenant à domicile et difficiles à quantifier en l'absence de confirmation post-mortem.

 

                                                  

 

Figure 1: Evolution des cas en réanimation et des décès dus au Covid 19 entre le 1er et le 14 Février au Senegal

 

Cette situation laisse supposer un retard diagnostique et donc une prise en charge tardive dans les structures de soins.

Dans le cadre de la lutte contre l'épidémie au Sénégal, la vaccination est porteuse d'espoir comme partout dans le monde. Cependant son introduction ne doit pas être précipitée, et requiert une stratégie claire et adaptée qui garantie la sécurité et l’adhésion des populations. Toutefois, elle ne sera qu'une solution supplémentaire qui ne devra pas remettre en question la pertinence et le maintien des mesures barrières dans l'immédiat et même à moyen terme. Elle contribuera sans doute à réduire l'incidence des infections et des formes symptomatiques (surtout les formes graves, prioritairement ciblées), mais son impact se mesurera dans la durée, et il faudra compter avec les cas résiduels et la menace des variants actuels et peut-être à venir. Il faut, par conséquent, d'ores et déjà renverser la tendance en misant davantage sur les actions menées au niveau de la communauté.

La prise en charge communautaire est une stratégie ayant fait ses preuves dans la réduction de la mortalité des endémies comme le paludisme, et constitue un des moyens à privilégier pour réduire l'incidence des cas graves et participer à la sensibilisation de proximité des populations. Elle permet de soulager les structures sanitaires et de désengorger les services de réanimation. Cette stratégie repose sur une prise en charge précoce et rapprochée des cas par des agents de santé communautaires formés et appuyés par les professionnels de santé.

 

Il s’agira de mobiliser le potentiel communautaire (ASC, DSDOM, Bàjenu gox, …), qui fait la force du système de santé sénégalais, pour faire face aux décès évitables liés à la Covid-19. Ces agents communautaires formés seront équipés de quatre outils essentiels : (i) un thermoflash pour la prise de la température, (ii) un oxymètre de pouls (saturomètre) pour déterminer la saturation du sang en oxygène(indicateur important de gravité de la maladie), (iii) des kits de traitement, et (iv) un téléphone portable.

L’organisation se fera à l’échelle du district sanitaire et par zone de responsabilité, autour de l’Infirmier Chef de Poste (ICP) qui aura en charge une équipe d’agents communautaires appelés dispensateurs de soins à domicile (voir figure 2 en annexes). Ces derniers, recrutés à partir de leur localité de résidence, vont servir leurs propres communautés. Chaque dispensateur sera responsable d’une zone (carré de maisons, sous quartier, quartier, village…) où il fera des tournées régulières dans toutes les concessions deux fois par semaine. Dans chaque maison, les personnes présentant une fièvre seront évaluées à l'aide d'une fiche simplifiée, sur la base d'une notion de contage et de 4 ou 5 symptômes évocateurs de covid-19,puis classées en cas suspects ou non suspects. Les cas suspects seront systématiquement orientés vers le poste de santé où un test rapide sera réalisé par l’ICP. Si le test est positif, le patient est référé au niveau du centre de santé de référence pour un prélèvement naso-pharyngé destiné au laboratoire, et pour une évaluation clinique complète et éventuellement radiologique. Si le patient obéit aux critères de prise en charge à domicile, le dispensateur de soins se chargera de l’administration du traitement et du suivi du patient.

La surveillance à domicile visera essentiellement la détection des signes de gravité et la mesure de la saturation du sang en oxygène. Une attention particulière sera accordée aux personnes âgées et celles présentant des comorbidités. En cas de gravité ou d’anomalie quelconque, le patient sera référé au CTE le plus proche. L’entourage de chaque malade ou sa famille sera mise à contribution pour le suivi et le soutien au patient. Le lien entre le malade, le dispensateur de soins, l’ICP et le centre de référence sera maintenu grâce au téléphone qui sera également utilisé pour la collecte et la transmission en temps réel des données. Ces informations vont enrichir le système de surveillance déjà en place, par l’apport de données communautaires.

En outre, les mesures préventives et les mesures de protection seront strictement respectées à chaque étape. Enfin, les agents communautaires seront outillés pour promouvoir les mesures barrières au sein de la communauté lors de leurs visites à domicile.

Cette approche simple, peu onéreuse,déjà longuement éprouvée et basée sur une composante essentielle de notre système de santé, permettra de jeter les bases d’une intégration en routine de la gestion de la Covid-19 dans le système de santé et permettra de renforcer le volet communautaire qui semble encore timide dans les stratégies actuelles.

 

            Dr Sylla Thiam

 Expert en santé publique

Secrétaire Général de l’Association des

Professionnels de Santé Publique du Sénégal

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Pr Masserigne Soumaré

Agrégé en Maladies Infectieuses

CHUN Fann,  Université Cheikh Anta Diop de Dakar

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Nous, Société Civile Sénégalaise composée d’organisations de femmes, de jeunes et de droits humains au premier rang desquels, les femmes qui ont toujours joué un rôle avant-gardiste, tout en rappelant que le Sénégal fait face à une seconde vague de la pandémie de la COVID-19, et que les gestes barrières sont fortement recommandées afin d’éviter la propagation de la maladie, déplorons les violences notées lors des manifestations de la journée du 09 Février 2021. 

 

Notant que souvent dans de pareilles situations de crise, ce sont les femmes, les enfants et les groupes vulnérables qui paient le plus lourd tribut.

Considérant que la présomption d’innocence ainsi que les droits humains doivent être respectés  dans toute procédure judiciaire entre différentes parties prenantes engagées  dans une action civile.

Convaincus que le Sénégal ne peut avancer sans la paix et la sécurité, nous invitons tous les acteurs politiques et les autorités étatiques, religieuses et coutumières, soucieux de préserver  les acquis démocratiques fruits de longues années de lutte à  garantir la stabilité, la sécurité et la paix durable, gages d’un état de droit.

 

L’analyse de la situation actuelle semble montrer une certaine incompréhension entre les acteurs ce qui peut conduire à une dégradation des rapports. Au vu de tout ce qui précède, la Société Civile en appelle à la responsabilité des différentes parties prenantes afin d’éviter d’engager l’espace politique dans des tensions insoutenables en cette période de crise sanitaire, sociale, économique. Il s’agira entre autres :

1) De faire preuve de plus de responsabilité, de retenue et de courtoisie à travers des déclarations apaisées afin de consolider la paix sociale ;

2) De garantir le droit de présomption d’innocence à tout individu interpellé dans le cadre d’une procédure judiciaire ;

3) D’exiger plus de professionnalisme et de responsabilité à la presse et aux forces de l’ordre dans le traitement de l’information et dans l’encadrement des manifestations afin d’éviter les dérapages.

Il s’appelle Assane Dieng, cordonnier de métier. Tenté par l’aventure via les embarcations de fortune, ce jeune sénégalais vient de bénéficier d’un financement de 5 millions de nos francs des mains des responsables du Fongip et de l'U-imcec.

 

Cette belle action permet ainsi à Thérèse Faye, administrateur général du Fongip réaliser un vœu cher d’un sénégalais en quête d’un devenir meilleur, mais sur le plan politique aussi, permet à la responsable de l’APR et maire de la commune de Diarrère (région de Fatick) de participer à la lutte pour la promotion de l’entrepreneuriat, dans un contexte de relance de l’économie lourdement frappée par la pandémie  coronavirus. Selon la dame Maty Fall qui a orienté Assane Dieng vers les services du Fongip, « il faut dire que son histoire m'a beaucoup touché, car, il a un métier et il est pétri de talent. C’est ainsi que j’ai  contacté des structures  au Sénégal sans trop y croire en me disant qu’on risque de me taxer "d'opposante". Une structure m'a fait tourner en bourrique avant qu'on me mette en relation avec l'administratrice du Fongip Thérèse Faye. Sincèrement j'ai hésité à l'appeler. Elle a été très pragmatique en prenant le dossier, me mettant en contact avec ses collaborateurs. Mais, grande a été ma surprise quand la médiation a connu une issue heureuse pour le jeune candidat ».

 

Ils sont donc nombreux ces jeunes qui sont dans le cas d'Assane Dieng. Et que Thérèse Faye a fini de convaincre que les jeunes peuvent réussir dans leur pays, si effectivement, ils s’approchent des services de l’Etat dans le cadre de la lutte contre l’émigration clandestine et la pauvreté. Les mécanismes de financement pour le financement des projets doivent également être connus des jeunes entrepreneurs comme Assane Dieng qui est bien parti pour travailler et faire vivre sa famille.

On se demande toujours ce qui a bien pu motiver le remplacement de la SDE comme concessionnaire et  fournisseuse de l’eau potable urbaine. Mais, toujours est-il que sa remplaçante, en l’occurrence la SEN’EAU, tarde encore à répondre aux exigences des consommateurs. Du moins, selon Abdoulaye NDIONGUE, agent de la Météo à la retraite, « nous ne comprenons pas la nécessité de changer la SDE pour la remplacer par une concessionnaire qui se distingue plus par la cherté des factures et par la rareté du liquide précieux. Nous pensons que le seul argument qui doit valoir, c’est la satisfaction des consommateurs et non changer pour changer ».

En 2018, quand la SDE perdait le contrat d’affermage qui le liait à l’Etat du Sénégal, beaucoup de sénégalais jubilaient dans l’espoir que les conditions de fourniture d’eau allaient s’améliorer. Mais, quelques mois après le démarrage de la SEN’EAU, ils sont nombreux, ces Dakarois gagnés par l’amertume. Selon Abdoulaye NDIONGUE, « on se souvient encore des coupures intempestives d’eau qui nécessitaient des veillées nocturnes dans l’attente d’une pression d’eau hypothétique. Cette situation n’était pas sans conséquences majeures, surtout qu’à la fin du bimestre, les factures grimpaient d’une manière disproportionnelle par rapport à l’utilisation qui était faite de la denrée ».

Cette situation durait des années et des années sans que personne ne puisse imaginer que la SDE allait voir son contrat résilié au profit de la SEN’EAU. Aujourd’hui, on a changé de fournisseur et dès lors, l’espoir pouvait naitre dès lors. Mais la suite des évènements transforme le soulagement en inquiétude. Interrogé sur les conditions actuelles de ravitaillement en eau, l’agent de la Météo à la retraite laisse apparaitre son dépit : « Nous vivons la même situation de départ, c’est kif-kif bourricot (ndlr : c’est la même chose). Notre espoir s’est volatilisé quand j’ai reçu les premières factures de la SEN’EAU. Mais le comble dans tout ça, c’est qu’on ne voit toujours pas d’eau. C’est inquiétant tout cela, car, il ne se passe plus un jour sans qu’on entende un communiqué pour annoncer des coupures du jus ». A la longue, on se demande légitimement si ces concessionnaires ne viennent dans notre pays que pour prendre leur part du gâteau national. En définitive, on retient que la SDE a échoué et est partie avec des milliards, mais depuis que la SEN’EAU est arrivée, rien n’évolue. En tout cas pas pour le moment, après trois années d’exercice.

Les manifs en ces temps de coronavirus risquent d’aller loin. Non pas parce que les manifestants sont partisans de tel ou de tel, mais plutôt par qu’avec le couvre-feu, où les heures de travail sont considérablement réduites, les gens n’arrivent plus à joindre les deux bouts, avec des gains journaliers revus à la baisse. La crise économique s’est tellement accentuée que pour la moindre occasion, ils pètent les plombs. C’est dans ce contexte qu’il faut analyser le fait que la voiture de la Police ait été incendiée. Vivement que corona quitte et que les choses reviennent à la normale.

C'est une lapalissade d'affirmer que la spéculation foncière est un véritable cancer qui gangrène la commune de Bambilor, tout en anesthésiant par ricochet chez les élus toute vision prospective de nature à soulager les maux des populations. A Bambilor (une commune exsangue) le foncier où « pétrole de la décentralisation » nourrit bien l'édile et son cercle fermé de courtisans et rabatteurs. Elue sur la base d'une feuille de route bien définie une partie de l'équipe municipale s'adjuge le statut pas du tout honorable de minorité heureuse et joue volontairement la carte de l'amnésie et de la boulimie financière insatiable pour faire main basse sur ce qui revient de droit aux populations. L'édile feint d'ignorer la règle d'or qui donne aux populations le droit d'exiger des comptes et une exigence de clarification de ses états de service au nom du principe sacro- saint de la redevabilité. A Bambilor, la gestion solitaire et le centralisme excessif sont des bretelles d'accès aux ressources foncières et ses avantages connexes. En témoigne l'éternel encombrement de l'hôtel de ville qui donne l'impression d'être un vaste bazar où se côtoient jeunes promoteurs, entremetteurs et des fatigués citoyens à la recherche d'insaisissables délibérations. A y regarder de près, le slogan « le foncier d'abord » prime sur des réalisations (à la facture salée) exécutées et réceptionnées sur fond de folklore avec le soi-disant VIP de griot dakarois comme maitre de cérémonie.

A l'image de la conquête du far West américain, on peut affirmer sans risque de se tromper que dans la fatiguée commune de Bambilor, l’assiette foncière s'est rétrécie comme peau de chagrin sous l'effet des tronçonneuses, bulldozers et autres accessoires maléfiques des jeunes promoteurs crées de toute pièce par l'édile qui comme une éminence grise tire les ficelles, les enrichit et négocie ses parts à l'arrière boutique. Ces lotissements sont exécutés sur des zones litigieuses où sur le domaine réservé par la puissance publique. L'équipe municipale le sait très bien. Toutefois les inconditionnels du maire, remuent, terrassent et morcellent les terres sans aucune réserve. S'enrichir, rouler carrosse et construire autant de villas possibles est leur mot d'ordre. Ce déferlement impétueux des brigands du foncier dans la commune de Bambilor a fini par mettre à nu une kyrielle de lotissements irréguliers que nous avons toujours dénoncer en usant de notre posture de lanceurs d'alertes. Il faut oser l'audit du foncier de la commune de Bambilor. Sous ce registre, la descente des éléments de la DSCOS sur les lieux (fromage des jeunes promoteurs) nous rassure. L'audit est une nécessité. Les populations tenues à l'écart au moyen d'une gestion solitaire et unilatérale ont besoin d'être édifiées. Les révélations du boss de la DSCOS sur la gravité de la situation du foncier à Bambilor sur le plateau très officiel de la RTS nous donnent des gages. En définitive, il faut désamorcer cette bombe foncière sur laquelle est assise la commune de Bambilor.

Arouna Dial

C’est une forte contribution à l’effort de lutte contre la pandémie que les leaders du Mouvement pour la Refondation des Valeurs (MRV) et la plateforme ‘’Xipil Xol lifi Macky deff’’ ont apportée afin d’atténuer l’évolution de la Covid qui connait une ascension fulgurante avec l’avènement de la seconde vague. En effet, c’est 30.000 masques, 10.000 bouteilles de gel hydro-alcoolique, 30 lavoirs et d’autres matériels d’une valeur totale de 5 millions qui ont été distribués dans les lieux à forte concentration humaine de la commune de Yoff.

Le Coronavirus continue de prendre de l'ampleur avec la résurgence de la seconde vague,  occasionnant  plusieurs pertes en vies  humaines et des conséquences économiques fâcheuses. Pour y faire face, le Président de la République Macky Sall avait déjà appelé à la volonté de toutes les forces vives  du pays pour barrer la route à ce fléau. C’est ce que Mamadou Gueye, leader du MRV a bien fait en débloquant une enveloppe de 5 millions pour l’achat de produits de protection et des matériels-phytosanitaires. Pour Assane Fall, le porte-parole du MRV, «nous, membres du Mouvement pour la Refondation des Valeurs (MRV, mouvance présidentielle), voulons répondre à cette invite du Chef de l'État à travers cette action d'aujourd'hui. Nous apportons ainsi notre modeste contribution à l'effort de guerre contre le COVID-19. Sur ce, 30.000 masques, 10.000 bouteilles de gel hydro-alcoolique et 30 lavoirs vont gracieusement être mis à la disposition des populations de notre chère Commune de Yoff». Pour cette première phase de cette 2ème vague du Coronavirus, poursuit-il, «nous ciblons, de prime abord, les points et autres lieux à forte concentration humaine comme le grand marché de Yoff, le Garage, les mosquées, etc. Nous pensons que pour gagner cette guerre contre ce funeste virus, il nous faut un élan communautaire. C'est pourquoi, nous lançons un vibrant  appel à tous les acteurs à la base pour sortir victorieux cette bataille». Mais, reconnaissent les membres du MRV, «cette action est rendue possible grâce à la forte collaboration du leader de la plateforme Xipil Xol Doro Gaye qui s’est manifestement bien déployé pour la réussite de cette initiative sociale».

 

Le Président Macky Sall avait annoncé, par le biais du Ministre, Secrétaire général du Gouvernement,  la création du Conseil National pour I ‘Insertion et l’Emploi des Jeunes (CNIEJ). Aujourd’hui, cette structure a vu le jour et est sur le point de faire une révolution en termes de recrutements massifs et d’insertion des jeunes dans les circuits économiques de production. Ce qui met la jeune apériste Dieuppeul Derklé Marème Tabane dans un état de satisfaction au point de louer cette belle initiative du chef de l’Etat, avant d’exhorter les jeunes du Sénégal à se retrousser les manches en les invitant au travail.

Plus satisfaite que Marème Tabane de l’initiative du Président Macky Sall de la mise en place du CNIEJ n’existe pas, elle qui n’hésite pas partager ses sentiments. Scotché par la presse au détour d’une initiative sociale qu’elle a organisé dans sa commune, la jeune apériste soutient que « désormais, tout va changer. Car, les jeunes seront formés à des métiers qui répondent aux besoins de l’économie et du marché du travail et, d’autre part, les diplômés seront accompagnés à bien entrer dans la vie professionnelle et économique ». Mais le plus important pour Marème Tabane, c’est qu’une priorité fondamentale sera accordée aux jeunes diplômés, en cohérence avec les dispositifs publics (DER F/J, ADEPME, ANPEJ, 3FPT, ONFP, etc.) ».

Et quand le Président Macky Sall soulignait l’impératif d’actualiser la cartographie des demandeurs d’emplois au Sénégal (en intégrant l’âge, le genre, la région et la formation), Marème exultait : « Nous les jeunes du Président Macky Sall, on peut crier notre satisfaction, car c’est là l’un des points les plus importants parce que maintenant, on va veiller à une meilleure maîtrise des flux de sortants diplômés des écoles de formation professionnelle, sans compter qu’avec l’avènement du pétrole et du gaz, il y aura plus d’offre d’emplois que de demande, et vers cet objectif que le Sénégal sous Macky Sall se dirige ».

 

                 

CMU
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