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Malal DIALLO Pithi

Malal DIALLO Pithi

Moustapha Ba ne mérite pas d’être traité de la sorte dans la presse de la part d’un mercenaire de la plume. « Et d’ailleurs, comment peut-on, un beau jour, se lever et attaquer un si brillant commis de l'état, cadre supérieur du ministère des finances et du budget connu pour ses aptitudes et son dévouement au service de son pays, pour qui il se sacrifie depuis des années, qui bénéficie du soutien du PR Macky Sall et de ses supérieurs hiérarchiques, et dont le travail est vivement apprécié à sa juste valeur?, s’interroge Dame Ndiaye, leader du ‘’M3M avec Macky’’ qui ne pouvait rester sans apporter une réaction à cet article dénué de tout fondement et commandité par des mercenaires.

L’auteur de l’article paru sur le site www.directnewsinfo.com a laissé apparaitre ses intentions calomnieuses et dégradantes à l’égard du petit fils de Maba Diakhou Ba, un haut et digne cadre que toute l’administration adoube et félicite pour son travail acharné et productif, exclusivement au service de l’Etat et du Président de la République. « Mais c’est peine perdue, car, en parcourant son texte, édicté par des mercenaires qui certainement lorgnent le fauteuil de Moustapha Ba, on se rend compte que ses propos sont sans fondement. Par exemple, le protégé de Pape Diogaye Faye, propriétaire du site, veut faire comprendre que si les caisses sont vides au Conseil Economique Social et Environnemental, c’est dû aux caprices et au refus du Directeur du Budget d’engager des bons pour des  institutions qui ne souffrent d’aucun problème de trésorerie. Voilà ce qui est hilarant : Comment le Directeur du Budget peut-il être imputé d’une gestion qui ne le concerne guère, et dont il n’est pas l’ordonnateur des dépenses. Cela traduit forcément la haine et la méchanceté que le signataire de l’article fait montre », fustige Dame Ndiaye. Selon le leader de ‘’M3M avec Macky’’, « Non, Moustapha Ba n’est pas connu pour orchestrer des machinations, au contraire sa présence pendant un mois ferme, aux côtés du Ministre des Finances et du Budget Abdoulaye Daouda Diallo, lors du vote des budgets à l’Assemblée Nationale, témoigne de son sérieux et de sa haute prise de conscience que le bon fonctionnement des institutions reste son souci premier », a réagi Dame Ndiaye. Qui s’offusque du fait que l’ennemi de Moustapha Ba déclare que la signature du ministère des Finances n’est plus crédible au niveau des banques. « C’est même dangereux de soutenir de telles allégations. Comment peut-on faire comprendre que la signature du Ministère des Finances n’est plus crédible ? Je pense que l’Etat devrait arrêter ces genres de personnes qui ne cherchent qu’à semer la zizanie auprès des partenaires de l’Etat. Là, ce n’est plus la personne de Moustapha BA qui est visée, mais, la stabilité et le bon fonctionnement de notre Etat qui entretient des relations de confiance avec ses partenaires au développement, au premier rang desquels se trouvent les institutions financières. D’ailleurs, c’est archi-faux, car, les banques sont plus confiantes avec les chèques émis par le trésor, car, elles sont sûres qu’elles rentrer dans leurs fonds ».

''La prévention sur l'usage des drogues en milieu scolaire, une approche inclusive et participative pour préserver l'avenir de la jeunesse sénégalaise'' a été le thème du panel débattu ce lundi au Centre Jacques Chirac des Thiaroye, et qui a réuni, outre les initiateurs, les femmes, les jeunes et les parents d'élèves  pour comprendre les méfaits de l'usage des drogues, mais aussi de l'importance de la prévention, surtout en milieu scolaire. ''Non à la drogue, boul ko lale, boul co diégué'' y a été lancé comme slogan afin d'armer les apprenants contre ce fléau qui continue de faire des ravages en décimant la population jeune. Selon Malal Diallo, coordinateur des volontaires pour l'émergence de Pikine et initiateur de l’activité, ''le choix du GL Matar Diop, Coordinateur du Comité interministériel de Lutte contre la Drogue (CILD) pour animer ce débat est plus qu'une opportunité. En ayant à ses côtés la jeune parlementaire Marème Soda Ndiaye, très impliquée dans la lutte pour la cause de la jeunesse et Abdoulaye Diouf, acteur infatigable dans le cadre de la lutte contre les drogues, les débats ne pouvaient qu'être enrichissants. En tout cas, c’est le but que nous recherchions à travers cette activité de sensibilisation. Nous ne comptons pas nous en arrêter là, nous allons toujours dans le cadre d’appuyer les populations de Thiaroye, organiser un arbre de noël, pour les tous petits afin de leur permettre aussi de bénéficier des cadeaux de fin d’année et pour leur rendre heureux. Comme quoi, les volontaires de l’émergence se mettent au niveau de la politique sociale du Président Macky Sall, notre mentor et leader charismatique ».

En effet, selon le coordinateur du CILD, ''la drogue, au regard des multiples méfaits sur les jeunes, est un sujet qui devrait être une préoccupation pour toute la population. Mais, c'est par des activités de sensibilisation qu'on l'on serait amené à poser des jalons pour prévenir la population jeunes. Par ailleurs, nous nous réjouissons de la présence de l'honorable député à qui nous demandons de porter le plaidoyer pour qu'au niveau de l'Assemblée Nationale, le vote des lois, dans le sens de durcir les sanctions, puisse être diligenté et accéléré. Le rôle de la société civile également est fortement attendu, et c'est l'occasion pour moi de féliciter Malal Diallo pour cette importante initiative. En tout cas, dans le cadre la célébration de la journée nationale de lutte contre la drogue, nous allons adhérer à la cause de susciter une importante participation de la société civile''.''Je lance un message à la jeunesse de ne jamais être tenté par un désir de découvrir. Sinon, il sera très difficile de s'en sortir. Donc en guise de prévention, je les exhorte à éviter l'usage de drogue. C'est finalement l'affaire de toute la famille qui doit être impliquée au premier plan'', dira Matar Diop. Qui déclare en marge de l’activité a déclaré: « le problème de la drogue est réel et est très présent dans le milieu scolaire. Donc, c’est bon d’agir en amont, comme c’est le cas aujourd’hui au centre Jacques Chirac de Thiaroye. Et donc, l’intervention de la société civile est tout aussi bénéfique et décisive. Mais des efforts sont faits, avec la mise en place d’une plateforme au niveau du Net et il existe aussi un module sur la drogue qui permet de familiariser les élèves et de les prémunir ».

Youssouf NDIONGUE

 

Dans le cadre de son programme de formation destiné à former 5000 jeunes africains, l'incubateur ‘’Tomorrow Africa’’ a organisé une formation de deux jours les 20 et 21 décembre à Dakar sur la conception de site web et de référencement, de nouveaux métiers offerts par le web et qui constituent une alternative face à la rareté de l’emploi.

 

Cette formation gratuite a permis à une trentaine de jeunes, diplômés comme chômeurs, d'être bien outillés sur les techniques digitales. Selon Mame Sala Dior Dieng, consultant formateur et initiateur de cette importante activité, « il convient de noter qu’en marge de cette formation, la fondation HEC a rencontré les bénéficiaires pour leur proposer des financements à hauteur de 80% pour les porteurs de projets. Par ailleurs, nombreux ont été les jeunes qui ont sollicité de participer à cette formation, mais vu le nombre restreint, beaucoup n'ont pas pu assister car les inscriptions étaient déjà bouclées. Ainsi, nous donnons rendez-vous au mois de janvier à tous ceux qui veulent bénéficier de nos formations gratuites de s'inscrire sur notre plateforme www.afrikdigitalgroup.com ou de nous envoyer un mail à Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. ».Cette activité s’inscrit dans la logique de l’incubateur de former 5000 jeunes africains pour encadrer et former les jeunes dans le but de leur faciliter les opportunités de création d’emploi. Cette initiative vient à son heure dans un contexte où des milliers de jeunes périssent dans le ventre de l’Atlantique à la recherche d’un devenir meilleur. « Mais comme il y a de nouvelles niches d’emploi qui n’avaient pas jusque-là été explorées, nous nous sommes lancés à leur faire découvrir les opportunités du digital. De sorte que les bénéficiaires, qui comptent déjà plusieurs nationalités, ont effectué des séances de formation gratuite, ce qui recoupe carrément notre vocation qui est d’aider les jeunes dans leur ensemble, diplômés comme chômeurs, qui pourront nous rejoindre s’ils veulent parfaire leur connaissance dans le domaine digital », s’est ainsi exprimé Mame Sala Dior Dieng, directeur général de Afrique Digital Group et fondateur de l’incubateur ‘’Tomorrow Africa’’.

 

Youssouf Ndiongue

 

Ce n’est pas seulement par des activités politiciennes que s’identifient le Moder et ses membres. Ce samedi, les jeunes républicains ont organisé un panel sur un thème à préoccupation internationale, une initiative inspirée de la déclaration du Président Macky Sall tenue lors du forum sur la paix et sur la sécurité tenue à Dakar récemment à Diamniadio.

 

« Il y a aujourd’hui pas moins de 30 000 hommes sur un terrain pris en otage par une bande d’individus », avait fini de constater le Président de la République Macky SALL. Dans son discours d’ouverture du 6e Forum International pour la Paix et la sécurité tenu à Diamniadio, le chef de l’Etat se demandait par la suite : « Pourquoi nous ne sommes pas capables de régler ce problème ? ».

Saisissant la balle au rebond, le Moder a jugé utile et nécessaire de susciter des réponses en organisant un panel avec des invités de marque pouvant débattre sereinement du sujet : il s’agit de l’ancien chef de la Diplomatie Sénégalaise et actuel Médiateur de la république, Alioune Badara Cissé, avec comme modérateur M. Latif Aidara, enseignant-chercheur, professeur au centre d’études diplomatiques et stratégiques de Dakar.

Dans leur intervention respective, les invités du Moder ont confirmé le bien fondé du plaidoyer lancé par le Chef de l’Etat pour le renforcement du dispositif de l’Onu et de la mission du Minusma, tout en esquissant des débuts de solution comme quoi, il faut un mandat robuste au Mali. Mais, en prenant  l’initiative d’organiser un panel animé par deux intellectuels de haut niveau, Réné Pierre Yéhoumé et ses camarades ont voulu se pencher sur le rôle de l’Onu au Sahel dans un contexte sécuritaire de plus en plus difficile ainsi que sur l’importance et l’efficacité de la coopération militaire.

« Nous avons voulu renforcer la position très pertinente du Président Macky SALL en faisant intervenir les différents porteurs de voix et des acteurs politiques pour clarifier l’opinion sur cette question centrale dans la recherche contre l’insécurité aux portes du Sénégal. J’ai pu, après la présentation de Abdoul Latif Aidara, me rendre compte combien il est urgent, pour l’Etat du Sénégal, de fournir d’intenses efforts afin de repousser les germes du terrorisme qui frappent à nos murs. Mais, le leadership et le charisme du chef de l’Etat, mais aussi sa détermination à faire face, nous donnent de réels motifs de satisfaction et d’espoir », fait constater le leader du Moder.

Youssouf NDIONGUE

 

« Je préfère la répression devant l'anarchie orchestrée par les indisciplinés de ‘’Ñoo lank’’. Sous le prétexte d’une marche contre la hausse de l’électricité qui, pourtant, ne vise que les grands consommateurs, ils sont manipulés et financés par des lobbys obscures afin de déstabiliser le pays», soutient Ousmane Faye, leader de Mankoo Wattu Sénégal (MWS).

Dans le cadre d’une activité politique tenue ce dimanche dans le département de Pikine, Ousmane Faye s’est vivement prononcé sur l’actualité nationale marquée par l’affaire de la hausse sur les factures d’électricité,  et l’organisation de la marche réprimée par la Police qui en découle. Mais, pour le leader de MWS, « il convient de rappeler, avant tout, que depuis que le Président Macky Sall est à la tête de ce pays, des diminutions ont été opérées, à plusieurs reprises, sur les  factures d’électricité mais aussi sur les denrées de première nécessité. Maintenant que l’Etat veuille opérer des ajustements après la montée en puissance du dollar et le baril du pétrole, afin de poursuivre son projet  pour permettre aux populations rurales de disposer elles-aussi de l’électricité, des énergumènes très indisciplinés, manipulés et financés par des lobbys obscures, se mettent à brandir des menaces et défient ouvertement l'autorité et les forces de l'ordre pour installer l'anarchie et déstabiliser le pays. Cela est inacceptable et moi Ousmane Faye, je préfère la répression face à l'anarchie, comme disait l’ancien Président de la Côte d’Ivoire, feu Houphouët Boigny. Par conséquent, je félicite toutes les forces de l'ordre pour leur fermeté et leur professionnalisme dont ils ont fait montre pour assurer, de manière régalienne, la sécurité des personnes et de leurs biens ", dixit le Président de la Coalition MWS. 

Très en verve, Ousmane Faye s’est prononcé sur l’actualité marquée par l’affaire de la hausse sur les factures d’électricité et l’organisation des matches qui en découlent. Mais, selon le leader de MWS, « il convient de rappeler que depuis que le Président Macky Sall est à la tête de ce pays, des diminutions ont été opérées, à plusieurs reprises, sur les factures d’électricité et les denrées de première nécessité. Maintenant que l’Etat veuille opérer des ajustements afin de permettre aux populations rurales de disposer elles-aussi de l’électricité, on se met à brandir des menaces en voulant organiser des marches, alors qu’on restait des heures sans le jus et que personne ne trouvait à dire en payant très cher ».

C’est à travers un face à face avec les journalistes que le leader de MWS a tenu  à faire cette importante déclaration, pour demander à l’Etat de sévir et de ne pas fléchir devant ces gens que je juge malhonnêtes, pour avoir sciemment décidé de faire du sabotage pour mener des marches, alors que la hausse déclarée sur la facture d’électricité ne les concerne absolument pas. « Je demande à ces manipulateurs de savoir raison garder, et de se souvenir des efforts importants que le Président Macky Sall a eu à faire, en stabilisant, pendant sept bonnes années, les prix à la consommation », rappelle Ousmane Faye.

« Combien de fois on est restés, des heures durant, sans électricité, et que les gens arrivaient malgré tout à payer convenablement les factures ? », s’interroge M. Faye avant de poursuivre : «  Alors que, c’est sous Macky qu’on a pu voir une diminution à deux reprises de l’électricité. De sorte que nous n’accepterons pas qu’on joue avec les institutions, et là, j’interpelle l’Etat à faire preuve de fermeté. Je pense que ces gens sont amnésiques et armés d’une mauvaise volonté. Mais ça ne passera pas. Je ne comprends pas les agissements de ces grévistes-marcheurs et les syndicalistes mécontents qui, pour d’autres motivations, s’activent dans la désinformation pour régler des comptes inavoués ».

Développant son argumentaire, le leader de MWS souligne : « Les gens devraient même se féliciter de la démarche du chef de l’Etat d’avoir épargné les petits consommateurs de la hausse qui ne vise, encore une fois, que les grands consommateurs. Je suis sûr que ce sont les gens de l’opposition qui ont échoué et qui, de guerre lasse, ont décidé d’armer les manipulateurs pour avoir gain de cause. Je demande solennellement à l’Etat de sévir contre eux », a demandé Ousmane Faye qui faisait face à la presse pour se prononcer sur cette affaire.

 

Ils étaient certes là, en 2012, à la création du mouvement pour la défense de la république (Moder), mais, par le décret divin, ils ont quitté ce bas monde aujourd'hui. En hommage à leur mémoire, le président René Pierre Yehoumé et ses camarades ont une pensée pieuse pour la célébration de la septième année d'existence de leur mouvement.

 

C'est un récital de Coran, tôt le matin, en cette journée du 14 décembre, qui a lancé les festivités de commémoration de leur formation politique. Une forte mobilisation des membres, tous affiliés à l'APR, aura été une occasion de discuter des enjeux de renouveler leur soutien constant au Président Macky Sall, dont ils n'ont pas manqué de saluer les nombreuses réalisations, après onze ans d'existence et 7 ans de gestion du pouvoir.

 

Selon René Pierre lui même, ''nous avons tenu à marquer cette journée par un recueillement et des prières pour nos camarades disparus. C'était un devoir de nous rappeler d'eux et des efforts qu'ils ont consentis pour les nombreuses victoires obtenues par le Président Sall. Nous profitons de cette journée pieuse pour remercier tous ces militants et autres sympathisants qui continuent de croire au mouvement et à l'idéal de notre combat , toujours aux côtés du PR, pour le développement de notre pays mais aussi pour la sauvegarde des intérêts du Sénégal, après la découverte des richesses naturelles, notamment le pétrole et le gaz''.Le Président du Moder aura aussi profité de son intervention pour rendre un vibrant hommage au président Abdoulaye Wade pour les nombreux acquis par le Sénégal obtenus sous son règne de 2000 à 2012.

 

Représentant le Moder en banlieue, Malal Diallo a déploré le comportement de certains responsables de leur parti qui se sont mal distingués récemment par presse interposée. ‘’J’invite les uns et les autres à plus de calme et de retenue. Ils doivent savoir que les jeunes sont à leur écoute et ils devraient veiller à ne pas leur inculquer ces genres de comportement qui n’honorent ni le Président Macky Sall, ni le parti encore moins leur propres camarades de la coalition BBY’’ déplore l’apériste de Thiaroye.

 

Youssouf Ndiongue

 

Le marché du luxe en Afrique représente moins de 1% du marché international. Et donc, il convient aujourd’hui de renverser la tendance au regard des multiples facettes qui peuvent être valorisées et mises à l’exploitation. Du moins, selon Birahim Gueye et Maguette Diop, respectivement Président de l’Association des Sciences de Gestion et directrice de l’école Thelma, spécialisée dans le management du luxe, première école du genre dans le secteur en Afrique de l’ouest. Ils ont fait face à la presse ce vendredi dans le cadre de la 6ème édition des Carrefours du mercredi.

C’est comme un thème de philosophie que de vouloir s’adonner à expliquer et disserter sur le luxe. Mais, les initiateurs du carrefour du mercredi ont cette fois-ci, décidé d’aborder ce thème. Le but, explique Birahim Gueye, « c’est de faire prendre conscience des nombreuses et exaltantes richesses dont dispose le Continent Africain, et qui méritent d’être valorisées pour booter le PIB de nos états ». En effet, comme pour corroborer cette déclaration, Mme Maguette Diop indique qu’ « il n’est l’apanage de personne et- que tous les pays peuvent se prévaloir de disposer et d’exploiter le luxe afin des fons commerciales au-delà des considérations esthétiques ». En général le constat est fait sur l’hypothèse que l’Afrique consomme plus le luxe venu d’étranger parce qu’elle n’en dispose peu. Faux ! rétorquent les panélistes qui estiment tout le contraire. « Seulement, il faut une sensibilisation et un travail à faire pour mettre en valeur les produits issus du continent noir. D’ailleurs, jugent-ils, « les ventes de produits de luxe sur le continent se font sous le label de marques moins dotées en qualité que celles tirées en Afrique ».

Mais ce qui est constant, explique Mme Maguette Diop, « nous avons notre mot à dire. Nous pouvons nous épanouir dans notre propre luxe, selon nos moyens et quelque soit l’endroit dans lequel on vit ». La prochaine édition du Carrefour de mercredi se tiendra dans 6 mois, soit l’année prochaine pour aborde d’autres questions d’importance capitale », se ^projette Birahim Gueye pour qui « lorsque l’on parle de luxe en Afrique, on évoque souvent toutes ces marques de luxes occidentales qui viennent s’installer en Afrique. Pourtant, il existe des marques de luxe africaines basées sur le continent qui arrivent à s’exporter tout en créant un marché local.

Youssouf NDIONGUE

CMU
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