samedi 27 juillet 2024 | Login
Malal DIALLO Pithi

Malal DIALLO Pithi

La baisse du prix de la baguette de pain annoncée par les autorités sénégalaises risque de ne pas être effective comme prévue ce lundi.

 

Si l’on en croit l’Association des Meuniers Industriels du Sénégal (AMIS), le coût moyen du blé qui est en hausse constante ne permet pas d’apporter une réponse basée sur la baisse de l’essentiel des facteurs de production de farine.

 

« C’est donc avec regret que nous vous annonçons que l’Association des Meuniers Industriels du Sénégal engage ses 7 membres dans une mesure de retrait. Les Meuniers ne peuvent s’engager dans un dispositif de vente à perte et déclare officiellement un arrêt provisoire de production », informe le président Claude Demba DIOP dans un communiqué transmis à la rédaction de Dakarmedias.

 

Refusant d’engager toute une filière à la dérive, « Il est décidé, à compter de ce lundi 24 juin 2024 un arrêt périodique et collectif de production permettant de ralentir le niveau des pertes induites quotidiennement, ce jusqu’à ce qu’une réponse assurant la survie des meuniers soit apportée », précise-t-il.

 

Voici le communiqué in extenso

 

COMMUNIQUÉ DE L’ASSOCIATION DES MEUNIERS INDUSTRIELS DU SENEGAL

 

Dakar, le 23 juin 2024

 

Mesdames et Messieurs, 

En 2021, vous aviez suivi les difficultés connues par l’industrie meunière sénégalaise. Une situation dont la gravité avait mobilisé tous les acteurs de la filière dans la recherche de solutions.

 

Comme tous les sénégalais, les Meuniers ont pris connaissance de la décision de l’État résultant du Conseil National de la Consommation du 21 juin 2024, de baisser le prix de la farine boulangère de 19 200 FCFA à 15 200 FCFA soit une réduction de 4000 FCFA.

 

Cette mesure intervient au moment où le coût moyen du blé est en hausse constante et dépasse 300 euros. Cette réalité ne permet pas d’apporter une réponse basée sur la baisse de l’essentiel des facteurs de production de farine. Les travaux menés en réunion technique avec les services de l’État ont permis de relever que larenonciation aux droits de douanes et taxes sur la valeur ajoutée (TVA) représenterait 1355 FCFA sur le prix du sac.

 

Dans ces conditions le financement de l’écart de 2645 FCFA sur le prix de la farine demeure incertain pour les entreprises meunières et pour l’ensemble des acteurs de la filière. La baisse de 4000 FCFA n’est pas financée à ce jour.

 

C’est donc avec regret que nous vous annonçons que l’Association des Meuniers Industriels du Sénégal engage ses 7 membres dans une mesure de retrait. Les Meuniers ne peuvent s’engager dans un dispositif de vente à perte et déclare officiellement un arrêt provisoire de production.Nous rappelons que l’article 30 de la loi du N°94-63 du 22 août 1994 (sur les prix, la concurrence et le contentieux économique) nous interdit formellement de vendre à perte.

 

Actuellement, la hausse continue des prix du blé est ignorée par les autorités. L’AMIS a alerté le Ministère de l’Industrie et du Commerce, sur les effets d’une mesure hâtive au regard des stocks de blé déjà dans le circuit de production et des volumes farines en vente dans les réseaux de distributeurs. Mais malgré ces alertes sur l’impréparation du secteur, le prix de revient de la farine annoncé au sortir du Conseil National de la Concurrence est bien en-dessous du prix de vente réel, et la date d’entrée en vigueur est un coup porté à l’activité des parties prenantes.De sorte que chaque sac de farine boulangère livré depuis les unités de production constitue une infraction manifeste à la loi sénégalaise en plus d’amplifier les pertes des entreprises productrices.

 

L’application des prix annoncés oblige indirectement les meuniers à subventionner le prix du pain. Une situation qui mènera inéluctablement les 7 entreprises vers une faillite programmée et collective.

 

Les Meuniers rappellent leurs attentes d’éclaircissements sur les 4 points qui suivent :Le régime de compensation de la baisse est flou. La prise en charge intégrale des 2645 FCFA restante de compensation sur le prix du sac de farine boulangère est sans réponse à ce jour. Il est nécessaire d’identifier la partie qui finance et d’en savoir sur les modalités de paiement.

Le régime de renonciation sur les droits de douane et la TVA, ainsi que la date d’entrée en vigueur manquent de clarté. Il est essentiel de clarifier les modalités de prise en compte des stocks de blé déjà taxés en attente chez les Meuniers du fait de la révision de prix sur décision unilatérale de l’État.

Le régime de compensation des volumes en vente chez les distributeurs et grossistes de farine boulangère est méconnu. Pourtant ces acteurs de la filière sont contraints eux aussi de vendre à perte.

Le régime de prix applicable en région et Dakar tenant compte du transport fait défaut. De sorte que toute la filière s’expose à des sanctions à la date d’entrée en vigueur annoncée.

Nous rappelons que les Meuniers Industriels sont des entrepreneurs consciencieux, des acteurs économiques responsables et des défenseurs indéfectibles de la production locale.

 

C’est en cela que l’AMIS s’adresse à tous les partenaires économiques et gouvernementaux pour la préservation d’une production industrielle vitale pour tous.

 

Il est décidé, à compter de ce lundi 24 juin 2024 un arrêt périodique et collectif de production permettant de ralentir le niveau des pertes induites quotidiennement, ce jusqu’à ce qu’une réponse assurant la survie des meuniers soit apportée.

 

Par ce procédé nous faisons nôtres, les préoccupations de l’ensemble des acteurs de la filière face aux incertitudes persistantes concernant la baisse des prix.

 

Par ce procédé, nous ralentissons le chômage technique, inéluctable dans les prochaines semaines au regard des enjeux de sauvegarde de l’emploi préalable aux options de licenciement économique.

 

Par cette démarche responsable et citoyenne nous exhortons les autorités gouvernementales à veiller à la stabilité du marché dans l’intérêt de la filière et à relancer le dialogue nécessaire et salutaire. La filière est au bord d’une crise sans précédent et joue sa survie.

 

Les mesures que nous venons d’annoncer ont vocation à être reconduite à l’initiative des Meuniers Industriels du Sénégal tant qu’une réponse définitive n’est pas trouvée.

 

Nous restons convaincu que seule une industrie forte et dynamique peut apporter du développement, de l’emploi et des recettes fiscales nécessaires au devenir du Sénégal.

 

Les Meuniers Industriels du Sénégal remercient l’ensemble des collaborateurs, acteurs économiques et partenaires sociaux pour les messages d’encouragement et de solidarité reçus.

 

Les Meuniers ne peuvent engager toute la filière à la dérive !!!

 

Claude Demba DIOP

Président AMIS

Pour un gouvernement  dit de rupture, une grosse bévue a été relevée du côté du ministère de la  Famille et des  solidarités. La  répartition et les opérations d'octroi et de distribution des aides  pour la Tabaski à l'endroit des personnes indigentes et aux vrais ayant-droits ne se sont  pas déroulées de manière juste. La dénonciation est venue   du côté de la présidente  du Comité des femmes  de la fédération  sénégalaise des  associations des personnes vivant avec  un handicap, Mme  Khady Ba. ''Le mécontentement est  généralisé au niveau de  cette grande structure  zappée et marginalisée   de manière surprenante et incompréhensible.   Alors que tous les critères et toutes les formalités ont été  remplis et satisfaits  conformément aux  exigences requises par la  Direction du ministère  de la Famille et des solidarités''.

 

La Présidente Mme  Khady Ba a en outre  révélé que le Ministère  les a mis dans une situation inconfortable  en leur disant ne pouvoir  satisfaire que 20  demandes d'assistance,  alors que leur entité fait au moins 28 associations''. Mais au finish, aucune n'a été satisfaite, ce qui a plongé les membres de ladite entité des  personnes vivant avec  un handicap dans une déception totale. La Présidente Khady Ba fait  savoir que les membres  de sa structure   continuent de venir aux  nouvelles, alors qu'ils sont victimes d'un forfait et d'une marginalisation  qui ne s'explique pas.

Ils ont fait remarquer  que leur surprise a été plus grande qu'ils ont appris que même des  personnes valides du département de Guédiawaye ont  bénéficié des aides      devant l'amertume  d'autres compatriotes  non seulement vivant  avec un handicap, mais, aussi vulnérables au plan social.

 

Saisissant cette  opportunité, la Présidente Khady Ba a exigé que le tir soit  rectifié par la ministre  Marietou Dieye elle-même, mais celle reconnue pour son engagement en faveur  de ses compatriotes  démunis. Elle a aussi  directement interpellé le Président de la République Bassirou  Diomaye Faye pour  reconduire en leur faveur  le poste de conseiller  dans le Cabinet  présidentiel, comme 

du temps de l'ancien régime du Président Macky Sall. Cela aiderait  a une meilleure prise en charge des personnes  vivant avec un handicap  qui représentent plus de 15 pour cent de la population sénégalaise.

 

Mohamed Al Amine  Thioune

  1.  

J’ai été voir bah Diakhate, imam cheikh Tidiane Ndao et Doro Gueye. Ils se portent bien et vivent l’épreuve dans la foi et la dignité. S’agissant de Doro, les propos qui lui ont été prêtés de se de  décharger sur le Président Macky Sall sont purs affabulations et mensonges. Doro revendique plus que jamais son amitié, sa loyauté au Président Macky Sall . C’est en toute bonne foi qu’il avait conclu avec le plaignant . Son avocat me Souleymane ndiaye est confiant . Doro ne mérite pas de telles attitudes lâches, lui qui s’est toujours consacré à ses compatriotes . La preuve la maison d’arrêt où il séjourne présentement a été rénovée par lui entièrement et de manière anonyme et fait preuve de générosité en l’endroit des couches défavorisées en bœufs et moutons denrées alimentaires. Prions pour ces personnes. Me Djibril War

Bruno Fuchs est incontestablement le candidat idéal pour représenter les Français à l'Assemblée nationale. Il vient de recevoir le soutien de l'ancien Premier ministre, monsieur Édouard Philippe, ce qui renforce encore sa crédibilité en tant que défenseur des intérêts de ses compatriotes.

 

Un Soutien de Poids : Le soutien d'Édouard Philippe à Bruno Fuchs n'est pas anodin. Ce geste montre la confiance placée en lui pour mener à bien les projets et défendre les valeurs des Français au Parlement. Lors de son précédent mandat, avant la dissolution de l'Assemblée nationale, Bruno Fuchs a su représenter dignement sa région ainsi que l'ensemble de la population française. Bruno Fuchs est reconnu pour ses actions en faveur de la paix, de la stabilité sociale, et du renforcement des relations entre la France et l'Afrique. Son bilan parle de lui-même, et ses initiatives sont largement appréciées tant en France qu'à l'international. C’est pourquoi de nombreuses figures influentes se mobilisent pour soutenir sa candidature aux législatives. Une Candidature Plébiscitée. Le profil de Bruno Fuchs attire un large soutien, non seulement en France, mais aussi en Afrique et ailleurs. Sa campagne électorale, en pleine effervescence, reçoit des validations de plusieurs personnalités éminentes. Pour les électeurs français, l’heure est venue de faire un choix décisif et de réélire Bruno Fuchs, un candidat porteur d’espoir et d’innovation pour l’avenir du pays.

M.T

 

Binta Sy, résidente en France depuis plusieurs années, déclare : « Nous sommes en train de travailler pour que l'Afrique bouge et aider Bruno Fuchs, c’est aider le continent ».

 

Parcours de Binta : Dame de fer et très influente, Binta Sy œuvre sans relâche pour le développement de l’Afrique. S'engageant en politique dès son jeune âge, elle a joué un rôle crucial dans l’apaisement de la crise qui a frappé la Mauritanie avant l'accession de l’actuel président. Binta nous parle de son parcours, de ses relations avec Bruno Fuchs et de la situation France-Afrique. Très engagée pour la cause africaine, Binta Sy vit en France depuis plusieurs années. Née en 1977 à Kaédi, elle détient une maîtrise en comptabilité de gestion. Après avoir obtenu son baccalauréat au Congo Brazzaville, elle a poursuivi ses études secondaires au Sénégal. Elle entame sa carrière politique à l'âge de 23 ans en tant que directrice de campagne d’Ely Mohamed Ould El Val au Sénégal et en Gambie lors des élections présidentielles de la République Islamique de Mauritanie.

 

Contribution à la Paix en Mauritanie

 

Binta a brillamment géré les tensions lors des évènements de 1989, soulignant la présence de nombreux Mauritaniens au Sénégal suite à ces événements. Elle a travaillé avec les autorités mauritaniennes et Jean Ping, alors président de l'Union Africaine, pour apaiser la situation après le coup d'État à Nouakchott. Grâce à ses efforts, les accords de Dakar ont été signés, même si son rôle n'a pas été officiellement reconnu.

 

Vision pour le Développement Africain

 

Binta Sy défend le concept de France-Afrique basé sur un partenariat gagnant-gagnant plutôt que sur l'aide. Elle croit fermement en la capacité des Africains à ne pas dépendre de l'Occident, citant l’exemple de la Mauritanie, riche en ressources naturelles. Elle appelle à une autosuffisance alimentaire et à la valorisation des ressources locales. Concernant l’émigration, Binta souligne que les enfants d’Africains en France bénéficient de l'éducation gratuite et de diverses aides, contrairement à l'Afrique. Elle met en lumière les avantages de vivre en France pour les Africains, tout en appelant à une plus grande sensibilisation et un soutien aux migrants.

Soutien à Bruno Fuchs

 

Binta Sy exprime son soutien à Bruno Fuchs, le décrivant comme un homme intègre et respectueux de tous, indépendamment de leur origine. Elle considère que soutenir Bruno Fuchs est bénéfique pour le développement de l'Afrique, en raison de son amour pour le continent et de son engagement à le voir prospérer. Binta Sy continue de se battre pour les causes africaines avec détermination, espérant sensibiliser et mobiliser la diaspora africaine pour un avenir meilleur.

 

Bruno Fuchs vient d’annoncer sa candidature suite à la dissolution de l’Assemblée nationale française. Il compte non seulement représenter sa région, mais aussi défendre les intérêts du peuple africain au sein de l’hémicycle pour cette sixième législature. Bruno Fuchs est un député engagé pour l’intérêt général, comme en témoignent ses nombreuses initiatives à travers l’Afrique et ailleurs.

 

Force est de constater que Bruno Fuchs est membre du groupe parlementaire du Mouvement des démocrates (Modem). Il siège à la commission des Affaires étrangères et a également été membre de la commission des Affaires culturelles et de l’Éducation. Il s’est toujours engagé pour le renforcement de la francophonie et occupe le poste de vice-président de l’Assemblée parlementaire de la Francophonie. Sur sa page Twitter, Bruno Fuchs a annoncé le lancement de sa campagne pour continuer à représenter la sixième circonscription du Haut-Rhin à l’Assemblée nationale. « Il nous faut construire une offre stratégique plus claire avec l’Afrique », martèle Binta Sy, l’une de ses collaboratrices.

Relations Franco-Africaines

 

Bruno Fuchs, député du Haut-Rhin et membre de la commission des Affaires étrangères, joue un rôle clé dans les relations franco-africaines. En tant que délégué général de l’Assemblée parlementaire de la Francophonie, il promeut activement la coopération entre la France et les pays africains. Promotion de la Jeunesse et des Valeurs Démocratiques. Bruno Fuchs souligne l’importance de la jeunesse africaine dans la construction d’un avenir meilleur pour le continent. Il encourage la mise en place de programmes favorisant l’éducation, l’entrepreneuriat et l’emploi des jeunes. Il met également l’accent sur la promotion de la démocratie, des droits de l’homme et de l’État de droit en Afrique.

 

Appel à une Coopération Renouvelée

 

Bruno Fuchs appelle à une coopération renouvelée et renforcée entre la France et l’Afrique. Il insiste sur la nécessité de construire une offre stratégique plus claire, adaptée aux besoins et aux spécificités de chaque pays africain. Il considère que la coopération économique, la promotion de la jeunesse et des valeurs démocratiques sont les piliers d’une relation fructueuse et équilibrée entre la France et l’Afrique. Lors de son séjour au Bénin, où il a été reçu en audience, Bruno Fuchs a déclaré : « Nous avons un espace

francophone aujourd’hui qui est concurrencé par les Chinois, les Russes, les Anglo-Saxons. Cet espace a des valeurs auxquelles nous croyons. Il s'agit de voir comment le Bénin peut jouer un rôle plus important dans les instances de l’Assemblée parlementaire de la Francophonie. Je suis très satisfait de cette audience, car nous avons défini une stratégie et une ligne d’action pour les mois et les années à venir ».

 

Importance de l'Afrique

 

Ces déclarations montrent que Bruno Fuchs accorde une grande importance à l’Afrique, ce qu’il démontre également par ses interventions à l’Assemblée nationale française. Un rapport des Nations Unies a notifié que « l’Afrique est notre avenir ». Selon Bruno Fuchs, « ce constat semble toujours d’actualité pour quiconque accepte de se départir de certaines idées reçues sur le continent africain et de la vision misérabiliste qui a longtemps été posée sur lui. L’Afrique est le sujet n°1 de l’Europe pour les 50 ans à venir, et les Africains constitueront le plus grand groupe de personnes en âge d’activité maximale au monde, c’est-à-dire entre 24 et 54 ans. L’Afrique est notre avenir ». Bruno Fuchs, actuellement en campagne, se présente comme le candidat des Africains tout en représentant sa région au niveau de l’Assemblée nationale française. Il est reconnu à travers le monde pour ses actions en faveur de l’apaisement des conflits. Parmi ses collaboratrices les plus illustres, Binta Sy joue un rôle important sur le volet social et l’accompagne dans ses œuvres politiques.

Y7.D

 

قصةزمانناامسوالصوصا

 عمومافيالحقيقةلاخصوصا

« Les juges de notre époque sont tous devenus des brigands dans leur ensemble et non pas individuellement... »

 

Quant au fait d’être cadi, il suffit d’évoquer le poème que l’un d’eux dit à ce sujet : « Médites sur le Jour du Jugement (dernier) et de la Décision, et édifie-toi, lorsque Dieu ressemblera les créatures une à une »

Souviens-toi d’un hadith dont les rapporteurs sont véridiques, concernant la fonction du cadi et refugie-toi en Dieu, car qui s’y réfugie est sauvé :

« Abandonne la fonction de cadi, ô malheureux ! Ne t -y engage  jamais, même si on te donnait pour fief ( en contre partie) Egypte et Bagdad ».Si on me demandait qui est le plus sot de tous les hommes, je montrerais le cadi en disant : « C’est celui-ci ».

 

Mais cela concerne seulement le cadi injuste. Quant à celui qui est juste comme Omar Bén Abdel-Aziz, son exercice est parmi les meilleures formes d’adoration, quand bien même il serait un cas assez rare.

La plupart des cadis de notre époque ressemblent au cadi de Sodome qui est bien connu.

On rapporte parmi les exemples de son injustice ( le Cadi de Sodome) , qu’un homme en compagnie de sa femme ( ensceinte) ,  sur un âne, passe à côté d’une assemblée d’hommes. Ceux-ci frappent l’âne, coupent ses deux oreilles et sa queue.

L’âne, sentant vivement la douleur, se débat, saute et désarçonne la femme qui rejette son fœtus. Ils comparaissent tous devant le tribunal de Sodome. Le cadi décrète que l’homme leur donne sa femme pour qu’ils aient des rapports (sexuels) avec elle ; et ainsi, quand elle sera enceinte à nouveau,  ils la rendront à son époux ; Ensuite qu’il leur donne également l’âne qu’ils utiliserons à leurs propres services jusqu’à ce que sa queue et ses oreilles renaissent, pour que son âne lui soit rendu.

On rapporte que l’homme a prié (Dieu) en invoquant le malheur sur eux et la terre les engloutis, et personne parmi les habitants de Sodome n’a survécu.

Extrait du recueil Silkoul Jawahir

Mounirou Sarr

Militant de la Révolution Pacifique

Conseiller municipal à la comme de Grand-yoff

La cellule de communication se désole de la tentative du site Sanslimites à vouloir mettre en mal le Guide Cheikh Ahmadou Kara Mbacké avec le leader de Gueum sa Boppu Mr Bougane Geuye. En effet ceci fait suite à la sortie de ce dernier qui semblerait dans ses propos de la matinée, s'attaquer au Premier Ministre Ousmane Sonko sans toutefois le citer.

Ainsi Ce site a délibérément titré dans une vidéo du Guide reprise sans notre avale : " Don sathe moma gueunal don fén kat " Kara corrige Bougane " Na rafet njort te tey ci Sonko ak Diomay ".

 

Dans l'après-midi de la Tabaski le Guide Cheikh Ahmadou Kara Mbacké dans sa traditionnelle allocution envers les Sénégalais a délivré un message dans lequel comme à l'accoutumé, a appelé au calme et surtout à beaucoup compréhension et de solidarité à l'endroit des nouveaux dirigeants qui viennent juste d'être élu. Un message délivré à l'endroit de tous les sénégalais mais nullement un droit de réponse personnelle ou à contre pieds de Bougane dont le Guide n'était même pas informé des propres de ce dernier.

 

 Le Général de Bamba est un cas d'école du leadership Positif et pacifique. Il ne répond ni aux invectives ni aux calomnies de ses détracteurs. Tout au contraire en humaniste, il prie pour eux et leur prodigue des conseils. Au-delà de son statut de Guide religieux, il est certes un leader politique mais ne s'est jamais aventuré dans l'adversité nocive des acteurs politiques et ceci autant pour les tenants du pouvoir que ceux de l'opposition. Sa feuille de route reste limpide : la bonne intention, la bonne parole et la bonne action. Il est constant dans sa démarche et ses ambitions politiques restent intactes :  vulgariser le projet de société inédit de Cheikh Ahmadou Bamba.

 

À la direction de ce site nous rappelons que Cheikh Ahmadou Kara est un révolutionnaire qui n'a jamais été dans la partisannerie opportuniste mais dans la quête perpétuelle de la Vérité.

Ne lui cherchez pas d'ennemis ni de partie prise. Son parti est Hizbul Haqq.

KARA a un objectif clair, connu de tous les gens doués de raison. Il est juste très patient.

Le Général de Bamba a été courtois avec les Présidents Diouf, Wade, Sall et pourquoi n'en ferait-il pas autant pour ce nouveau jeune régime dont il appelle affectueusement "ses neveux" dans la vidéo.

Toute création à un début et une fin. Seul Dieu est Sans-limites. Revoyez votre titre !!!

 

La cellule de communication

 Sociologue et membre des Cadres de Pastef, Ousmane Sams NDIAYE s’érige en parfait défenseur de son leader Ousmane Sonko dont la sortie récente continue de d’alimenter les commentaires. Comme pour donner carte blanche au Premier Ministre sur les actes qu’il pose, Sams Ndiaye revient, dans cet entretien, sur ce qui caractérise le discours de son homonyme et ce qu’il convient de retenir en définitive. 

Vous avez suivi le discours du premier ministre Ousmane Sonko à la Conférence de la JPS. Quelle lecture en faites-vous?

 Oui le président du PASTEF a répondu à l’appel de ses jeunes, en l’occurrence la JPS. Mais en réalité, c’était un prétexte pour parler à l’ensemble des jeunes du pays, qui représentent l’essentiel de la population, où 78% de la population a moins de 35 ans. Ces jeunes ont participé activement à l’élection de la coalition Diomaye Président. C’est eux en réalité qui ont protégé le projet contre les assauts du régime précédent. Il est donc tout à fait normal de répondre à leur appel. Il en a profité pour les appeler à avoir une posture citoyenne, à participer à la reconstruction du pays à travers des actions d’intérêts communautaires, telles que cultiver la terre, reboiser des arbres, construire des salles de classe etc. Cet appel montre son engagement à faire de la jeunesse un acteur central du changement et du développement du Sénégal. Ces actions concrètes visent à catalyser l’énergie positive qui déborde chez ces jeunes et qui tourne autour de l’essentiel, qui est le PROJET. Il en a aussi profité pour se prononcer sur certains débats politiques soulevés dans la place publique. C'est ce dernier qui a semblé susciter certaines réactions et c’est normal. Les sorties politiques de PROS ont toujours fait débat.

Oui mais, à un certain moment, ce n’était plus le président de parti qui parlait, mais le premier ministre qui a même, par moment, mis sur la place publique des dossiers d’Etat. Est-ce que Ousmane SONKO se met dans la peau d’un PM finalement ?

 Est-ce que vous avez vu Ousmane SONKO premier ministre s’exprimer durant ces différentes sorties? Si vous l’aviez observé depuis deux mois, vous vous rendriez compte de la conscience que ce monsieur a des charges qui pèsent sur ses épaules, de l’espoir que lui et son gouvernement suscitent. Il parle avec beaucoup de mesure et se comporte avec humilité, ça, c’est le PM. Mais au Grand Théâtre, on a retrouvé l’homme politique que l’on connaissait, j’allais même dire le PROS qu’on aime. Il est direct, il est cash et parle sans gang. C’est son style, sa marque de fabrique. C’est cette communication, que certains ‘’sachants’’ fustigent depuis ses débuts, qui l’a fait sortir de l’anonymat pour faire de lui le leader de l’opposition avant d’emmener son parti et sa coalition au pouvoir. C’est peut-être difficile, mais il fait bel et bien la différence de rôle dans la posture mais aussi dans le discours.

 S’il n’était pas PM, est ce qu’il aurait eu connaissance des dossiers qu’il a évoqués, notamment le rapport sur le PRODAC ? On l’a vu également parler du ministre de la justice qui lui aurait demandé son avis sur un dossier. Quelle est votre réaction dans ces deux cas ?

 Vous savez, la reddition des comptes est une demande sociale et fait partie des promesses de campagne de la coalition Diomaye Président. Les jeunes s’impatientent et il fallait leur faire comprendre que les dossiers sont en cours. Le PRODAC qui est l’un des meilleurs projets du régime sortant en termes d’emploi des jeunes avec un financement de 29 milliards a été un échec. Un rapport a épinglé un ministre sur la gestion de ces fonds. Ousmane SONKO opposant alors, avait été accusé de diffamation par ce ministre disant que le rapport n’existait pas. Sonko est condamné à 6 mois de prison avec sursis et une amende 200.000. S’il s’avère que ce rapport existait, ce serait une des plus grosses trahisons de l’histoire politique du Sénégal qui impliquerait de hauts responsables de l’ancien régime. Si ces fonds peuvent être recouvrés, aucun effort ne serait trop parce que c’est un projet qui était destiné à ces jeunes qui sont là et qui ne demandent qu’à trouver du travail. Donc l’audience est bien choisie pour parler de ce dossier.  C’est également le lieu de faire comprendre à ces jeunes-là que personne ne serait protégé. Être membre de PASTEF ne donne aucune forme d’immunité. En guise d’exemple, il a demandé à son ministre de la justice, qui a l’obligation de lui rendre compte, de poursuivre quiconque commet un délit, crime de quelque bord qu’il se situe. C’était cela le message. Toute autre considération est superfétatoire.  

Il a aussi menacé ouvertement des magistrats, la presse, anciens ministres etc. Il a tiré sur tout le monde. Est-ce que c’est son rôle ?

Il a juste rappelé des principes. Il n’y a pas de citoyens à part ou groupes intouchables. Chaque métier a des règles que chacun doit respecter. Que l’on soit magistrat, journaliste ou même ministre. Le non-respect de ces règles peut conduire à des poursuites. Et pour cela, il faut une justice forte avec des magistrats indépendants et justes. Certains magistrats qui avaient été utilisés par l’ancien régime pour perpétrer certains forfaits ne doivent pas rester sur place. La liberté de la presse n’est pas un passe-droit pour dire n’importe quoi. Les journalistes doivent répondre de leur publication. Ce ne sont pas des attaques, mais des rappels visant à améliorer le système judiciaire. En appelant à la transparence et à la responsabilité, il cherche plutôt à réformer une justice qui, selon lui, a effectivement besoin de refaire sa mue. C'est une démarche pour parfaire un système essentiel à la démocratie et à la bonne gouvernance. 

On a vu une levée de boucliers de certains leaders politiques, patrons de presse et chroniqueurs contre la sortie de PROS, Quelle est votre appréciation de tout cela ?

 Nous sommes en démocratie et les gens sont libres de donner leur opinion et commentaires sur un discours politique. Dans l’absolu, et comme l’a toujours dit le PROS, nous avons un seul et unique interlocuteur, c’est le peuple sénégalais. Ces opposants à ce nouveau régime sont ce qu’on appelait l’opposition à l’opposition. Cette presse qui s’agite est la même qui avait traité le PASTEF, son leader et ses militants de tous les noms. Ils sont libres de commenter et nous restons focus sur notre mission avec rigueur, discernement et surtout beaucoup de courage. Le gouvernement continuera à se battre pour la transparence fiscale, à mobiliser la jeunesse et à réformer la justice.

Youssouf NDIONGUE

 

Quand l'essentiel est en danger, s'opposer est un devoir ! La parole se mange pas et le verbe ne jugule pas la souffrance des Sénégalais. Mettez-vous au travail, les Sénégalais souffrent !

 

Comment les Sénégalais, modernes et en avance sur beaucoup de domaines ont-ils pu donner le pouvoir et confier son destin à ces politiciens , sans grandes qualités, sinon de démagogues  et de propagandistes .

 

Ils risquent de conduire le Sénégal à la chute en suivant la pente d'une idéologie obsidinale, demeurée, n'appelant aucune modération, aucun en arrière possible.

 

Cette quête invétérée de l'estime de soi a conduit ce petit modèle à un narcissisme dangereux, cette volonté de grandeur et de puissance démesurée risque de conduire le pays vers la décadence et de la destruction totale.

Au moment où les Sénégalais vous accorde un temps de grâce pour que vous puissiez orienter vos politiques publiques afin de subvenir aux besoins des Sénégalais mais non vous êtes toujours dans vos patriques : menaces et verbiage creux.

C'est insensé d'en faire un débat, aller travailler pour le peuple, les Sénégalais souffrent.

Votre élection à la tête de ce pays n'aurait aucune signification si la liberté du citoyen n'y est pas assurée .

Un peuple commence à sa destruction quand la survie de ses membres devient utopique et la course vers la dépense quotidienne devient une obsession des gorgolou. Pour la plupart d'entre des Sénégalais, survivre relève désormais de l'exploit, et pour le plus grand nombre, chaque jour qui passe nous conforte dans le sentiment que le péril frappe à nos portes à cause de la cécité des tenants du pouvoir et de leur  incapacité de pouvoir juguler la souffrance du peuple.

Tout le monde le sait. Et le monde attend, docilement avec passivité, le dénouement d'un avenir médiocre, périlleux, vain, fade et dérisoire.

Les Sénégalais sont houspillés et leurs vies sont devenues insensées , leurs aspirations émoussées, leur confiance et ardeur se désintègrent , et chaque jour qui passe se précipite, comme un coup de poignard fatal, sur le dos de notre peuple. Sous l'effet conjugué de la banalisation du parjure, du manque de respect du bas peuple, de l'absence du projet tant vendu au bas peuple, et d'une violence imposée des tenants du pouvoir sur la presse et le bas peuple, nos vies privées et publiques ne cessent de se défaire. Et en face d' un tel péril, le peuple comme les élites , attendent malencontreusement qu'un miracle les délivre de leur médiocre condition.

Née comme un acte de confiance, notre République tend insidieusement à basculer dans la violence, la répression, dans la méfiance, puis la défiance. Une suspicion s'est érigée, au fil du temps, autour de l'action publique, de l'État et des institutions de la République ; et des manifestations spontanées dans les rues, et les violences sporadiques qui les accompagnent, risquent de s'abattre sur notre pays, à cause du discours insultant de ce politicard de pastef, témoigneront d'un malaise profond dans notre société totalement désemparés, déboussolés à cause du manque de vision économique de ces stagiaires au sommet de l'État.

Cette jeunesse, malmenée au quotidien par l'ignorance et foudroyée par la désespérance dont leur oreille est bourdonner par des inepties et des incongruités inopportun par un sieur qui est sans retenue, l'État, le service public, l'intérêt général sont mise à rude épreuve par inculte et le manque de compétences notoire, nos institutions risquent de s'affaisser sous le poids des menaces , d'un manque de respect devenue insoutenable en même temps que le désordre et l'indiscipline s'installent au coeur des relations sociales, faute de rancune, de revanchard et de respect mutuel.

La République, ne serait-il pas pris en otage par la coalition des intérêts particuliers, des sectes et des réseaux occultes, se montre plus que jamais incapable de faire face aux forces sociales et politiques à la a dégradation de l'état de droit.

Les institutions risquent de se défaire  pendant que la démocratie et la liberté d'expression subissent l'épreuve d'une véritable

humiliation, sans qu'aucune résistance ne se mobilise, sans qu'aucune riposte ne s'organise.

 

Bilakhi walakhi, le réveil risque d'être brutal, ces tenants du pouvoir s'ils pensent que les gens de l'apr sont frileux, ils trompent lourdement.

On réveille à un lion qui rumine sa colère dans le silence. Le Combat aura inévitablement lieu ne vous pressez pas.

Nous allons monter au pastef ce que peut faire l'homme républicain quand il s’oppose.

 

Devant leur incapacité de réduire les coûts de la vie en réduisant les prix des denrées alimentaires.

Devant leur incapacité de ravitailler le peuple sénégalais en mouton pour la Tabaski.

Devant leur incompétence et de leur manque vision en matière politique publique.

Devant l'absence du projet tant vendu au Sénégalais .

Pour contourner le débat, ce type de politicien crispé se jete dans l'incontinence verbale avec des menaces.

On s'en balance de vos menaces, faites ce dont le pourquoi les Sénégalais vous ont élu.

 

 Samba Ndong Responsable politique Apr et Coordonnateur du Mouvement PATRIES-les éternels Mackystes

CMU
cmu