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Malal DIALLO Pithi

Malal DIALLO Pithi

Dans une démarche inédite, la Banque africaine de développement (BAD) a approuvé un financement de 5,5 milliards de FCFA pour soutenir la phase 1 du Programme de Promotion des Lampes Économes en Énergie dans les bâtiments (PPLEEF), porté par l’Agence pour l’Économie et la Maîtrise de l’Énergie (AEME). Ce projet innovant marque un tournant pour l’efficacité énergétique au Sénégal, aligné avec les objectifs de transition énergétique du pays.

 

Une initiative stratégique pour l’avenir énergétique

 

Le PPLEEF, doté d’un budget global estimé à 25 milliards de FCFA, vise une transformation profonde du paysage énergétique national en introduisant des solutions d’éclairage économe en énergie. La phase initiale, rendue possible grâce au soutien financier de la BAD, concernera 700 000 ménages et 80 000 petits professionnels répartis dans trois régions stratégiques du pays.

 

Ce projet s’inscrit dans une perspective de réduction significative de la consommation énergétique dans les bâtiments, secteur clé souvent responsable d’une forte demande sur le réseau électrique.

 

Des impacts économiques et sociaux significatifs

 

Pour Madame Mame Coumba Ndiaye, Directrice générale de l’AEME, ce programme va bien au-delà des questions techniques :

« Ce programme contribuera à soulager le réseau électrique national tout en améliorant l’accès à l’énergie pour des milliers de familles et de professionnels. Il reflète également notre engagement envers une transition énergétique inclusive et durable. »

 

La mise en œuvre de ces solutions d’éclairage permettra de réduire les coûts d’électricité pour les ménages, tout en diminuant la dépendance aux sources énergétiques coûteuses et non durables.

 

Un projet innovant et exemplaire pour l’Afrique

 

Le soutien de la BAD à cette initiative souligne l’importance accordée par l’institution au développement de programmes novateurs pour l’efficacité énergétique. Ce partenariat place le Sénégal comme un modèle pour d’autres pays africains. En effet, le caractère réplicable du PPLEEF ouvre la voie à des initiatives similaires dans la région, renforçant ainsi les capacités énergétiques et environnementales du continent.

 

Avec ce projet, le Sénégal réaffirme son rôle de leader en matière d’énergie durable et s’inscrit pleinement dans les objectifs globaux de lutte contre le changement climatique.

 

Un pas de plus vers l’autonomie énergétique

 

Le PPLEEF, fruit d’une collaboration stratégique entre la BAD et l’AEME, représente une avancée majeure pour l’avenir énergétique du Sénégal. Ce programme ne se contente pas de fournir des solutions immédiates mais crée les bases d’une transition énergétique durable, à même de transformer durablement le quotidien des Sénégalais.

 

L’avenir s’annonce lumineux pour le Sénégal, qui, à travers cette initiative, se positionne en tant que précurseur des solutions énergétiques durables en Afrique.

 

Mamadou Touré 

la Coalition des centrales syndicales du Sénégal a tenu une conférence de presse pour exposer les profondes difficultés auxquelles sont confrontés les travailleurs du pays. Les problématiques soulevées mettent en lumière une détérioration alarmante des conditions économiques et sociales, marquée par la dégradation du pouvoir d'achat et des atteintes répétées aux libertés syndicales.

 

Plusieurs secteurs clés ont été pointés du doigt. À la SN Poste, les travailleurs subissent des retards de paiement de salaire. Au Port autonome de Dakar, trois responsables syndicaux ont été licenciés arbitrairement, tandis que des centaines de contrats, y compris des CDI, ont été annulés en violation flagrante du Code du travail. La Croix-Rouge Sénégalaise n’a pas payé ses employés depuis neuf mois, plongeant ces derniers dans une précarité insoutenable.

 

La situation est tout aussi tendue à la RTS, où la suspension d’un accord d’établissement menace de raviver les tensions sociales. Dans le secteur privé, des entreprises comme le Groupe Layousse, la Cimenterie du Sahel et SEN’EAU refusent d’organiser des élections syndicales, défiant les lois en vigueur.

 

Dans l’administration publique, l’impasse des négociations entre les syndicats et le gouvernement dans des secteurs stratégiques comme l’éducation, la santé et les collectivités territoriales aggrave la situation. À cela s’ajoute la crise dans le secteur militaire, où plus de 800 travailleurs risquent de perdre leur emploi en raison de la fermeture des bases françaises sans mesures d’accompagnement.

 

Face à ce tableau préoccupant, la Coalition appelle les autorités à prendre des mesures urgentes pour restaurer un climat social apaisé. Parmi les revendications prioritaires figurent :

 

La baisse des charges fiscales et des coûts de services essentiels comme l’électricité, l’eau et les denrées de première nécessité.

 

L’harmonisation des augmentations de salaires pour tous les agents publics.

 

La réforme du Code du travail et du système de sécurité sociale.

 

L’apurement des passifs sociaux et le paiement des droits des travailleurs des entreprises liquidées.

 

 

La Coalition propose également un accompagnement pour les travailleurs affectés par les fermetures de bases militaires et exige la fin des licenciements abusifs dans le secteur privé.

 

Enfin, les secrétaires généraux des centrales syndicales, dont la CNTS, l’UNSAS, et la CSA, ont annoncé une grande assemblée générale prévue le 31 janvier 2025. Cette rencontre marquera le début d’un plan d’action visant à exiger une gouvernance plus inclusive et une répartition équitable des richesses nationales.

 

La conférence de presse s’achève sur un appel à un dialogue social sincère pour éviter une aggravation des tensions et restaurer la dignité des travailleurs sénégalais.

 

Mamadou Touré

Dakar, Sénégal – Un avenir énergétique prometteur pour l'Afrique de l'Ouest

 

Sous la présidence de M. Papa Toby Gaye, Directeur Général de la Société Nationale d'Électricité du Sénégal (SENELEC), les travaux de démarrage du Projet Régional d'Accès à l'Électricité et de Technologie de Stockage d'Énergie par Batterie (BEST) ont été officiellement lancés à Dakar. Cette initiative ambitieuse, portée par la Banque Mondiale et la CEDEAO, marque une étape décisive dans la quête d’un accès universel à une énergie fiable et durable dans la région.

 

Dans son discours d’ouverture, M. Toby Gaye Directeur Général de SENELEC a souligné l’urgence et l’importance de ce projet pour les pays d’Afrique de l’Ouest, où les défis liés à l’accès à l’électricité demeurent criants. « Ce projet incarne notre engagement collectif à transformer le paysage énergétique de nos nations et à offrir à nos populations une énergie accessible, durable et abordable. »

 

Une réponse aux défis énergétiques de la région

 

En Afrique de l’Ouest, plus de 50 % de la population rurale reste privée d’électricité, un obstacle majeur au développement économique et social. Le projet BEST s’attaque à cette problématique en favorisant le développement d’infrastructures électriques modernes et résilientes, tout en intégrant des technologies de stockage d’énergie innovantes pour exploiter au mieux le potentiel des énergies renouvelables.

 

M. Toby Gaye a tenu à féliciter les Unités de Mise en Œuvre des Projets (UMOP) et les experts de la Banque Mondiale pour leur expertise et leur engagement. « Grâce à leur savoir-faire, nous pouvons relever les défis complexes de l'électrification et construire des solutions pérennes adaptées aux besoins de nos communautés. »

 

Le rôle clé des technologies de stockage

 

Au cœur de cette initiative se trouvent les batteries de stockage d’énergie, une solution clé pour maximiser l’utilisation des énergies renouvelables comme le solaire et l’éolien. Ces systèmes permettront de stabiliser les réseaux électriques tout en garantissant une alimentation continue, même en période de faible production.

 

Le Directeur Général de la SENELEC a insisté sur la nécessité d’unir les efforts pour accélérer l’adoption de ces technologies. « Le succès de ce projet repose sur une collaboration étroite entre tous les acteurs impliqués : institutions, gouvernements, partenaires financiers et experts techniques. »

 

Un engagement pour l’avenir

 

M. Toby Gaye a également exhorté les participants à s’investir pleinement dans cette mission et à partager leurs idées novatrices. « Nous avons ici une opportunité unique de bâtir un modèle énergétique exemplaire, respectueux de l’environnement et inclusif. Nos travaux d’aujourd’hui auront un impact direct sur les générations futures. »

 

Ce lancement marque une nouvelle ère pour le secteur énergétique en Afrique de l’Ouest. En conjuguant investissements, expertise technique et coopération régionale, le projet BEST pourrait devenir un modèle de réussite pour le reste du continent.

 

Les travaux de cette première phase seront déterminants pour poser les bases d’une électrification rapide et durable, contribuant ainsi à réduire les inégalités énergétiques et à améliorer la qualité de vie des populations les plus vulnérables.

 

« Ensemble, nous pouvons construire un avenir énergétique où personne n’est laissé pour compte », a conclu Mr le Directeur Général de SENELEC Toby Gaye.

 

Mamadou Touré

A la Fédération Sénégalaise de Tennis, l'on ne parle plus le même langage. L'Assemblée Générale tenue, récemment, par le Président sortant de la structure est rejetée par une bonne partie des responsables de cette dite structure. Ils ont pendu un communiqué, à cet effet, pour dénoncer ce qu'ils appellent une forfaiture et, non sans interpeller la tutelle.Voici l'intégralité de la note.

 

"Contestations contre l’Assemblée Générale élective de la Fédération Sénégalaise de Tennis 

 

 

1- Lieu :L’AG a été organisée dans un lieu privé : Hôtel Good Raid ; avec une sécurité renforcée. En conséquence, l’organisateur de l’AG en l’occurrence le président sortant, Issa MBOUP, a pu contrôler les accès à la salle. En effet, une liste de personnes autorisées a été tenue par ses proches et le représentant du ministère des sports. Un autre point concernant le lieu, est qu’ils ont déclaré la tenue d’un séminaire de la FST .

 

2- Participant et spectateurs :

Nous savons tous qu’une AG d'association que ce soient en présence des membres, en l’occurrence tout acteur du tennis, tandis que :

 

 a. Un président de club non autorisé d’accès : Le président de l’ASTU club de l’université Cheikh Anta Diop a été refusé d’accès, soi-disant parce qu’il avait donné un mandat à son collaborateur pour la première date avortée de tenue de l'élection. Cette date étant révolue, le mandat idem. De plus, lorsqu'il a insisté pour accéder à la salle et voter, le représentant du ministère lui a reproché d’être arrivé une heure après le début de la réunion, et a cautionné le refus de son accès à la salle. 

 

b. Absence de tous les acteurs du tennis : Le professionnel du tennis présent dans la salle était le second prétendant au poste de président de la FST. Pourtant près de 40 ans de tennis était réuni à l’extérieur du bâimtent, méprisé par le candidat élu lorsqu’il est sorti récupérer un objet dans son véhicule. Le collectif n’a pas manqué de l’interpeller sur la situation ; et ses propos seront relatés dans le quatrième point de ce document. 

 

3- Actes de simulation de mise en conformité :Suite à nos sollicitations et nos contestations, un membre organisateur est sorti pour dire « C’est vous que nous attendons pour commencer la séance ». Appel auquel nous avons tous répondu en accédant au hall de l’hôtel où nous avons encore une fois été bloqués par la sécurité (SAGAM), que nous prenons d’ailleurs pour témoins des événements.

 4- L’action du collectif d’acteurs du tennis présents et refusés d’accès (12 personnes)Nous nous sommes présentés à la salle à 10 heures pour assister à l’AG comme d’habitude ; et à notre grande surprise, l’accès était filtré. Par chance le candidat poulain du président sortant, ne pouvant pas résister au manque de nicotine est sorti pour tirer sur la mèche ; ce qui nous a permis de l’aborder avec des questions concernant le refus qui nous été opposé. Il a prétendu n’y être pour rien et que le mal était déjà fait, tandis que l'élection n’avait pas débuté. Nous lui avons rétorqué que le mal ne sera fait que si l'élection se poursuit dans les conditions que nous contestons ; et que si malgré nos requêtes ils s’entêtent à poursuivre leur forfaiture, nous défendrons ce qu’ils auront fait valider par la force. C’est là que Mr Ndiaye, candidat à la présidence de FST déclare : « Vous ne savez pas à qui vous avez affaire : On est des MOÏCANS ! » 

 

Il faut aussi rappeler que le tennis ne participera pas aux JO 2026 que Dakar organise. Motif: fautes d’infrastructures et de préparation des joueurs. Ceci s’explique que c’est le président de la fédération Issa Mboup qui n’a rien fait pour le tennis alors qu’il est là depuis 2000. 

Fait à Dakar le 20 Janvier 2025 Collectif des Acteurs du Tennis".

Coordonnateur de la Plateforme citoyenne "Nay Léer", Babacar Mbaye Ngaraf épluche avec nous, certains points saillants de l'actualité marquée par la mise en place du Parquet Judiciaire Financier (PJF) dans le cadre de la reddition des comptes, l'annulation de certains lotissements et la revendication des syndicats d'enseignants. Ainsi,M.Mbaye salue la traque aux dévalisseurs de l'argent public mais, s'inscrit en faux contre tout détournement d'objectif de cette mesure.

Le Secrétaire Général de l'OIS invite l'Etat à satisfaire certains points de la plate-forme revendicative des syndicats d'enseignants dans le souci de préserver un climat social apaisé à l'école.

 

 

Affaire Farba Ngom

 

 Je voudrais rappeler que la reddition des comptes est de nos jours une exigence citoyenne et même morale à laquelle aucun dirigeant ne peut se soustraire. Elle ne doit pas être un règlement de compte. Ce sur nous quoi on ne saurait transiger, c’est qu’elle soit utilisée pour des règlements de compte. En dissertation, on apprend à nos enfants «  Traiter le Sujet, Tout le sujet , Rien que le sujet ». Il en est de même pour la reddition des comptes: « Redition des comptes, sur tous les comptes mais, rien que reddition des comptes ». Une manière d’endiguer contre toute velléité de transformer cet exercice en règlement de comptes. 

Sur cette affaire des 125 milliards on ne peut que faire confiance en la justice tout en rappelant que les hommes passent, es institutions demeurent . Les régimes n’étant pas éternels, la seule constante à laquelle notre justice doit obéir, c’est le droit. 

 

 

Annulation de certains lotissements comme OEGEN, Nouvelle ville de Thiés, la suppression de certaines parties des P.U.D de Guédiawaye et de Malika

 

 

Du comité Ad hoc, on attendait une réponse à la lancinante problématique du foncier mais, on a l’impression d’avoir plutôt une aggravation de la situation avec des risques de multiplication des problèmes. 

On ne propose pas comme solution d’éteindre le feu en y versant de l’huile. Les notaires,les inspecteurs des impôts et les avocats membres du comité peuvent -ils se taire face à des idées d’annuler des lotissements oû des gens disposent de droits rééls qui ont donné lieu à des transactions (cessions, hypothèques, garantie ou apport à des projets)? 

Pour les PUD de Guédiawaye et Malika, on n’a que déception et inquiétude même si on a satisfaction pour les mesures sur la partie océan. 

1- Les impactées par le PUD ( c’est -à- dire les possédants de parcelles existantes avant PUD) ne savent pas où donner de la tête tandis que les particuliers attributaires de lots peinent à avoir de quitus de main levée après neuf longs et pénibles mois d’attente. Aujourd’hui, ils ont beaucoup plus besoin d’abord de la levée des mesures de suspensions prises par le Directeur Général des Impôts et Domaines sur le PUD afin de pouvoir disposer de leurs baux et implanter et identifier leurs lots . Il en est de même pour la Mairie de la ville « Maître d’ouvrage dudit PUD » qui ne sait même pas où se trouvent ses propres équipements.

 

2- Les lotissements dits Yeumbeul Nord Près Gadaye et Malika, sites de recasement des impactés du B.R.T,VDN 2 et VDN 3 sont victimes d’extrapolations des mesures concernant le PUD. Ce sont des lotissements sur le domaine national qui date de 2016, donc antérieurs au PUD qui date de 2023. Du fait des arrêts de construction leurs matériaux se dégradent, se font voler. Pire, leurs ressources financières tirées des indemnisations se volatilisent gravement sous l’effet du loyer( référence faite aux expropriés par l’Etat dans le cadre de la réalisation du BRT et le prolongement de la VDN). Au rythme où vont ces mesures, la seule chose sûre et certaine est que bon nombre d’impactés risquent de devenir dans un proche avenir des "sans abris". 

On ne peut pas prendre des mesures sans penser au sort des victimes qu’elles feront , lesquelles victimes n’ont, pourtant, commis aucune faute pou être sanctionnées. 

J’en profite pour inviter Monsieur le Premier ministre à penser à ses administrés , ces populations qui, sans avoir commis aucune faute, sont aujourd’hui victimes des calomniateurs , maîtres dans la médisance dans les réseaux sociaux . 

Aujourd’hui, on a l’impression que dans notre pays ,avoir des biens acquis à la sueur de son front, après de dure labeur , est un délit. les "Gorgorlous" qui sacrifient leur sommeil, leur repos, quelques fois même leur santé, pour sortir la tête de l’eau ), sont la proie facile d’autres sénégalais autoproclamés lanceurs d’alerte. On est entrain de tuer le défi de réussir, la rage de vaincre dans le respect des lois et règles. 

 

 Sur les revendications des enseignements 

 

 

L’école sénégalaise a perdu trop de temps ses dernières années. Il ne s’est passé une seule année scolaire sans que les élèves ne soient victimes d’agressions sur leur quantum horaire à cause de tergiversations de l’Etat sur des revendications qu’il peut satisfaire sans perdre de temps. 

En souvenance des positions de M. Ousmane Sonko opposant hier sur les revendications des syndicats et sa sensibilité sur le traitement des enseignants comparativement à celui des autres agents de l’Etat( rémunération, impôts, indemnité,etc.), on a grand espoir. Par conséquent, on a espoir qu’on ne sera même pas dans le besoin d’aller en grève. On rappelle seulement le problème de déficit d’enseignants, le manque de moyens conformes au curriculum, l’iniquité par rapport aux élèves des classes spéciales (classe à double flux, classe multigrade), les abris provisoires, la situation des autres décisionnaires non pris en compte dans la signature des récent protocole. Les sur- impositions, les indemnités de correction au CFEE et de sujestions des Directeurs d’école .

La Gendarmerie nationale du Sénégal a organisé une randonnée pédestre ce samedi 18 janvier 2025, sur l’esplanade du quartier Samba Diery Diallo, un événement visant à promouvoir la pratique sportive et à renforcer les liens au sein des forces de défense et de sécurité.

 

Présidée par le Général de Division Martin Faye, Haut Commandant de la Gendarmerie Nationale et Directeur de la Justice Militaire, la manifestation a également vu la présence du Général Birame Diop, Ministre des Forces Armées, qui a apporté son soutien à l'initiative.

 

Le Général Faye a exprimé sa satisfaction face à la forte participation, soulignant que l’objectif de cette activité de cohésion était de « renforcer les liens entre les différentes forces de défense et de sécurité, tout en rapprochant davantage la gendarmerie de la population, sa raison d’être ».

 

Le Général Birame Diop, pour sa part, a salué l’initiative et a réitéré son soutien aux efforts de la gendarmerie nationale. Il a également lancé un appel à l’intégration et à la promotion des femmes au sein de la gendarmerie, soulignant l'importance de leur contribution à l’effort global.

 

L’événement, qui a rassemblé de nombreux membres de la gendarmerie et de la population locale, a permis de renforcer la cohésion entre les forces de l'ordre et de promouvoir des valeurs de solidarité et de partage.

 

Mamadou Touré

Le Maire de Dakar, Monsieur Barthélémy Toye Dias, traverse une épreuve difficile, mais son engagement envers la transformation de la capitale sénégalaise ne faiblit pas. Accusé à tort dans une série d'attaques politico-judiciaires, il incarne un modèle de résilience et de dévouement à sa ville, ses habitants et sa démocratie. Les forces politiques et judiciaires qui cherchent à l'atteindre se trompent gravement en sous-estimant la force de son projet pour Dakar et la légitimité de son action.

 

Barthélémy Toye Dias n'est pas simplement un homme politique : il est le Maire d'une ville en pleine mutation. Depuis son élection, il a mis en place des projets structurants visant à moderniser Dakar, à améliorer les infrastructures, à renforcer la sécurité, et à offrir un cadre de vie plus agréable et plus accessible à tous ses habitants. Sa vision pour la ville est claire et audacieuse, et ses réalisations en attestent : de nombreux quartiers de Dakar bénéficient d'améliorations notables sous sa gestion, et les Dakarois le reconnaissent dans leur quotidien.

 

Mais ces accomplissements semblent déranger certains, qui, au lieu de reconnaître l'impact positif de ses actions, préfèrent recourir à des manœuvres politiques pour tenter de le discréditer. Les accusations à son encontre sont sans fondement et ne visent qu’à freiner son élan réformateur. En effet, l'instrumentalisation de la justice dans ce contexte soulève de graves préoccupations concernant l’état de notre démocratie et la liberté d’expression politique. La tentative de museler un maire élu démocratiquement par la population est une attaque directe contre le suffrage universel et contre la voix du peuple.

 

Les méthodes employées pour entraver le travail de Barthélémy Toye Dias sont une violation flagrante de la démocratie. L’utilisation des forces de l'ordre pour empêcher l'accès aux bureaux municipaux et perturber le bon fonctionnement de la mairie est un exemple clair de dérive autoritaire, qui remet en question les principes fondamentaux du droit et de la liberté d’action des élus locaux. Un tel comportement compromet la confiance des citoyens envers leurs institutions, et risque de créer un précédent dangereux pour l’avenir de la politique sénégalaise.

 

Ce qui se joue aujourd'hui ne concerne pas uniquement la personne de Monsieur Barthélémy Toye Dias, mais bien l'avenir démocratique de notre pays. Chaque citoyen a le droit de voir son choix électoral respecté, sans être victime de pressions externes ou d'attaques personnelles. Le Maire de Dakar se bat, non seulement pour sa propre défense, mais pour la préservation des acquis démocratiques qui sont le fondement de la société sénégalaise.

 

Le Maire de Dakar ne se laisse pas abattre par ces attaques injustifiées. Bien au contraire, il fait face à cette épreuve avec une détermination encore plus grande, animé par sa vision pour une Dakar plus belle, plus juste, plus moderne. Le développement de la ville ne se ralentit pas et les projets continuent à progresser, malgré les obstacles. La capitale sénégalaise est en train de se réinventer sous son leadership, et c’est là une preuve incontestable de son engagement envers ses concitoyens.

 

Le groupe Taxawu Sénégal et tous ceux qui croient en la démocratie, dans la justice et l'équité, soutiennent fermement leur Maire. Nous affirmons qu’il est impératif de dire non à ces manœuvres qui tentent de briser les droits et la dignité des élus locaux. Ce combat dépasse le cadre individuel et devient un enjeu de société. Protéger les droits des élus, c'est aussi protéger ceux des citoyens et préserver les principes démocratiques auxquels nous tenons tous.

 

Le Maire Barthélémy Toye Dias est un exemple de leader qui incarne le courage, l’intégrité et l’ambition d’un avenir meilleur pour Dakar. C'est un homme qui ne se laissera pas intimider et qui, malgré les adversités, poursuit sans relâche son combat pour la justice et le bien-être des Dakarois. En lui apportant notre soutien, nous faisons un choix pour la démocratie, pour l’avenir de Dakar et pour un Sénégal toujours plus juste et prospère.

 

Par Mowo Diouf, Porte

-parole du jour

 

Kaffrine : Abdoulaye Saydou Sow a tenu, une assemblée générale, ce week-end, rassemblant comités électoraux et militants dans le cadre des préparatifs pour une éventuelle élection. Lors de cette rencontre, le leader politique a pris la parole pour partager sa vision, motiver ses partisans, et défendre son bilan à la tête du ministère de l’Urbanisme et du logement.

 

Dans son intervention, Abdoulaye Saydou Sow a souligné la clarté de sa gestion au ministère de l’Urbanisme et du Logement. Il a affirmé que toutes ses actions ont été guidées par un sens élevé de responsabilité et de transparence, mettant en avant des résultats concrets dans la mise en œuvre des politiques publiques. « Nous avons travaillé sans relâche pour améliorer le cadre de vie des Sénégalais. Notre bilan est clair et nous n’avons rien à cacher », a-t-il déclaré sous les applaudissements nourris des militants présents.

 

Il a notamment évoqué les projets réalisés dans les domaines de l’aménagement urbain et du logement social, tout en rappelant que son action s’est toujours inscrite dans une logique d’équité et d’efficacité.

 

Au-delà de son bilan, Abdoulaye Saydou Sow a lancé un appel vibrant à l’unité et à la mobilisation de tous les militants en vue des prochaines échéances électorales. « L’heure n’est pas aux divisions. Nous devons rester soudés pour relever ensemble les défis à venir », a-t-il martelé.

 

Il a exhorté les comités électoraux à redoubler d’efforts sur le terrain, en insistant sur la nécessité d’une proximité accrue avec les électeurs. « Notre force repose sur notre capacité à être à l’écoute des populations et à répondre à leurs aspirations », a-t-il ajouté.

 

Les militants présents ont accueilli le discours de leur leader avec enthousiasme. Certains ont salué la clarté et la sincérité de son propos, réaffirmant leur engagement à travailler pour assurer une victoire à  l’avenir. « Nous avons confiance en lui. Il a prouvé qu’il est un homme d’action et de résultats », a déclaré un participant.

 

 

Cette assemblée générale, marquée par un discours centré sur la transparence et l’unité, reflète la stratégie d’Abdoulaye Saydou Sow pour consolider sa base et préparer une campagne solide. L’optimisme affiché par le leader et ses partisans laisse entrevoir une mobilisation accrue dans les semaines à venir, en vue de traduire cet élan en succès électoral à une éventuelle élection.

 

Mamadou Ndiaye

 Excellence Ousmane Yara, diplomate aux multiples facettes, figure parmi les invités lors de l’investiture du Président américain Donald Trump et de la Texas State Society de Washington D.C. 

Il va partager la scène avec d'éminentes figures comme l’ancien Président de la République du Sénégal, Macky Sall, et bien d'autre Chefs d'État africains influents. Cette rencontre réunit des leaders comme Dénis Sassou Nguesso du Congo Kinshasa, d'Alassane Ouattara de la Côte d'Ivoire , Félix Tshisekedi du Congo Brazza, de Bola Ahmed Tinubu du Nigéria et du Général Brice Oligui Nguema du Gabo, etc. Ceci témoigne de l'importance des relations diplomatiques et des échanges entre les nations.

 

La conférence sert de plateforme pour mettre en lumière, non seulement, le rôle prépondérant du Texas dans l’économie américaine, mais également, son statut de centre névralgique d’innovation et de leadership économique à l’échelle mondiale. Ousmane Yara, de par sa présence, souligne l'importance des collaborations internationales et des dialogues constructifs entre les nations, renforçant ainsi les liens diplomatiques et économiques.

Cet événement mémorable permet de célébrer le dynamisme du Texas tout en honorant l'engagement des leaders présents à promouvoir des initiatives de développement durable et de coopération internationale avec lui en première ligne, incarnant ainsi l’esprit de collaboration et de progrès.

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