samedi 27 juillet 2024 | Login
Malal DIALLO Pithi

Malal DIALLO Pithi

Lors de sa conférence publique au Grand Théâtre avec les jeunes de son parti le PM Ousmane Sonko a déclaré que sa « référence idéologique en politique est le Prophète Mohamed (psl) ». Une Première !!!

Cette déclarations mérite admiration et considération émanant d'un homme politique de son envergure. Néanmoins engage une posture et un code de conduite centré sur la vertu, la bonté, l'honnêteté, l'empathie, le respect mutuel, etc... Quoi de plus normal pour celui qui déclare suivre les traces de Mouhamad, le Meilleur des Créatures, dont Dieu dit dans le Coran : « Et tu (Mouhamed) es certes, d'une moralité Éminente » [S 68 V 4].

Des Hommes politiques qui s'atellent à suivre le chemin de la droiture, marquerait un début de solutions définitives aux maux du Sénégal.

 

À Mr Sonko nous rappelons que le Serviteur Privilégié et Héritier incontestable du Prophète est Cheikh Ahmadou Bamba Mbacké, un Sénégalais.

L'Homme qui a sacrifié toute sa vie à revivifier les enseignements authentiques du Saut des Prophètes pour les générations futures.

Serigne Touba a produit des centaines de panégyriques pour gratifier à toute l'humanité cet Océan de Générosité qui est une Miséricorde pour  l'Humanité.

Son projet de société matérialisé à travers la communauté Mouride et la ville de TOUBA est un modèle de développement endogène magnifié à travers le monde entier.

Toutefois sachez Mr Sonko que le modèle du Prophète n'est pas en vigueur chez la plupart des pays Arabes devenus des États Bourgeois ou les valeurs sociales de l'islam perdent du terrain au profit des mondanités de la civilisation occidentale.

Si le Prophète est votre référence vous trouverez votre feuille de route dans les écrits de Cheikhoul Khadim mieux que nulle part ailleurs.

 

Si vous avez besoin d'interprète approchez-vous de son fidèle Général, Cheikh Ahmadou Kara Mbacké qui tire sur la sonnette d'alarme depuis 3 décennies sur l'urgence de s'approprier de ce modèle sociale volontairement ignoré par les politiciens.

 

BAMBA est le moyen le plus sûr de se rapprocher du Prophète et sa cause est celui du Dieu.

 

ô les croyants ! Craignez Allah, cherchez le MOYEN de vous rapprocher de Lui et luttez pour Sa cause. Peut-être serez-vous de ceux qui réussissent ! [S5 V35]

 

Mounirou Sarr

Militant de la Révolution Pacifique

Conseiller municipal à la commune de Grand-Yoff

L'école mixte de Bargny a abrité le samedi 8 Juin 2024 l'Assemblée Communautaire des Femmes sur le Changement Climatique. Après la prière d'usage, il revenait à Cheikh Fadel Wade, Coordinateur du Réseau des Associations pour la Protection de l'Environnement et de la Nature a d'emblée rappelé les défis que doivent relever les communautés, les femmes en particulier, face au changement climatique. Tout comme Daouda Larri Gueye, Président du RAPEN qui a fait une brève présentation de la situation climatique globale au niveau planétaire, surtout les risques d'extinction de toutes les espèces, si jamais la limite de 1 degré 5 celsius venait à être dépassée. Sous ce rapport, Mme Sidibe a brossé un tableau de résilience climatique. En effet, non seulement elle a mis en exergue les stratégies allant dans le sens d'une meilleure autonomisation des femmes, mais elle a évoqué plusieurs mesures palliatives allant dans le sens du développement des activités des femmes, surtout celles qui sont dans le domaine agricole.

 

 Elle a suggéré de se former aux techniques de compostage et de diversifier les types d'activités. Face à plus d'impacts négatifs, les femmes gagneraient à revoir les modèles de consommation. Dans leurs interventions, elles ont vivement remercié Mme Sidibe qui leur a parlé de tant d'opportunités de développement, comme par exemple, '' Une école publique, Un Jardin Écologique'', qui doit être parmi les modèles de résilience et d'adaptation. 

 

Fatou Samba, Conseillère Municipale et Présidente des Femmes transformatrices du site de Khelcom, s'est appesantie sur l'ensemble des menaces qui pèsent sur le devenir des femmes qui, à cause de l'implantation d'infrastructures industrielles polluantes, telles que la Centrale à Charbon du Port Minéralier vraquier et l'imminente implantation d'usines de sidérurgie. A  noter que le RAPEN a été a 

accompagné par le CRADESC et Global Green Grants Fund

 

Nous n'allons pas accepter à ce que vous ternissez l'image de notre mentor politique, Son Excellence Macky Sall !

 

Si vraiment l'amnesti a effacé tous ces faits, ce cirque doit impérativement arrêter ?

 

En réalité c'est quoi ce jeu ? Qui est derrière ces politiciens?

 

Collectif des Victimes où conglomérat des vilenies ? Le Sénégal a failli s'écrouler s'il n'était pas nos forces de l'ordre et la clairvoyance de Son Excellence Macky Sall.

 

Qui sont ceux qui ont vandalisé nos universités ?

 

Qui sont ceux qui ont jeté des cocktails Molotov dans un bus avec leurs conséquences désastreuses?

 Qui sont ceux qui ont caillassé nos bus DDD?

Qui sont ceux qui ont brûlé les maisons d'autruis ? Etc..? N'egratinez pas nos plaies ! 

 

Je pense bien que ce débat doit être définitivement arrêté . Son Excellence Macky Sall a ses militants, ses sympathisants qui lui sont dévoués et fidèles . Nous ne voulons pas nous opposer d'une façon indigne avec un irespects notoire, c'est pourquoi nous sommes très responsable et nous mettons le Sénégal au dessus de tous . Mais franchement on attaque pas à un lion qui rumine sa colère dans le silence.

Demander à ces tenants du pouvoir de réduire le prix des denrées alimentaires, de régler le problème de l'émigration clandestine et de lutter contre le chômage !

 

C'est mieux de rester à se pavaner dans les réseaux sociaux pour raconter des incongruités.

Aller au travail et arrêter cette farce 

Ils sont dans les pires manipulations et avec un irespects éhonté.Son Excellence Macky Sall mérite tous les honneurs au Monde. Arrêtez votre fanfaronnade médiatique.

 

Si vous avez quelque chose à demander ou à dire ,il faut bien le demander à celui qui faisait appel au mortal Kombat et Gatsa Gasta.

 

Si vraiment vous voulez la paix dans ce pays,il faut arrêter vos galimatias et votre cirque de mauvais goût. Nous sommes des Républicains et nous respectons le bien être des Sénégalais et nous n'allons jamais brûler ce pays où bien vouloir brûler ce pays parce que nous avons participé activement à sa construction.

 

Laisser tout tranquille Son Excellence Macky Sall si vraiment vous voulez la continuité de cette apaisement politique.

 

Samba Ndong Responsable politique Apr et Coordonnateur du Mouvement PATRIES.

Depuis quelques temps, j’avais pris une résolution de ne plus intervenir dans des débats publics, surtout des propos qui relèvent d’une nullité et une inculture de ses auteurs. Il faut le dire, le monde est devenu pesant, les idiots ont le droit à la parole.  Je n’ai pu terminer ma prière de ce matin à ma guise.

 

En effet, les propos d’une rare méchanceté et d’une idiotie manifeste de Kémi et Natali m’ont fait bondir, et comme le disait Senghor, l’écriture peut sauver notre âme dans des moments pareils. Assimiler le terrorisme à une ethnie, c’est d’abord de la méchanceté contre des milliers de familles et pour des générations. Oui les peulhs portent les valeurs de l’islam depuis des siècles, mais c’est une inculture de vouloir identifier tous les peulhs à des terroristes et tous les terroristes à des peulhs.

 

 La conséquence est de jeter en pâture une partie de la population Africaine. Non, nous ne sommes pas des terroristes, mais de vrais Africains et des musulmans sincères. Qui en Afrique peut revendiquer le parcours élogieux de Elhadji Oumar Foutiyou Tall, de Ousmane Dan Fodio Deme, et tant d’autres figures qui ont tissé avec intelligence, une communauté solidaire dans toute l’Afrique ?

 

 J’invite l’état du Sénégal à se prononcer sur ces propos et à assumer ses responsabilités face à la population peulh qui forme une grande partie de la population Sénégalaise. J’invite ces deux fous, oisifs et errants à retirer ces propos sans fondement aucun. A la communauté peulh, j’en appelle à l’unité et à la mobilisation de tous, contre ces formes de stigmatisation.

 

Dr Bassirou NIANG,  Président du RASSEMBLEMENT NATIONAL SENEGALAIS/ JAALAL LEYDI

 

On ne les entend pas toujours, et on entend rarement qu'elles sont associées à des projets, programmes ou bénéficient d'une nomination et autres promotions. En réalité, les personnes vivant avec un handicap sont dans une situation alarmante et décident de se faire entendre. Elles interpellent directement le président Diomaye Faye par la voix de la responsable de la Fédération sénégalaise des associations des personnes en situation d'handicap (Fsaph): '' Il ne nous reste qu'à inviter le PR Diomaye Faye à agir de manière urgente'', lance la présidente de la structure Khady Ba. 

 

Se basant sur les statistiques qui établissent l'existence de 3 millions de personnes vivant avec un handicap au Sénégal, sur une population totale estimée à 18 millions d'habitants, ces personnes en situation vulnérable saisissent l'occasion d'une rencontre avec les médias pour faire distinguer dans leurs rangs les albinos, les malvoyants, les aveugles, handicapés moteurs, les malentendants, déficients mentaux, les sourds, les muets. Elles représentent 15% de la population du pays et sont généralement issues des couches sociales difficiles, souvent victimes de discrimination, de marginalisation, de stigmatisation et d'injustice sociale. La plupart d'entre elles se refusent de tendre la main et affrontent la vie avec courage et dignité, en dépit de leurs limites physiques. 

 

Elles participent ainsi, de manière remarquable, à la vie sociale, économique, politique, culturelle du pays. Pour  la présidente Khady Ba, connue pour ses positions tranchées en faveur de ses compatriotes défavorisés, ''notre plaidoyer devrait produire un écho favorable pour être des autorités étatiques et gouvernementales pour que dans la vision, les stratégies, le Projet, nos préoccupations puissent être prises en charge pour l'amélioration de nos conditions de vie et d'existence. Nous attendons une finalisation, sur le plan institutionnel, du cadre juridique déjà existant pour rendre les décrets d'application effectifs dans l'optique d'un mieux-être des personnes vivant avec un handicap''.

 

Dans cette optique, une multiplication, au plan régional, des centres d'accueil et de formation adaptés à toutes les formes d'handicap, un encadrement professionnel de ces victimes qui doit déboucher sur leur insertion dans le circuit de la production sociale et économique, figurent au coeur des objectifs. Les personnes en situation d'handicap plaident aussi pour leur prise en charge effective, au plan sanitaire,  dans le dénuement le plus total, parce qu'entre autres raisons, la carte d'égalité des chances n'a pas totalement répondu aux attentes. ''' Il n'y a pas d'avancées significatives en ce qui concerne la carte d'égalité des chances, puisqu'à ce jour, il n'est dénombré que seulement 70.000 bénéficiaires dans tout le pays. Nous interpellons  directement le président de la République Bassirou pour l'installation et la promotion des cadres les représentant au niveau des hautes instances étatiques de décisions pour une meilleure approche et défense de nos intérêts, surtout dans le contexte des nouvelles nominations dans la mise en place des équipes pour accompagner le nouveau régime'', signale la Présidente Khady Ba.

Placé sous mandat de dépôt en même temps que cinq autres personnes arrêtées dans le cadre de l’enquête qui a abouti à la saisie de plus de 22 kilos de cocaïne à Keur Ayib et Ngor-Virage, le fils de l’ancien Premier ministre Idrissa Seck a fait de surprenantes déclarations face aux éléments de l’OCRTIS. D’après Libération, qui donne l’information, Abdoulaye Seck a juré qu’il n’est pas mêlé aux activités du réseau dirigé, selon les policiers, par Sylvain Bathiapara Mendy. Affirmant même avoir «essayé de faire tomber [ce dernier] à plusieurs reprises, en collaboration avec des policiers et des gendarmes, mais [que] cela n’a pas abouti».

Surnommé «Scarface», Sylvain Bathiapara Mendy serait le parrain d’un réseau de trafic de cocaïne opérant entre la Guinée-Bissau et la France, en passant par la Gambie, le Sénégal et le Maroc, notamment. Il est poursuivi pour association de malfaiteurs aux fins d’importation de cocaïne pour trafic en groupe criminel organisé, blanchiment de capitaux et détention d’arme à feu sans autorisation.

«Scarface» est tombé en même temps que Pathé Guèye, Ousmane Camara, Alain Diatta, Amadou Diam Ndoye et donc Abdoulaye Seck. Placé sous mandat de dépôt, tout ce beau monde croupit en prison.

Libération rapporte que le fils du patron du Rewmi s’est dit surpris d’être associé à cette histoire. «En vérité, je ne sais pas pour quelle raison je suis mêlé à cette affaire, a-t-il lancé aux enquêteurs, selon le journal. Je ne suis dans aucune activité illégale. Ma place n’est pas ici. […] Je ne consomme ni ne vend de la drogue. Je ne bois même pas d’alcool.»

Abdoulaye Seck de renforcer sa plaidoirie : «Je n’ai jamais participé à son trafic [Sylvain Bathiapara Mendy), ni de près ni de loin. D’ailleurs, je lui disais qu’il finirait par tomber tôt ou tard. Mais sa réponse était que s’il lui arrivait d’être interpellé, il aurait le choix entre la corruption et le suicide, mais qu’il n’irait jamais en prison.»

Le prévenu de poursuivre : «Il y a moins de deux mois, il me disait que grâce à mon passeport diplomatique, il pouvait louer un jet-privé chargé de cocaïne pour Paris. Et je n’avais qu’à accompagner le jet. Mais, naturellement, j’ai refusé. Mieux, il ignore que ce type de passeport n’exclut pas le contrôle. […] Je sais qu’il est dans le trafic depuis cinq ans.»

Les Jeudi 23 Vendredi 24 et Samedi 25 Mai 2024 ont enregistré la tenue des journées sportives et culturelles qu’organise, tous les ans, le Gouvernement Scolaire du Groupe Scolaire Keur Mame NDAWA sis Unité 3 des Parcelles Assainies de Keur Massar  Plusieurs menus étaient au Programme des activités.

 

L’habillement, la danse et le chant traditionnel de plusieurs ethnies dont les Joola, les Seereer, les Wolof ont été mis en exergue par les élèves sélectionnés, à cet effet. Après la pause déjeuner, Cap sur Urban Foot, une structure sportive privée installée à près de 2 km de l’école. Là-bas, différentes rencontres en football et en handball ont opposé les classes finalistes. À l’issue de confrontations âprement disputées, dans un pur esprit fair-play, les résultats ci-après ont été enregistrés : CM1 bat C2 sur le score de 2 buts à 1 en football ; en handball CM2 a battu Ce 2 sur la marque de 6 à 2. Un match de gala entre la sélection des filles, les maîtresses et les femmes de charge, a vu ces dernières l’emporter. C’est ainsi que la sélection professeurs instituteurs et autres membres du personnel a triomphé devant l’équipe des élèves.  L’espace Urban Foot de Jaxaay 1 a vu près d’un millier de personnes venir assister aux différents matchs programmés ce jour. Vendredi 24 Mai, place était faite à l’activité rétro lors de laquelle les élèves ont présenté des facettes vestimentaires des années 90 sur différentes formes, avant que dans l’après midi place fut faite à une Kermesse durant laquelle les élèves firent preuve d’agilité et d’adresse. Le Gouvernement Scolaire a profité de la journée officielle du samedi 25 mai pour décerner des diplômes de reconnaissance à certains membres du personnel pour services rendus.

 

C’est ainsi qu’au premier jour, le Jeudi 23 Mai, dans la matinée, a eu lieu la Finale du jeu Génies en Herbe qui a vu les élèves de Terminale l’emporter devant les élèves de Seconde S, sur le score de 225,5 points contre 120 points. Le jeu de génie en herbe a porté sur les charades, les actualités, le vis-à-vis, l’identification, la culture générale, le relais et l’association ; et durant, lequel des élèves du GSK ont pu prester. Ca allait mettre fin à cette journée intensément vécue avec un grand concert avec ISS 814, artiste de la banlieue de Guédiawaye. Dernier jour des activités, le samedi 25 Mai a été l’apothéose. En effet, entre différentes prestations, les élèves ont fait preuve de talents et d’ingéniosité. Ainsi du slam, des sketchs, du  ballet de la prestation du club d’anglais, les parents venus en masse ont vu leurs enfants, très appliqués, exécuter consciencieusement tout ce que leurs responsables dont Mme Diaw, Mr Faye, Mr Diouf Anglais, Ibaa, leur avaient appris en un si laps de temps.  Un Hommage Appuyé a été rendu à la Directrice Fifi Naar Niass, Marraine des Journées.

 

 

Les pays membres de l’Alliance des Etats du Sahel (AES)(Burkina Faso, Mali et Niger) et certains pays amis, tels que le Togo et le Tchad, sont en exercice d’envergure baptisée “Tarhanakale”, qui signifie amour de la partie (en tamajek) depuis le 20 mai dernier au Niger, a-t-on appris samedi de source militaire.

NIAMEY, 26 mai (Xinhua) — Les pays membres de l’Alliance des Etats du Sahel (AES)(Burkina Faso, Mali et Niger) et certains pays amis, tels que le Togo et le Tchad, sont en exercice d’envergure baptisée “Tarhanakale”, qui signifie amour de la partie (en tamajek) depuis le 20 mai dernier au Niger, a-t-on appris samedi de source militaire.

L’exercice, qui se tient au centre de formation des Forces spéciales de Tilia, région de Tahoua (ouest), au Niger, est dans le souci de renforcer les capacités opérationnelles et la résilience des Forces armées de l’AES face à toute menace potentielle.

Cet exercice supervisé par les plus hautes autorités, vise à renforcer l’interopérabilité et la coopération des forces militaires des pays participants. “Il prendra fin le 3 juin prochain et comprend non seulement des manœuvres tactiques, mais aussi des initiatives visant à renforcer les liens avec les populations locales”, a précisé le bulletin de l’armée.

Pour rappel, les pays de l’AES avaient déjà annoncé leur retrait de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), après avoir créé l’AES, un pacte de défense mutuelle conclu entre les trois pays, en septembre dernier.

En septembre dernier, le Burkina Faso, le Niger et le Mali ont annoncé la création d’une Alliance des Etats du Sahel (AES) avec pour principal objectif de mutualiser leurs efforts afin de faire face aux menaces sécuritaires, mais aussi de favoriser ensemble le développement socioéconomique au bénéfice de leurs populations.

Les pays membres de l’Alliance des Etats du Sahel (AES)(Burkina Faso, Mali et Niger) et certains pays amis, tels que le Togo et le Tchad, sont en exercice d’envergure baptisée “Tarhanakale”, qui signifie amour de la partie (en tamajek) depuis le 20 mai dernier au Niger, a-t-on appris samedi de source militaire.

NIAMEY, 26 mai (Xinhua) — Les pays membres de l’Alliance des Etats du Sahel (AES)(Burkina Faso, Mali et Niger) et certains pays amis, tels que le Togo et le Tchad, sont en exercice d’envergure baptisée “Tarhanakale”, qui signifie amour de la partie (en tamajek) depuis le 20 mai dernier au Niger, a-t-on appris samedi de source militaire.

L’exercice, qui se tient au centre de formation des Forces spéciales de Tilia, région de Tahoua (ouest), au Niger, est dans le souci de renforcer les capacités opérationnelles et la résilience des Forces armées de l’AES face à toute menace potentielle.

Cet exercice supervisé par les plus hautes autorités, vise à renforcer l’interopérabilité et la coopération des forces militaires des pays participants. “Il prendra fin le 3 juin prochain et comprend non seulement des manœuvres tactiques, mais aussi des initiatives visant à renforcer les liens avec les populations locales”, a précisé le bulletin de l’armée.

Pour rappel, les pays de l’AES avaient déjà annoncé leur retrait de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), après avoir créé l’AES, un pacte de défense mutuelle conclu entre les trois pays, en septembre dernier.

En septembre dernier, le Burkina Faso, le Niger et le Mali ont annoncé la création d’une Alliance des Etats du Sahel (AES) avec pour principal objectif de mutualiser leurs efforts afin de faire face aux menaces sécuritaires, mais aussi de favoriser ensemble le développement socioéconomique au bénéfice de leurs populations.

La cité de Médina Baye a clôturé ce vendredi l’édition 2024 des « 72 heures de récital » de Coran dans l’enceinte de la grande mosquée. Ce moment solennel a été saisi par le guide religieux Cheikh Ibrahima Diallo pour se questionner sur l’absence inexpliquée du président nouvellement élu Bassirou Diomaye Diakhar Faye dans la ville sainte.

« Nous sommes dans une république cimentée par la démocratie où le président de la République doit mettre au même pied d’égalité tous les citoyens. C’est dans ce sillage que tous les Cheikhs, les disciples du monde entier se questionnent sur l’absence remarquée de son Excellence Bassirou Diomaye Diakhar Faye à Médina Baye alors qu’il a déjà fait des périples dans beaucoup de villes religieuses », s’est interrogé M. Diallo.

Pour lui, le Khalif ni le porte-parole ne vont jamais soulever cette problématique mais en tant que disciple et citoyen sénégalais, il a pleinement le droit de poser le débat. » S’il y’a des entraves à sa visite, s’il y’a un problème de temps ou de calendrier aussi, nous voulons le savoir car à l’instar des autres villes religieuses Médina Baye a toujours rayonné dans le pays et à l’international » plaide encore Cheikh Ibrahima Diallo.

 

Pour rappel, pendant trois jours, les 22, 23 et 24 mai, le Coran a été récité 56.158 fois pour la paix, la stabilité, la grâce, la bénédiction et la cohésion sociale ainsi qu’un bon hivernage au Sénégal, en Afrique et dans le reste du monde. Ces journées ont été initiées pour la première fois par ElHadj Abdoulaye Niass le Grand. Le flambeau a été repris en 1952 par Baye Niass.

CMU
cmu