
La rédaction
Sénégal–Pakistan : Une nouvelle ère de coopération économique et éducative
Dakar, le 27 mai 2025 — C’est un tournant majeur dans les relations bilatérales entre le Sénégal et le Pakistan. Pour la première fois, un forum d'affaires et d'investissement entre les deux pays s’est tenu à Dakar, marquant le début d’une coopération économique, commerciale et éducative prometteuse.
Organisé en étroite collaboration avec les autorités sénégalaises, notamment grâce à l'engagement de M. Abdel Kader Seck, ce forum accueille une délégation pakistanaise composée d'hommes et de femmes d'affaires, d'investisseurs ainsi que de représentants du secteur public.
« Nous avons travaillé d’arrache-pied depuis 2023 pour tisser des liens solides entre nos deux pays », a déclaré S.E. l’Ambassadeur du Pakistan à Dakar. « Ce forum est l’aboutissement d’un effort collectif visant à créer des opportunités concrètes pour les entreprises, les jeunes entrepreneurs et les commerçants sénégalais et pakistanais. »
Les domaines abordés sont variés et stratégiques : agriculture, textile, pharmacie, agroalimentaire, habitat, éducation supérieure… Le forum s’inscrit dans le cadre de la vision Horizon 2030 du gouvernement pakistanais, en parfaite adéquation avec les priorités économiques du Sénégal.
Parmi les projets phares figure la volonté du Pakistan d'établir un partenariat avec l’Université du Sine-Saloum, notamment dans le développement du textile, secteur porteur pour les deux nations.
La présence de représentants du ministère pakistanais de l'Éducation, d’enseignants chercheurs et d’universitaires souligne également l’ambition d’une coopération durable dans le domaine de l’enseignement supérieur.
Ce forum n’est que le début d’un partenariat stratégique à long terme, fondé sur une vision partagée de développement, d’innovation et d’inclusion.
Mamadou Touré
Immatriculation des motos: À kaffrine, les Jakartamen expriment leurs frustrations.
Les conducteurs de deux roues de kaffrine ont improvisé, un point de presse, ce mardi, devant le service régional des mines et transport de kaffrine, pour dénoncer les lenteurs sur la récupération des récépissés.
"La procédure est compliquée, et en trois mois, il est difficile d'immatriculer toutes les motos, car la région ne dispose que d'un seul service des mines", déclare un Jakartamen résidant de Mbirkilane. Selon lui, les forces de défense et de sécurité ont commencé à leur arrêter et récupérer leurs motos, pour faute manque de papier legal.
Dans la foulée, un autre conducteur venant de Nganda, dans le département de kaffrine, se désole de la situation. "Nous demandons aux autorités à repousser encore le délai, depuis cinq mois, j'ai déposé tous mes documents mais jusqu'à présent je n'arrive pas à récupérer le récépissé, c'est désolant, alors que nous sommes à quelques jours de la Tabaski", dit-il.
Pour rappel, le ministre des transports a déjà précisé qu'il n'y aurait aucune dérogation sur le délai accordé pour l'immatriculation gratuite, qui prend fin ce 25 mai.
Mamadou Ndiaye
Renforcement des compétences médiatiques : la Maison de la Presse et Sun Tech Hollywood Production scellent un partenariat stratégique
Dakar, 26 mai 2025 — La Maison de la Presse Babacar Touré (MPBT) et Sun Tech Hollywood Production ont signé ce lundi une convention de partenariat majeure visant à renforcer les capacités des professionnels des médias et de la communication. La cérémonie s’est déroulée en présence de Sambou Biagui, Directeur général de la MPBT, et de Cheikh Tidiane Cissé, Président-directeur général de Sun Tech Hollywood Production.
Dans son allocution d’ouverture, Sambou Biagui a insisté sur la portée symbolique et opérationnelle de cette alliance :
« Cette signature constitue bien plus qu’un simple accord. Elle incarne une vision partagée, une volonté commune de mutualiser nos expertises pour aller plus loin ensemble. »
Il a ajouté que cette collaboration permettra non seulement d’amplifier l’impact des actions de la MPBT, mais aussi de créer des passerelles solides pour valoriser les initiatives menées au quotidien.
« Notre objectif est clair : mobiliser, fédérer et attirer de nouveaux partenaires autour de nos valeurs et de nos projets », a-t-il affirmé.
Ce partenariat s’inscrit dans une volonté de dynamiser la Maison de la Presse, en répondant aux attentes des autorités qui encouragent sa valorisation comme institution pivot de l’écosystème médiatique.
De son côté, Cheikh Tidiane Cissé a salué le pragmatisme des deux parties ayant conduit à la concrétisation de ce projet :
« Ce que nous signons aujourd’hui, c’est bien plus qu’un partenariat. C’est une véritable passerelle entre les mondes de l’information, de la création et de l’innovation. »
Il a réaffirmé l’engagement de Sun Tech Hollywood Production à mettre à disposition ses ressources humaines, techniques et son savoir-faire au service de cette collaboration ambitieuse.
« Nous sommes prêts à déployer tous les moyens nécessaires pour soutenir le développement dans tous les secteurs, avec un accent particulier sur la communication institutionnelle et la qualité des services offerts à la MPBT », a-t-il précisé.
Avec cette convention, la Maison de la Presse et Sun Tech Hollywood Production posent les bases d’un écosystème collaboratif durable, au service du renforcement des compétences, de la visibilité médiatique et de la liberté d’expression.
Mamadou Touré
Dialogue politique: ''C'est inopportun et subjectif'', selon le Rassemblement National Sénégalais/ JAALAL LEYDI
la journée du 28 Mai a été consacrée journée nationale du dialogue national. Le rassemblement national Sénégalais qui se veut un mouvement démocratique a toujours considéré l'exercice d'une concertation nationale comme l'essence même du modèle démocratique qui est naturellement délibérative.
Le rassemblement national Sénégalais / jaalal leydi regrette simplement que ce dialogue ne soit pas national pour une simple raison: elle pose uniquement la question de la conquête du pouvoir.
Le pays a d'autres préoccupations beaucoup plus urgentes et criardes. Cependant, il convient de noter que les termes de references de ce dialogue réduisent la question du système politique à la question électoraliste. Et c'est là tout le malheur du Sénégal.
On se vante d'être une démocratie apaisée, alors qu'à chaque alternance, nous comptons des morts et des blessés.
Cherchons la raison historique à ce biais.
Au niveau du rassemblement national Sénégalais / JAALAL LEYDI nous pensons qu'il faut ramener les quatre courants d'avant multipartisme .
Ce multipartisme va vers l'éclatement de la nation. Il faut inventer sur les obstacles et que la gestion du pouvoir soit alternée entre les quatres courants selon des mandats de 7 ans.
Chaque Sénégalais aura le choix suivant ses convictions d'adhérer à un grand ensemble. Qu'il soit de l'extrême droite, de droite, du centre de la gauche, de l'extrême gauche.
La loi doit imposer à chaque bloc un programme clair sur 7 ans, avec des sources de financement et des résultats attendus.
Ce modèle aura le merite de nous éviter des lots de morts et des discours populistes sans lendemain.
La formation des militants devrait être une exigence avec une haute autorité chargée des élections qui veillera sur les aspects pratiques d'organisation et de suivi des programmes annoncés.
Le rassemblement national Sénégalais / JAALAL LEYDI invite les sénégalais à éviter les debats PICROCHOLINS et de mettre l'avenir du pays au centre du discours politique.
RASSEMBLEMENT NATIONAL SÉNÉGALAIS /JAALALLEYDI.
FAIT A DAKAR 24 MAI 2025
LA COO
DIALOGUE NATIONAL: La Marche des Territoires-Andu Nawlé répond à l’appel de la République
À quelques jours de l’ouverture officielle du dialogue national politique prévu le 28 mai, le mouvement La Marche des Territoires-Andu Nawlé confirme sa participation active à cette importante rencontre républicaine. Le parti, dirigé par Maguette Sène, a reçu son invitation du Président de la République Bassirou Diomaye Diakher Faye et s’est, depuis, engagé dans une série de concertations internes pour formuler une position claire et constructive.
Selon un communiqué officiel, les instances compétentes du parti ont minutieusement examiné les termes de référence du dialogue national avant de prendre la décision d’y prendre part. Une démarche marquée par le sens des responsabilités et la volonté affirmée de contribuer au débat démocratique sur les grandes questions nationales.
Dans un contexte politique chargé d’attentes et de promesses, La Marche des Territoires entend faire entendre sa voix sur des thématiques clés telles que le renforcement de l’État de droit, le fonctionnement des institutions républicaines, et l’organisation de la vie politique, notamment à travers une réforme inclusive du processus électoral.
« Le Sénégal est à la croisée des chemins », souligne le parti. Pour ses responsables, seule une réconciliation politique sincère, couplée à un engagement patriotique collectif, permettra au pays de relever les défis de son développement économique et social. Une vision qui passe, selon eux, par une décentralisation renforcée et l’émergence équilibrée des territoires.
Le mouvement insiste également sur la nécessité d’un dialogue franc, véridique et objectif, capable d’aboutir à des consensus forts pour pacifier l’espace politique et garantir aux citoyens l’exercice plein de leurs droits dans un climat de confiance et de justice.
Cours Sainte Marie de Hann : Les élèves appelés à devenir des bâtisseurs de paix
Les Semaines de la Paix ont pris fin ce vendredi au sein des Cours Sainte Marie de Hann, dans une ambiance à la fois solennelle et festive. La cérémonie de clôture, marquée par la présence du ministre de la Fonction publique, Olivier Boucal, et du nouvel archevêque de Dakar, Monseigneur André Guèye, a été l’occasion d’un appel fort à la jeunesse : cultiver la paix, partout et en tout temps.
Placé sous le thème « La culture de la paix, gage d’un bon climat social au Cours Sainte Marie de Hann », l’événement a rassemblé élèves, enseignants et autorités autour d’activités sportives, culturelles et intellectuelles. Une manière vivante d’incarner les valeurs de tolérance, de dialogue et de fraternité.
Pour le ministre Olivier Boucal, représentant le ministère de l’Éducation nationale, la paix reste un chantier universel et prioritaire :
« Nous devons tous construire la paix. C’est une responsabilité partagée, car aucun développement n’est possible sans elle. »
Il a salué l’initiative de l’établissement qui, selon lui, contribue activement à forger une citoyenneté responsable.
L’archevêque de Dakar, Monseigneur André Guèye, en visite pour la première fois dans cette école depuis sa nomination, a insisté sur l’importance du vivre-ensemble et de la fraternité dans un monde en quête de repères :
« Se dire mutuellement qu’il y a un défi de fraternité à relever est essentiel. Il faut s’ancrer dans cette dynamique pour consolider la paix durablement. »
Cette édition des Semaines de la Paix a également rendu hommage à son parrain, feu Amadou Mahtar Mbow, ancien Directeur général de l’UNESCO, figure emblématique de la paix et du dialogue interculturel. Sa famille, présente à la cérémonie, a salué la mémoire et l’héritage de l’illustre homme d’État.
Monseigneur Guèye a conclu en exhortant les élèves à suivre les pas de leur parrain :
« J’appelle chacun à la fidélité à l’héritage reçu, à la passion pour la justice, le dialogue entre les cultures, et à œuvrer pour la paix, ici comme
ailleurs. »
Le Salon AMAA : Un carrefour d’innovation pour une industrie culturelle en pleine mutation
Dakar, Sénégal – Sous l’impulsion de Moustapha Ndiaye, président de l’Association des Managers et Agents d’Artistes (AMAA), un grand rendez-vous culturel et professionnel s’annonce à Dakar. Ce salon inédit entend réunir les forces vives de l’industrie culturelle autour d’un thème central : l’impact des nouvelles technologies, et notamment de l’intelligence artificielle, sur les métiers de la culture.
Ce forum, bien plus qu’un simple événement, se veut un espace d’échanges, de formation et de création de synergies. Des professionnels du Sénégal et d’ailleurs, notamment de France, du Brésil et du Congo, ont confirmé leur présence pour partager leurs expériences et initier des collaborations durables
« L’export, c’est la vie. Il est temps que nos artistes puissent circuler, collaborer, et vivre pleinement de leur art », affirme Moustapha Ndiaye. L’objectif affiché est clair : structurer une véritable économie de la culture qui profite aux créateurs, aux managers et aux collectivités locales.
Le programme promet d’être riche : panels, ateliers de formation, espaces dédiés au cinéma, à la danse, à la musique et à la culture urbaine. En journée, les discussions tourneront autour de l’innovation technologique, des nouvelles pratiques artistiques et des stratégies d’export culturel. Le soir, place à la scène : des concerts, des spectacles et des performances artistiques en continu.
L’événement ne se limite pas au divertissement. Il ambitionne de créer des ponts entre les artistes africains et internationaux, favorisant les tournées, les coproductions et les opportunités économiques concrètes. « Ce salon est une étape vers la mise en place d’un véritable festival international de la création africaine », ajoute Moustapha Ndiaye.
Bien que la présence du ministre de la Culture ne soit pas encore confirmée, plusieurs représentants institutionnels sont attendus. « L’essentiel, c’est d’avoir des partenaires engagés et ouverts au dialogue », précise-t-il.
Le Salon AMAA s’impose donc comme un levier essentiel pour la professionnalisation et l’essor de l’industrie culturelle africaine, à l’heure où les nouvelles technologies redéfinissent en profondeur les pratiques artistiques.
Mamadou Touré
FIPA 2025 à Dakar : L’intégration économique africaine en vitrine
La Foire Internationale des Produits Africains (FIPA) a ouvert ses portes ce jeudi à Dakar, réunissant 35 pays autour d’un objectif commun : promouvoir l’intégration économique africaine. À travers formations, échanges B2B et forums, l’événement se positionne comme un levier de souveraineté et de développement pour le continent
La Place du Souvenir Africain de Dakar a été, ce jeudi, le théâtre du lancement officiel de la sixième édition de la Foire Internationale des Produits Africains (FIPA 2025). L'événement, placé sous le thème « L’intégration économique : un levier essentiel de développement et de souveraineté », met en lumière l’importance des échanges intra-africains pour le futur du continent.
Fatou Fabira Dramé, commissaire générale de la FIPA, a insisté sur la dimension panafricaine de cette édition. Elle a mis en avant l’urgence de favoriser l’unité africaine et de valoriser les produits locaux comme moteurs de croissance durable. Parmi les nouveautés de cette année : des sessions de formation, des rencontres professionnelles de type B2B, et des forums sur des thématiques clés telles que l’intégration africaine et la diplomatie religieuse.
Le secrétaire général du ministère de l’Industrie et du Commerce, Seydina Aboubacar Sadikh Ndiaye, a salué la régularité et la pertinence de la FIPA. Selon lui, cet événement constitue une vitrine stratégique pour les entreprises sénégalaises et africaines. Il a également souligné la richesse du programme et la diversité des secteurs économiques représentés.
Durant dix jours, les participants – venus de 35 pays africains – auront l’opportunité de tisser des partenariats, de promouvoir leurs produits et de s’inscrire dans une dynamique d’ouverture vers l’économie mondiale.
Lancée dans une période cruciale pour les économies africaines, la FIPA 2025 incarne plus que jamais une ambition continentale : faire de l’intégration économique un pilier de la souveraineté africaine.
Kaffrine/Renforcement des jeunes et gouvernance alimentaire : Un observatoire mis en place pour faire face aux défis.
Le chômage des jeunes, le changement climatique, et l'insécurité alimentaire, tels sont les défis majeurs qui tenaille le Sénégal, la commune de kaffrine, en particulier. Pour repeindre ce tableau sombre et changer la donne, un dialogue pluri acteur initié par Enda Ecopop en partenariat avec l'Université du Sine Saloum Elhadji Ibrahima Niasse ( USSEIN), s'est tenu, ce vendredi, à la préfecture de kaffrine, dont l'objectif est de mettre en place un observatoire sur les systèmes alimentaires. Ce dernier aura pour but d'améliorer le suivi et la prise de décision stratégique, en plaçant les acteurs clés au cœur des mécanismes de gouvernance des systèmes, selon Dr Fatou Kiné Gueye, chargée de projet.
Venue présidé la rencontre, le préfet du département de kaffrine, Mme Aïchatou Ndiaye Diallo Bodian, se réjouit et juge intéressant ce projet. Selon elle, cet observatoire va permettre de créer un cadre d'échange de référence sur des questions et de sécuriser la base de données d'acteurs issues du projet.
Poursuivant ses propos, Dr Fatou Kiné Gueye estime que l'objectif général est " bâtir un observatoire sur les systèmes alimentaires dans le département de kaffrine par un processus participatif, inclusif et orienté vers l'action, intégrant fortement les jeunes" a t-elle souligné, en ajoutant qu'il va permettre aussi de mettre une feuille de route pour les trois prochains mois.
Entant en droite ligne des objectifs spécifiques, qui prévoient de réfléchir, identifier les profils, collecter des données entre autres, Papa Ngor Sarr Sadio, le chargé du projet à L'USSEIN, estime que cet observatoire va leur permettre de collecter des données, les analyser et les mettre à la disposition des décideurs ainsi que d'autres chercheurs et les institutions. Pour lui, des innovations seront également proposées afin de lutter contre le changement climatique, faire face aux défis sanitaires liés à l'alimentation et la pauvreté.
Mamadou Ndiaye
LUTTE CONTRE LES ARNAQUES: QNET condamne fermement l’usurpation de son nom dans les récents cas d’escroquerie à Mbao, Rufisque et Grand Yoff
QNET est profondément préoccupée par les récentes affaires d’escroquerie au Sénégal impliquant des individus se faisant passer à tort pour des représentants de notre entreprise. Ces incidents, notamment ceux de Mbao, Rufisque et Grand Yoff, ont causé de lourds préjudices à de nombreuses victimes attirées par de fausses promesses d’emploi et de revenus.
Dans le cas le plus récent, la police a arrêté à Grand Yoff un individu suspecté d’avoir escroqué plusieurs personnes pour un montant total de 20 millions FCFA. À Mbao et Rufisque, des arnaqueurs ont abusé du nom de QNET pour soutirer de l’argent à des victimes, dont un Ivoirien et plusieurs ressortissants ouest-africains, en leur promettant des placements professionnels ou des voyages fictifs. Ces actes sont criminels, inacceptables et totalement étrangers à QNET.
QNET est une entreprise légitime de bien-être et de lifestyle, présente à l’international, qui opère à travers un modèle de vente directe en ligne. Nous ne proposons ni emplois, ni visas, ni déplacements pour intégrer notre activité. Toute personne prétendant le contraire agit de manière frauduleuse et doit être dénoncé.
Dans le cadre de notre engagement à protéger les populations, nous avons lancé au Sénégal la campagne “QNET Against Scams”, visant à sensibiliser et éduquer le public sur les arnaques utilisant notre nom. Nous collaborons étroitement avec les autorités locales et mettons à disposition un canal de signalement sécurisé via WhatsApp (+233 2566 30005) et email (Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.).
QNET a également renforcé ses actions disciplinaires internes contre les contrevenants. En 2024, nous avons sanctionné 298 personnes : 210 suspensions et 88 révocations. En 2025, nous avons déjà pris 78 mesures disciplinaires dont 48 suspensions et 30 licenciements. Cela démontre claireent notre politique de tolérance zéro face aux comportements non éthiques.
“Nous sommes bouleversés par la manipulation de personnes vulnérables et condamnons fermement l’usage frauduleux de notre nom,” déclare Biram Fall, Directeur Général Régional pour l’Afrique Subsaharienne. “Nous coopérons activement avec les autorités et intensifions nos efforts d’éducation, de contrôle et de transparence. Notre objectif est que QNET demeure une force positive et jamais un outil de tromperie.”
Nous appelons le public à faire preuve de vigilance et à toujours vérifier l’authenticité des opportunités se réclamant de QNET. Pour en savoir plus : www.qnet.net.
À propos de QNET
QNET est une entreprise de premier plan dans le secteur du style de vie et du bien-être, qui adopte un modèle de vente directe pour proposer une large sélection de produits exclusifs permettant aux individus d’adopter une vie plus saine et plus équilibrée.
Depuis 1998, les produits innovants de QNET et son modèle économique fondé sur le commerce électronique ont permis de construire une communauté mondiale de clients et de microentrepreneurs satisfaits, animés par la mission de RYTHM – Raise Yourself To Help Mankind (Élevez-vous pour aider l’humanité). Parmi les marques phares proposées par QNET figurent la gamme de montres et de bijoux de luxe Bernhard H. Mayer, les produits de soin pour la maison HomePure, la gamme bien-être Amezcua, les soins personnels Physio Radiance, et les forfaits vacances de la marque QVI.
QNET est fière d’être membre de plusieurs associations de vente directe à travers le monde, notamment de la Hong Kong Health Food Association, de la Health Supplements Industry Association of Singapore, entre autres.
QNET est également très active dans le domaine du sponsoring sportif international, en tant que partenaire officiel de vente directe du Manchester City Football Club et de la Confédération Africaine de Football (CAF), soulignant ainsi son engagement envers l’excellence et sa portée mondiale.
Découvrez un monde de nouvelles possibilités avec QNET sur www.qnet.net