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Malal DIALLO Pithi

Malal DIALLO Pithi

Une sortie médiatique fortement relayée par la Presse sénégalaise en ce lundi 22 Avril. Cette proposition est impertinente et dénuée de sens pour un ancien Premier Ministre pensons-nous. Monsieur Mbaye, avant de faire cette sortie maladroite devait au moins se prémunir de certaines garanties à savoir :

- Qu’est-ce qui est à la base de l’achat d’un avion présidentiel?

- Qu’est-ce que cela rapporte au pays acheteur ?

Les avions présidentiels de Léopold S. Senghor à Macky Sall, quelle en est l’historique ?

Ne faudrait-il pas demander conseils aux spécialistes en la matière ?

 

Autant de questions légitimes qui auraient certainement aidé l’ancien Premier Ministre dans sa prise de position unilatérale. De Senghor à Sall, en passant par Diouf et Wade, la gestion de l’avion présidentiel a toujours fait l’objet de débats pertinents et parfois stériles. Pour exemple, alors que nous étions dans l’avion prêté par Kadhafi pour participer à un Sommet de l’Union Africaine à Syrtre, le Chef de l’Etat sénégalais de l’époque, à savoir Me Wade, s’est rendu compte à notre arrivée en Libye que tous les Chefs d’Etats, ou presque, étaient venus avec leur avion présidentiel. En témoignaient les drapeaux nationaux qui flottaient sur la devanture des avions. Grande fut la surprise du Président Wade de constater que le Sénégal faisait partie des rares pays qui ne disposaient pas d’un avion présidentiel. Ce jour là, le Chef de l’Etat sénégalais disait que disposer d’un avion présidentiel relevait d’une question de souveraineté nationale. Ainsi, Abdoulaye Wade s’en est ouvert au Président de la Guinée équatoriale qui, par la suite, l’a invité à visiter son avion personnel. Un véritable bijou qui avait beaucoup émerveillé le Président de la République.

 

A cette époque, avec le NEPAD, les têtes de pont du leadership africain étaient incarnées par le Président Kadhafi de la Libye, Thabo Mbeki d’Afrique du Sud, Olesegun Obasanjo  du Nigéria et Abdoulaye Wade du Sénégal. Nous avons en mémoire l’escale du Président Nguema à Dakar pour permettre au Président Wade et au pilote de l’avion présidentiel, le Général Madické Seck, un pilote chevronné, de visiter l’avion très sophistiqué du Président Equato-guinéen. Quelques jours après notre retour à Dakar, le Président Abdoulaye Wade décida d’acheter un nouvel avion pour préserver l’honneur du Sénégal au cours des grandes rencontres internationales où chaque chef d’état venait avec son avion. Malheureusement, il s’en est suivi un débat inutile qui avait fini de polluer l’atmosphère politique au Sénégal. Nous avons tous en mémoire le brûlot d’Abdou Latif Coulibaly qui s’en était pris ouvertement au Président Wade et à son régime. La suite, nous la connaissons à travers des sorties médiatiques qui n’honorent pas notre pays. L’avion présidentiel est un outil de travail qui permet au Chef de l’Etat de voyager en toute indépendance et en toute quiétude pour défendre les intérêts du Sénégal. Nous devons en faire un bon usage et ne jamais le vendre pour quelque raison que ce soit.  Disposer d’un avion présidentiel est loin d’être un luxe, mais une question de souveraineté nationale et de sécurité pour marcher au rythme des temps modernes.

 

Mbaye DIOUF

Ancien conseiller spécial à la Présidence de la République

Leur présence auprès du Président sortant, Macky Sall, n’est pas passée inaperçue. Il s’agit du nouveau ministre sénégalais des Finances et du Budget, Cheikh Diba, et de son collègue de l’Économie, du Plan et de la Coopération, Abdourahmane Sarr.

D’après Enquête, qui donne l’information, les membres du premier gouvernement du Président Bassirou Diomaye Faye ont rencontré le prédécesseur de celui-ci, en présence des dirigeants de la Banque mondiale (BM) et du Fonds monétaire international (FMI), en marge des Assemblées annuelles de Printemps de ces deux Institutions financières.

Que se sont-ils dit ? Le quotidien d’information se demande si le nouvel envoyé spécial du 4 P (Pacte de Paris pour les peuples et la Planète) ne jouerait-il pas les chaperons pour les deux membres du nouveau régime ?

 

 

 

La faible représentation des femmes dans le nouveau gouvernement du Président de la République, Bassirou Diomaye Faye, fait débat. Une pétition a été déjà lancée par les militantes féministes. De l’avis de Felwine Sarr, c’est un combat légitime.

« La politique, ce sont aussi des actes symboliques. Je crois qu’il a une vraie sous-représentation des femmes dans le gouvernement (4 sur 30). Elles représentent 49,6 % de la population totale, et donc, il était important que le Gouvernement reflète cela », justifie l’écrivain et philosophe sénégalais dans un entretien accordé au journal Le Soleil depuis l’Université Duke aux États-Unis où il enseigne.

Le professeur titulaire d’ajouter : « Sur le plan économique, elles représentent 80% de la force de travail dans le monde rural et agricole, mais ne possèdent que 2% des terres. Quand on regarde les statistiques sur la pauvreté au Sénégal, 33% des femmes vivent en dessous du seuil de pauvreté (2,15 dollars par jour), 94% travaillent dans le secteur informel, et elles ont trois fois plus de chances de ne pas être employées alors qu’elles représentent 40% de la force de travail dans le pays. »

« Dans les ménages, poursuit l’économiste, les travaux démontrent que lorsque l’on accroît le bien être et la prospérité ds femmes, il y a un effet bénéfique pour toute la famille, y compris en éducation et en santé. »

Pour lui, « un ministère de la Femme semble nécessaire » car appuie-t-il, « les femmes ont des problématiques qui leur sont spécifiques » mais également « une économie féminine » c’est à dire « qui prend en compte et améliore la condition des femmes parce qu’on ne peut pas avoir de la prospérité dans le pays si la moitié du corps social est victime d’un certain nombre de handicaps et d’asymétries. »

Felwine Sarr conclut : « Dans tous les domaines, on trouve des femmes qui sont très compétentes et capables de diriger des Ministères. C’est une revendication tout à fait normale et légitime. »

 

 

Dans le cadre de la 28ème édition du mois africain de la prévention des risques professionnels, l’Association des Paramédicaux d’Entreprise du Sénégal (APES), en partenariat avec la Caisse de Sécurité Sociale (CSS) a organisé, ce Samedi 20 avril 2024, un atelier autour du thème : «La sécurité et santé au travail dans les secteurs  d’activité à fort potentiel de risque : défis et stratégies d’interventions». La journée a été présidée par M. Alioune Sall, président de l’APES et El Hadji Abdoul Aziz Sarr, infirmier d’Etat qui pour étayer sur les accidents de travail, notamment sur les causes et la mise en place des actions de préventions et de sensibilisations pour supprimer ou réduire ces risques.

 

Selon M. Alioune Sall, «les accidents causent beaucoup de morts, et souvent c’est des négligences ou de l’indiscipline. Parfois aussi, c’est des défiances humaines qui causent ces accidents. Et à chaque fois qu’il y a des morts, il y a des problèmes de perte d’argent et de temps par rapport aux soutiens aux familles». Et pour apporter des solutions, Me Sall soutient qu’au niveau des entreprises, «il y a lieu de se conformer à la loi et aux règlements afin de mettre en place les matériaux qu’il faut à la disposition des travailleurs pour les protéger contre les accidents du travail. Et de faire de l’éducation auprès du personnel un moyen de sensibiliser les travailleurs. Parce que souvent, certains parmi eux, par rapport aux questions de sécurité et de santé, négligent certaines pratiques. La santé au travail, c’est surtout la prévention, elle n’est pas curative», a soutenu le président de l’Association des Paramédicaux d’Entreprise du Sénégal. 

 

Pour Cheikh Mbacké Diop, administration à la caisse de sécurité sociale et Expert en Sécurité et Santé au Travail, «la caisse de sécurité sociale a l’ambition de pérenniser le mois de la Prévention qui, pendant un mois, nous devons conscientiser les chefs d’entreprise et les travailleurs sur les accidents de travail. Il faut donc évaluer régulièrement l’efficacité des mesures de prévention mises en œuvre et ajuster les interventions en fonction des résultats obtenus, en vue d’améliorer continuellement la sécurité et la santé au travail». Pour l’Expert en Sécurité et santé au travail.  Ainsi, la caisse fait des descentes dans les entreprises pour sensibiliser. «Bien qu’on fasse du contrôle, la sensibilisation est extrêmement importante pour la caisse. On se rend dans toutes les entreprises du Sénégal pour sensibiliser.  C’est pour cela d’ailleurs qu’on initie des bourses aux étudiants pour les encourager à s’intéresser davantage sur la question des accidents au travail».

 

Le Directeur Général de l’AGETIP, M. El Hadji Malick GAYE, a participé ce jour à la réunion de prise de contact dans les locaux de la cour suprême, faisant suite à la saisine de cette dernière. A l’instar du building administratif Mamadou Dia, l’Agetip vient d’être sollicitée pour accompagner la cour Suprême dans le cadre du projet de rénovation et d’extension de son siège sis corniche Ouest. 

 

Le Directeur Général, s’est dit honoré et enthousiaste d’accompagner cette très haute institution judiciaire de l’Etat. Il a remercié le Secrétaire Général M Mamadou DIAKHATE pour cette marque de confiance et de reconnaissance de l’expertise d’AGETIP. Entouré de tout le staff du management de la cour, Monsieur DIAKHATE dira : « Ce projet entre dans le cadre du Plan Stratégique de Développement de la Cour qui passe de quatre (04) chambres à huit (08) avec des prévisions de massification accompagnées de plans de carrières. Ce projet dure depuis plus de 14 ans et c’est après maintes recherches que nous avons aboutis à saisir Agetip compte tenu de ses résultats que nous suivons. 

 

Il a remercié le Directeur Général de s’être personnellement déplacé alors qu’ils avaient sollicité une audience à l’Agetip. Ce qui est un signe d’humilité ». Le Directeur Général a marqué son accord donnant donc favorablement suite à la saisine et expliqué brièvement le mode d’intervention de l’Agence. Pour finir il a annoncé les étapes suivantes et immédiates pour que temps ne soit pas perdu. 

 

SN/SHN

 

Atos annonce avoir été choisi par l’institut Pasteur de Dakar dans le cadre d’un projet de grande ampleur visant à encourager la diversification des activités industrielles de l’Institut. Il consiste en la mise en œuvre d’un système de gestion intégrée des processus et de gestion de maintenance assistée par ordinateur. Ce contrat s'inscrit dans la stratégie de développement de l'institution, visant à diversifier ses activités industrielles, notamment dans la fabrication de produits pharmaceutiques innovants tels que des vaccins et des tests de diagnostic rapide, ainsi que leur distribution à l'échelle mondiale.

La mise en place du progiciel de gestion intégrée SAP, ainsi que d’une production et d’une maintenance assistées par ordinateur, joueront un rôle clé dans la réalisation des objectifs fixés par l’Institut Pasteur de Dakar. Ils permettront de renforcer la transversalité dans le fonctionnement de l’organisation et l’exécution des processus, de mettre en œuvre une solution unique partagée entre le siège et les unités opérationnelles, ainsi que d’accroître la productivité et l’autonomisation de certaines tâches, tout en optimisant le suivi budgétaire et l’expérience des collaborateurs.

Ce projet illustre l’expertise du Global Delivery Center (GDC) d’Atos au Sénégal dans le déploiement du progiciel SAP et sa capacité à répondre aux exigences de qualité spécifiques au secteur pharmaceutique. Le GDC est outillé pour prendre en charge des projets ERP de grande envergure et les délivrer dans des délais optimaux. Ce projet complexe devra être livré dans un délai de 15 mois.

DR Amadou SALL, Administrateur Général, Institut Pasteur de Dakar a souligné : « Il s’agit d’un projet stratégique pour l'Institut Pasteur de Dakar et nous sommes heureux de pouvoir compter sur l’expérience et l’expertise d’une entreprise telle qu’Atos pour proposer des solutions innovantes et de qualité dans un secteur aussi spécifique que l’industrie pharmaceutique. »

Momadou NDOYE, Directeur Général d’Atos au Sénégal a déclaré : « Cette collaboration renforce notre position en tant que contributeur actif du processus de transformation digitale à l’œuvre au Sénégal. Nous sommes déterminés à dépasser les attentes de l'Institut Pasteur de Dakar et à contribuer de manière significative au succès de ce grand projet de modernisation ».

 

À propos d’Atos

Atos est un leader international de la transformation digitale avec environ 105 000 collaborateurs et un chiffre d’affaires annuel d’environ 11 milliards d’euros. Numéro un européen du cloud, de la cybersécurité et des supercalculateurs, le Groupe fournit des solutions intégrées pour tous les secteurs, dans 69 pays. Pionnier des services et produits de décarbonation, Atos s’engage à fournir des solutions numériques sécurisées et décarbonées à ses clients. Atos est une SE (Société Européenne) cotée sur Euronext Paris.

La raison d’être d’Atos est de contribuer à façonner l’espace informationnel. Avec ses compétences et ses services, le Groupe supporte le développement de la connaissance, de l’éducation et de la recherche dans une approche pluriculturelle et contribue au développement de l’excellence scientifique et technologique. Partout dans le monde, Atos permet à ses clients et à ses collaborateurs, et plus généralement au plus grand nombre, de vivre, travailler et progresser durablement et en toute confiance dans l’espace informationnel.

À propos de l’Institut Pasteur de Dakar

Créé en 1924, l'Institut Pasteur de Dakar IPD) œuvre pour accélérer l'accès équitable, durable et abordable à la santé en Afrique. Fondation sénégalaise à but non lucratif reconnue d'utilité publique, l'IPD fournit aux communautés des solutions de santé et des services de laboratoire, s'engage dans la recherche biomédicale de pointe et l'innovation, fabrique des vaccins et des diagnostics essentiels pour les populations africaines, développe le capital humain et s'engage dans des activités de santé publique telles que la veille épidémique, la réponse aux épidémies et la surveillance.

Le directeur général de l’Agetip, M. El hadji Malick Gaye, a participé ce jour à la réunion de prise de contact dans les locaux de la cour suprême, faisant suite à la saisine de cette dernière. A l’instar du building administratif Mamadou dia, l’Agetip vient d’être sollicitée pour accompagner la cour suprême dans le cadre du projet de rénovation et d’extension de son siège sis corniche ouest. 

 

Le directeur général, s’est dit honoré et enthousiaste d’accompagner cette très haute institution judiciaire de l’état. Il a remercié le secrétaire général M. Mamadou Diakhate pour cette marque de confiance et de reconnaissance de l’expertise d’Agetip. Entouré de tout le staff du management de la cour, monsieur Diakhate dira : « ce projet entre dans le cadre du plan stratégique de développement de la cour qui passe de quatre (04) chambres à huit (08) avec des prévisions de massification accompagnées de plans de carrières. Ce projet dure depuis plus de 14 ans et c’est après maintes recherches que nous avons aboutis à saisir Agetip compte tenu de ses résultats que nous suivons. 

 

Il a remercié le directeur général de s’être personnellement déplacé alors qu’ils avaient sollicité une audience à l’Agetip. Ce qui est un signe d’humilité ». Le directeur général a marqué son accord donnant donc favorablement suite à la saisine et expliqué brièvement le mode d’intervention de l’agence. Pour finir il a annoncé les étapes suivantes et immédiates pour que temps ne soit pas perdu. 

 

Atos annonce avoir été choisi par l’institut Pasteur de Dakar dans le cadre d’un projet de grande ampleur visant à encourager la diversification des activités industrielles de l’Institut. Il consiste en la mise en œuvre d’un système de gestion intégrée des processus et de gestion de maintenance assistée par ordinateur. Ce contrats'inscrit dans la stratégie de développement de l'institution, visant à diversifierses activités industrielles, notamment dans la fabrication de produits pharmaceutiques innovants tels que des vaccins et des tests de diagnostic rapide, ainsi que leur distribution à l'échelle mondiale.

La mise en place du progiciel de gestion intégrée SAP, ainsi que d’une production et d’une maintenance assistées par ordinateur, joueront un rôle clé dans la réalisation des objectifs fixés par l’Institut Pasteur de Dakar. Ils permettront de renforcer la transversalité dans le fonctionnement de l’organisation et l’exécution des processus, de mettre en œuvre une solution unique partagée entre le siège et les unités opérationnelles, ainsi que d’accroître la productivité et l’autonomisation de certaines tâches, tout en optimisant le suivi budgétaire et l’expérience des collaborateurs.

Ce projet illustre l’expertise du Global Delivery Center (GDC) d’Atos au Sénégal dans le déploiement du progiciel SAP et sa capacité à répondre aux exigences de qualité spécifiques au secteur pharmaceutique. Le GDC est outillé pour prendre en charge des projets ERP de grande envergure et les délivrer dans des délais optimaux. Ce projet complexe devra être livré dans un délai de 15 mois. Pour DR Amadou SALL, Administrateur Général, Institut Pasteur de Dakar a souligné : « Il s’agit d’un projet stratégique pour l'Institut Pasteur de Dakar et nous sommes heureux de pouvoir compter sur l’expérience et l’expertise d’une entreprise telle qu’Atos pour proposer des solutions innovantes et de qualité dans un secteur aussi spécifique que l’industrie pharmaceutique ». Dans le même sillage, Mamadou NDOYE, Directeur Général d’Atos au Sénégal a déclaré : « Cette collaboration renforce notre position en tant que contributeur actif du processus de transformation digitale à l’œuvre au Sénégal. Nous sommes déterminés à dépasser les attentes de l'Institut Pasteur de Dakar et à contribuer de manière significative au succès de ce grand projet de modernisation ».

 

Les nouvelles autorités sénégalaises comptent renégocier les contrats pétroliers. En attendant, Woodside a fait le point sur le niveau d’avancement du projet Sangomar, à quelques mois du début de la production du premier baril.

Woodside, Opérateur du projet pétrolier sénégalais (Sangomar), informe que les activités de mise en service sont actuellement en cours. Elles sont en bonne voie pour que la production du premier baril de pétrole puisse avoir lieu au milieu de cette année, renseigne la Compagnie dans son bilan financier du premier trimestre de cette année.

Woodside renseigne que 23 puits de production sont déjà prêts et le projet est achevé à 96%. Elle maintient aussi, que la sortie du premier baril de pétrole du champ pétrolier Sangomar est prévue pour la mi-2024.

Le Fpso Léopold Sédar Senghor, c’est-à-dire le navire qui va assurer les futures opérations de production et de stockage du pétrole, est arrivé au large du Sénégal en février et a été solidement amarré. Les travaux de raccordement sont terminés et le programme de mise en service est en cours.

Aussi, selon la compagnie, la campagne d’installation sous-marine est désormais terminée et le programme de forage de développement s’est poursuivi avec 19 des 23 puits forés et complétés.

 

Pour les besoins des préparatifs de la fête de la Tabaski, le président de la République Bassirou Diomaye Faye a donné des instructions à son gouvernement. À travers une circulaire signée par le Premier ministre Ousmane Sonko, trois fortes mesures ont été prises, a appris Seneweb. Voici le document officiel.
 
 
"Objet préparation de la Tabaski 2024
 
Madame, messieurs les ministres,
 
Monsieur le Président de la République a donné instruction au Gouvernement de prendre les dispositions appropriées pour la bonne organisation de la fête de la Tabaski 2024, en veillant, en particulier, à satisfaire la forte demande par un approvisionnement correct du marché en moutons, à travers d'une part, la mobilisation de l'offre nationale et, d'autre part, l'importation à partir des pays de la sous-région, notamment, du Mali et de la Mauritanie.
 
Dans cette perspective, pour offrir aux opérateurs nationaux comme étrangers, un cadre propice et une sécurité suffisante, respectivement aux frontières, le long des axes de convoyage ainsi qu'au niveau des zones d'attentes et des points de vente, les mesures, ci-dessous énumérées, devront être appliquées pour la période du 19 avril au 02 août 2024 :
 
1. l'assouplissement du contrôle des camions et véhicules transportant des moutons à destination du Sénégal;
 
2. l'exonération des droits et taxes sur les moutons de Tabaski;
 
3. l'autorisation de la présence, à bord de chaque camion, de trois (3) bergers chargés de la surveillance des animaux transportés.
 
Je vous invite, en outre, en application des dispositions du décret n°2002-1094 du 4 novembre 2002, relatif à la police sanitaire des animaux domestiques, à faire respecter de manière stricte, les mesures sanitaires d'hygiène et de sécurité pour un bon déroulement des opérations [..] " lit-on dans une circulaire signée par le Premier ministre Ousmane Sonko.
 
 

CMU
cmu