vendredi 22 novembre 2024 | Login
Malal DIALLO Pithi

Malal DIALLO Pithi

Binta Sy, résidente en France depuis plusieurs années, déclare : « Nous sommes en train de travailler pour que l'Afrique bouge et aider Bruno Fuchs, c’est aider le continent ».

 

Parcours de Binta : Dame de fer et très influente, Binta Sy œuvre sans relâche pour le développement de l’Afrique. S'engageant en politique dès son jeune âge, elle a joué un rôle crucial dans l’apaisement de la crise qui a frappé la Mauritanie avant l'accession de l’actuel président. Binta nous parle de son parcours, de ses relations avec Bruno Fuchs et de la situation France-Afrique. Très engagée pour la cause africaine, Binta Sy vit en France depuis plusieurs années. Née en 1977 à Kaédi, elle détient une maîtrise en comptabilité de gestion. Après avoir obtenu son baccalauréat au Congo Brazzaville, elle a poursuivi ses études secondaires au Sénégal. Elle entame sa carrière politique à l'âge de 23 ans en tant que directrice de campagne d’Ely Mohamed Ould El Val au Sénégal et en Gambie lors des élections présidentielles de la République Islamique de Mauritanie.

 

Contribution à la Paix en Mauritanie

 

Binta a brillamment géré les tensions lors des évènements de 1989, soulignant la présence de nombreux Mauritaniens au Sénégal suite à ces événements. Elle a travaillé avec les autorités mauritaniennes et Jean Ping, alors président de l'Union Africaine, pour apaiser la situation après le coup d'État à Nouakchott. Grâce à ses efforts, les accords de Dakar ont été signés, même si son rôle n'a pas été officiellement reconnu.

 

Vision pour le Développement Africain

 

Binta Sy défend le concept de France-Afrique basé sur un partenariat gagnant-gagnant plutôt que sur l'aide. Elle croit fermement en la capacité des Africains à ne pas dépendre de l'Occident, citant l’exemple de la Mauritanie, riche en ressources naturelles. Elle appelle à une autosuffisance alimentaire et à la valorisation des ressources locales. Concernant l’émigration, Binta souligne que les enfants d’Africains en France bénéficient de l'éducation gratuite et de diverses aides, contrairement à l'Afrique. Elle met en lumière les avantages de vivre en France pour les Africains, tout en appelant à une plus grande sensibilisation et un soutien aux migrants.

Soutien à Bruno Fuchs

 

Binta Sy exprime son soutien à Bruno Fuchs, le décrivant comme un homme intègre et respectueux de tous, indépendamment de leur origine. Elle considère que soutenir Bruno Fuchs est bénéfique pour le développement de l'Afrique, en raison de son amour pour le continent et de son engagement à le voir prospérer. Binta Sy continue de se battre pour les causes africaines avec détermination, espérant sensibiliser et mobiliser la diaspora africaine pour un avenir meilleur.

 

Bruno Fuchs vient d’annoncer sa candidature suite à la dissolution de l’Assemblée nationale française. Il compte non seulement représenter sa région, mais aussi défendre les intérêts du peuple africain au sein de l’hémicycle pour cette sixième législature. Bruno Fuchs est un député engagé pour l’intérêt général, comme en témoignent ses nombreuses initiatives à travers l’Afrique et ailleurs.

 

Force est de constater que Bruno Fuchs est membre du groupe parlementaire du Mouvement des démocrates (Modem). Il siège à la commission des Affaires étrangères et a également été membre de la commission des Affaires culturelles et de l’Éducation. Il s’est toujours engagé pour le renforcement de la francophonie et occupe le poste de vice-président de l’Assemblée parlementaire de la Francophonie. Sur sa page Twitter, Bruno Fuchs a annoncé le lancement de sa campagne pour continuer à représenter la sixième circonscription du Haut-Rhin à l’Assemblée nationale. « Il nous faut construire une offre stratégique plus claire avec l’Afrique », martèle Binta Sy, l’une de ses collaboratrices.

Relations Franco-Africaines

 

Bruno Fuchs, député du Haut-Rhin et membre de la commission des Affaires étrangères, joue un rôle clé dans les relations franco-africaines. En tant que délégué général de l’Assemblée parlementaire de la Francophonie, il promeut activement la coopération entre la France et les pays africains. Promotion de la Jeunesse et des Valeurs Démocratiques. Bruno Fuchs souligne l’importance de la jeunesse africaine dans la construction d’un avenir meilleur pour le continent. Il encourage la mise en place de programmes favorisant l’éducation, l’entrepreneuriat et l’emploi des jeunes. Il met également l’accent sur la promotion de la démocratie, des droits de l’homme et de l’État de droit en Afrique.

 

Appel à une Coopération Renouvelée

 

Bruno Fuchs appelle à une coopération renouvelée et renforcée entre la France et l’Afrique. Il insiste sur la nécessité de construire une offre stratégique plus claire, adaptée aux besoins et aux spécificités de chaque pays africain. Il considère que la coopération économique, la promotion de la jeunesse et des valeurs démocratiques sont les piliers d’une relation fructueuse et équilibrée entre la France et l’Afrique. Lors de son séjour au Bénin, où il a été reçu en audience, Bruno Fuchs a déclaré : « Nous avons un espace

francophone aujourd’hui qui est concurrencé par les Chinois, les Russes, les Anglo-Saxons. Cet espace a des valeurs auxquelles nous croyons. Il s'agit de voir comment le Bénin peut jouer un rôle plus important dans les instances de l’Assemblée parlementaire de la Francophonie. Je suis très satisfait de cette audience, car nous avons défini une stratégie et une ligne d’action pour les mois et les années à venir ».

 

Importance de l'Afrique

 

Ces déclarations montrent que Bruno Fuchs accorde une grande importance à l’Afrique, ce qu’il démontre également par ses interventions à l’Assemblée nationale française. Un rapport des Nations Unies a notifié que « l’Afrique est notre avenir ». Selon Bruno Fuchs, « ce constat semble toujours d’actualité pour quiconque accepte de se départir de certaines idées reçues sur le continent africain et de la vision misérabiliste qui a longtemps été posée sur lui. L’Afrique est le sujet n°1 de l’Europe pour les 50 ans à venir, et les Africains constitueront le plus grand groupe de personnes en âge d’activité maximale au monde, c’est-à-dire entre 24 et 54 ans. L’Afrique est notre avenir ». Bruno Fuchs, actuellement en campagne, se présente comme le candidat des Africains tout en représentant sa région au niveau de l’Assemblée nationale française. Il est reconnu à travers le monde pour ses actions en faveur de l’apaisement des conflits. Parmi ses collaboratrices les plus illustres, Binta Sy joue un rôle important sur le volet social et l’accompagne dans ses œuvres politiques.

Y7.D

 

قصةزمانناامسوالصوصا

 عمومافيالحقيقةلاخصوصا

« Les juges de notre époque sont tous devenus des brigands dans leur ensemble et non pas individuellement... »

 

Quant au fait d’être cadi, il suffit d’évoquer le poème que l’un d’eux dit à ce sujet : « Médites sur le Jour du Jugement (dernier) et de la Décision, et édifie-toi, lorsque Dieu ressemblera les créatures une à une »

Souviens-toi d’un hadith dont les rapporteurs sont véridiques, concernant la fonction du cadi et refugie-toi en Dieu, car qui s’y réfugie est sauvé :

« Abandonne la fonction de cadi, ô malheureux ! Ne t -y engage  jamais, même si on te donnait pour fief ( en contre partie) Egypte et Bagdad ».Si on me demandait qui est le plus sot de tous les hommes, je montrerais le cadi en disant : « C’est celui-ci ».

 

Mais cela concerne seulement le cadi injuste. Quant à celui qui est juste comme Omar Bén Abdel-Aziz, son exercice est parmi les meilleures formes d’adoration, quand bien même il serait un cas assez rare.

La plupart des cadis de notre époque ressemblent au cadi de Sodome qui est bien connu.

On rapporte parmi les exemples de son injustice ( le Cadi de Sodome) , qu’un homme en compagnie de sa femme ( ensceinte) ,  sur un âne, passe à côté d’une assemblée d’hommes. Ceux-ci frappent l’âne, coupent ses deux oreilles et sa queue.

L’âne, sentant vivement la douleur, se débat, saute et désarçonne la femme qui rejette son fœtus. Ils comparaissent tous devant le tribunal de Sodome. Le cadi décrète que l’homme leur donne sa femme pour qu’ils aient des rapports (sexuels) avec elle ; et ainsi, quand elle sera enceinte à nouveau,  ils la rendront à son époux ; Ensuite qu’il leur donne également l’âne qu’ils utiliserons à leurs propres services jusqu’à ce que sa queue et ses oreilles renaissent, pour que son âne lui soit rendu.

On rapporte que l’homme a prié (Dieu) en invoquant le malheur sur eux et la terre les engloutis, et personne parmi les habitants de Sodome n’a survécu.

Extrait du recueil Silkoul Jawahir

Mounirou Sarr

Militant de la Révolution Pacifique

Conseiller municipal à la comme de Grand-yoff

La cellule de communication se désole de la tentative du site Sanslimites à vouloir mettre en mal le Guide Cheikh Ahmadou Kara Mbacké avec le leader de Gueum sa Boppu Mr Bougane Geuye. En effet ceci fait suite à la sortie de ce dernier qui semblerait dans ses propos de la matinée, s'attaquer au Premier Ministre Ousmane Sonko sans toutefois le citer.

Ainsi Ce site a délibérément titré dans une vidéo du Guide reprise sans notre avale : " Don sathe moma gueunal don fén kat " Kara corrige Bougane " Na rafet njort te tey ci Sonko ak Diomay ".

 

Dans l'après-midi de la Tabaski le Guide Cheikh Ahmadou Kara Mbacké dans sa traditionnelle allocution envers les Sénégalais a délivré un message dans lequel comme à l'accoutumé, a appelé au calme et surtout à beaucoup compréhension et de solidarité à l'endroit des nouveaux dirigeants qui viennent juste d'être élu. Un message délivré à l'endroit de tous les sénégalais mais nullement un droit de réponse personnelle ou à contre pieds de Bougane dont le Guide n'était même pas informé des propres de ce dernier.

 

 Le Général de Bamba est un cas d'école du leadership Positif et pacifique. Il ne répond ni aux invectives ni aux calomnies de ses détracteurs. Tout au contraire en humaniste, il prie pour eux et leur prodigue des conseils. Au-delà de son statut de Guide religieux, il est certes un leader politique mais ne s'est jamais aventuré dans l'adversité nocive des acteurs politiques et ceci autant pour les tenants du pouvoir que ceux de l'opposition. Sa feuille de route reste limpide : la bonne intention, la bonne parole et la bonne action. Il est constant dans sa démarche et ses ambitions politiques restent intactes :  vulgariser le projet de société inédit de Cheikh Ahmadou Bamba.

 

À la direction de ce site nous rappelons que Cheikh Ahmadou Kara est un révolutionnaire qui n'a jamais été dans la partisannerie opportuniste mais dans la quête perpétuelle de la Vérité.

Ne lui cherchez pas d'ennemis ni de partie prise. Son parti est Hizbul Haqq.

KARA a un objectif clair, connu de tous les gens doués de raison. Il est juste très patient.

Le Général de Bamba a été courtois avec les Présidents Diouf, Wade, Sall et pourquoi n'en ferait-il pas autant pour ce nouveau jeune régime dont il appelle affectueusement "ses neveux" dans la vidéo.

Toute création à un début et une fin. Seul Dieu est Sans-limites. Revoyez votre titre !!!

 

La cellule de communication

 Sociologue et membre des Cadres de Pastef, Ousmane Sams NDIAYE s’érige en parfait défenseur de son leader Ousmane Sonko dont la sortie récente continue de d’alimenter les commentaires. Comme pour donner carte blanche au Premier Ministre sur les actes qu’il pose, Sams Ndiaye revient, dans cet entretien, sur ce qui caractérise le discours de son homonyme et ce qu’il convient de retenir en définitive. 

Vous avez suivi le discours du premier ministre Ousmane Sonko à la Conférence de la JPS. Quelle lecture en faites-vous?

 Oui le président du PASTEF a répondu à l’appel de ses jeunes, en l’occurrence la JPS. Mais en réalité, c’était un prétexte pour parler à l’ensemble des jeunes du pays, qui représentent l’essentiel de la population, où 78% de la population a moins de 35 ans. Ces jeunes ont participé activement à l’élection de la coalition Diomaye Président. C’est eux en réalité qui ont protégé le projet contre les assauts du régime précédent. Il est donc tout à fait normal de répondre à leur appel. Il en a profité pour les appeler à avoir une posture citoyenne, à participer à la reconstruction du pays à travers des actions d’intérêts communautaires, telles que cultiver la terre, reboiser des arbres, construire des salles de classe etc. Cet appel montre son engagement à faire de la jeunesse un acteur central du changement et du développement du Sénégal. Ces actions concrètes visent à catalyser l’énergie positive qui déborde chez ces jeunes et qui tourne autour de l’essentiel, qui est le PROJET. Il en a aussi profité pour se prononcer sur certains débats politiques soulevés dans la place publique. C'est ce dernier qui a semblé susciter certaines réactions et c’est normal. Les sorties politiques de PROS ont toujours fait débat.

Oui mais, à un certain moment, ce n’était plus le président de parti qui parlait, mais le premier ministre qui a même, par moment, mis sur la place publique des dossiers d’Etat. Est-ce que Ousmane SONKO se met dans la peau d’un PM finalement ?

 Est-ce que vous avez vu Ousmane SONKO premier ministre s’exprimer durant ces différentes sorties? Si vous l’aviez observé depuis deux mois, vous vous rendriez compte de la conscience que ce monsieur a des charges qui pèsent sur ses épaules, de l’espoir que lui et son gouvernement suscitent. Il parle avec beaucoup de mesure et se comporte avec humilité, ça, c’est le PM. Mais au Grand Théâtre, on a retrouvé l’homme politique que l’on connaissait, j’allais même dire le PROS qu’on aime. Il est direct, il est cash et parle sans gang. C’est son style, sa marque de fabrique. C’est cette communication, que certains ‘’sachants’’ fustigent depuis ses débuts, qui l’a fait sortir de l’anonymat pour faire de lui le leader de l’opposition avant d’emmener son parti et sa coalition au pouvoir. C’est peut-être difficile, mais il fait bel et bien la différence de rôle dans la posture mais aussi dans le discours.

 S’il n’était pas PM, est ce qu’il aurait eu connaissance des dossiers qu’il a évoqués, notamment le rapport sur le PRODAC ? On l’a vu également parler du ministre de la justice qui lui aurait demandé son avis sur un dossier. Quelle est votre réaction dans ces deux cas ?

 Vous savez, la reddition des comptes est une demande sociale et fait partie des promesses de campagne de la coalition Diomaye Président. Les jeunes s’impatientent et il fallait leur faire comprendre que les dossiers sont en cours. Le PRODAC qui est l’un des meilleurs projets du régime sortant en termes d’emploi des jeunes avec un financement de 29 milliards a été un échec. Un rapport a épinglé un ministre sur la gestion de ces fonds. Ousmane SONKO opposant alors, avait été accusé de diffamation par ce ministre disant que le rapport n’existait pas. Sonko est condamné à 6 mois de prison avec sursis et une amende 200.000. S’il s’avère que ce rapport existait, ce serait une des plus grosses trahisons de l’histoire politique du Sénégal qui impliquerait de hauts responsables de l’ancien régime. Si ces fonds peuvent être recouvrés, aucun effort ne serait trop parce que c’est un projet qui était destiné à ces jeunes qui sont là et qui ne demandent qu’à trouver du travail. Donc l’audience est bien choisie pour parler de ce dossier.  C’est également le lieu de faire comprendre à ces jeunes-là que personne ne serait protégé. Être membre de PASTEF ne donne aucune forme d’immunité. En guise d’exemple, il a demandé à son ministre de la justice, qui a l’obligation de lui rendre compte, de poursuivre quiconque commet un délit, crime de quelque bord qu’il se situe. C’était cela le message. Toute autre considération est superfétatoire.  

Il a aussi menacé ouvertement des magistrats, la presse, anciens ministres etc. Il a tiré sur tout le monde. Est-ce que c’est son rôle ?

Il a juste rappelé des principes. Il n’y a pas de citoyens à part ou groupes intouchables. Chaque métier a des règles que chacun doit respecter. Que l’on soit magistrat, journaliste ou même ministre. Le non-respect de ces règles peut conduire à des poursuites. Et pour cela, il faut une justice forte avec des magistrats indépendants et justes. Certains magistrats qui avaient été utilisés par l’ancien régime pour perpétrer certains forfaits ne doivent pas rester sur place. La liberté de la presse n’est pas un passe-droit pour dire n’importe quoi. Les journalistes doivent répondre de leur publication. Ce ne sont pas des attaques, mais des rappels visant à améliorer le système judiciaire. En appelant à la transparence et à la responsabilité, il cherche plutôt à réformer une justice qui, selon lui, a effectivement besoin de refaire sa mue. C'est une démarche pour parfaire un système essentiel à la démocratie et à la bonne gouvernance. 

On a vu une levée de boucliers de certains leaders politiques, patrons de presse et chroniqueurs contre la sortie de PROS, Quelle est votre appréciation de tout cela ?

 Nous sommes en démocratie et les gens sont libres de donner leur opinion et commentaires sur un discours politique. Dans l’absolu, et comme l’a toujours dit le PROS, nous avons un seul et unique interlocuteur, c’est le peuple sénégalais. Ces opposants à ce nouveau régime sont ce qu’on appelait l’opposition à l’opposition. Cette presse qui s’agite est la même qui avait traité le PASTEF, son leader et ses militants de tous les noms. Ils sont libres de commenter et nous restons focus sur notre mission avec rigueur, discernement et surtout beaucoup de courage. Le gouvernement continuera à se battre pour la transparence fiscale, à mobiliser la jeunesse et à réformer la justice.

Youssouf NDIONGUE

 

Quand l'essentiel est en danger, s'opposer est un devoir ! La parole se mange pas et le verbe ne jugule pas la souffrance des Sénégalais. Mettez-vous au travail, les Sénégalais souffrent !

 

Comment les Sénégalais, modernes et en avance sur beaucoup de domaines ont-ils pu donner le pouvoir et confier son destin à ces politiciens , sans grandes qualités, sinon de démagogues  et de propagandistes .

 

Ils risquent de conduire le Sénégal à la chute en suivant la pente d'une idéologie obsidinale, demeurée, n'appelant aucune modération, aucun en arrière possible.

 

Cette quête invétérée de l'estime de soi a conduit ce petit modèle à un narcissisme dangereux, cette volonté de grandeur et de puissance démesurée risque de conduire le pays vers la décadence et de la destruction totale.

Au moment où les Sénégalais vous accorde un temps de grâce pour que vous puissiez orienter vos politiques publiques afin de subvenir aux besoins des Sénégalais mais non vous êtes toujours dans vos patriques : menaces et verbiage creux.

C'est insensé d'en faire un débat, aller travailler pour le peuple, les Sénégalais souffrent.

Votre élection à la tête de ce pays n'aurait aucune signification si la liberté du citoyen n'y est pas assurée .

Un peuple commence à sa destruction quand la survie de ses membres devient utopique et la course vers la dépense quotidienne devient une obsession des gorgolou. Pour la plupart d'entre des Sénégalais, survivre relève désormais de l'exploit, et pour le plus grand nombre, chaque jour qui passe nous conforte dans le sentiment que le péril frappe à nos portes à cause de la cécité des tenants du pouvoir et de leur  incapacité de pouvoir juguler la souffrance du peuple.

Tout le monde le sait. Et le monde attend, docilement avec passivité, le dénouement d'un avenir médiocre, périlleux, vain, fade et dérisoire.

Les Sénégalais sont houspillés et leurs vies sont devenues insensées , leurs aspirations émoussées, leur confiance et ardeur se désintègrent , et chaque jour qui passe se précipite, comme un coup de poignard fatal, sur le dos de notre peuple. Sous l'effet conjugué de la banalisation du parjure, du manque de respect du bas peuple, de l'absence du projet tant vendu au bas peuple, et d'une violence imposée des tenants du pouvoir sur la presse et le bas peuple, nos vies privées et publiques ne cessent de se défaire. Et en face d' un tel péril, le peuple comme les élites , attendent malencontreusement qu'un miracle les délivre de leur médiocre condition.

Née comme un acte de confiance, notre République tend insidieusement à basculer dans la violence, la répression, dans la méfiance, puis la défiance. Une suspicion s'est érigée, au fil du temps, autour de l'action publique, de l'État et des institutions de la République ; et des manifestations spontanées dans les rues, et les violences sporadiques qui les accompagnent, risquent de s'abattre sur notre pays, à cause du discours insultant de ce politicard de pastef, témoigneront d'un malaise profond dans notre société totalement désemparés, déboussolés à cause du manque de vision économique de ces stagiaires au sommet de l'État.

Cette jeunesse, malmenée au quotidien par l'ignorance et foudroyée par la désespérance dont leur oreille est bourdonner par des inepties et des incongruités inopportun par un sieur qui est sans retenue, l'État, le service public, l'intérêt général sont mise à rude épreuve par inculte et le manque de compétences notoire, nos institutions risquent de s'affaisser sous le poids des menaces , d'un manque de respect devenue insoutenable en même temps que le désordre et l'indiscipline s'installent au coeur des relations sociales, faute de rancune, de revanchard et de respect mutuel.

La République, ne serait-il pas pris en otage par la coalition des intérêts particuliers, des sectes et des réseaux occultes, se montre plus que jamais incapable de faire face aux forces sociales et politiques à la a dégradation de l'état de droit.

Les institutions risquent de se défaire  pendant que la démocratie et la liberté d'expression subissent l'épreuve d'une véritable

humiliation, sans qu'aucune résistance ne se mobilise, sans qu'aucune riposte ne s'organise.

 

Bilakhi walakhi, le réveil risque d'être brutal, ces tenants du pouvoir s'ils pensent que les gens de l'apr sont frileux, ils trompent lourdement.

On réveille à un lion qui rumine sa colère dans le silence. Le Combat aura inévitablement lieu ne vous pressez pas.

Nous allons monter au pastef ce que peut faire l'homme républicain quand il s’oppose.

 

Devant leur incapacité de réduire les coûts de la vie en réduisant les prix des denrées alimentaires.

Devant leur incapacité de ravitailler le peuple sénégalais en mouton pour la Tabaski.

Devant leur incompétence et de leur manque vision en matière politique publique.

Devant l'absence du projet tant vendu au Sénégalais .

Pour contourner le débat, ce type de politicien crispé se jete dans l'incontinence verbale avec des menaces.

On s'en balance de vos menaces, faites ce dont le pourquoi les Sénégalais vous ont élu.

 

 Samba Ndong Responsable politique Apr et Coordonnateur du Mouvement PATRIES-les éternels Mackystes

Lors de sa conférence publique au Grand Théâtre avec les jeunes de son parti le PM Ousmane Sonko a déclaré que sa « référence idéologique en politique est le Prophète Mohamed (psl) ». Une Première !!!

Cette déclarations mérite admiration et considération émanant d'un homme politique de son envergure. Néanmoins engage une posture et un code de conduite centré sur la vertu, la bonté, l'honnêteté, l'empathie, le respect mutuel, etc... Quoi de plus normal pour celui qui déclare suivre les traces de Mouhamad, le Meilleur des Créatures, dont Dieu dit dans le Coran : « Et tu (Mouhamed) es certes, d'une moralité Éminente » [S 68 V 4].

Des Hommes politiques qui s'atellent à suivre le chemin de la droiture, marquerait un début de solutions définitives aux maux du Sénégal.

 

À Mr Sonko nous rappelons que le Serviteur Privilégié et Héritier incontestable du Prophète est Cheikh Ahmadou Bamba Mbacké, un Sénégalais.

L'Homme qui a sacrifié toute sa vie à revivifier les enseignements authentiques du Saut des Prophètes pour les générations futures.

Serigne Touba a produit des centaines de panégyriques pour gratifier à toute l'humanité cet Océan de Générosité qui est une Miséricorde pour  l'Humanité.

Son projet de société matérialisé à travers la communauté Mouride et la ville de TOUBA est un modèle de développement endogène magnifié à travers le monde entier.

Toutefois sachez Mr Sonko que le modèle du Prophète n'est pas en vigueur chez la plupart des pays Arabes devenus des États Bourgeois ou les valeurs sociales de l'islam perdent du terrain au profit des mondanités de la civilisation occidentale.

Si le Prophète est votre référence vous trouverez votre feuille de route dans les écrits de Cheikhoul Khadim mieux que nulle part ailleurs.

 

Si vous avez besoin d'interprète approchez-vous de son fidèle Général, Cheikh Ahmadou Kara Mbacké qui tire sur la sonnette d'alarme depuis 3 décennies sur l'urgence de s'approprier de ce modèle sociale volontairement ignoré par les politiciens.

 

BAMBA est le moyen le plus sûr de se rapprocher du Prophète et sa cause est celui du Dieu.

 

ô les croyants ! Craignez Allah, cherchez le MOYEN de vous rapprocher de Lui et luttez pour Sa cause. Peut-être serez-vous de ceux qui réussissent ! [S5 V35]

 

Mounirou Sarr

Militant de la Révolution Pacifique

Conseiller municipal à la commune de Grand-Yoff

L'école mixte de Bargny a abrité le samedi 8 Juin 2024 l'Assemblée Communautaire des Femmes sur le Changement Climatique. Après la prière d'usage, il revenait à Cheikh Fadel Wade, Coordinateur du Réseau des Associations pour la Protection de l'Environnement et de la Nature a d'emblée rappelé les défis que doivent relever les communautés, les femmes en particulier, face au changement climatique. Tout comme Daouda Larri Gueye, Président du RAPEN qui a fait une brève présentation de la situation climatique globale au niveau planétaire, surtout les risques d'extinction de toutes les espèces, si jamais la limite de 1 degré 5 celsius venait à être dépassée. Sous ce rapport, Mme Sidibe a brossé un tableau de résilience climatique. En effet, non seulement elle a mis en exergue les stratégies allant dans le sens d'une meilleure autonomisation des femmes, mais elle a évoqué plusieurs mesures palliatives allant dans le sens du développement des activités des femmes, surtout celles qui sont dans le domaine agricole.

 

 Elle a suggéré de se former aux techniques de compostage et de diversifier les types d'activités. Face à plus d'impacts négatifs, les femmes gagneraient à revoir les modèles de consommation. Dans leurs interventions, elles ont vivement remercié Mme Sidibe qui leur a parlé de tant d'opportunités de développement, comme par exemple, '' Une école publique, Un Jardin Écologique'', qui doit être parmi les modèles de résilience et d'adaptation. 

 

Fatou Samba, Conseillère Municipale et Présidente des Femmes transformatrices du site de Khelcom, s'est appesantie sur l'ensemble des menaces qui pèsent sur le devenir des femmes qui, à cause de l'implantation d'infrastructures industrielles polluantes, telles que la Centrale à Charbon du Port Minéralier vraquier et l'imminente implantation d'usines de sidérurgie. A  noter que le RAPEN a été a 

accompagné par le CRADESC et Global Green Grants Fund

 

Nous n'allons pas accepter à ce que vous ternissez l'image de notre mentor politique, Son Excellence Macky Sall !

 

Si vraiment l'amnesti a effacé tous ces faits, ce cirque doit impérativement arrêter ?

 

En réalité c'est quoi ce jeu ? Qui est derrière ces politiciens?

 

Collectif des Victimes où conglomérat des vilenies ? Le Sénégal a failli s'écrouler s'il n'était pas nos forces de l'ordre et la clairvoyance de Son Excellence Macky Sall.

 

Qui sont ceux qui ont vandalisé nos universités ?

 

Qui sont ceux qui ont jeté des cocktails Molotov dans un bus avec leurs conséquences désastreuses?

 Qui sont ceux qui ont caillassé nos bus DDD?

Qui sont ceux qui ont brûlé les maisons d'autruis ? Etc..? N'egratinez pas nos plaies ! 

 

Je pense bien que ce débat doit être définitivement arrêté . Son Excellence Macky Sall a ses militants, ses sympathisants qui lui sont dévoués et fidèles . Nous ne voulons pas nous opposer d'une façon indigne avec un irespects notoire, c'est pourquoi nous sommes très responsable et nous mettons le Sénégal au dessus de tous . Mais franchement on attaque pas à un lion qui rumine sa colère dans le silence.

Demander à ces tenants du pouvoir de réduire le prix des denrées alimentaires, de régler le problème de l'émigration clandestine et de lutter contre le chômage !

 

C'est mieux de rester à se pavaner dans les réseaux sociaux pour raconter des incongruités.

Aller au travail et arrêter cette farce 

Ils sont dans les pires manipulations et avec un irespects éhonté.Son Excellence Macky Sall mérite tous les honneurs au Monde. Arrêtez votre fanfaronnade médiatique.

 

Si vous avez quelque chose à demander ou à dire ,il faut bien le demander à celui qui faisait appel au mortal Kombat et Gatsa Gasta.

 

Si vraiment vous voulez la paix dans ce pays,il faut arrêter vos galimatias et votre cirque de mauvais goût. Nous sommes des Républicains et nous respectons le bien être des Sénégalais et nous n'allons jamais brûler ce pays où bien vouloir brûler ce pays parce que nous avons participé activement à sa construction.

 

Laisser tout tranquille Son Excellence Macky Sall si vraiment vous voulez la continuité de cette apaisement politique.

 

Samba Ndong Responsable politique Apr et Coordonnateur du Mouvement PATRIES.

Depuis quelques temps, j’avais pris une résolution de ne plus intervenir dans des débats publics, surtout des propos qui relèvent d’une nullité et une inculture de ses auteurs. Il faut le dire, le monde est devenu pesant, les idiots ont le droit à la parole.  Je n’ai pu terminer ma prière de ce matin à ma guise.

 

En effet, les propos d’une rare méchanceté et d’une idiotie manifeste de Kémi et Natali m’ont fait bondir, et comme le disait Senghor, l’écriture peut sauver notre âme dans des moments pareils. Assimiler le terrorisme à une ethnie, c’est d’abord de la méchanceté contre des milliers de familles et pour des générations. Oui les peulhs portent les valeurs de l’islam depuis des siècles, mais c’est une inculture de vouloir identifier tous les peulhs à des terroristes et tous les terroristes à des peulhs.

 

 La conséquence est de jeter en pâture une partie de la population Africaine. Non, nous ne sommes pas des terroristes, mais de vrais Africains et des musulmans sincères. Qui en Afrique peut revendiquer le parcours élogieux de Elhadji Oumar Foutiyou Tall, de Ousmane Dan Fodio Deme, et tant d’autres figures qui ont tissé avec intelligence, une communauté solidaire dans toute l’Afrique ?

 

 J’invite l’état du Sénégal à se prononcer sur ces propos et à assumer ses responsabilités face à la population peulh qui forme une grande partie de la population Sénégalaise. J’invite ces deux fous, oisifs et errants à retirer ces propos sans fondement aucun. A la communauté peulh, j’en appelle à l’unité et à la mobilisation de tous, contre ces formes de stigmatisation.

 

Dr Bassirou NIANG,  Président du RASSEMBLEMENT NATIONAL SENEGALAIS/ JAALAL LEYDI

 

CMU
cmu