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Malal DIALLO Pithi

Malal DIALLO Pithi

 

L'agence principale de la Senelec de Yoff  a donné suite à la lettre ouverte d'un de ses clients, en l'occurrence M. Ndiaye, adressée par voie de presse au directeur général de l'institution et qui avait pour objet une réclamation portant sur une hausse de tarif constatée sur son compteur Woyofal. Le chef de l'agence principale de Yoff, Aminata Ndiaye Khouma, a apporté plus de précisions sur cette correspondance. Selon cette dernière, le transfert de créances à partir du compteur classique au compteur Woyofal fait recours à un prélèvement d'un montant mensuel. 

 "Pour son cas, il avait une facture d'un certain montant qu'on a transféré dans son compteur Woyofal. Sur cette facture, Senelec devait prélever sur tous ses achats 30%" a expliqué le chef de l'agence principale de Yoff, Aminata Ndiaye Khouma. Elle a également exposé une autre observation qui mérite une attention particulière. Celle-ci touche essentiellement à la forte utilisation énergétique du client, M. Ndiaye.  

"C'est un client qui consomme beaucoup, il est en domestique moyenne puissance, c'est un client qui a un compteur triphasé", a renseigné Aminata Ndiaye Khouma qui, données à l'appui, a tenu à démontrer la méthode de facturation de ce niveau de consommation énergétique. Le chef de l'agence principale de Yoff a, par ailleurs, insisté sur les avantages du compteur Woyofal qui, décrit-elle, sont plus bénéfiques. 

Il faut souligner que le client, M. Ndiaye, est revenu à de meilleurs sentiments en adressant une nouvelle correspondance lu par Dakaractu et qui fait part des développements survenus après concertations avec le chef de l'agence principale de Yoff. "Les explications ont été données sur la tarification et sur la différence qu’il m’a été donné de constater à partir du 24 Décembre 2021. Ces explications m’ont confirmé qu’il ne s’agit pas d’une hausse des tarifs de l’électricité. Par conséquent ma réclamation a trouvé réponse et n’est plus d’actualité.", a écrit M. Ndiaye

 

Une grande inquiétude anime les populations de Ourossogui, et pour cause. L’eau, source de vie, se fait rare dans cette zone où la canicule flirte avec plus de 45 degrés. Dans un contexte de pandémie qui exige l’usage fréquent d’eau dans le cadre du respect de la politique de prévention contre la maladie, et en cette veille de ramadan, les populations se tiennent la tête et ne savent pas à quelle source puiser. Une situation qui irrite et interpelle le mouvement Dental Sogui qui, à travers son Président, Dr Bassirou Niang, alerte et préconise des solutions urgentes pour désaltérer la localité.

Depuis des années, la commune de Ourossogui vit une situation difficile, suite à une fourniture irrégulière en eau potable. En cette période de forte canicule, la Senelec vient de déposer les compteurs des différents forages, à cause d'une facture impayée de 45 millions.  Le système de distribution vétuste ne permet plus une bonne alimentation. Par conséquent, la ville de 20.000 habitants est assoiffée. Dr Bassirou Niang et les membres de son mouvement  Dental Sogui alertent : «Nous sommes indignés par cette situation, qui jure avec les objectifs du millénaire pour le développement. De plus, dans quelques jours, on entre dans le mois de ramadan, sans le liquide précieux. La pandémie du Covid 19 qui sévit encore dans la ville, trouve un terreau fertile, chez une population,  sans eau, pour se désaltérer. Nous demandons aux autorités centrales de prendre les mesures d'urgence pour un règlement définitif de ce problème récurent». Un vœu pieux qui interpelle l’implication de toutes les sensibilités politiques, religieuses, et administratives de la région de Matam particulièrement, et du Sénégal, de manière générale.

Une vidéo fait le tour du web, à travers les réseaux sociaux, et met en scène des personnes handicapées et les célèbres acteurs Aladji Sanekh, Cheikhou Gueye de son vrai nom et Cheikh Ndiaye dit Jojo. Dans le feu de leur action, un écart de langage et des propos stigmatisants contre les personnes vivant avec un handicap ont fait réagir plus d’un, notamment Mme Aissatou Cissé, Ministre Conseiller auprès du Président de la République qui n'a pas hésité à rappeler aux célèbres comédiens qu'on ne rit pas de tout et de n'importe quoi, surtout quand on intervient sur un sujet aussi sensible que le handicap.                                              

Nos deux grands artistes du théâtre sont tombés aussi bas sans s’en rendre compte, emportés certainement par la détermination et l’envie de vouloir faire rire. Mais, c’était sans compter avec la sensibilité du sujet. «Comme beaucoup d’individus, j’étais choquée de voir des acteurs, que beaucoup de gens aiment et adulent par rapport à ce qu'ils apportent à la culture, prendre à la légère la question du handicap. Le rôle du comédien, c'est de faire rire, ce qui est bon en soi, mais j'aimerai attirer leur attention sur le fait qu'on ne rit pas de tout et de n'importe quoi. Dans ce qu'ils ont fait, rire de tout voudrait dire insulter une bonne frange de la population sénégalaise, surtout celle qui vit avec un handicap», corrige Mme Aissatou Cissé. Dans la vidéo en question qui n’a pas fini de susciter l’indignation, avec des commentaires qu’elle continue de charrier, Sanekh et Jojo sont avec des acteurs qui se trouvent être des personnes handicapées, «mais ces derniers ne comprennent pas trop leur rôle. Nous sommes tous des relais, mais rire du handicap ne s'arrête pas seulement dans les médias, ça va au-delà, dans les écoles et ailleurs, avec des conséquences insoupçonnées. Franchement, ces acteurs ne doivent pas en faire des sujets de dérision. C'est très grave et c'est pourquoi je dis qu'on ne rit pas de tout et de n'importe quoi. Tout n'est pas sujet à humour. On n'en fait pas quand on fait allusion à la race, à l’appartenance à une ethnie, quand ça porte préjudice à une minorité. Le pire dans cette affaire, c’est qu’ils sont allés amener une deuxième vidéo pour montrer que les personnes ont tort de fustiger cela. Ce qu’on doit retenir, en effet, c’est que le handicap n’est pas un sujet drôle et à rigoler», regrette Mme Aissatou Cissé, par ailleurs patronne du Centre de Développement Solidaire et Inclusif (Cdsi).

Aujourd’hui, le Président a fini de mettre en place des politiques contre les différentes formes de discrimination sociale. Donc, fustige Mme Aissatou Cissé, «on ne peut pas se permettre de faire cela par la culture qui, justement, se trouve être un outil important de brassage, de cohésion et d’harmonie pour des générations. Donc, j’appelle Cheikh Ndiaye et Sanekh à la raison, pour qu’ils rectifient leurs propos. Qu’ils sachent comment faire rire les gens sans heurter les consciences et les minorités». Au sein des Nations Unies, il y a une commission qui s’occupe des minorités et de leurs droits. On ne peut pas se permettre certaines choses sous le prétexte qu’on veut faire rire. Non, ce n’est pas possible», refuse-t-elle, non sans condamner fermement leur sortie. «Je les invite à s’amender et à demander pardon à toute cette communauté-là et à faire attention dorénavant. Ca peut aller loin la prochaine fois, les personnes handicapées ne méritent pas d’être traitées comme des moins que rien. Qu’on respecte l’être humain», avertit Mme le Ministre Conseiller

Je saisis l’opportunité qui m’est offerte pour m’inscrire résolument dans ce qu’il est convenu d’appeler «la défense de la défense». A notre grand regret, cette affaire a instauré un précédent dangereux que nous ne saurions laisser perdurer, prospérer.

Des avocats ont été attaqués verbalement et par écrit, menacés d’exactions et de mort, voués aux gémonies, leurs maisons saccagées et brûlées, simplement parce qu’ils ont fait ou sont supposés avoir fait leur métier. Une liste d’avocats a été diffusée sur les réseaux sociaux, avec leurs photographies indiquant leurs adresses personnelles et contenant des mots d’ordre précis pour leur régler leurs comptes. Ces postures anti républicaines ont conduit au saccage et à l’incendie criminel du domicile de Maître El Hadji Moustapha Diouf, qui est certes un homme politique, mais qui est aussi un avocat et qui, dans cette posture, a posé des actes de sa profession.

Me Dior Diagne est indexée pour avoir, soi-disant déposé la plainte contre Ousmane Sonko.

Aujourd’hui établi que cette plainte n’émane pas d’elle. Me Mamadou Papa Samba So, accusé d’avoir déposé cette plainte, ce qu’il conteste d’ailleurs, n’aura fait qu’un travail d’avocat… Itou pour Me Abdou Dialy Kane, que l’on n’entend pas souvent dans cette affaire. Ces confrères et j’en oublie peut-être, ont le fâcheux dénominateur commun d’être attaqués, vilipendés, menacés de mort, voués aux gémonies, alors que le seul crime que l’on puisse leur imputer, c’est d’avoir fait leur métier. Le Conseil de l’Ordre des avocats, au cours d’une réunion extraordinaire tenue le 07 mars 2021, s’est déjà vivement indigné de cette situation quasiment inédite dans notre pays et s’est engagé à se tenir résolument aux côtés des confrères, pour accompagner toutes les actions entreprises pour identifier et châtier les coupables. Par ma voix, le Barreau leur réitère sa solidarité, clame son indignation et proclame : Touche pas à mon confrère.

 

Le Directeur Général de la Senelec Papa Mademba Bitèye a été l’invité d’honneur, ce samedi 3 avril 2021, du Collectif des prestataires agréés de Senelec qui a tenu son Assemblée Générale au CICES. Composé de 8000 prestataires, le Collectif a loué les qualités du Directeur Général de Senelec qui, malgré la pandémie mondiale, a maintenu les emplois y compris ceux des prestataires. 

Le Coordonnateur du Collectif des prestataires agréés de Senelec, Birima Fall, a remercié le Directeur Général de Senelec pour ses réalisations et son soutien permanent. Par sa voix, les prestataires ont salué, à sa juste valeur, la contribution du Directeur Général de la Senelec dans le cadre de la mise en œuvre de la politique d’emploi de l’Etat du Sénégal dans le secteur de l’électricité. «Dans ce contexte marqué par la crise sanitaire mondiale, la Senelec a été l’une des rares entreprises à sauvegarder et à préserver les emplois y compris ceux des 8000 prestataires de l’institution, et c'est grâce aux prouesses du Directeur général qui a su faire face», a salué Birima Fall. 

Dans son allocution, le Directeur Général de Senelec Papa Mademba Bitèye, a rappelé que la Senelec est une société nationale, un patrimoine qui appartient à tous les Sénégalais. C’est pourquoi elle est toujours prête à travailler avec tous les Sénégalais qui, à l’image du Collectif des prestataires, se constituent en opérateurs. La Senelec va continuer d’engager une collaboration franche, approfondie et essentiellement basée sur une préoccupation majeure qu’est la satisfaction du client. Ainsi, toutes les possibilités de partenariat seront explorées car le Sénégal ne se développera qu’avec des Sénégalais engagés et déterminés. Nous allons continuer ce dialogue et travailler ensemble en nous assurant de la légalité des procédures», a soutenu le Directeur Général de Senelec. Qui poursuit : «Vous avez compris que tout le monde ne peut être agent de Senelec, mais que tout le monde peut servir dans l’écosystème de Senelec».

Le Directeur général a annoncé un avis favorable de l’Autorité de Régulation des Marchés Publics (ARMP) pour pouvoir travailler avec le Collectif des prestataires agréés de Senelec. C'est dans ce sens qu'une rencontre est ainsi prévue pour formaliser le Collectif et va permettre de dresser un répertoire des prestataires et renforcer davantage le Collectif. Les prestataires pourront ainsi, grâce à la volonté du Dg, bénéficier d’une habilitation de la Senelec après une formation pratique au niveau du Centre de Formation et de Perfectionnement Professionnel (CFPP) de la structure. La Direction Générale de la Senelec compte aussi accompagner les prestataires dans les recherches de financements au niveau de la Délégation à l’Entreprenariat Rapide (DER) ou au niveau du Fonds de garantie des Investissements Prioritaires (FONGIP) pour les aider à s’équiper en tant qu’acteurs de développement.

La grande mobilisation du mouvement national des femmes de l’APR ce lundi à Pikine a été un bon prétexte pour la responsable politique Mme Mbacké Fatou Diagne de rappeler au Président de la République et aux différents responsables du département les nombreuses doléances des militantes de l’APR jusque-là insatisfaites. «On parle de promotion des femmes alors que nous militons depuis 2008 sans jamais nous retrouver dans les plans mis en place par le régime. On entend à gauche et à droite des financements sans jamais voir la couleur, des nominations de personnes dernièrement venues dans notre parti, au moment où justement, nous avons toujours mis nos moyens au service de l’APR. Donc, nous demandons au président de revoir la position des femmes de Pikine nord dans le choix des hommes devant présider aux destinées des programmes nationaux et des agences», rouspète Mme Mbacké.

Il y avait un grand folklore et une grande mobilisation à l’arène nationale ce lundi de Pâques. Des femmes de l’APR venues des quatre coins de la capitale, habillées aux couleurs du parti et en blanc de paix pour certaines, toutes heureuses de revoir leur coordonatrice nationale Mme Ndèye Saly Diop Dieng, Ministre de la Femme. Heureuses certes, mais avides aussi d’écouter le message de relance des activités économiques éteintes par la pandémie. Des projets sociaux comme toujours, mais aussi des plans pour promouvoir l’autonomisation et l’épanouissement économiques de ses semblables dont certaines n’arrivent pas à s’y retrouver. C’est le cas de Mme Mbacké Fatou Diagne, responsable de Pikine Nord qui a tenu, en marge de cette activité, à rappeler aux responsables de l’APR, notamment au chef de l’Etat, qu’il y a encore des efforts à faire pour prendre en compte des militantes de première heure qui jusque-là, ont toujours servi de mécènes au parti sans un geste de reconnaissance. «J’ai toujours financé le parti, et je n’ai jamais bénéficié d’aucune largesse. Je pense qu’il est temps qu’on revoie le processus de fonctionnement afin de rendre à César ce qui lui appartient. Ces temps-ci, il y a beaucoup de bruit sur d’éventuels ralliements à l’APR. On parle de grands responsables d’autres partis, avec une promesse ferme de leur confier d’autres responsabilités. Nous ne sommes pas contre, car nous sommes pour une massification de notre parti, mais qu’on nous permette de goûter aux délices du pouvoir avant d’autres qui nous ont toujours dirigées», dresse Mme Mbacké.

 

 

 

Le ministre conseiller Dr Arona Coumba Ndoffene Diouf a été hier au terrain de NGB pour participer à la cérémonie d’inauguration du joyau de la commune de Grand Dakar. A sa grande surprise, il a été interdit d’accès avant d’être rappelé pour occuper une place « irrespectueuse » après avoir été parmi les premiers à donner sa contribution. Un comportement qu’il déplore en tant qu’autorité et fils de la localité.

Le terrain de Niarry Tally Grand Dakar Biscuiterie a été inauguré ce jeudi. Une inauguration qui ne s’est pas bien passée pour celui qui est le premier donateur pour la réalisation d’un tel projet. Contribuant à hauteur de 50 tonnes de ciment, le Ministre Arona Coumba Ndoffene Diouf a été interdit de s’installer sous la tente. Mais en tant que responsable, il a décidé de ne pas répondre à la provocation en essayant de rallier tranquillement son domicile avec ses militants. Un geste hautement salué par ces derniers.

« Avant tout, je tiens à préciser que je suis le premier donateur pour ce projet du président de la République que je remercie. Aujourd’hui (hier), il s’est agit d’une injustice contre ma personne et contre tous mes camarades de parti et des alliés venus simplement pour l’inauguration de ce terrain offert par le président de la République. Ce qui s’est passé est que, d’abord, ils ont élaboré une petite porte d’entrée gérée par des éléments du GMI et des nervis pour rendre l’accès impossible. Quand je suis arrivé avec mes invités, ils m’ont fait savoir que même ma sécurité ne peut pas accéder à l’intérieur. Il a fallu que je réagisse pour qu’ils acceptent de m’octroyer une place derrière tous les invités assis à la turbine. Une chose que je n’ai pas acceptée de par mon rang. Mais en tant que responsable et vu qu’il s’agit d’une réalisation de mon leader le chef de l’Etat, j’ai décidé de rentrer doucement sans problème », a dit Monsieur Diouf qui reconnaît le comportement de ses adversaires politiques qui ont montré « qu’ils ont peur de lui ».

Il déplore ainsi l’attitude de certains camarades de l’Apr. Il les appelle à plus de responsabilité et à la solidarité en leur faisant savoir qu’il va récupérer la mairie bientôt des mains de l’actuel maire. Un opportunité pour lui de renouveler son engagement à l’équipe de NGB, une équipe digne de son nom. Ainsi, il demande à Djiby Wade, malgré ses investissements, de revenir à la raison et de donner l’opportunité aux autres de remettre l’équipe à sa place.

Pour terminer, Monsieur Diouf fustige le comportement du ministre des Sports, Monsieur Matar Ba qui, selon lui, prétend être ami de Djiby Wade en oubliant les responsables Apr de la localité. Selon lui, le ministre donne des moyens aux opposants pour combattre l’Apr. Une situation qu’il dénonce jusqu’à la dernière énergie.

 

L’inauguration du complexe sportif a suscité la polémique. En effet, après l’événement, Arouna Coumba Ndoffene Diouf, responsable politique à la commune de Biscuiterie a fait une sortie médiatique pour accuser le ministre Matar Ba d’immiscer à la politique de la commune. Venu prendre part à la cérémonie Arouna a rebroussé  chemin car il voulait s’asseoir au premier rang de la tribune. La réponse de celui qui était en charge de l’organisation de l’événement et le président du comité des supporters n’a pas tardé.  Selon eux la cérémonie n’avait aucune coloration politique, le ministre était venu représenter le chef de l’Etat et  l’invite à cesser toute menace envers le ministre des Sports.          

Le comité d’organisation de la cérémonie d’inauguration du terrain de NGB a  apporté  des éclaircissements suite aux propos tenus par Arouna Coumba Ndoffene Diouf.  Il rappelle que c’était un événement sportif et non politique et que toutes les autorités de la commune ont été conviées à la cérémonie. A en croire Ahmadou Diop deuxième adjoint au maire de la commune de Biscuiterie, chargé de l’organisation de l’inauguration du complexe sportif, Arouna Coumba n’a pas voulu respecté la hiérarchie protocolaire et pour des raisons politiques il  a voulu se hisser au rang des ministres et Directeurs généraux.«Le présidium était constitué de ministre de la république et à ce que je sache Arouna n’est plus ministre de la République pour nous exiger une place au premier rang. C’est ainsi qu’il n’a pas voulu respecter le protocole établi et a plié bagage pour la simple raison de s’asseoir aux cotés des ministres et Dg», précise celui chargé de l’organisation.

Visiblement Arouna Coumba n’a pas voulu respecté les règles et est rentrée car ne voulant pas la place qui lui était réservée. Par presse interposé il a montré sa frustration et a formulé des menaces envers Matar Ba selon le deuxième adjoint au maire qui ne comprend guerre cette sortie médiatique. « Il a menacé le ministre des sports Matar Ba et qu’en même temps il se réclame appartenir au cabinet du Président de la République. De même il accuse le ministre de s’immiscer dans la politique d’APR au niveau de la commune. Le ministre a était invité par les supporters et la jeunesse à venir présider la cérémonie au nom du Chef de l’Etat. C’est le même cas pour le ministre Amadou Ba de par sa volonté le décret a été signe par le Président de la République, le directeur de la Sénélec, le maire de Dakar, le Préfet. Dans son allocution le ministre d’Etat n’a aucunement parlé de politique. Sa présence était purement sportive. Matar Ba œuvre énormément dans le social ici à Biscuiterie sans que personne ne la sache. Il se permet même de circuler sans garde de corps ce qui n’est pas le cas pour Arouna Coumba Ndofen. On ne va plus lui permettre de menacer le ministre, s’il recommence il ne va plus mener ses activités politiques dans la commune » ajoute-t-il.     

 Arouna Coumba qui se dit candidat pour la mairie de Biscuiterie a affirmé dans sa sortie contribué dans le projet à hauteur de 50 tonnes de ciment. Des propos battu en brèche par Medoune Diop président commission supporters de NGB. Pour lui, Arouna Coumba confond promesse et donation. « Il a été sollicité comme toutes autres autorités de la commune pour la construction du mur. Il nous avait promis 50 tonnes de ciment mais il nous avait remis que 10 tonnes. C’était pour la sécurisation du terrain, un mur que AGEROUTE a détruit lors des travaux. Nous sommes des sportif nous ne faisons pas de la politique. NGB appartient a tout le monde c’est un patrimoine national. Arouna a été invité en tant qu’habitant et autorité qui participe dans le développement sportif de la commune venir prendre par à une activité sportive. C’était le cas pour le ministre des sports » a démenti Medoune Diop.

 

Il est certainement le plus grand événement économique post-Covid que le Sénégal aura connu. En effet, l'implantation d'une centrale électrique de 300 MW, un projet d'ambition sous régionale, en parallèle avec le Pse qui ambitionne d'ici 2035, de rendre facile l'électricité en qualité et en quantité suffisante permettra, de couvrir les besoins des populations. La cérémonie de pose de la première pierre a eu pour cadre le Cap des Biches, dans le département de Rufisque, sous la présidence de Mme Sophie Gladima Ministre du Pétrole et des Énergies.

                                         

Le continent Africain éprouve un besoin énorme de voir émerger, dans ses terres, des projets d’envergure pour booster la création d'emplois et assurer la fourniture d'énergies nécessaire à son développement.  Ainsi, avec les impacts positifs qui en découleront, le coût d'électricité est parti pour être réduit, ne serait ce qu'à 18% de son prix actuel. Mais selon le directeur de la Senelec, «la mise en service de la centrale est prévue en juin 2022 et constituera une réponse aux populations dans leur demande croissante de bénéficier d'une énergie à moindre coût». Pour le Dg de WAE, Samuel Ameth Sarr, «plus de 600 millions d'Africains vivent sans électricité, il nous faut vite accélérer la cadence pour faire face à ces fortes demandes».

Le président du Conseil national du patronat (CNP), Baydi Agne, dira ceci : «quand les citoyens peuvent porter le projet de cette dimension, nous devrons tous encourager le patriotisme économique qui, en définitive, aura un impact important dans la promotion du contenu local». Parlant au nom de ses co-associés, Samuel Sarr retrace l'évolution du projet : «ce jour symbolique marque le démarrage de cette grande œuvre. C'est l'aboutissement de plusieurs mois de discussions entre les différents acteurs qui interviennent dans ce projet. La Covid avait impacté les planifications, mais c'est un sacerdoce d'arriver à mobiliser 27 milliards de Coris Bank pour pouvoir procéder au démarrage. La naissance de WAE est un signe de la capacité des sénégalais à pouvoir relever ces défis. La bonne nouvelle, c'est que ce projet va créer 1000 emplois, soit 400 directs et 600 indirects». Clôturant la cérémonie, le Ministre Mme Gladima a parlé des enjeux économiques du projet qui va accroître la fiabilité du parc de production de la Senelec, et mettre en œuvre la stratégie Gaz-to-Power adoptée par l'État du Sénégal pour assurer l'équilibre entre l'offre et la demande d'électricité à moindre coût.

Il est certainement le plus grand événement économique post-Covid que le Sénégal aura connu. En effet, l'implantation d'une centrale électrique de 300 MW, un projet d'ambition sous régionale, en parallèle avec le Pse qui ambitionne d'ici 2035, de rendre facile l'électricité en qualité et en quantité suffisante permettra, de couvrir les besoins des populations. La cérémonie de pose de la première pierre a eu pour cadre le Cap des Biches, dans le département de Rufisque, sous la présidence de Mme Sophie Gladima Ministre du Pétrole et des Énergies.

                                         

Le continent Africain éprouve un besoin énorme de voir émerger, dans ses terres, des projets d’envergure pour booster la création d'emplois et assurer la fourniture d'énergies nécessaire à son développement.  Ainsi, avec les impacts positifs qui en découleront, le coût d'électricité est parti pour être réduit, ne serait ce qu'à 18% de son prix actuel. Mais selon le directeur de la Senelec, «la mise en service de la centrale est prévue en juin 2022 et constituera une réponse aux populations dans leur demande croissante de bénéficier d'une énergie à moindre coût». Pour le Dg de WAE, Samuel Ameth Sarr, «plus de 600 millions d'Africains vivent sans électricité, il nous faut vite accélérer la cadence pour faire face à ces fortes demandes».

Le président du Conseil national du patronat (CNP), Baydi Agne, dira ceci : «quand les citoyens peuvent porter le projet de cette dimension, nous devrons tous encourager le patriotisme économique qui, en définitive, aura un impact important dans la promotion du contenu local». Parlant au nom de ses co-associés, Samuel Sarr retrace l'évolution du projet : «ce jour symbolique marque le démarrage de cette grande œuvre. C'est l'aboutissement de plusieurs mois de discussions entre les différents acteurs qui interviennent dans ce projet. La Covid avait impacté les planifications, mais c'est un sacerdoce d'arriver à mobiliser 27 milliards de Coris Bank pour pouvoir procéder au démarrage. La naissance de WAE est un signe de la capacité des sénégalais à pouvoir relever ces défis. La bonne nouvelle, c'est que ce projet va créer 1000 emplois, soit 400 directs et 600 indirects». Clôturant la cérémonie, le Ministre Mme Gladima a parlé des enjeux économiques du projet qui va accroître la fiabilité du parc de production de la Senelec, et mettre en œuvre la stratégie Gaz-to-Power adoptée par l'État du Sénégal pour assurer l'équilibre entre l'offre et la demande d'électricité à moindre coût.

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